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n° 13373Fiche technique22024 caractères22024
Temps de lecture estimé : 14 mn
26/07/09
Résumé:  Antoine est à New York, sa petite amie L.E décide de faire une petite virée en voiture.
Critères:  fh fhh extracon extraoffre copains médical handicap fsoumise humilié(e) chantage photofilm intermast fellation cunnilingu sm -extraconj
Auteur : Plume de crapaud  (suis timide mais j'ai un gros pénis très affectueux)            Envoi mini-message
Elle est au nord mais Antoine était à l'ouest

Antoine est à New York, profitant au maximum, pour la dernière année, de la carrière de son père à Air France.

L. É vient enfin d’obtenir son permis de conduire. Elle a envie de conduire pour améliorer sa maîtrise de la 107. Elle décide de joindre l’utile à l’agréable en rendant visite à ses amis pour exhiber ses talents de pilote. Elle commence par Greg. Elle arrive dans sa rue. Elle l’aperçoit sur le toit de la maison de ses parents. Elle klaxonne et lui fait signe. Il lui répond coucou de la main et là, c’est le drame : il perd l’équilibre et tombe.


Dans sa chambre d’hôpital, les deux bras dans le plâtre, il vient de recevoir la visite de ses amis qui sont sur le point de partir.


GREG - L. É, je peux te parler deux minutes en privé ?

L. É. - Allez-y partez devant fumer vos clopes, je vous rejoins sur le parking.

GREG - Je sais que si vous faisiez un plan à trois avec un autre mec c’est moi que vous choisiriez.


Elle se dit qu’Antoine aurait pu au moins la prévenir qu’il l’avait dit à Greg.


GREG enchaîne - J’en suis très flatté. Voilà, j’ai une grande faveur à te demander, ça restera entre nous, en tous cas c’est pas moi qui irais le raconter.

L. É - Vas-y je t’écoute.

GREG - C’est vraiment moche d’être dépendant des autres à ce point. Je le montre pas mais je me sens… humilié.

L. É - Mais t’as aucune raison. C’était même pas de ta faute l’accident. Ils ont dit que la toiture avait…


Greg la coupe :



L. É - Tu me fais peur. C’est quoi cette faveur ?

GREG - Je ne peux pas me masturber. J’ai l’impression que mes couilles vont exploser. Chaque fois qu’on me lave, j’ai la gaule, même si c’est un thon. Le pire c’est que j’ai l’impression qu’elles se foutent de moi. Hier, elles étaient deux. Elles n’arrêtaient pas de se lancer des petits regards.

L. É - Tu fais de la parano.

GREG - Elles ont éclaté de rire en sortant. J’ai la barre dès qu’il y a une fille dans la pièce.


L. É jette un coup d’œil furtif. La bosse sous le drap confirme la véracité des dires de son ami.

Elle rougit légèrement tandis qu’il poursuit sa plaidoirie :



Elle le regarde tout étonnée.


GREG - Fais-moi une branlette, je t’en supplie

L. É - Non, ça c’est pas possible. Je suis désolée.

GREG - Y en aura pas pour long, quelques mouvements de poignet sous le drap et je serai libéré. Vois ça comme un acte médical.

L. É - Je peux pas faire ça à Antoine. Faudrait déjà qu’il me donne son accord avant et puis que…

GREG - Tu sais bien qu’il est pas joignable. Je le connais, si tu le trompais, il préférerait ne pas le savoir. Je ne te demande pas de le faire cocu, je te demande un service particulier dans des circonstances très particulières. Je ne sais pas vers qui d’autre me tourner.


L. É se lève en murmurant :



Elle part rejoindre les autres. Toute la fin de la journée, elle repense à leur discussion. Elle imagine, au-dessus de ses bourses gonflées, son sexe tendu de désir, criant à l’aide à une main secourable. Mais seuls les rires du personnel médical lui répondent. Elle a mal au ventre en se couchant, symptôme habituel d’un sentiment de grosse culpabilité.

