Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13339Fiche technique17172 caractères17172
Temps de lecture estimé : 10 mn
25/06/09
Résumé:  Comment Chris goûte sa première expérience trioliste.
Critères:  fhh couple amour fellation pénétratio init -couple+h
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Chris franchit le pas...

Chris, ma merveilleuse épouse, a enfin découvert les plaisirs du triolisme. J’avoue être à l’origine de cette inoubliable soirée. C’était un fantasme qui la hantait depuis longtemps déjà et dont nous parlions souvent lors de nos ébats amoureux. Nous ne vivions ensemble que depuis quelques mois et si, de mon côté, j’étais libertin depuis de nombreuses années, Chris, elle, n’avait connu que des liaisons extraconjugales lors de son premier mariage. Elle hésitait à franchir le pas, par timidité, pruderie mais surtout par peur d’abîmer notre couple tout neuf et follement amoureux.


Voici bientôt huit ans que nous vivons ensemble et nous sommes désormais un couple épanoui, comblé, heureux de pouvoir en toute liberté jouir des innombrables plaisirs de la chair. L’élève a d’ailleurs quasiment dépassé le maître dans l’art des jeux érotiques, prenant souvent des initiatives qui me surprennent moi-même…


Pour que ce récit soit empreint du réalisme nécessaire, nous parlerons parfois à la troisième personne, parfois en échangeant des dialogues, car c’est à deux que nous vous confions cette première aventure qui, peut-être, donnera envie à d’autres couples de goûter à leur tour de si sublimes instants.




En ce bel après-midi d’été, j’avais téléphoné à Chris pour la prévenir que je rentrerais un peu plus tard qu’à l’habitude, retenu par un apéritif, mais qu’à mon retour je partagerais volontiers quelques instants avec elle en prenant un verre sur notre terrasse, comme nous aimions le faire lorsque les nuits étaient tièdes et propices à des moments de calme et d’intimité.



Je ne lui avais pas dit que, de mon côté, moi aussi je lui réservais une surprise. Lorsque j’ai ouvert la porte et me suis avancé dans notre salon, elle s’est précipitée vers moi, s’est jetée dans mes bras en souriant pour m’embrasser tendrement. Elle portait en effet une légère robe d’été, boutonnée devant, qui mettait en valeur son corps splendide, ses longues jambes au galbe parfait, sa poitrine orgueilleuse, libre de tout soutien sous le tissu léger. Elle eut un mouvement de recul en apercevant dans mon dos la silhouette d’un homme.



Elle lui adressa un sourire. Il avait sensiblement le même âge que son mari. Il était élégant, les tempes argentées, grand, mince, elle le trouva assez séduisant et un léger trouble s’empara d’elle lorsqu’elle croisa le regard de ses yeux gris.


Les deux hommes s’installèrent face à face sur la terrasse, meublée de trois fauteuils en rotin qui cernaient une table basse. Chris alluma la chaine hifi ainsi qu’une batterie de petits spots qui animaient les ombres de grandes plantes vertes, puis elle se dirigea vers la cuisine pour préparer un café. Lorsqu’elle revint pour disposer les tasses sur la table, les deux hommes étaient en pleine discussion mais ils se turent et, souriant tous deux, ils tournèrent leurs regards vers elle.

Brusquement, le silence se fit plus lourd, seulement troublé par la musique. Le regard de l’invité ne quittait plus Chris qui, penchée vers lui, versait doucement le café. Dans son geste, en effet, elle offrait inconsciemment le spectacle délicieux et troublant d’une poitrine nue dans l’échancrure de sa robe qui baîllait sur deux seins lourds et fermes.


Elle se redressa pour se tourner vers son mari et le servir à son tour. Son admirateur involontaire eut, là encore, l’occasion de contempler à loisir des jambes finement galbées, des hanches rondes et la cambrure sensuelle de ses reins qui faisaient saillir une croupe particulièrement attirante. Enfin, elle prit place dans le troisième fauteuil et la conversation reprit.


Un peu plus tard, je proposai un cocktail avant que nous ne nous séparions. Chris et Claude acceptèrent. Je me levai, emportant les tasses pour revenir avec un large plateau sur lequel trois grands verres jetaient des reflets colorés. Nous avons bu tout en plaisantant agréablement. Parfois, le rire cristallin de Chris perlait comme une bulle de champagne. L’alcool avait rosi ses joues. Nous pouvions, Claude et moi, admirer son sourire gourmand, son regard brûlant et, surtout, ses jambes découvertes très haut par sa robe légère.

Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à écouter Claude qui se laissait aller à quelques confidences concernant sa vie sentimentale qu’il tournait en dérision avec beaucoup d’humour. Depuis plusieurs minutes, j’observais discrètement mon ami dont les regards semblaient déshabiller mon épouse, inconsciente de l’effet qu’elle produisait.


D’ailleurs, il s’enhardit et m’avoua :



Puis, se tournant vers elle, il ajouta :



Chris éclata d’un rire léger pendant que je répondais :



Nous avons continué à discuter et à plaisanter de longues minutes. Chris a étouffé un bâillement, s’est étirée longuement, faisant innocemment saillir sa poitrine orgueilleuse.



J’en profitai pour m’exclamer :



En riant, elle se pencha vers Claude dont le regard plongea immédiatement sur la splendide poitrine à nouveau dévoilée au creux de sa robe. Elle l’embrassa sur la joue et s’éloigna, silhouette souple, ondulante, suivie par nos regards attentifs. Je resservis un verre et nous avions repris notre conversation quand, à nouveau, nous nous sommes tus. Chris traversait le salon, sortant de la salle de bains pour aller se coucher.



Elle avait troqué sa robe contre un simple tee-shirt qui moulait audacieusement ses seins fermes et couvrait à grand-peine le haut de ses cuisses, faisant ressortir la rondeur de sa croupe affolante. Elle disparut dans la chambre, laissant dans son sillage les effluves poivrés d’un parfum capiteux et deux admirateurs au bord de l’apoplexie !


Un peu plus tard, je proposai à Claude de passer la nuit dans la chambre d’amis, la soirée étant déjà très avancée et n’ayant pas envie de le raccompagner jusqu’à son hôtel, à une demi-heure de route.



Il hésita une seconde puis, en riant, accepta :



Je n’ai pas pu m’empêcher de lui répondre :



Claude me fixe d’un regard trouble et se lève. Je l’accompagne jusqu’à la porte de notre chambre d’amis :



J’ajoute :



Après un passage rafraîchissant sous la douche, je suis allé rejoindre Chris non sans prendre la précaution de laisser un léger éclairage dans le salon. Par la porte restée ouverte, une lueur pâle éclairait notre lit, arrachant des reflets dorés sur le visage de mon amour endormi, sur son corps abandonné que le drap découvrait largement.

J’ai posé la main sur son ventre, entamant une lente caresse sur sa peau satinée, remontant vers un globe de chair souple. Mon ange frémit dans son sommeil lorsque ma main glissa le long de sa hanche pour jouer du bout des doigts avec le joli triangle de fourrure entretenu avec soin. Chris réagit, son bassin se souleva, venant au-devant de ma main. J’ai repoussé totalement le drap, me suis laissé glisser vers son ventre plat, j’ai ouvert sans difficulté le compas de ses cuisses et posé mes lèvres sur son sexe déjà brûlant pour caresser du bout de la langue le petit bouton de chair nacrée, niché dans son écrin soyeux.


Cette fois, Chris, réveillée, s’est mise à gémir sans interruption, tout son corps ondulait sous ma langue. Un léger cri lui échappa, son corps se tendit comme un arc, elle crocheta les mains dans mes cheveux et jouit longuement. Immobile, comme tétanisée, elle mit plusieurs secondes avant de reprendre conscience puis se lova contre moi, souriante, épanouie par le plaisir.

Mais, subitement, c’est elle qui reprit l’initiative de nos jeux ! Ses mains partirent à la découverte de mon ventre pour terminer leur course sensuelle sur mon sexe déjà tendu de désir. Elle se redressa, surmontant mon torse, me frôlant de la pointe à nouveau durcie de ses seins lourds. Elle picora mon ventre de petits baisers, progressant doucement vers mon pieu vibrant.

D’une main douce, elle me saisit, agaçant du bout des lèvres mon gland luisant. À genoux au-dessus de moi, les reins cambrés tendant sa croupe ronde, les seins ballants lentement, elle se pencha en avant. Ses lèvres prirent possession de ma queue raidie d’envie, lui offrant la torride caresse de sa bouche experte. Elle aspirait avec gourmandise mon sexe brûlant, le rejetant par à-coups pour mieux l’engloutir à nouveau.

