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n° 13341Fiche technique7177 caractères7177
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/06/09
Résumé:  Qu'est-ce qu'elle mijote ? Pour ce qui est de m'avoir attaché, je le sais. C'est parce qu'elle veut s'amuser...
Critères:  fh couple amour fellation attache -totalsexe -couple
Auteur : Rocco si refroidi  (J'aime la langue française, surtout celle de ma femme.)            Envoi mini-message

Concours : Sexe brut
Vol de nuit



Mais ? Ce rêve est idiot ! Il faut que je me rendorme… pour retrouver… la petite brune dont j’ai rêvé l’autre nuit…


Qu’est-ce que c’est que cette sensation mouillée en bas de mon ventre ? C’est à quelques centimètres de moi, mais c’est ma chair quand même. Ma copine me suce ?


J’ouvre les yeux. Il fait noir comme sous mes paupières. Ah ! C’est qu’il fait encore nuit.


Mais ? Elle a attaché mes mains ! Et probablement avec son string, en plus.


Qu’est-ce qu’elle mijote ? Pour ce qui est de m’avoir attaché, je le sais. C’est parce qu’elle veut s’amuser : si les poupées qui parlent font rire les petites filles, ce qui amuse Tina, c’est son homme qui crie de plaisir.

Elle adore que je sois son jouet ! Mais ça n’a rien à voir avec de la domination. Elle veut seulement me soumettre à mes sensations de plaisir, celles qu’elle sait si bien révéler au plus profond de mon ventre et de ma tête.


En attendant, elle m’intrigue : je n’entends que son rire délicieux que j’aime tant. Mais avec sa bouche pleine, cela ressemble plutôt à des gloussements de petite canaille.


Elle savoure sa farce de collégienne. Enfin… Si elle était collégienne, je serais coupable de détournement de mineur, vu l’état de ses bouts de seins, qu’elle frotte sur ma cuisse.


Je marmonne :



Elle m’embouche en secouant la tête, illuminant la nuit de ses rires cristallins.

Elle m’enveloppe à pleines mains et me masturbe tendrement en cajolant de ses doigts coquins mes bourses encore fripées. Les mouvements de sa langue jouant avec mon gland rendent mélodieux ses petits grognements. On dirait qu’elle chantonne.


Elle doit se régaler. C’est même sûr ! Quand je sens qu’elle se trémousse comme ça, la bouche gourmande et les deux mains occupées à bâtir mon érection, c’est qu’elle n’a qu’une envie : être la jolie pâtissière qui ne peut résister à la tentation de mon éclair à la vanille.


Le revers de sa langue sur mon gland… Pffuuu ! J’ai chaud, tout à coup.


Ses mains en nids douillets enserrent mes testicules. Elles sont bouillantes et ce plaisir moelleux rayonne tout autour de mon sexe : dans mes cuisses, tout autour de mes hanches et dans mon ventre.

Ça me donne envie de lui faire partager cette sensation en caressant le petit creux qu’elle a à la naissance des fesses, puis ses cuisses et son cou si grisant. Mais je ne peux pas ! C’est aussi parce qu’elle savait que j’en aurais envie qu’elle a attaché mes mains : il n’est pas question que je lui donne son plaisir, elle me le vole !



oooOOOOooo



Tout en glissant mon membre entre ses seins qu’elle presse l’un contre l’autre, elle lance :



Je sens qu’elle s’excite en pinçant ses mamelons. Elle est trahie par son souffle et par le bruissement des draps qui caressent ses fesses qui roulent. Comme si le timbre surchauffé de sa voix ne suffisait pas à nous enflammer tous les deux ! Elle doit même fermer les paupières à fond, comme pour empêcher son plaisir de s’échapper par ses yeux.

Elle caresse son ventre sur ma cuisse puis elle me ré-enfouit dans sa bouche trempée, brûlante ! Bniiftojkl ! Mes couilles vont éclater.


Et cette nuit noire qui illumine tout ! Je nous vois comme si toute la chambre était tapissée de miroirs, un jour de grand soleil. Ça va trop vite !

J’aimerais avoir le temps de la lécher, de profiter du goût délicieusement vanillé de sa vulve et de ses déhanchements frénétiques, quand je glisse ma langue dans sa vulve ou sur son clitoris. Mais elle m’affole en agrippant mes hanches.

Mon bassin roule vers sa bouche. Je l’étouffe ! Non. C’est elle qui veut se gaver et s’enivrer de moi.


J’ai l’impression qu’elle m’a re-bâti, re-looké ! Je me sens monté comme un grizzli. Elle est ma chasseresse et elle me traque de tous les pièges de ses mains. Ses doigts me harcèlent et m’enserrent : je suis pris dans sa cage. J’ai beau me débattre, agripper sa chevelure, griffer son dos ! Je suis sa proie et je grogne ma colère d’être son trophée de chasse.


À présent, elle me pêche : elle a étalé mon sexe dans sa main ouverte, comme si c’était un saumon couché sur le dos dans le lit de galets d’un torrent et elle lèche ma verge de la tête à la queue.

Je sens d’abord à peine glisser sur ma peau la pointe de sa langue enveloppée de son souffle frais. Puis maintenant, sans retenue, elle inflige la pression passionnée de sa langue trempée et brûlante à tout le ventre de mon membre prisonnier de la paume de sa main !


Elle couine, elle m’enveloppe et je rue ! Je sens à l’intensité de son souffle qu’elle ne se retient plus : fini de jouer. Elle me veut !



oooOOOOooo



Elle s’assoit sur mon pubis et elle frotte son minou trempé contre mon pieu, en disant d’une voix saccadée par les spasmes de son sexe :



En disant cela, Tina enfourche ma jambe et elle torture son entrejambe en l’écrasant sur moi pendant qu’elle reprend mon gland dans sa bouche.

Je sens dégouliner son plaisir sur mon genou. Plus elle m’inonde et plus les mouvements de ses mains s’accélèrent. Plus elle gémit, plus elle m’aspire ! Pourquoi lui résister encore ? Comment ne pas désirer ce qu’elle veut que je lui offre ?


Elle presse mes testicules comme si elle pressait des clémentines. J’ai envie qu’elles soient sucrées pour elle. Tout mon corps est arc-bouté vers sa bouche !


Sa main qui comprime soudain le creux de mes reins allume la dynamite. Pendant un milliardième de seconde, il y a un silence inouï. Comme celui qui précède le claquement du tonnerre.


JE HURLE quand tous mes muscles se tendent vers mon sexe, vers elle ! Tout mon corps éjacule. C’est ma plus belle offrande ! Je râle, la gorge tétanisée par mon orgasme, sans parvenir à crier : « C’est pour toi ! » à chacun des éclairs qui déchirent mon ventre et qui résonnent de ses mugissements sourds et plus affolés, à chaque pression de ses mains qui m’essorent. Comme si elle voulait aspirer tout le plaisir concentré dans chaque giclée de mon sperme pour éteindre le feu qui brûle dans son corps.


Le temps est arrêté. Elle m’étreint si fort, les bras serrés autour de mes hanches ! Elle me porte en vibrant d’ivresse et mon corps ne pèse plus…


Nos respirations ralentissent enfin et elle repose mon corps sur le lit. Je la sais immobile, émue et les yeux mouillés de plaisir.


Le silence nous berce…


Tina se couche contre moi et libère mes poignets. Je glisse mes mains sur ses flancs jusqu’à son cou. Je l’embrasse… Elle m’embrasse… Et nos langues partagent longuement la preuve de notre amour. Puis elle murmure à mon oreille :




RsR