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Temps de lecture estimé : 18 mn
28/06/09
Résumé:  Nos jeux d'un soir en club...
Critères:  fhh fhhh extraoffre boitenuit exhib fellation pénétratio double sandwich -couple+h -boitenuit
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Jeux nocturnes

Plus le temps passe, plus je suis amoureux de ma femme, mon ange (ce qui est normal !) et plus j’ai envie de jouer avec l’adorable démon qui se cache derrière son regard pétillant, son charmant sourire, à des jeux multiples et particulièrement… chauds ! (ce n’est pas forcément anormal !)

D’ailleurs, elle y prend aussi un plaisir certain ! C’est le plaisir d’être unis, ensemble, heureux, amoureux, libres de vivre nos envies, y compris les plus folles, les plus secrètes et les plus… sensuelles, en parfaite osmose.


Je n’aurais jamais cru pouvoir éprouver autant de tendresse, d’amour, de sentiments, de sensations diverses (toujours agréables !) avant de la connaître. Je suis un homme heureux, comblé avec elle et mon unique désir est de la rendre heureuse, elle aussi.


Un homme amoureux, fou de sa si charmante et croustillante épouse, de son corps diabolique et sensuel, de son plaisir affolant. Fou aussi d’admiration, de plaisir lorsqu’elle m’offre de tels instants ! J’éprouve toujours une énorme envie de la prendre dans mes bras, de la caresser, de l’embrasser, de lui faire l’amour et un plaisir indescriptible à contempler son plaisir, à admirer son corps abandonné, offert à des sensations inouïes… Si l’on rajoute à tout cela le piment de nos jeux communs, c’est le Nirvana !


Comme cela nous arrive parfois, nous sommes sortis grignoter dans un petit restaurant lyonnais où Chris a pu déguster quelques pâtes fraîches tandis que nous savourions, le serveur et moi-même, l’agréable vision de son sourire, de sa silhouette, (la petite robe légère, totalement boutonnée devant, indiscrète, qui met en valeur le galbe de ses jambes et dévoile par instant une bien jolie poitrine, libre de tout soutien, lui va à ravir !) ainsi que de son bel appétit.

Le vin aidant, c’est le rose aux joues, les yeux brillants de mille feux qu’elle a attaqué les profiteroles. Au moment du café, je lui ai joué à pile ou face l’endroit où je pourrais lui offrir une goutte de champagne. Comme par hasard, j’ai encore gagné et c’est au « Bambou » que le destin (prémédité ?) nous entraîne. Cela l’a bien fait rire car elle s’y attendait un peu. (Moi, beaucoup plus…)


Est-ce encore le hasard ? Il semble y avoir du monde ce soir en ce lieu voué aux plaisirs de la chair. Tant pis, tant mieux… En attendant, le champagne est frais, l’ambiance quelque peu torride et la musique, pour une fois, pas désagréable du tout.

Déjà, bon nombre de regards se posent sur elle, se faisant brusquement plus curieux lorsque je lui tends un tabouret. Classique car, assise, sa robe se fait un plaisir de découvrir largement deux très jolies jambes et moi un plaisir plus égoïste encore à observer l’attention dont elle fait l’objet. D’ailleurs, si des regards se promènent ainsi sur ses cuisses, j’y pose moi une main caressante car j’adore la douceur de sa peau (et la pointe d’envie que je lis dans les yeux de quelques uns de ces messieurs…)



Proposition malhonnête qu’elle accepte avec son habituel sourire. Nos verres à la main, nous nous faufilons parmi ces braves gens pour rejoindre l’escalier de pierre, non sans qu’elle fasse se retourner sur elle bien des yeux brillants qui suivent la houle de ses hanches, des idées plein la tête.

Enfin le canapé, la table basse et la minuscule piste de danse flanquée de son grand miroir ! Elle se blottit contre moi, mes mains, mes lèvres s’égarent sur elle, sur ses jambes, ses cuisses à nouveau découvertes, ses seins nus sous le léger tissu.



Des silhouettes s’approchent, s’installent sur les autres canapés. Plusieurs se sont arrangées pour la conserver dans leur champ de vision. Il y a même un grand black, assis face à nous, qui la détaille (ou la déshabille…) des yeux en souriant d’un air gourmand.

