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n° 13353Fiche technique19855 caractères19855
Temps de lecture estimé : 12 mn
13/07/09
Résumé:  Ma rencontre dans un camping avec une femme pulpeuse aux formes plus que généreuses...
Critères:  fh gros(ses) grosseins groscul vacances plage douche fellation pénétratio fsodo uro confession -attirgros
Auteur : L'homme heureux
Sonia - La grosse du camping

C’est l’été et il s’annonce chaud ! Alors laissez-moi vous raconter, avec le maximum de détails dont je me souvienne, une aventure qui m’est arrivée l’été dernier, dans un camping.



L’été dernier, j’étais devenu célibataire après une histoire compliquée avec une superbe nana (trop belle pour moi ?) que j’aimais vraiment ; mais notre aventure de douze mois s’est mal terminée : elle m’a plaqué comme un con.


J’avais donc envie de me changer les idées durant mes congés annuels de juillet ; mes finances ont opté pour le camping que je ne pratiquais plus avec mon ex, car elle préférait le confort des hôtels.


Me voila ainsi en solitaire dans un camping, choisi volontairement petit car je les trouve plus sympa.

Dès le premier jour, j’avais repéré une fille assez forte ; en réalité, je sais que le terme n’est pas joli, mais tout le monde dirait « une grosse » (ce n’est pourtant pas péjoratif) et elle l’était… et l’assumait.


Effectivement, cette fille de seulement 22 ans, prénommée Sonia, ne mesurait pas plus d’un mètre soixante, un mètre soixante-cinq, alors que son poids devait avoisiner les cent kilos. Bien sûr, il n’est pas rare de croiser des femmes rondouillardes. Toutefois, cette fille-là ne laissait pas indifférent la plupart des vacanciers du camp : cette (fausse) blonde aux larges fesses qui coulaient vers de grosses cuisses, présentait une des plus grosses paires de seins que j’ai jamais vues.


Sonia avait du charisme et savait en jouer. Son visage, bien que bouffi, était splendide et vraiment photogénique : un ange ! Ses traits étaient doux, ses yeux d’un vert très clair couvraient une bouche pulpeuse, mais pas vulgaire. En outre, elle était toujours souriante et avait l’habitude de regarder les gens dans les yeux : elle impressionnait et séduisait.

Par ailleurs, lors de ses déambulations dans le camping, elle se tenait droite et s’amusait à bomber bien volontairement sa monstrueuse poitrine vers l’avant pour l’afficher ; je pense qu’elle se jouait des faux regards baissés des hommes, souvent mariés et accompagnés de leur épouse, de leurs gosses ou de leur concubine qui, lorsqu’ils la croisaient, lui mataient ses gros seins serrés dans son tee-shirt, pourtant large, mais qui lui cintrait malgré tout la poitrine.


En revanche, cette attitude lui valait une sale réputation de la part des autres femmes du camping qui, évidemment, critiquaient Sonia à tout va. Le coin des bacs à laver la vaisselle dans les campings, vous connaissez ? C’est une sorte de no man’s land où se rencontre la plupart des femmes et où les critiques fusent !

Souvent, elle faisait l’objet des conversations et des commentaires malfaisants. Ces ménagères étaient médisantes avec elle, parfois méchantes et, en réalité, jalouses ; certains hommes osaient également se mêler aux cancans (les faux-jetons, la plupart d’entre eux crevaient de lui peloter ses énormes nichons et ses grosses fesses).


Dans ce quart de critiques, j’apprenais qu’elle n’était pas « farouche » et était « une vraie traînée », « une salope d’allumeuse doublée d’une grosse pute »… et j’en oublie. Moi, cela m’amusait… Et cela m’attirait…


Le jour où tout à basculé, je me préparais à sortir faire un tour avec ma moto.


Sonia passa devant ma guitoune et me dit un bonjour, toujours aussi souriant et amical :



Effectivement, j’étais en train d’en briller les chromes ; elle reprit :



Accroupi vers les cylindres de mon bolide, je lui matais franchement ses gros nichons, sans me cacher. Elle me fit un large sourire et soupira d’un petit rire :



Je répondis sur le même ton amusé :



Je montai sur mon bolide et l’avançai dans l’allée :



Ouf ! quel poids elle faisait ma Sonia : son enfourchement avait bien comprimé les boudins de ma moto !

