n° 13343 | Fiche technique | 10628 caractères | 10628Temps de lecture estimé : 8 mn | 29/06/09 |
Résumé: Rencontre avec une femme en pleurs. | ||||
Critères: fh inconnu fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus -occasion | ||||
Auteur : Gribouille Envoi mini-message |
Concours : Sexe brut |
Tout à coup, je la vois là, devant moi. Ses traits sont crispés par la douleur et elle pleure. De grosses larmes n’arrêtent pas de rouler sur ses joues. Mes yeux accrochent les siens, elle s’approche de moi, m’enserre de ses bras et pose sa tête sur mon épaule. Moi, je me sens tout bête, les bras ballants. Et vous ? Une inconnue en pleurs vient se coller contre vous, comment réagissez-vous ?
Ses larmes ruissellent dans mon cou et, sous la chemise, commencent à me chatouiller en cascadant sur ma poitrine. Inconsciemment mes mains remontent dans son dos et je la serre contre moi, lui tapotant l’arrière de l’épaule dans un geste illusoire de consolation. Jusqu’alors très calme, elle commence à sangloter. Tout son corps se met à vibrer de hoquets qu’elle accompagne de petits gémissements rythmés.
Je ne peux pas supporter une femme qui pleure ! Je lui murmure des petits « allons ! allons ! » ridicules et je lui caresse le dos. Elle porte, à même la peau – je le sens immédiatement – un gilet de laine fine très douce. J’ai l’impression que le mouvement de mes mains calme ses sanglots. J’amplifie mes gestes jusqu’à atteindre sa ceinture et, sans véritable volonté de ma part, en remontant, ma main passe en dessous du vêtement et caresse directement sa peau.
Elle est chaude, douce. Je sens sous les doigts rouler des petits muscles en synchronisme avec ses hoquets. Je masse délicatement tout ce dos qui m’est offert, n’étant arrêté que par l’attache du soutien-gorge sur laquelle je passe et repasse comme si elle n’existait pas.
La sensualité de cette caresse n’est pas sans provoquer en moi un certain émoi qui se traduit par un gonflement affirmé du côté de mon entrejambes. Je ressens d’autant mieux ce début d’érection que le petit ventre rond de la femme est collé dessus et que chaque hoquet provoque une contraction qui vient participer au développement du phénomène.
Bien qu’elle n’ait pas pu ne pas se rendre compte de la « chose », elle n’a aucune réaction. Ses larmes sont toujours intarissables – j’ai maintenant le torse complètement trempé – et elle continue de gémir doucement. Je me demande bien comment je vais me sortir de cette situation gênante…
Cependant, progressivement, les ondulations de son ventre ne sont plus dues uniquement à ses hoquets. Tout en continuant ses gémissements, elle commence, en se frottant consciemment, à participer à mon « épanouissement » personnel. Puis elle se tourne légèrement de façon à permettre à sa main gauche de venir vérifier que mon engin est bien susceptible de devenir opérationnel. Évidemment, c’est le moment pour moi d’empaumer délicatement son sein gauche. Et, comme la dame a l’air d’apprécier, j’en profite pour dégrafer le soutien-gorge et passer ma main dessous pour caresser un sein mignon à la pointe tendue de désir.
La réaction ne se fait pas attendre : la dame ouvre ma braguette et empoigne mon épieu bien tendu au travers du slip. Mais, ce faisant, elle pleure de plus belle et garde toujours sa tête enfouie contre mon épaule.
L’excitation me gagne et ma main abandonne le sein pour descendre vers le ventre et la hanche. Mon inconnue porte une jupe assez large dans le même lainage que le gilet. Après la hanche, ma main descend jusqu’au genou pour remonter sous la jupe. La peau de ses cuisses est tout aussi douce que celle de son dos, c’est vraiment un plaisir sensuel que d’en ressentir la chaleur et l’élasticité. Ma partenaire n’a toujours aucune réaction quand j’atteins son ventre et sa petite culotte. La seule preuve de son acceptation c’est qu’elle se détache très légèrement de moi pour laisser un peu plus d’espace aux mouvements de ma main.
Malgré son apparente indifférence, elle n’est pas restée inactive de son côté. Sa main a réussi à s’insinuer à l’intérieur de mon slip et a empoigné mon sexe. Pour le moment elle se contente de le serrer convulsivement en écho des mouvements de ma main sur son ventre.
Et justement, celle-ci est partie en exploration. Hmm ! Un gentil petit ventre rond, confortable, barré par l’élastique d’une culotte qui semble, au toucher, être en dentelle fine. Mes doigts palpent, au travers, un mont de Vénus proéminent et atteignent l’entrejambes.
À ce moment la dame se met complètement de côté de façon à me laisser libre accès à tout son ventre. Avec mes deux mains, j’attrape la culotte et la descends jusqu’aux genoux. Je sens alors ses jambes onduler et j’imagine qu’elle a fait glisser la culotte jusqu’aux pieds puisque, du coin de l’œil, j’aperçois une chaussure qui la jette un peu plus loin sur le sol.
J’ai maintenant une main sur ses fesses et l’autre dans sa toison tandis qu’elle commence à me branler tout en pleurant. Je glisse un majeur péremptoire entre les lèvres de son sexe.
Ouh là là ! C’est encore plus mouillé que ses yeux ! Je progresse doucement d’avant en arrière, flattant les petites lèvres déjà tuméfiées, explorant l’entrée du vagin, puis je reviens décapuchonner un clitoris turgescent et d’une sensibilité extrême. Dès que je le frôle, voilà les genoux de ma compagne qui se dérobent et je dois la rattraper vivement de mon bras gauche.