Chris me prend la main, m’entraîne sur la piste. Les yeux dans les yeux, étroitement enlacés, nous nous offrons quelques instants de pure tendresse. Mais, très vite, nos corps s’éveillent, mes mains glissent sur elle, retrouvent la souplesse de son corps sensuel. Je la sens s’abandonner à des sensations plus charnelles.

Elle se retourne et, dans son dos, j’admire son reflet par-dessus son épaule. Son reflet et celui de mes mains qui, de son ventre, remontent lentement pour s’arrêter sur l’échancrure de sa robe. Dociles, deux petits boutons se laissent gentiment dégrafer, complices, le tissu glisse sur son épaule.

Sous mon regard émerveillé (et plusieurs autres encore que j’aperçois dans le miroir, attentifs, tendus !), deux globes de chair souple, douce, ferme et tendre, aux pointes durcies s’échappent du léger vêtement pour se dresser fièrement et s’offrir aux caresses.


Je sens ses reins onduler contre moi, je ne peux résister à la tentation de laisser une main s’égarer sous sa robe, contourner une hanche ronde pour s’insinuer lentement entre ses jambes, sur une douce toison au creux de laquelle je retrouve un précieux trésor, une perle de chair nacrée à laquelle j’offre mes plus douces caresses.

Elle ondule de plus en plus et, frémissante, s’abandonne au plaisir, offrant aux spectateurs toujours assis ainsi qu’à quelques autres danseurs, le très excitant spectacle de son corps à demi dénudé. Je prolonge ma caresse en lui murmurant que je l’adore, que j’ai très envie d’elle, de son plaisir… En échange de quoi elle m’offre dans un long tremblement un délicieux orgasme qui envahit son corps, illumine son regard de mille paillettes dorées ! Elle est véritablement merveilleuse et cette danse m’a enchanté. Elle se retourne à nouveau avec un très joli sourire, me tend ses lèvres douces et chaudes avant que nous ne retournions vers notre canapé.


Chris trempe ses lèvres dans son verre, allume une cigarette avant de s’adosser langoureusement au fond du canapé. Sa robe encore dégrafée n’a pas retrouvé sa fausse sagesse et l’on peut entrevoir par instant la courbe divine d’un sein très attirant tandis que, jambes croisées, elle laisse nos voisins profiter de ses cuisses galbées, largement découvertes. (Après ce qu’ils viennent d’apprécier, il est bien agréable de profiter de ces regards admiratifs sans aucune gêne, n’est-ce pas mon cœur ? Peut-être même avec une certaine excitation, voire avec quelques envies ou fantasmes ?) Pour ma part, j’avoue que je prolongerais volontiers ces petits jeux et le grand black n’est pas pour me déplaire.


Nos verres sont vides, je lui propose de monter chercher à boire. C’est elle qui veut y aller pour faire un détour par les toilettes. Détour que je lui suggère de prolonger par une petite balade au long des couloirs afin de se faire une petite opinion de la population locale, éventuellement même pour lancer le petit jeu de la chasse ou trouver un cavalier qui l’inviterait à danser et à moi l’occasion de l’admirer tout au long d’une danse… parfois équivoque dans les bras d’un inconnu peut-être entreprenant et audacieux. (Elle est si tentante, que je pardonnerais volontiers son partenaire s’il devait laisser ses mains s’égarer sur les trésors de mon amour !)

Elle a aussi le droit d’abandonner ce petit triangle de tissu que je trouve particulièrement superflu ce soir. (Cela ouvre bien des horizons à mes doigts indiscrets, à ma bouche très gourmande, voire à d’autres encore, inconnus mais qu’elle désire parfois secrètement, inconsciemment et qui se feraient une joie d’honorer sa féminité si désirable.)


Chris m’accorde un long baiser, se redresse pour s’éloigner, la démarche ondulante, avant de disparaître suivie de regards brûlants et de quelques silhouettes masculines qui semblent soudain avoir toutes quelque chose à faire en direction du bar.

Les minutes s’écoulent lentement alors que, dans ma tête les pensées se bousculent et que mon imagination parcourt les couloirs, derrière elle. Que fait-elle ? Est-elle en train de discuter avec le grand black qui est parti juste après elle ? Se promène-t-elle dans les couloirs, jetant un œil curieux sur des ébats bruyants dans une petite pièce ?