On sortait donc du camping et déjà je sentais frotter sa poitrine contre mon dos… et je sentais également déjà l’excitation monter. Sur la route, elle délaissait les poignées à l’arrière pour m’enlacer :



Tu parles ! Je sentais encore plus sa poitrine contre moi ; ses bras n’arrivaient même pas à faire le tour de mon corps. Après seulement une vingtaine de minutes de route, je proposai une pause cigarette. On finit par arriver dans un petit village que je connaissais ; il y avait un beau parc, souvent déserté par les vacanciers qui préférait bien sûr les plages. On alluma ainsi nos clopes et, tranquillement, allâmes nous asseoir au-delà des bancs, derrière une dune.

Le sujet ne divergeait pas beaucoup… :



Elle ne me répondit même pas ; en me souriant, elle releva d’une traite son tee-shirt. Elle me fixait du regard ; j’avais déjà le mien hypnotisé par le spectacle de cette poitrine que j’avais imaginée durant notre périple routier.

Malheureusement, son soutien-gorge était vraiment laid : une énorme parure d’un vieux blanc cassé, très large mais qui n’arrivait pourtant pas à englober ces protubérances mammaires. Mais cela ne me dérangeait pas : je ne regardais plus que ça et lui caressais doucement, sans me précipiter, les larges côtés de tissus qui entouraient ces grosses mamelles. Bon sang, mes deux mains ne suffiraient pas à engloutir un seul de ses nichons !


Je poursuivis mon excursion en baladant mes deux mains sur les bonnets ; je m’appliquai à leur caresser le bout avec la paume de mes mains, toujours à travers le tissu et avec légèreté. Ses bouts me semblaient étrangement petits mais se durcissaient sûrement. Sonia ne souriait plus ; sa respiration avait changé et ses yeux me demandaient de continuer ; en poursuivant avec douceur ce massage, elle bascula d’elle-même, naturellement, contre le sable chaud. J’accompagnai son mouvement afin de l’embrasser.


Ce baiser fut formidable. Sonia embrassait très bien. J’étais en chien de fusil, à sa gauche et, pendant ce long baiser, ma main droite caressait maintenant son ventre. Il était si doux… Puis, je descendis contre sa hanche, habillée d’un short en jean, pour aboutir rapidement à l’extérieur de sa cuisse gauche. Ma main allait et venait contre cette chair molle mais tellement douce ! Quelle sensation agréable ! Je descendis enfin vers son genou que j’abandonnai vite pour revenir vers sa grosse cuisse. Maintenant, mes caresses alternaient le touché et le pétrissage : je passais ma main sur sa longueur puis parfois je la saisissais fermement.


Après ce long baiser, Sonia se releva et dégrafa enfin le maudit soutien-gorge. C’était incroyable à voir. Ses gros seins pendaient jusqu’à son bas-ventre ; ils étaient laiteux et tout blancs. Ses aréoles étaient larges et très roses. Leur bout était conforme à ma première sensation : étonnement petits par rapport à la taille de leur chair naissante. Sa jeunesse lui valait malgré tout une poitrine plutôt rebondie malgré leur taille.


Je les saisis à pleines mains, les embrassai, puis les suçai tandis que mes mains les tenaient sur les côtés autant que je pouvais car ils étaient trop gros. Sonia s’abandonna et se recoucha sur le dos ; mes succions s’attardèrent sur ses aréoles brûlantes de soleil ; elle avait l’air d’aimer mes baisers mammaires et je ne me faisais pas prier pour continuer longuement ce moment, d’abord langoureux pour ensuite me lâcher comme un enfant en manque de lait.


Sonia respirait encore plus lourdement et entrouvrait largement ses grosses cuisses pour m’appeler à passer à autre chose. Je descendis donc ma bouche sur son ventre et vers son sexe. Les premiers boutons de son short en jean étaient déjà défaits ; elle l’extirpa d’elle-même rapidement en emmenant sa culotte dans le voyage. J’aperçus enfin son minou, tout rose et rasé.



Ses paroles me donnaient le feu vert pour me lâcher complètement. Effectivement, elle n’attendait que ça : sa chatte était déjà ruisselante de mouille qui brillait aux rayons du soleil. Elle écarta largement ses cuisses afin que j’y plonge la tête ; après un rapide nettoyage technique du sable qui lui collait à la peau, j’ai vite compris qu’il serait difficile de lui faire l’amour dans ces conditions et qu’il fallait la faire jouir à coups de langue. En fait, cela ne me dérangeait pas du tout car j’aime bien sucer les minous.


