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n° 13369Fiche technique20747 caractères20747
Temps de lecture estimé : 13 mn
24/07/09
Résumé:  Dépannage dans le froid d'abord, dans le chaud ensuite.
Critères:  fhh hplusag fplusag exhib cunnilingu pénétratio fdanus -occasion -couple+h
Auteur : Haoma  (un jour d'hiver un jeune mécanicien vient nous dépanner)      
Un dépannage avec un excellent service

À Montréal, ce jeudi 14 janvier 1999 est le quatrième jour de neige et de grand froid. Dans la nuit le thermomètre est descendu à moins 30 ° centigrades et, avec le facteur vent, la météo annonce moins 50 ! Ce matin, nombre de voitures n’ont pu démarrer et le C. A. A. (Club des Automobilistes Associés) a répondu à plus de dix mille appels pour dépannage. Nous sommes du lot. Mon mari ayant téléphoné vers 9 heures, on lui a répondu qu’il devrait attendre la fin de la journée.

Souper, télévision, puis las d’attendre, vers 22 h nous décidons d’aller dormir.

Alors qu’une douce torpeur m’envahit, le téléphone sonne :



Une demi-heure plus tard, coup de sonnette ; mon mari descend. Je passe un peignoir blanc en ratine par-dessus ma longue chemise de nuit bleu pâle. Après un brossage de cheveux et une retouche du visage, je vais à la fenêtre du salon (nous n’avons pas de volets au Canada, car il serait impossible de les fermer ou de les ouvrir à cause de la glace) regarder les deux hommes se débattre dans la tourmente glaciale. Il est 23 h.


Des pas dans l’escalier ; bruit de conversation. Mon mari n’est donc pas seul ? Peut-être avec le dépanneur ? La porte s’ouvre et, en effet, les deux hommes sont là, se débarrassant des bottes et des combinaisons arctiques qu’ils laissent sur le palier. Je vais au-devant d’eux.



Le timbre de voix agréable, le jeune homme, pas la trentaine, est grand comme mon mari, un mètre quatre-vingt, mais plus charpenté. Visage agréable, les yeux très noirs, comme les cheveux, et le sourire charmeur découvrant une belle dentition. Je saisis la main tendue, aux ongles très ras. Ce faisant, le haut de mon peignoir s’ouvre généreusement et rien n’échappe au regard de Laurent. Je souris, lui laissant, par la transparence de ma chemise, tout le loisir d’admirer le paysage. Mon mari a remarqué la scène, me sourit et approuve d’un petit clin d’œil. Qu’est-ce qui me prend alors de croire que je plais, moi une sexagénaire, à un si jeune et si charmant garçon ?



Puisque mon mari semble d’accord, je joue le grand jeu. Prenant la cafetière sur la cuisinière, donc le dos tourné à mes hommes, je dénoue discrètement ma ceinture. Puis je sers le café à Pierre. Un bref regard vers Laurent, à droite de mon mari, me permet de constater qu’il épie mes moindres gestes. Versant très lentement le café, je me penche en avant afin d’offrir à notre visiteur, grâce à la profonde échancrure de ma chemise, la vision de mes appas dénudés. Je passe ensuite à la droite de Laurent et lui renouvelle mon offrande. Je suis si proche de lui que mes seins ressentent la tiédeur de son souffle. Mon genou touche le sien sur lequel sa main est posée. J’espère tant de cette main ! Mais Laurent est fasciné par ma poitrine. Mon mari ne manque rien, lui non plus, et je pense à une de ses réflexions :



J’interroge malicieusement :



Sa voix est empreinte d’un peu de gravité. Mon peignoir ouvert, je me place à gauche de mon mari, pose un bras sur ses épaules ; sa main gauche passe sous mon peignoir, sous ma chemise pour palper mes fesses nues. Le geste n’a pas échappé à Laurent qui, au travers du nylon, scrute toujours mon corps. Je fantasme : « Ce garçon est vraiment beau, il me plaît beaucoup. Je succomberais volontiers, mais il est bien trop jeune ».