Laisse-t-elle plus simplement son voisin plonger un regard curieux et admiratif dans l’échancrure de sa robe en lui demandant du feu tout en prenant plaisir à constater le trouble, les envies qu’elle fait naître en lui ? Se penche-t-elle vers une vitre de l’aquarium où s’enchevêtrent des corps nus ? Peut-être même a-t-elle accepté un verre offert par un inconnu souriant et, assise au bar, le laisse tenter sa chance, glisser une main indiscrète sur la peau nue de ses jambes splendides. Pensées brûlantes et multiples qui entretiennent en moi une excitation grandissante.


Soudain, elle est là à nouveau, près de moi, plus belle et désirable encore que l’instant d’avant ! Je l’aime follement !

Assise, elle attire ma main pour la poser sur ses jambes, m’inciter à remonter plus haut encore jusqu’à frôler un triangle de fourrure brûlante qu’aucun vêtement ne protège plus ni des regards ni des caresses. Nous en rions tous deux alors que je profite de l’occasion pour approfondir ma caresse tandis que mon autre main retrouve le contact soyeux d’un sein gonflé de désir.


Elle ne rit plus, les yeux mi-clos, sa respiration s’accélère. Insensiblement son corps se livre, s’abandonne, ses jambes s’ouvrent lentement et elle recommence à frémir doucement. Sa main se glisse sur moi, ses doigts se crispent sur mon désir. Cette fois, c’est pire que sur la piste de danse ! Je ne résiste pas à l’envie de l’attirer sur mes genoux, face à moi. Sa robe cède sous mes doigts, s’ouvre largement sur son ventre, ses jambes, ses seins sur lesquels je laisse courir mes lèvres tandis qu’elle continue à me caresser, libérant discrètement mon envie. Enfin elle se soulève légèrement avant de s’empaler profondément sur moi, ondulant des reins en gémissant.

Si les inconnus qui nous entourent ne la voient que de dos, ils ne peuvent pas douter de ce qui se passe entre nous. D’ailleurs, sa robe glisse légèrement sur ses épaules lorsqu’elle se cambre en arrière, leur permettant de savourer le balancement sensuel de ses seins nus.

Elle murmure que nous sommes fous mais me laisse relever le tissu de sa robe sur ses reins pour caresser son dos, ses fesses rondes tout en continuant à fouiller son ventre en feu. Elle étouffe un petit cri quand j’atteins sa plus secrète intimité au creux de laquelle mon doigt s’insinue en une lente caresse. Cette fois c’est un incendie général qu’elle vient d’allumer autour de nous, ce qui ne l’empêche pas de laisser monter en elle les ondes du plaisir qu’elle m’offre avec un délicieux sourire. Cette soirée est vraiment dédiée à notre unique bonheur, mon ange… Et nos verres nous paraissent bien frais après de si chauds instants.


Bien courte pause que celle d’une cigarette mais je meurs d’envie de la voir danser et elle accepte gentiment d’exaucer mon vœu. Chris ondule seule sur la piste, souriante, me jetant de fréquents coups d’œil tout en observant les danseurs autour d’elle.

Il y a là le grand black qui vient de se lever pour danser près d’elle et plusieurs inconnus virevoltent en la regardant, espérant peut-être un geste, un sourire de sa part qui les autoriserait à s’approcher.



Le grand black, lui, n’attend pas et vient la frôler avant de l’enlacer sans hésiter. Elle le laisse faire en riant, nous échangeons encore un regard puis elle s’abandonne aux bras son cavalier inconnu. Chris danse vraiment très bien, j’ai même l’impression qu’elle s’applique pour mon propre plaisir, elle est ravissante, et… toujours très désirable !

Je ne suis d’ailleurs pas le seul à être de cet avis, son partenaire profite lui aussi avec un plaisir évident d’une aussi charmante cavalière. Je ne comprends pas ce qu’il peut lui raconter mais cela semble beaucoup l’amuser. (Et j’adore la voir rire !)


La musique change, devient plus chaude, comme son cavalier qui l’attire contre lui. Un nouveau regard entre nous, comme si elle voulait quémander une permission que j’accorde d’un grand sourire… Elle danse maintenant très, très près, une grande main sombre plaquée contre ses reins tandis qu’une autre remonte de sa hanche vers sa poitrine pour se poser sur un sein que je devine déjà frémissant.