Elle se réveille. Assise dans son lit, son rêve perd peu à peu de sa réalité. Antoine, pilote d’avion, avait insisté pour l’emmener rejoindre Greg à New York. La « Statue of Liberty » était remplacée par Giant Phallus déchirant les nuages. Elle en veut à son homme de ne pas être là, de ne pas pouvoir lui parler. C’est décidé ; elle retourne à l’hôpital demain.




L. É - Comment vas-tu aujourd’hui ?

GREG - Je suis content que tu sois revenue, je voulais m’excuser pour hier. Il fallait que je te demande, mais je n’aurais pas dû insister.

L. É - Je comprends très bien, j’y ai beaucoup réfléchi et si tu y tiens toujours autant je vais exaucer ton vœu.

GREG - C’est vrai ?

L. É - On est bien d’accord, c’est un cas très spécial pour un ami dans le besoin. Tu n’en parles à personne ?

GREG - J’emporterai ce secret dans ma tombe, c’est promis.

L. É - On ne peut pas fermer à clef je suppose ?

GREG - Non, mais ne t’inquiète pas, l’infirmière ne repasse pas avant 16 heures.


Elle descend le drap doucement et découvre son pénis qui semble déjà bandé au maximum.

Cela fait un moment qu’elle s’imagine face à un autre sexe que celui d’Antoine, s’interrogeant sur ses dons de fellatrice avec un autre homme. Elle pose délicatement sa main sur le membre et l’enserre pour apprécier sa rigidité. Il est plus gros et plus petit que celui de son homme. La couleur pourpre du gland gorgé de sang d’où perle une goutte translucide lui donne l’eau à la bouche.

Elle a l’habitude de tester du bout de l’index l’élasticité de ces perles de liquide séminal dès que son petit ami en laisse une sortir. Et elle finit par l’étaler en décrivant des cercles de plus en plus grands sur sa pine. Elle se prive de cette manie, ne voulant pas paraître trop familière. Elle fait glisser ses doigts sur toute la longueur. Elle descend sous ses testicules pour les soupeser mais s’en abstient de peur de lui faire mal tant ils sont remplis.


Finalement, elle les couvre de sa main. La verge réagit instantanément à ce contact en se redressant encore un peu plus. Elle commence à le masturber. La douceur de ses gestes contraste avec la fermeté phallique. Elle se tourne vers Greg pour voir si ça lui convient.


GREG - Non, s’il te plaît, ne me regarde pas. Ne le prends pas pour toi. C’est juste que… tu es la copine de mon pote, ça me perturbe.


Ses scrupules l’étonnent. Elle regarde à nouveau sa queue en se demandant à qui il peut bien penser. Elle n’a pas cessé sa masturbation et bien qu’il soit toujours très dur, elle note une infime baisse de son excitation. Elle accélère et enroule le gland avec un rapide mouvement de poignet en fin de chaque phase ascendante.


GREG - Tu veux bien mettre un peu de salive ?


Elle se penche au-dessus du pieu de chair, entrouvre la bouche et laisse un filet de salive couler. Ce stimulus visuel capté par la rétine du convalescent est transmis au cortex XXX qui envoie immédiatement un influx très nerveux dans l’organe reproducteur pris de soubresauts. Fière de la réaction qu’elle sent entre ses doigts, elle se rassoit et poursuit son traitement en bonne travailleuse acharnée. Elle donne plus d’amplitude à son mouvement et le serre plus fort. Greg est surpris par l’endurance de son amie. Il se contracte pour l’aider à faire venir son orgasme mais celui-ci semble bouder la lumière.


L. É - Je m’y prends mal ?


Greg avec une voix que l’excitation a rendue rauque :



L. É - Dis moi ce que tu veux que je fasse.

GREG - Ce qui serait top c’est que tu remettes ta bouche au-dessus comme tout à l’heure.


Elle se lève à nouveau de la chaise pour placer son visage au-dessus du membre. Elle ralentit sa masturbation, serrant ses doigts quand ils arrivent sur le gland, augmentant ainsi le flux sanguin dans la veine bleue complètement déroulée. Feignant l’hésitation elle ouvre la bouche. Elle se dit qu’il est prêt pour un concours de lancer de sperme. L’image d’un pompier avec sa lance à incendie lui vient à l’esprit. Il halète et tend son bassin vers elle.

