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Temps de lecture estimé : 7 mn
05/07/09
Résumé:  Vacances en Normandie où un dragueur voyeur se fait prendre à son piège pour notre plaisir.
Critères:  fhh couplus vacances intermast fellation sandwich confession -totalsexe -camping
Auteur : Bichon2  (Bichon)
Sieste crapuleuse

Sieste Crapuleuse



Souvenirs de vacances, de jouissance partagée en cette période estivale où je découvrais une autre facette de ma compagne, transformée par la chaleur de cet été passé sur la côte normande.


Nous étions partis en canadienne trois places dans un camping de Jullouville, lieu choisi pour son animation et la proximité de la plage. Véro me cédait tout, c’était une compagne attentionnée qui ne se faisait prier que quelques minutes pour connaître, en ma compagnie de nouvelles sensations. Elle savait faire en sorte que ses envies deviennent les miennes.


Nous avions pris l’habitude d’effectuer une sieste, souvent coquine en début d’après-midi avant d’aller à la plage. Nus sur nos duvets, nos mains erraient sur nos corps et bien souvent sa bouche venait boire mon sperme. C’était une reine en fellation, souvent je la pénétrais de deux doigts en lui parlant de triolisme, je désirais la voir sucer un homme tout en la caressant, la butiner, bref je fantasmais d’une partie à trois mais elle refusait de se partager.


Durant ces vacances nous avons fait la connaissance d’un garçon de 19 ans et de sa sœur. Nous passions les journées ensemble, à la plage ou dans le camping, les intentions de Laurent étaient claires ; se faire le plus de filles possible.


Mes mains glissaient des fois sur la poitrine de sa sœur, devant ma puce qu’un début de relation lesbienne avait émoustillée, (caresses mutuelles sur la poitrine nue d’une copine mais elle n’avait pas osé franchir le pas étant adolescente au moment des faits). Je pense que cela nourrissait encore ses fantasmes même si elle s’en défendait.


Un jour, une brouille passagère nous opposa en présence de Laurent et d’un groupe de jeunes. Véro partit réfléchir un peu plus loin dans les rochers et j’aperçus Laurent la suivre, flairant certainement le bon plan pour la draguer, tandis que je décidais de rentrer à la tente pensif.


Une petite heure après, elle revint, calmée, et nous nous réconciliâmes rapidement. Je la questionnai sur la présence de mon rival et elle m’avoua qu’il avait essayé de l’embrasser, en la consolant dans ses bras, mais qu’elle avait résisté pour ne pas tomber dans ses filets. Elle m’avoua avoir senti ses mains se promener lentement de ses cheveux au bas de ses reins, serrant sa joue humide de tant de larmes contre son torse nu et qu’elle avait apprécié être réconfortée de la sorte.


Nous fîmes l’amour en redoublant d’intensité, ma puce se donna les yeux fermés. Peut-être imaginait-elle baiser avec Laurent !


Véro avait réveillé mon envie de la voir se donner à un autre ce qui décupla ma jouissance. J’imaginais les surprendre en train de baiser en cachette, m’approcher doucement pour mater puis me faire sucer, partager le corps de ma puce. Ce corps si ferme, ses petits seins aux pointes si souvent dressées, son chaton châtain clair que je taille au gré de mes envies ; en forme de cœur, triangle, ou en simple filet de poils.


Notre jouissance fût totale puis nous nous sommes apaisés, nus sur nos duvets, un mouchoir sur le sexe.


La soirée se passa tranquillement au bord de l’eau en présence de Laurent, conscient que Véro n’entrerait pas dans son tableau de chasse. Elle se baladait avec sa jupette d’été et son tee-shirt ample, n’ayant pas de soutien-gorge comme à son habitude en vacances.


Assis sur la plage, genoux repliés, nous avons parlé de tout et de rien, de fidélité, d’amour et de nos siestes nus sous notre tente. J’ai croisé le regard de notre compagnon qui tentait de mater, mine de rien, les seins de ma douce par l’échancrure de son tee-shirt. Je l’ai laissé se rincer l’œil un moment puis un léger sourire lui fît comprendre qu’il était démasqué.

Ma puce, pas dupe de son manège, se colla contre moi lui montrant qu’elle « m’appartenait ».


Le lendemain durant la sieste, nus main dans la main, nous avons senti une présence à proximité de la tente. Nos yeux se croisèrent et je sentis sa main me serrer, je lui fis signe de se taire, des vacanciers passant souvent à proximité.


La fenêtre protégeant la moustiquaire ainsi que la fermeture intérieure de la Canadienne étaient restées ouvertes, nous apportant un peu d’air. La porte s’assombrit doucement, puis la silhouette de Laurent se dessina derrière la moustiquaire. Ma puce voulut lâcher ma main pour cacher son corps mais je la maintenais fermement.


Allongés, nus sur nos duvets, nous offrions l’air de rien nos corps à ce voyeur que décidément rien n’arrêtait. Lorsqu’il aperçut notre regard posé sur lui, il s’excusa de sa curiosité et c’est le moment que je choisis pour lui dire d’entrer par la porte de gauche (côté Véro bien sûr). Elle me regarda avec des yeux sévères, ne s’attendant pas à ma réaction, lui, hésita puis ouvrit lentement la fermeture, pénétra à nos pieds et referma la glissière.


Ma puce, obligée de replier ses jambes pour lui laisser de la place à ses pieds, cacha son sexe de sa main gauche. Il était vêtu d’un maillot de bain et d’un tee-shirt. Il observa nos corps dévêtus et ne savait comment réagir, pris à son propre piège.