Chris ne s’oppose pas à la caresse, semblant même y prendre beaucoup de plaisir et j’en suis ravi. Pendant de longues minutes je contemple le corps alangui de mon amour que les grandes mains noires caressent lentement, glissant même jusque sous son unique vêtement pour flatter sa peau nue.


Envoûtant spectacle, d’un érotisme brûlant dont je profite pleinement en souhaitant qu’elle aussi en éprouve des sensations particulières. Ce qui me semble être le cas car je la vois maintenant onduler contre lui, son ventre contre le sien comme pour éveiller encore plus le désir de l’inconnu d’ébène… Elle laisse même l’une de ses mains se glisser entre leurs deux corps, coquine…

Que fait-elle ? Je parierais volontiers qu’elle prend toute la mesure de la virilité de son cavalier ! Horreur !!! La grande main noire posée sur ses reins vient de glisser au long de sa cuisse, jusqu’à l’ourlet de sa jupe et relève lentement le tissu léger, découvrant la dentelle de ses bas. La main disparaît de ma vue, mais je suis persuadé qu’elle progresse lentement sous le tissu…

Chris se crispe soudain et j’aperçois sa nouvelle cambrure, la poitrine rejetée en arrière, son ventre cette fois semble ouvert à une invisible caresse, elle ferme les yeux. Je suis sûr désormais que la main vient d’atteindre son but et que mon amour laisse faire son agresseur avec un évident plaisir… Il est en train de la violer d’un doigt habile, au milieu de la piste de danse et elle l’encourage d’une ondulation des reins, allant au-devant de la caresse qui soudain la fait vibrer ! (C’est la soirée des orgasmes à répétition me semble-t-il mon ange !)


Mais tout a une fin, la danse aussi et Chris me rejoint, légèrement essoufflée, pour se laisser tomber dans le canapé, se blottir contre moi. Je lui avoue avoir beaucoup aimé cette danse ainsi que l’audace de son cavalier qui me semblait avoir très envie d’elle. D’un air amusé, elle me confirme qu’il avait effectivement une très… grosse envie qu’elle n’a rien fait pour arranger, bien au contraire, reconnaissant même avoir pris beaucoup de plaisir à provoquer ces réactions sachant que je n’en serais pas jaloux.


C’est moi, cette fois, qui l’abandonne pour remonter chercher deux verres. À mon retour, je la retrouve en grande discussion avec le black qui s’est installé à côté d’elle. Chris reprend ma main pour la poser sur sa jambe et la conversation continue, presque innocente.

Hummm… La main noire est-elle innocente, elle aussi ? En attendant j’ai de la concurrence, (ou de l’aide…) car elle est repartie à la découverte d’une peau bien tentante et ce mélange de couleurs, de contacts n’a pas l’air de déplaire à mon adorable démon.


Pire encore, elle nous laisse aller bien plus loin que la décence ne le permet au point qu’à nouveau sa robe largement dégrafée dévoile ses seins ronds, le délicieux compas de ses cuisses fermes sur lesquelles glisse la main noire, atteignant très vite le triangle sombre qui s’ouvre comme une fleur au contact d’un doigt habile.

C’est désormais tout son corps qui frémit sous nos caresses alors que ses mains se posent aussi sur nous dans une lente caresse au travers du tissu qui a bien du mal à contenir nos envies. Je me penche sur elle pour l’embrasser et ce sont mes lèvres qui étouffent son cri lorsqu’elle jouit brutalement, longuement, le corps tendu comme un arc.


De longs instants, Chris reste presque inerte, abandonnée avant de s’ébrouer comme un jeune chien, de ramener le tissu de sa robe sur son corps nu et de m’adresser un joli sourire. Je propose d’aller boire notre verre tranquillement dans un endroit plus intime, le temps d’une pause qu’elle mérite bien. La pièce couverte de miroirs ? La pause risque d’être de courte durée mais la suite me semble très… prometteuse. D’autant que nous sommes un peu obligés d’inviter son voisin de canapé, n’est-ce pas ?