Je léchai donc sa chatte par coups de langue d’abord, puis par succions et léchages ; tout en titillant régulièrement son clitoris, je pris le risque d’y faire pénétrer quelques doigts propres de tout grain de sable. Sonia était très humide, ce qui me permit d’introduire facilement trois doigts et de bien la fister en rythmes de plus en plus soutenus.

À partir du moment où Sonia commença à gémir assez fort, elle me prit la tête à deux mains et l’enfonça carrément contre son sexe à m’en étouffer. Dans la chaleur de ses cuisses, je ne me contrôlais plus : je la léchai comme un fou et mes doigts la branlèrent le plus vite et le plus fort que je pouvais. Sonia me serrait la tête et poussait fortement sa chatte contre ma bouche.


En m’arrangeant comme je le pouvais dans cette situation inouïe, j’essayai de titiller son clitoris à la fois de ma langue et de mon pouce. Sonia finit enfin par jouir sans retenue, par saccades de plus en plus longues et fortes.

Quand je relevai ma tête, j’étais tout en sueur ; dû à la chaleur ensoleillée bien sûr, mais aussi de sa mouille : ma bouche, son contour et mon menton étaient trempés de son jus. Sonia ouvrit ses beaux yeux verts et respira comme si elle avait couru un cent mètres. Rapidement, son visage s’ouvrit d’un grand sourire de satisfaction et elle se mit à uriner sur le sable. Cela ne me dégoûta pas du tout, mais j’étais surpris et elle le vit :



Tu m’étonnes ! Mon sexe était bandé depuis notre départ du camping et j’en pouvais plus. Je défis mon jean et mon boxer et m’assis à ses côtés ; mon pénis avait déjà perlé de quelques gouttes de sperme. Sonia se releva et vint donc face à moi, assise sur ses talons. Elle me laissa une image inoubliable et interminable : dans cette position, ses cuisses s’écrasaient largement pour aboutir à des hanches et un fessier démesurés, dont la courbure remontait à ses gros seins, aux bouts replongeant sur ses cuisses.



Elle s’inclina ensuite sur mon sexe tout en me regardant avec son visage d’ange aux yeux verts ; elle me souriait et me branlait de la main en même temps. Je lui demandai de me sucer vite, car je sentais que j’étais bien capable d’éjaculer dans sa main tellement j’attendais ce moment de soulagement et je préférais jouir dans sa bouche. Une fraction de seconde, son visage redevint sérieux et elle m’engloutit complètement.


Immédiatement, je ressentis la chaleur et la moiteur accueillantes de ses muqueuses ; je me laissai basculer le dos sur le sable bouillant afin de m’abandonner complètement à elle. Sonia ne m’avait pas menti : elle suçait divinement. Elle me prenait de toute sa bouche et elle salivait beaucoup ; ses mouvements de tête étaient très rapides et sa succion brutale ce qui était une interprétation de la situation intelligente de sa part, vu mon état d’excitation prolongé ! Pendant ses allées et venues de têtes, elle râlait de plaisir ; mon pénis était ainsi pris en sandwich entre sa langue baveuse et son palais dans un mouvement frénétique auquel je n’ai sûrement pas su résister plus d’une minute. Lorsque j’ai éjaculé dans sa bouche, j’ai poussé un gémissement de plaisir, ce qui n’est pas dans ma nature dans ces moments-là d’habitude, mais c’était tellement bon et libératoire.


J’ai giclé plusieurs fois et en quantité dans la bouche de Sonia, qui malgré tout, continuait de me sucer. Je lui dégageai la tête, mais elle me reprit afin de me sucer, doucement cette fois-ci, jusqu’à me nettoyer, comme si elle ne voulait pas en laisser une goutte, ce qui me plaisait beaucoup.

Quand mon sexe a débandé, je me rapprochai d’elle et l’embrassai. Nos langues se mêlaient ainsi dans le mélange gluant.

Après s’être rhabillés, nous sommes repassés de l’autre côté de la dune et avons croisé un jeune couple sur un banc dans le parc ; ils nous ont lancé un « bonsoir » moqueur et complice. On n’avait pas dû passer inaperçus !