Elle, elle gémit. Je ne suis pas sûr que ça soit déjà de plaisir, mais la tonalité a changé. Elle a toujours la tête penchée sur mon épaule et ses yeux sont fermés. Mais, par contre, avec ses deux mains, elle a dégrafé ma ceinture, ouvert mon pantalon et baissé mon slip. Et maintenant une main me branle avec une grande douceur et l’autre me soupèse les testicules.
J’imprime un mouvement de va-et-vient à ma main droite qui a maintenant trois doigts en elle et j’excite son clitoris avec la base de mon pouce. Elle se balance pour accompagner le mouvement. Comme un enfant qui finit de se consoler, elle joint maintenant des reniflements sonores à ses gémissements, mais je sens toujours des pleurs qui coulent sur mon épaule !
Ma main gauche s’insinue entre ses fesses et vient prélever un peu de sa liqueur pour lubrifier le petit trou que je caresse avec beaucoup de douceur. Après que, sous l’effet de l’attouchement, il se soit contracté violemment, je sens le sphincter qui se relâche peu à peu et, progressivement, j’arrive à y faire pénétrer le bout de mon index. L’effet est surprenant : elle ouvre en grand la bouche pour pousser un grand cri, elle est saisie d’un immense frisson qui lui fait vibrer tout le corps et, brutalement, ses jambes se dérobent sous elle.
Il ne m’est plus possible de la retenir et je l’accompagne jusqu’au sol où je l’allonge doucement. Son orgasme se prolonge, presque aussi bruyamment, le cri est devenu une plainte continue qui n’est interrompue que par les grands frissons qui lui parcourent le corps. Et ça dure ! Et ça dure ! Elle est allongée, la bouche ouverte et ses yeux fermés laissent toujours échapper des flots de larmes.
Tout à coup, elle s’interrompt brutalement, ouvre les yeux et me regarde, accroupi à côté d’elle. Elle roule sur le côté, se redresse, baisse mon pantalon et mon slip jusqu’à mes genoux, puis, me prenant par les épaules, me force à m’allonger. Elle se couche à moitié sur moi et commence une fellation.
Avez-vous déjà subi une fellation par une femme qui pleure à chaudes larmes ? Non ? Alors, essayez… Ça vaut le détour ! Vous avez l’impression qu’il y a plusieurs langues sur vous. C’est mouillé partout ! En tombant sur le bas ventre ou le haut des cuisses, chaque larme vous procure un petit frisson. C’est génial !
En plus, mon inconnue est une technicienne émérite de la caresse linguale. C’est chaud, c’est doux, mais sacrément efficace ! Mmmm ! Quand j’y repense, j’en suis encore tout émoustillé…
Telle qu’elle s’est couchée, j’ai son derrière au bout de la main droite. En me tordant légèrement, je peux de nouveau glisser mes doigts dans sa raie. Elle se soulève légèrement pour me faciliter la tâche et j’en profite pour l’amener vers moi et placer ma tête entre ses genoux. Je vais enfin goûter sa saveur et respirer son odeur.
Quel délice ! C’est sucré comme du sirop avec juste une petite pointe d’amertume pour donner du caractère. Je le répète, c’est un vrai délice ! Pendant que ma langue explore son intimité, ça me coule dans la bouche. Je m’attarde sur ses nymphes, je sens à ses réactions qu’elle y est très sensible et qu’elle apprécie particulièrement la caresse. Chacun de mes coups de langue provoque une réaction de tout son corps, en particulier de sa bouche sur ma verge. La sensation est exquise !
Puis je pars à l’attaque du clitoris. Wouah ! J’ai l’impression d’avoir mis la langue dans une prise de courant tant la réaction est violente : tout son corps se tend et elle s’écroule sur moi. Bien entendu, je perds le contact avec le bouton… mais le plus agréable, c’est que mon gland se retrouve tout au fond de sa gorge. La sensation est formidable, mais trop courte, malheureusement, car elle se désempale très vite en toussant. Du coup, elle est reprise par des sanglots qui recommencent à la secouer…
Je la retourne et la couche sur moi. Ça y est ! Elle repose sa tête sur mon épaule et continue de sangloter. Mais, comme si le bas de son corps était autonome, son ventre ondule, ses hanches se balancent et son puits d’amour part à la rencontre de mon épieu dressé. Elle se soulève légèrement, puis s’enfonce fermement dans un immense soupir.
Mmmm ! C’est bon ! C’est doux ! C’est chaud ! Je suis pris dans un fourreau qui glisse et se resserre. La caresse est enveloppante, le plaisir irradie, c’est la volupté absolue…
Elle se redresse et entreprend une danse de plus en plus rapide. Je vois enfin son visage, ses yeux fermés bouffis de larmes et sa bouche ouverte sur un cri en gestation. La pointe, turgescente de plaisir, de ses seins libres, dessine des huits dans le lainage qui les couvre. Attirées, mes mains remontent de ses fesses pour les attraper, les presser, les faire rouler entre mes doigts. Tout son corps semble alors pris de frénésie.
Tout à coup, elle imprime à ses hanches un léger mouvement circulaire qui me fait tourbillonner dans son ventre. Je sens mon gland entraîné, caressé à une vitesse folle par la muqueuse humide. C’est extraordinaire ! Je n’y tiens plus, ma volonté est annihilée, j’éjacule à longs traits, presque douloureusement. À ce moment, le cri qu’elle portait en elle surgit de sa gorge. C’est un hurlement long, qui donne le frisson, porteur de toutes ses émotions.
Sans attendre, sans même me regarder, elle se relève et me tourne le dos. D’un tour de main rapide, elle agrafe son soutien-gorge. Elle ramasse sa culotte et l’enfile prestement, puis s’en va, sans se retourner.
Encore hébété, assis sur le sol, appuyé sur un coude, je la regarde partir.
Elle est toujours secouée de sanglots…