La discussion se fait sur la rude journée de Laurent qui, posant sa tasse et comme pour s’excuser, conclut :



Je me surprends, alors, à lui demander :



Mon mari, un instant interloqué, réagit promptement :



Celui-ci bredouille quelque peu et finit par accepter. Je prépare donc le bain pour notre jeune visiteur inattendu et, pour moi, inespéré. Curieuse, je me rapproche discrètement de la cuisine et tends l’oreille pour écouter ces messieurs, car je subodore que mon initiative va alimenter leur conversation.



Eh bien, j’en ai entendu de belles ! Il est clair que ce jeune blanc-bec a envie de faire l’amour avec celle qui pourrait être sa mère, et mon mari en est ravi ! D’accord, vous allez voir mes deux lascars ! Dans le fond, j’en suis heureuse et, depuis le temps que mon mari souhaite une telle situation, je me dois d’en profiter.


Laurent prend son bain. Je me garde bien de dire à mon mari que j’ai surpris leur conversation. Je passe dans la chambre. Quelques instants après, fraîchement maquillée, j’en ressors vêtue d’une seule nuisette courte, turquoise et très vaporeuse. Mon mari, paraissant peu surpris, s’exclame :



On entend Laurent siffloter. Peignoir de mon mari sur le bras, je regarde par la porte entrouverte. Il est nu, me faisant face, tête baissée, se séchant vigoureusement les cheveux avec la serviette. Son sexe au repos est semblable à celui d’un petit enfant. Mon mari, derrière moi, me pousse de la main m’encourageant à entrer. J’entre : Laurent se trouve figé, les bras en l’air, la serviette sur sa tête.


Un bref instant, nos regards se croisent puis mes yeux se fixent sur son sexe menu dans une toison touffue. Le regard de Laurent évalue, au travers du nylon arachnéen, mes seins, mes cuisses légèrement ouvertes, et encore mes seins. J’assiste, alors, et avec quel émerveillement, à l’éveil fulgurant de son sexe ! Il s’allonge, grossit. Le membre se développe encore, prend de la consistance, de la rigidité ; puis le gland rouge, gonflé, sort du prépuce. Le membre fier, provocateur est là, tout proche de moi. Laurent rejette la serviette, pour prendre ma main et la guider sur son sceptre de chair admirablement tendu. Ma main achève de le décalotter en douceur. À genoux, je m’apprête à le goûter de mes lèvres, quand…



Dans la chambre, derrière moi, Laurent me demande de retirer ma nuisette par le haut. Les bras croisés, légèrement penchée en avant, je saisis le bas de ma nuisette pour la remonter lentement jusqu’aux épaules où je marque un temps d’arrêt. La chaleur du membre entre mes fesses, les mains qui caressent tendrement mon ventre, puis s’emparent de mes seins, mon mari bien raide qui me sourit, tout cela déclenche en moi un début d’épanchement en un endroit précis, encore inexploré, mais qui a tellement hâte de l’être !


Maintenant nue sur le bord du lit, allongée sur le dos, mes pieds sur le tapis, Laurent à genoux caresse mes cuisses offertes ; puis ses lèvres et sa langue commencent un ballet sur mes cuisses, sur mon ventre s’attardant sur le nombril, passant dans l’aine, dans l’autre, évitant mon centre névralgique qui est en feu. Laurent passe ses mains sous mes fesses ; ses doigts explorent ma raie. Comprenant ce qu’il recherche, je me soulève un peu et, merveille, son médius entre profondément dans mon anus.


Pierre, lui, me caresse les seins. Mes mains jouent dans les cheveux de mon tourtereau. Je n’en peux plus ; aussi je dirige la tête du jeune mâle vers le feu qui me dévore. Il s’applique, alors, à laper avidement au foyer de ma passion. Puis, désirant me prendre, il s’assied sur le lit, me faisant face, et me prie de prendre la même position, mes jambes par-dessus les siennes. Lentement, bien tendu, il me pénètre et je suis tellement heureuse de sentir cette si douce pénétration car une absence, ou une insuffisance, de lubrification me la faisait craindre difficile. Mon mari veut nous prendre en photo. Laurent approuve, mais je montre une certaine réticence. Pierre me propose de ne photographier que le bas :