Je l’ai invité à se dévêtir pour se reposer en notre compagnie, prétextant qu’il serait plus à l’aise et qu’il n’y avait pas de raison pour que lui soit habillé. Il se mit nu en observant le corps de ma Puce, son sexe prenait de l’ampleur sous notre regard. Je lui désignai la place à la gauche de ma puce, argumentant que sa taille (1m 55) la gênerait moins par les piquets centraux de la tente… Elle dévoila sa lune en utilisant ses mains pour se déplacer au milieu de la tente et plia légèrement les jambes afin de le laisser passer. Elle me reprit la main et plaça l’autre le long de son corps.


Lorsqu’il s’installa, son corps frôla celui de ma douce, sa bouche effleura son sein gauche. Les yeux de ma mie tentaient d’apercevoir le sexe inconnu de notre hôte qui de son côté ne s’était pas gêné pour féliciter Véro de la beauté de son corps, avant de se dévêtir.


Nous nous sommes recouchés sur le dos, puis le calme est revenu dans la tente, avec beaucoup d’hypocrisie, chacun espérant de l’autre une initiative, ne sachant que dire. Nos bras se touchaient le long de nos corps mais je ne savais pas si Laurent tenait la main de ma compagne. Je sentais son regard omniprésent sur ses seins, qui d’ailleurs dardaient d’excitation, ce qui eut pour effet de me faire bander.


Me positionnant de côté, je m’aperçus que je n’étais pas le seul dans cet état. Laurent me supplia du regard de l’autoriser à laisser vagabonder ses mains sur Véro. Faussement contre cette présence nue à ses côtés, elle fermait les yeux, les bras le long du corps, les tétons sortis et les jambes légèrement ouvertes de part et d’autres du piquet.


Il se positionna de côté à son tour, ce qui eut pour effet de mettre son sexe au niveau de la main de ma dulcinée, qui tourna le visage vers moi en ouvrant les yeux. Je lui fis un baiser, signifiant mon accord pour satisfaire nos envies tandis que ma main droite glissa sur sa fleur humide de s’être ainsi exhibée. Elle n’opposa aucune résistance lorsque la main de Laurent se posa sur son ventre, malgré un petit frisson d’angoisse.


Timidement, elle prit le sexe de notre ami dans sa main tandis que celui-ci prenait possession de son corps, caressant doucement ses seins, descendant vers son ventre, vers ses cuisses entrouvertes avant de revenir faire rouler la fraise de son téton entre ses doigts. Elle se contentait de tenir nos pénis entre ses mains, sans mouvement.


Continuant mon œuvre, je lui ai écarté les jambes pour faire apparaître sa moule ruisselante et permettre à notre hôte de se régaler de la vision de ce nid d’amour. Je la branlais doucement, passant de son clitoris à son vagin sous l’œil intéressé de mon complice qui lui mordillait le sein gauche, la main à proximité de sa chatte, attendant son tour. Sitôt la place libre, il la pénétra de deux doigts profonds qu’il mit en mouvement lentement, tournoyant entre ses lèvres gonflées pendant que ma puce se délectait de la cyprine recueillie sur mes doigts. Elle fut prise de contractions, souleva ses fesses vers la porte, prise d’un orgasme qu’elle taisait en raison du lieu.


Elle jouit rapidement puis se retourna vers moi pour m’embrasser avec fougue. Elle se mit en chien de fusil, cuisse gauche relevée, pour mieux lui offrir sa moule. La main de Laurent caressa ses fesses et se faufila entre ses cuisses. Il se colla à elle pour lui faire sentir son désir, caressant son chaton et l’intérieur de la cuisse.


L’étroitesse de la tente nous obligeait à rester collés à son corps, sa bouche entrouverte, ses seins érigés, son minou détrempé, n’attendaient que les caresses de nos mains, de nos bouches ou de nos sexes.


Laurent s’allongea, la positionna à genoux sur sa bouche pour sucer sa chatte tandis que je me délectais du spectacle, flattant son corps. Elle se pencha, goba sa queue, et entama un 69 sous mes yeux. Elle me regardait amoureusement et comprit mon excitation lorsqu’elle vit mon érection. Il lui écartait les fesses, lapant sa chatte, insinuant sa langue dans son anus, intrusion qu’elle me refusait d’ordinaire. Je me mis à genoux au niveau de sa bouche caressant son dos, ses cheveux et elle vint nous sucer à tour de rôle comme une vraie furie affamée de sexe.


L’obligation de discrétion augmentait la tension sexuelle de cette étreinte inhabituelle et très chaude. Je l’ai positionnée enfin en levrette devant moi, elle prit la queue de Laurent, à genoux, dans sa bouche et reçut ma queue dans son antre. Nous fîmes un acrobatique sandwich, le double toit de la Canadienne oscillait et de la voir ainsi pénétrée était jouissif.


Nous éjaculâmes en elle, le sida n’étant pas aussi répandu à cette époque. Après nous être essuyés, nous avons enfilé nos maillots de bains et nous sommes partis nous baigner, toutes tensions disparues et le plaisir d’avoir découvert une nouveauté ensemble.


La soirée fut chaude, mais seulement à deux car seul l’imprévu nous excitait, bien que notre conversation de la veille fût volontairement orientée. Depuis plus de 15 ans, je repense à ces vacances et si tu lis ces lignes, Nickie, sache que je regrette de t’avoir laissée tomber, tu es toujours présente dans mes pensées, comme je te le disais, tu étais mon port d’attache.