Nous nous sommes ensuite un peu promenés pour nous remettre de nos émotions et sur le chemin nous n’avons parlé que de sexe. Sonia m’a longuement exprimé son envie d’uriner après l’amour sûrement pour savoir si cela ne me dérangeait ou pas. Comme ce n’était pas le cas et que c’était une pratique que je ne connaissais pas (ou plutôt que je ne pratiquais pas), elle me proposait de lui uriner dessus la prochaine fois que l’on ferait l’amour.


Nous avons enfin opté pour retourner au camping où nous avions besoin d’une bonne douche. Évidemment, nous partagions la même cabine. La générosité de la silhouette de Sonia me plaisait tellement que je me remis à bander. Je lui demandai alors de se doucher avec moi tout en gardant son tee-shirt afin qu’il épouse ses plantureuse formes. Elle accepta. Sous la pluie d’eau fraîche, nous nous sommes embrassés et mes mains ont d’abord saisi ses grosses fesses. Puis, à travers son tee-shirt, je lui caressai ses gros nichons. J’en mordillai le bout à travers le tissu et me mit à genou pour la sucer sous la douche.

Sonia s’adossa contre le carrelage mural et me facilita la tâche en écartant largement ses grosses cuisses. La sucer dans ces conditions de fraîcheur tranchait avec la moiteur de l’après-midi ; Sonia me prit la tête pour la dégager de sa chatte :



Je me relevai pour faire face à elle ; je pris de la main sa cuisse droite afin de la relever et ouvrir l’accès à son minou. D’un coup, je la pénétrai. Au début, nous nous sommes embrassé en même temps, puis, en m’appuyant contre elle et ses seins, je la labourai comme un sauvage. Mon éjaculation de l’après-midi me permit de tenir assez longtemps le rythme sans m’inquiéter. Sonia avait déjà joui deux fois et je tenais toujours le coup. Je me retirai d’en elle et lui confessai :



Sonia se retourna. Tandis qu’elle remontait son tee-shirt au-dessus de ses reins, elle écarta ses grosses fesses. Bon sang, dans cette position son cul était énorme ! Mon sexe, sans être celui de Rocco Siffredi, est pourtant de taille normale, mais il paraissait minuscule face à ses cuisses et ce cul béant. L’eau de la douche aidant, je pus la pénétrer dans son petit trou d’un seul coup. Sonia poussa un petit cri qui me semblait mêler à la fois la douleur et le plaisir. Je ne me laissai pas distraire : je saisis ce que je pouvais de ses fesses et de ses hanches et commençai à la pénétrer.


Progressivement, j’accélérai le rythme ; Sonia s’appuyait maintenant d’une main contre la faïence murale et se branlait de l’autre ; entendant qu’elle recommençait à geindre, je décidai de la baiser plus vite et de lui claquer le cul, parfois un peu fortement.

Dans l’action, je lui ai lâché des « salope », « sale pute » qui ne la dérangeaient pas puisqu’elle me répondit par des « Oui, c’est vrai, je suis une salope », « Vas-y défonce-moi le cul », …

Ces phrases obscènes m’excitèrent davantage et je finis par des pénétrations violentes avant d’éjaculer dans ses entrailles. Sonia se retourna, se mit à genou et me nettoya le sexe, comme elle l’avait déjà fait quelques heures avant.

Nous nous sommes ensuite assis dans le bac à douche. Sonia me demanda :



Je me relevai. Sonia ne bougea pas de sa place et resta assise. Elle m’ouvrait sa bouche en grand. Je fis monter l’urine dans mon sexe et finis par lui uriner d’abord dans la bouche et puis sur le haut de son tee-shirt qui ne pouvait cacher la base de ses seins trop gros. Sonia n’avait pas recraché mes jets : elle avala mon urine et rouvrit la bouche dans l’attente que je la recontente.

Sentant que je m’étais presque vidé, je me rapprochai au-dessus d’elle, le sexe à quelques centimètres de sa bouche pour finir ainsi mes dernières gouttes ; elle se redressa et suça à nouveau mon sexe débandé assez longuement. Sonia avait raison : quels moments agréables !


Quand nous sommes sortis de la douche, des braves campeurs ont conspué « au scandale » (c’est vrai que, encore une fois, on n’avait pas été discrets…). Afin d’anticiper notre évidente mise à la porte du camping, nous avons fait nos valises le soir même pour nous en aller dès le lendemain.



Aujourd’hui, je vis avec Sonia. Je suis fou de ses formes pulpeuses et de nos jeux sexuels. Notre vie est épanouie et je suis le plus heureux des hommes.