J’accepte et la photo est prise. Écrivant ces lignes, j’ai sous les yeux cette splendide image ithyphallique. Puis Pierre nous fait changer de position faisant asseoir Laurent sur le bord du lit et moi sur ses cuisses. La queue est collée à mon ventre et c’est Pierre qui, obligeamment, la guide dans mon fourreau. Mes seins sont aux soins des mains de mon chérubin qui me murmure à l’oreille :



Agenouillé entre nos cuisses et pendant que Laurent donne ses petits coups de reins, mon mari active sa langue sur mon clito. C’est tout simplement exquis ! Après un rythme lent et profond, le fougueux étalon, passant à la vitesse supérieure, dérape et sort de ma chaleureuse niche. Ma main veut saisir le lingam, mais elle se heurte à la tête de mon mari. Ce que je vois me surprend. Un nouveau refuge a accueilli la jeune virilité : Pierre la suce ! À mon grand étonnement, Laurent se laisse faire et ses gémissements témoignent de sa reconnaissance. Pierre s’aperçoit de mon attente et réintroduit mon bien dans mon bon endroit.


L’activité de mon beau brun et celle de mon mari reprend de plus belle. Sentant ma fin proche, je propose de changer de position afin de prolonger l’étreinte. Je fais coucher Laurent sur le dos et à genoux au-dessus de lui, je contrôle la cadence. Je contemple son beau visage, ses yeux noirs. Mes mains caressent son torse, son ventre. Mon jeune amant me regarde, palpe mes seins, pendant que lentement je m’empale sur sa hampe de chair, d’un bon calibre, semblable à celle de mon mari, qui me remplit si bien.


Ma croupe se soulève, s’abaisse insensiblement, accompagnée des mains de Pierre. Laurent m’annonce qu’il ne peut plus se retenir. Je l’encourage, lui souffle, haletante, que moi aussi je vais venir, mais je suis, à l’instant où ma croupe s’abaisse, visitée par ma petite porte : Pierre a placé son poing, pouce en l’air, sous mes fesses ! À chaque descente ce petit visiteur me procure un bienfait qui, conjugué avec le noble membre de l’entrée principale, finit par me faire toucher la jouissance à son paroxysme. J’ahane encore bruyamment, quand à son tour, mon Laurent se vide en moi si puissamment que tout mon être est envahi d’une nouvelle onde de plaisir.


Je m’affale, rompue, sur le corps chaud de mon jeune amant, si heureuse d’avoir connu grâce à lui une telle extase. Ses mains caressent mon dos, massent fermement mes fesses ; je sens sa virilité fondre, se retirer de moi et son sperme encore tiède s’écouler entre nos pubis. Dans mon bonheur j’ai oublié mon mari. Je me détache de Laurent qui déjà somnole, pour me placer à genoux et offrir mon postérieur. Pendant que, de sa langue, mon mari rend un fervent hommage à ma rosette, je passe ma main sur ma chatte et me rends compte, alors, de l’abondance de la laitance de mon bel animal. Après l’avoir profondément humée, je suis grisée, je ne résiste pas, je lèche consciencieusement ma main et, de mes doigts, je puise à nouveau à la source où je rencontre le dard de mon mari. Il me semble très gros et gaillard. Je le fais entrer chez moi avec aise, et ravie de me sentir aussi bien garnie ! Quel régal ! Pierre est dans un état splendide, tel Priape ! La présence de Laurent est donc pour nous une précieuse relance de nos ébats amoureux. J’éprouve le besoin de jouir encore une fois, mais redoute que mon fidèle partenaire ne tienne pas la route.



Allongée entre mes deux hommes, je les regarde dormir. Laurent m’attire vertigineusement. Je relève le drap, pose doucement ma tête sur son ventre tandis que ma main cajole sa queue encore inerte. Tendrement j’extrais, de son capuchon, la petite fraise encore trempée pour la réchauffer de mes lèvres, de ma bouche où je la garde. Ce n’est pas long. Ma bouche, mon palais se remplissent d’un remarquable volume.