Du fond de mon canapé, je regarde les danseurs sur la piste, les allées et venues des silhouettes d’une salle à l’autre, imaginant par avance ce qui va bien pouvoir se passer sur le grand lit entouré de miroirs dans la petite pièce du fond.

Mon démon adoré va-t-il se livrer totalement à toutes nos envies, ne vivant ces instants torrides que pour notre plaisir commun ? Jusqu’où son audace, sa sensualité et ses désirs la pousseront-elle à aller dans les jeux de l’amour ? Je sais qu’elle aime être admirée, désirée, faire l’amour… Après tout, nous verrons bien !


D’ailleurs elle est de retour, recoiffée, fraîche, attirante et délicieusement excitante sous son léger maquillage. De plus, elle rapporte deux verres tout frais !



Sans répondre, elle part devant moi, accentuant encore plus que nécessaire le balancement voluptueux de ses hanches. Je suis presque sûr que ce n’est pas moi qu’elle provoque ainsi mais ces inconnus dont elle doit sentir les regards brûler ses reins, ses jambes…

N’éprouve-t-elle pas un petit picotement au bas du dos, une chaleur nouvelle au creux de son ventre, une excitation particulière qui fait battre son cœur plus vite, plus fort ? N’imagine-t-elle pas parfois tous les jeux auxquels elle pourrait se livrer avec un tel choix de volontaires en tous genres ? (Car, elle le sait maintenant, dans ce style d’endroit, c’est le choix féminin qui reste la règle absolue.)


Nous voici enfin au bord du grand lit bas. Elle s’allonge à demi, en appui sur une pile de coussins avant d’allumer une cigarette et de boire une gorgée de champagne frais. Assis à ses pieds, je caresse ses jambes, profitant de cet instant de calme très agréable. Calme de courte durée, une silhouette se dessine dans l’encadrement de la porte… s’immobilise un instant avant de repartir. (Nous sommes trop sages pour lui, me semble-t-il !)


Commence alors un bizarre et incessant ballet de curieux qui arrivent et repartent en silence. Étrangement c’est Chris qui entame le jeu. Lentement, elle se redresse en souriant. À genoux au centre du grand lit, dans la lumière tamisée d’un petit spot, elle pose ses mains sur sa robe, longeant ses cuisses, ses flancs, remontant sur ses seins en une longue caresse au travers du tissu qui épouse sous ses doigts les courbes affolantes de son corps sublime.

Bien que je connaisse par cœur la moindre parcelle de sa peau nue, je reste subjugué par ce spectacle qui ne laisse que deviner sa beauté.


Elle est vraiment très excitante ! Je ne la quitte plus des yeux, suivant le jeu de ses mains qui continuent à glisser sur son corps. Son regard pétillant se plante dans le mien, brûlant, puis s’accroche à son reflet dans les miroirs qui l’entourent, admiratif avant de se tourner, provoquant, vers trois ombres immobiles près de la porte. Comme moi, les inconnus l’admirent en silence.

L’atmosphère est tendue, chargée de sensualité, d’érotisme et de désirs de toutes sortes… Les seuls mouvements dans cette pièce sont ceux de ses mains qui entraînent avec elles quatre regards masculins tout au long de leur promenade sensuelle.

Encore à genoux, assise sur ses chevilles, le corps légèrement cambré en arrière faisant saillir sa poitrine, elle poursuit son petit jeu. La tension monte d’un cran lorsque le tissu glisse sur ses jambes, découvrant très largement deux cuisses galbées et musclées tandis que ses doigts jouent avec les petits boutons qui ferment le haut de sa robe.


Pas très résistants, les pauvres… Ils cèdent lentement, laissant son décolleté s’évaser sur la peau soyeuse de deux seins ronds qui n’attendaient que cet instant pour s’offrir à la caresse de nos regards et de ses mains douces.

Comment s’appelle ce petit jeu ? Ce ne serait pas du « pousse au viol » par hasard ? Car, vu l’état de ma virilité, j’imagine aisément à quel niveau en sont les spectateurs inconnus, toujours immobiles à côté de moi… Elle court des risques mon amour, surtout parce que, en cas d’assaut, je serais obligé de faire partie des… attaquants et je la violerai avant les autres !

