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n° 13362Fiche technique7597 caractères7597
Temps de lecture estimé : 5 mn
19/07/09
Résumé:  Une sortie en forêt avec ma maîtresse qui tourne à l'exhibitionnisme malgré elle.
Critères:  fh forêt voir exhib intermast 69 pénétratio -nature
Auteur : Bichon2
L'amour en forêt

L’amour en forêt



J’ai toujours aimé aller me promener en forêt pour l’ambiance qui y règne, le chant des oiseaux, les craquements du bois ou les brindilles qui se brisent à chaque pas, le contraste du paysage et la clarté filtrant entre les feuilles et les branches.


Forêt de feuillus ou de conifères, cela m’indiffère, car il y a toujours le mystère de notre enfance… sorcière, méchant loup, obscurité précoce et sonorité relevant parfois du mystère.

C’est donc tout naturellement que j’aime m’y rendre en galante compagnie, emprunter les sentiers damnés puis, suivant la tenue vestimentaire, bifurquer vers une clairière ou couper à travers bois puis inviter ma belle à se laisser aller dans cet univers où la magie de la nature fait le reste.


La laisser ouvrir le passage pour observer ses fesses se dandiner, puis inverser les rôles et avoir le plaisir d’observer sa poitrine lorsqu’elle se baisse en évitant une branche un peu trop basse, la prendre doucement dans mes bras pour l’aider à se dégager d’une mauvaise passe et rapprocher nos corps « presque » involontairement.


C’est de cette façon qu’une amie, Évelyne, m’a suivi pour une ballade qui a fini en une mémorable partie de plaisir en plein air. Elle était vêtue d’un bas de survêtement en coton vert bouteille et d’un body jaune d’or recouvert de sa veste de survêtement. Elle avait prévu un goûter avec de la boisson dans un sac de randonnée. La journée était splendide et nous avions tout l’après-midi de ce jeudi pour effectuer notre petite balade.


Après une heure de marche, elle m’a demandé une pause tandis que nous passions devant un étang bordant une petite clairière ensoleillée. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir sortir de son sac un drap de bain qu’elle étendit sur un lit de mousse, ôter sa veste de jogging, prête à établir son camp de base. Après avoir discuté de tout et de rien, la conversation dévia sur nos relations et elle m’avoua se trouver sans compagnon, tout comme moi.


Un long silence interrompu par le chant des oiseaux s’installa jusqu’à ce qu’un bruit sec nous surprenne et l’apeure. Elle eut pour réflexe de se coller contre moi, en me demandant de rester près d’elle. Il s’agissait sûrement d’un animal mais ce rapprochement de nos corps m’incita à observer ses yeux et doucement nos bouches se touchèrent, nos yeux se fermèrent et nos langues se rejoignirent pour un baiser tout en douceur. Je sentais ses mains sur mon épaule, le baiser devint passionné, mes mains caressèrent sa joue puis son épaule presque nue.


Après avoir repris nos esprits, un regard agréable me fit comprendre qu’elle désirait recommencer, je l’enlaçai à nouveau en laissant mes mains vagabonder sur son corps. Ses petites fraises s’étaient érigées et tendaient son body devenu trop moulant pour mon regard, ce qui eut un effet immédiat sur mon anatomie. Évelyne ne put que constater la déformation de mon jogging, ce qui lui procura un sourire de satisfaction avant que sa main ne glisse vers mon sexe encore caché.


Devant ce geste, je pris l’initiative de glisser ma main au niveau des pressions de son body à l’intérieur de son survêtement. Je pus constater qu’une rosée prononcée avait eu raison de ses lèvres et des environs… Elle était trempée.


Après avoir détaché les pressions et caressé son sexe, je me mis à titiller son petit clitoris pendant qu’elle prenait mon sexe à pleine main. Ma bouche descendit doucement sur son corps pour prendre possession de son con pendant que, de la main, j’essayai de lui retirer son pantalon.


Allait-elle accepter de se retrouver en pleine nature, dans un endroit en partie isolé, dans une tenue dénudée ?


Grande fut ma surprise quand elle releva les fesses pour me faciliter la tâche, preuve de son désir de s’exhiber et d’une envie de faire l’amour. Elle retira même son body, se retrouvant nue en pleine forêt. Il est vrai que notre clairière bordée de buissons se trouvait loin de la route et qu’en semaine les promeneurs étaient rares.


Je me mis dans la même tenue et nous reprîmes nos caresses sur nos corps offerts. Après que j’ai léché sa chatte ruisselante, nous nous sommes positionnés en 69 pour partager notre plaisir. Mes mains enserrèrent ses fesses menues tandis que ma langue passait de son con à son clitoris ; elle, de son côté, me masturbait uniquement avec la langue. C’était divin.


Un nouveau craquement nous fit rapidement relever la tête puis nous continuâmes notre œuvre, c’est à ce moment-là que j’aperçus une tête derrière un buisson situé dans l’axe de sa chatte rousse joliment taillée en triangle. Ma libido ne fit qu’un tour, discrètement je lui ouvris les cuisses pour offrir un joli panorama à notre voyeur tout en lui faisant signe de se taire.


Cette présence doubla mon imagination, et je me mis en quête de sa bouche tout en lui caressant les seins, la forçant avec ma jambe à écarter les cuisses. Après plusieurs baisers, je descendis engloutir son mamelon dans ma bouche tandis que, de deux doigts, je pénétrais son sexe. Je la mis en levrette, de manière à offrir une vue de profil à notre curieux. Ses seins pendaient, nos corps vibraient au rythme des pénétrations lentes que je lui infligeais.


J’imaginai notre voyeur en train de se masturber et l’envie de lui faire signe pour honorer la bouche d’Évelyne de son sexe m’excitait beaucoup, malheureusement je craignais qu’elle ne partage pas mon idée pour cette première baise.


Nous n’avions jamais abordé le sujet des fantasmes ensemble. Après avoir joui tous les deux assez bruyamment, le calme revint. Nous nous allongeâmes sur le drap de bain pour bronzer nus tandis que mon sperme coulait entre les lèvres chaudes de sa chatte et que mes mains se promenaient sur son corps et réciproquement.


Le calme revenu, nous prîmes un petit goûter. Elle m’avoua alors presque honteuse qu’il lui semblait avoir repéré un voyeur dans le bosquet et que cette situation l’avait excitée, qu’elle ne savait pas comment elle aurait réagi s’il nous avait rejoints, mais que notre clairière méritait d’autres visites.


Je l’ai laissée dans l’expectative, lui demandant quelle aurait été sa réaction si un homme, ou une femme, était venu nous rejoindre. Elle m’avoua que la situation n’étant pas préméditée, elle aurait sûrement accepté d’autres caresses, voire peut-être un rapport partagé si un préservatif était utilisé.


La fin de la journée se déroula dans une atmosphère sexy. La discussion tourna autour de nos fantasmes et expériences respectives, d’autres craquements eurent lieu, mais elle resta allongée nue à côté de moi, peut-être en espérant l’arrivée d’une tierce personne. Elle ne prit même pas le soin de remettre son body au moment de partir et s’habilla juste avec son survêtement. Autant avouer que j’étais dans un état d’excitation tel que sur le trajet de retour chaque geste était prétexte à attouchements.


La fermeture éclair de la veste laissant apercevoir la naissance de ses seins blancs aux aréoles dardées et la sachant nue sous son jogging, ma libido fut à son apogée jusqu’à notre séparation en fin de journée.