Je laissais mes mains parcourir son corps souple, massant ses seins lourds et fermes, glissant sur sa croupe tendue par cette position, m’insinuant par instants dans la fourche humide de ses cuisses. Elle ondulait à nouveau tout en me dévorant goulûment.


Mon plan semblait fonctionner à merveille car je venais de remarquer la silhouette de Claude dans l’encadrement de la porte. Attiré par les gémissements de Chris, il se tenait debout derrière elle, spectateur parfaitement silencieux et attentif… Le peignoir qu’il m’avait emprunté, enfilé à la hâte, était ouvert sur son torse puissant et sur un pieu aux dimensions plus qu’honorables, dardé fièrement en avant de son ventre musclé.

Chris, ignorante de sa présence, continuait à s’agiter langoureusement sur moi, offrant ainsi à notre invité la folle vision de sa croupe ronde, véritable appel au plaisir, à la possession. Il était temps de passer aux choses sérieuses !


Les mains enserrant toujours tendrement les seins de Chris, je lui dis à voix basse mais suffisamment fort pour que Claude, à qui je venais d’adresser un petit signe de tête, puisse entendre :



Elle abandonna sa caresse et, souriante, sans cesser d’onduler au-dessus de moi, me répondit d’une voix rauque :



Elle reprit sa caresse avec une vigueur nouvelle. Je posais les mains sur ses épaules, maintenant doucement son visage contre mon ventre. J’échangeai un regard avec Claude qui s’était approché silencieusement du lit. Il se tenait debout derrière Chris, son sexe imposant et tendu à quelques centimètres de la croupe offerte. Il se caressait lentement, entretenant une érection inquiétante pour la suite des évènements et le ventre de mon amour ! Je murmurai à nouveau à Chris :



De longs frémissements agitaient mon ange, ses reins cambrés semblaient appeler le plaisir. J’ai compris qu’elle était prête à tout, follement excitée par ce que je venais de lui dire. J’ajoutai :



Sans abandonner mon sexe entre ses lèvres, elle gémit, les reins agités de soubresauts comme si, réellement, un sexe plongeait en elle, la fouillant profondément.



Elle sursauta quand Claude, qui avait compris mon signal, posa les mains sur ses hanches et, dans le même mouvement, se planta d’une seule poussée dans les chairs humides et brûlantes. Fiché profondément en elle, il la maintenait contre son ventre, immobile tandis que je la tenais toujours par les épaules. Elle avait abandonné sa caresse mais ne chercha pas à échapper au pieu qui vrillait sa chair.



Elle gémit à nouveau quand Claude commença à s’agiter lentement en elle. Ses reins entamèrent un mouvement de houle, allant au-devant du pieu viril qu’elle sentait palpiter au plus profond de son ventre. Ses lèvres reprirent possession de ma queue et elle s’abandonna au plaisir.


Maintenant, tout son corps était parcouru de longs frissons, son ventre fouillé longuement par ce pieu démentiel qui dilatait ses chairs, son beau visage déformé par ma queue palpitante. Elle sentit le plaisir monter en elle, en longues vagues ardentes.

Brutalement elle se raidit, une plainte sourde lui échappa, immobile, elle laissa l’orgasme la submerger. C’est cet instant que choisit Claude pour, d’une ultime poussée, se ficher totalement en elle et éclater en longs jets bouillants, arrachant un cri à Chris, inondant le ventre torturé par la jouissance tandis que je me laissais aller entre ses lèvres.


Nous sommes restés de longues secondes immobiles, terrassés par le plaisir, fichés tous les deux dans le corps frémissant de mon amour avant de nous retrouver allongés, abandonnés sur le lit dévasté. Longtemps encore nous avons couvert le visage, les seins, le ventre, les cuisses de Chris de lentes et tendres caresses. Elle frémissait, comblée, repue, le visage radieux éclairé d’un sourire serein.



On ne pouvait rêver mieux comme première expérience, qui a ouvert à Chris et à notre couple les portes dorées du monde libertin dans lequel nous partageons désormais des plaisirs extraordinaires…