Les mains de Laurent jouent dans mes cheveux, prennent mon visage. Alors je me mets à la délicieuse besogne, suçotant le bout du gland, faisant des vrilles avec ma langue. Ma main coulisse sur son membre descendant lentement très à fond pour remonter, sans cependant, recouvrir complètement la grosse fraise dont j’attends l’écoulement du suc. Mon bel éphèbe soulève ses reins pour tenter de glisser le fruit écarlate entre mes lèvres. Mais, souriante, je retarde encore, abaissant fermement le prépuce. Ma patience est récompensée ; une première petite coulée de suc clair s’échappe du méat, glisse sur le frein. Comprimant légèrement le gland, une seconde vient, lubrifiant davantage le frein et déferle lentement le long du membre. Alors ma langue entreprend d’abord quelques caresses sur les bijoux de mon heureux supplicié pour, ensuite remonter le long de la hampe et savourer cette liqueur, prélude à la jouissance, que j’apprécie bien plus que l’ultime. Laurent gémit, soulève davantage ses reins. Il veut que je l’enfourne. Pierre me regarde, son membre ruisselant du même suc. Je vais, là aussi, me délecter.


Revenant à Laurent, j’absorbe son gland, ma tête commençant de lents va-et-vient tandis que d’une main je le masturbe. Mon bienheureux s’agite et me supplie. Je sens la fin proche de son tourment. Quand il m’en avertit, mes lèvres l’enveloppent à mi-gland et ma main entreprend un très lent mais ferme massage de sa tige. Je viens de reprendre mon souffle quand, soudain, mon palais est tapissé de trois ou quatre jets d’un fluide abondant, chaud et onctueux. Je suis très étonnée de cette vive propulsion ! J’avais oublié cette force d’éjaculation de la jeunesse. Je déglutis cette sève juvénile.



Et ne voulant rien perdre, je prends dans ma bouche le membre déjà flaccide pour lécher les dernières gouttes de cet élixir d’amour.


Mon mari assiste à la scène et bande. Son gland ruisselant trouve asile entre mes lèvres. Je suce avidement mon cher époux, pour mon plaisir, certes, mais surtout pour le remercier de son immense compréhension. Grâce à lui, ce rapport voluptueux avec un si jeune amant me fait redécouvrir toute ma sensualité. Je me promets que tous les deux nous en profiterons à satiété. Pierre n’est pas long. Il me coule son plaisir épais et chaud que je bois avec une incommensurable délectation.


Le pénis est déjà recroquevillé et, comme pour se cacher, honteux, le gland a disparu sous le prépuce. Quel émouvant contraste avec la fière queue, bien bandée ! Une sécrétion exsude encore, épaisse, légèrement teintée de jaune semblable au lait concentré sortant de son tube. Je l’absorbe avec tendresse et de ma langue gourmande, complète la toilette.


2 h 40 ! Laurent est habillé. Avant qu’il ne franchisse la porte, je vais à sa rencontre, vêtue de mon seul peignoir. Mon mari a ce mot :



Je murmure à l’oreille de Laurent : « Pas que les bras ouverts, mon chéri ! »

Il me prend par la taille, me plaque contre lui et nos lèvres se joignent ; ses mains, sous mon peignoir, palpent ma croupe, son majeur fraternise avec mon œillet. Au travers de son épaisse combinaison, je sens sa forte érection. Je lui susurre :



Déjà il fait glisser la fermeture de sa combinaison. Je détache son pantalon et extirpe le glaive si magnifiquement aguerri, prêt à me pourfendre délicieusement. Pierre retire mon peignoir et me fait installer sur le canapé du salon, pendant que Laurent abaisse pantalon et slip. Allongée sur le dos, les fesses surélevées par le bras du canapé, mon beau Laurent me pénètre. Il est long à exploser, ce qui, à ma grande stupéfaction, me procure une double jouissance ! Ah que c’est bon la jeunesse ! Je réclame mon mari qui, étonnamment requinqué, me baise fougueusement.


Quinze jours après, Laurent a passé une nuit entière avec nous. Puis il est revenu plusieurs fois encore.




Jeanine.