Malgré mon avertissement, Chris persiste ! Elle s’amuse à nous provoquer plus encore. Les mains caressant toujours ses seins, elle se cambre, le ventre en avant puis se laisse aller en arrière pour s’allonger sur le dos, les yeux vers le grand miroir servant de plafond qui lui renvoie non seulement son image, mais aussi celle de ses admirateurs, toujours très attentifs.

Ses jambes légèrement fléchies s’ouvrent imperceptiblement, laissant deviner un charmant triangle sombre que ses doigts effleurent comme un bijou fragile. Abandonnée ainsi, le compas de ses jolies jambes ouvert sur une affolante toison brune, les seins saillants, le corps vibrant sous ses doigts, les yeux mi-clos, elle est véritablement démentielle (pour ne pas dire band…. !) et je n’y tiens plus !


Penché sur elle, je laisse courir mes mains sur son corps, ses seins, ses cuisses et pose mes lèvres sur sa peau, à la limite de cette douce fourrure que j’adore avant de flatter du bout de la langue une perle de nacre qu’elle m’accorde cette fois totalement, largement, impudiquement ouverte à ma caresse, livrée au plaisir, à ma bouche et aux regards des trois hommes qui ne perdent rien du spectacle de mon ange, de mon démon.

Je la dévore, la caresse, faufilant une main entre les globes charnus de ses fesses rondes, violant d’un doigt ses reins ondulants. Chris halète maintenant, murmure des mots sans suite, gémissante, frémissante… Brusquement, elle sursaute, se raidit légèrement, attirant mon attention.

Ce qui n’était pas nécessaire car j’avais déjà vu son cavalier de tout à l’heure s’approcher et s’asseoir à côté d’elle. Ses grandes mains noires courent sur ses seins dénudés, en agaçant les pointes durcies de désir.


D’une pression des mains sur ses jambes, je l’incite à se laisser aller, dévorant toujours son ventre brûlant. Elle s’abandonne à ces plaisirs inconnus et je peux voir maintenant un visage sombre penché sur sa poitrine, déguster ces fruits délicats. Elle murmure, gémissante :



Petite phrase anodine qui nous encourage à aller plus loin encore. Une main noire vient remplacer ma bouche. Avant de me redresser pour poser les lèvres sur ses seins, je vois les longs doigts sombres investir son ventre pour prolonger son plaisir.

Spectacle sulfureux que je ne peux m’empêcher de savourer avant de plonger vers sa poitrine frémissante. Tout en la caressant d’une main, le grand black dégrafe son jean. Chris avait raison, après la danse : il s’agit bien d’une très grosse envie !


J’avoue que j’en serais presque jaloux car c’est impressionnant. D’ailleurs elle est en train de s’en apercevoir et, après m’avoir adressé un regard brillant, laisse aller une main vers le pieu fièrement dressé. Elle referme les doigts autour de la colonne de chair noire alors que la main de son partenaire fouille délicatement son ventre et que j’aspire doucement la pointe d’un sein tiède.


Jaloux, je ne tarde pas à être dans la même tenue que mon adversaire (Pas tout à fait adversaire, je dirais plutôt complice…) et Chris s’empare de mon sexe d’une main gourmande. Caressante, caressée, elle ondule devant nous, nous donne maintenant tout son corps, sa tête, son cœur, livrée entièrement aux plaisirs de l’amour, à nos caresses, nos regards, nos sourires.

Enfin, elle étouffe un cri, le plaisir l’envahit dans une grande vague de jouissance. Quelques secondes de calme nous permettent d’adoucir nos caresses, de nous libérer de ses mains, très douces mais trop affolantes.


Doucement, son corps s’anime à nouveau. Son cavalier et moi sommes allongés à ses côtés. (C’est bien plus confortable !) Elle nous adresse un joli sourire et quelques mots :



Ce n’était pas forcément nécessaire, vu notre état mais c’est toujours très agréable. Ses caresses sont tout de même trop hard, il n’est plus question de résister longtemps à nos propres envies. Les mains sur ses hanches, je l’incite à se tourner vers le grand black encore allongé, le ventre surmonté d’une colonne de chair fièrement dressée dont ses doigts longent la tige monstrueuse, découvrant un gland rond, luisant, énorme.


