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Le "very pire" des fôtes

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Aussi, le veineraient-ils couramment de différentes façons.

Oui, ils étaient assez sanguins en ce temps-là…

J’étais très attaché à elle, ce qui ne devait pas être réciproque car elle m’a quitté pour un pommé.

Elle devait être très gourmande…

Je me permets quant même…

Ce n’est quant même pas un musée mais quant même,

Mais quant même…

J’allais le dire !

Et vient le moment temps attendu par tous.

C’est vrai que le temps parait long quand on attend.

…lui retirent ses vêtements (qui se restreint à vrai dire à une sorte de toge…).

Notez que l’auteur vit l’action : entre le moment où il a écrit "ses vêtements" et celui où il a écrit "restreint", il ne restait sûrement plus qu’un vêtement à son personnage.

Ayant achevée son œuvre…

Ça, c’est mettre la charrue avant les bœufs.

Il s’approche par derrière de la victime, prend son sexe dans une main, le temps droit vers le postérieur de la fille…

Il parle d’un espace multi-dimensionnel, il est important de préciser la latéralité du continuum spacio-temporel qu’il utilise, sinon on ne comprend rien à l’histoire…

Il doit y à voir autre chose…

Autre chose à voir, peut-être ?

Il s’en est fallut de peu…

Ouf, on a échappé au "s" !

…bien décidé à aller dénicher quelque boite de riz thaï est en train de pourrir dans un placard.

???

Avec des hommes ou des femmes, suivant les cas, quoique mon expérience en manière de femmes soit fort réduite dans le réel.

Je m’entraîne pourtant, mais rien à faire, à chaque fois que je mets des talons, j’me casse la gueule !

Avec mon pousse, je lui titille le clitoris.

Et avec mon indeqsse je lui tatouille le vagin.

Même si ce n’est pas trop confortable, je m’allonge à même le sol, elle est toujours debout, je me place sous elle, d’où j’ai une vue imprenable sur son sexe bien bandé.

Régis, retire ta perruque, je t’ai reconnu !

Je reste ainsi en elle quelques instants en lui caressant ces seins…

…que j’avais ramassés quelques instants plus tôt.

Nous nous enlaçons en nous roulons un palot d’enfer.

Nous nous sommes rhabillons en vitesse.

Je préféré l’attendre à la sortie du musée.

Pratique les accents ! Mais comment ils font les anglais ?

Je suis prêt à exploser mes ses lèvres expertes retardent sans cesse l’échéance.

Mais où est donc Ornicar ?

Je libère ses seins pointus aux gros tétons sombres. Ils pointent vers moi arrogant.

Et je les regarde d’un air méprisant…

Alors, après m’être faite mousser par toutes mes copines pour ma nouvelle conquête…

Y a une bonne ambiance au salon de coiffure…

Nous n’attendons pas une heure pour nous mettre à table. ….et Cathy qui se mets à vanter mes mérites.

Délicieux d’ailleurs, les mets qu’elle nous a servis !

Cathy qui était en vaine s’autorise SODOMIE.

Relève-toi, tu vas avoir des crampes, il ne viendra plus maintenant…

…à en juger par les regards qu’ils lançaient sur mes cuisses, voire à mes entrecuisses !

Et après ils m’ont remis dans l’aquarium avec mes copines pieuvres…

Il m’avait d’abord demandé de l’appeler Nicolas, très vite.

Ni.as ! Yes, record battu !

Il bandait comme un taureau, mon cochon !

C’est ma vache qui n’a pas compris ce qui lui arrivait…

J’étais en train de lui démontrer mes capacités professionnelles, et là il était en train de constater ma sous qualification, par rapport à mon salaire, mais j’étais sûre que cela allait s’arranger ! ! !

Ou comment dire l’inverse de ce que l’on veut dire…

Il prit les initiatives en main…

Ah tiens, je ne savais pas qu’on appelait ça comme ça. On devrait signaler les termes régionalistes dans les critères…

C’était certes une plus belle maison que la mienne, entièrement en bois, les japs avaient décidément les moyens. Mais en plus elle était vécue avec goût.

La maison en bois est un long fleuve tranquille…

Les trois hommes nus me virent et me découvrirent la main entre mes cuisses gainées de noir, excitée cette orgie.

C’était plus clair dans la version originale en serbo-croate !

Tu es aussi bon suceur que Christine, tu aimes ma bitte

P’tain la grande bouche !

Christine viens nous rouler des patins.

De l’importance de la ponctuation…

Un midi, durant son temps de pose, je suis allé la voir à son bureau.

C’est bon Martine, tu peux bouger maintenant !

J’avais dû attendre plusieurs jours avant de la revoir, à mon grand damme.

Malheureusement Jean-Claude Van était arrivé avant moi…

Vous dégagé une odeur plutôt forte.

Vraiment pratique…

J’avais à l’époque ans…

Pas de doute, nous sommes bien sur le site de l’imaginaire !

Je serrais toujours les affaires de la fille qui était maintenant totalement trempées.

Exercice : deviner qui était trempé. Plouf plouf…

Je ne sais pas si cela c’est vu, mais je me suis senti con…

J’ai une mauvaise nouvelle pour toi…

il passait un doigt sur ma fente pour y creuser un léger sillon.

Variante érotique de « enfoncer les portes ouvertes ».

…me laissant dévisager sa chatte rasée.

Son miaulement agressif me fit comprendre qu’elle n’avait pas apprécié la plaisanterie. J’ai rangé prestement la tondeuse…

Elle commença soulever lentement sa jupe dévoilant ses cuisses gainées de ses superbes bas couture. Bien tôt la lisière apparut puis les attaches des jarretières.

Et on dit que les hommes sont trop pressés !

Elle était absolument craquant.

Régis…

D’abord, le logement disponible était au 20e étages.

Ah oui, 20 c’est bien du pluriel !

Je lui demande aussi d’écarquiller ses jambes

Pendant que j’écarte mes yeux… Martine, t’es où, je te vois plus !