Lentement Chris penche la tête en avant, frôlant le pieu frémissant de ses lèvres avant de lui offrir sa bouche brûlante en une caresse folle… Son beau visage déformé par la colonne de chair sombre est d’un érotisme à couper le souffle ! Elle aspire langoureusement la chair offerte comme si elle voulait le vider de son plaisir. Une légère poussée de mes mains sur ses reins la décide à enjamber le corps musclé et à t’empaler lentement, profondément sur le sexe palpitant qui emplit doucement, totalement son ventre en folie, lui arrachant un gémissement rauque lorsqu’elle le sent l’investir, distendre sa chair brûlante.

Il l’emplit entièrement, butant au fond de ses chairs bouleversées. Elle entame alors une danse lascive, oscillant des reins, du ventre sur ce pieu énorme qui fouille son corps à chacun de ses mouvements. Brusquement, elle se met à crier :



Le grand black tient ses hanches et s’enfonce en elle à grands coups de reins. Je m’approche au-dessus de lui, mon sexe frôle les lèvres de Chris. C’est elle qui me dévore alors que, dans son ventre va-et-vient la longue et grosse queue noire qui lui arrache de petits cris à chaque poussée en avant.


Je caresse ses cheveux, ses épaules nues tandis que le black pétrit doucement ses seins qui oscillent comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis. Je me baisse un peu, ce qui l’oblige à se pencher sur le torse de son partenaire. Mes mains atteignent les hanches rondes, la croupe cambrée au-dessus de son amant d’un instant. Doucement, je sens Chris s’ouvrir sous mes doigts, son ventre investi, ses lèvres glissantes sur mon sexe, ses reins semblent réclamer l’ultime caresse.


Mais, mes mains abandonnent sa peau… remplacées par deux autres dont je ne connais pas le propriétaire. Il me semble faire cela aussi bien que moi si j’en crois la nouvelle cambrure des reins de Chris. Je l’avais prévenue, elle court des risques… mais je crois que c’est désormais un peu tard pour reculer devant le danger et échapper à l’homme qui vient de s’approcher dans son dos.

Le black fiché dans son ventre l’a repéré aussi et nous n’avons pas l’intention de la laisser se sauver. Il tient fermement mon amour empalé sur lui tandis que l’inconnu derrière elle libère un sexe qui n’a rien à nous envier, vu sa taille et son état. Il frôle ses reins, se penche en avant.

Ses mains caressent les fesses rondes, écartent les deux globes soyeux entre lesquels sa langue vient fureter, à la découverte de l’orifice le plus secret de mon ange. Un long frisson parcourt le corps de Chris lorsqu’il atteint son but, vrillant à petits coups de langue la rosette sensible. C’est un doigt habile et souple qui s’insinue en elle lui arrachant un petit cri.

La caresse se prolonge quelques secondes, accroissant les ondulations des reins de Chris… Puis l’homme se redresse, Son membre raide et palpitant remplace sa langue, joue à glisser sur la chair humide. À ce contact, la peau de Chris se couvre d’une chair de poule annonciatrice de plaisirs sublimes. Sous mes yeux ravis, je vois le gland décalotté, luisant sous sa pellicule de caoutchouc, forcer lentement ses reins pour disparaître, s’enfoncer en elle, allant buter contre le pieu qui vrille toujours son ventre.

Il s’immobilise un instant puis entame enfin un lent va-et-vient. Chaque poussée en avant, au creux de ses reins, la fait basculer un peu plus sur l’énorme sexe planté dans son ventre et sur mon sexe qui se laisse dévorer avec un infini plaisir. Livrée ainsi aux assauts de ses trois amants, Chris gémit de plus en plus fort avant de jouir dans un long cri, le corps tétanisé par le plaisir. C’est l’instant que nous choisissons pour éclater en elle !


Commence alors un ballet fou et délicieux où nous lui offrons tour à tour des positions, des sensations et des jouissances aussi diverses que délicieusement excitantes. Je ne décrirai pas les plaisirs multiples auxquels elle a pu goûter tout au long de cette soirée… On verra plus tard !


Sauf pour ces tendres instants que nous avons passé ensuite, seuls, enlacés et heureux. Repue, comblée, heureuse, elle m’a alors offert un cadeau unique : son véritable amour, souriant, délicat, tendre… et plus encore !