Elle sort sa langue, en agite rapidement la pointe et la passe sensuellement sur ses lèvres. Le corps sous la queue congestionnée se crispe encore plus. Il grogne, obsédé par la chaleur de cette cavité buccale qu’il ne peut investir. Sans arrêter de le branler, elle abaisse l’arme chargée. Elle la retourne contre lui, la pointant sur le haut de son torse.


GREG - Le verre sur la table, vite !


Elle s’en empare aussitôt et le place autour du fruit qui explose enfin. De puissants jets tapent le fond du récipient, elle en a un peu sur la main. On frappe à la porte. Elle rejette le drap sur le buste du corps sans vie et cache le verre avec la pulpe au creux de ses mains. Des amis entrent dans la chambre.


AMI 1 - Pff… quelle chaleur dehors !

AMI 2 - T’as bien de la chance d’être ici au lieu d’être traîné en voiture pour aller voir un handicapé pas fichu de faire coucou avec sa mimine.

AMI 3 : Ça va ma couille ? Eh, Greg ! Tu pionces ou quoi ?

L. É - Non, on parlait depuis tout à l’heure. Je sais, il a l’air d’être vidé. J’ai dû l’épuiser avec mes histoires.

AMI 1 - Il transpire. Regarde son front. T’as de la fièvre ?

AMI 3 - Avoue, tu lui as mis la fièvre avec des histoires cochonnes !


Elle s’essuie discrètement les doigts du mieux qu’elle peut.


AMI 1 - Le médecin est au courant ? Il a pas l’air bien. Faut lui donner à boire.


Il saisit la bouteille d’eau et cherche le verre. L. É regarde dans le fond du verre, la semence est devenue liquide. Trouvant le goût écœurant, ça fait longtemps qu’elle n’a pas avalé. Elle la boit d’un trait et se lève. Le goût est différent d’Antoine.


GREG d’une voix faible - À ta santé.

AMI 2 - Bon, il est pas mort. On a pris de ses nouvelles, maintenant on peut peut-être retourner chez moi que je finisse de vous botter le cul avec Shun Lee !

L. É - Donne, je vais le faire.


Elle arrache la bouteille des mains d’Ami 1 et remplit le verre.


AMI 3 - Drôle de couleur.

L. É - Je viens de prendre une aspirine.


Elle aide Greg à boire et lui glisse tout bas :





Elle a un peu honte de cette aventure quand elle pense à son petit ami. Mais l’excitation prend rapidement le dessus.

Le surlendemain, elle retourne à l’hôpital. Ils ne font aucune allusion à leur dernière entrevue. De retour à la maison, elle est presque déçue. Elle s’en veut d’avoir espéré qu’il la supplie à nouveau.


Le jour suivant, Greg :



L. É - Hé oui, je sais. Tu penses à laquelle de mes qualités ?

GREG - Si ta bouche est à la hauteur de ta main, il doit souvent solliciter tes talents, hein ?

L. É - C’est vrai. Il me demande souvent.

GREG - J’ai beaucoup pensé à toi depuis. Pour être honnête, je peux m’en passer mais c’est quand même frustrant d’avoir senti ta main, imaginé ta bouche et de ne pas l’avoir sentie.

L. É - La vie est cruelle mon ptit Gregounet.

GREG - Tu l’as presque fait. Tu m’as même bu.

L. É - Je m’en serais passé.

GREG - J’ai un sale goût ?

L. É - Non, mais c’est pas ma boisson préférée.

GREG - Tu veux bien descendre le drap, j’ai chaud. Encore plus bas s’il te plaît.


Elle le descend jusqu’à mi-cuisses.


L. É - Il a l’air en forme.

GREG le faisant tressauter - Il voulait te dire bonjour.

L. É en agitant ses doigts - Bonjour petit bonhomme.

GREG - … "petit", on dirait que j’ai sous-estimé Antoine.


Il la regarde intensément :



L. É - Vouiii… ?

GREG - Suce-moi.


Elle a envie de rire de surprise mais l’intensité inhabituelle de son regard la fait rougir. Elle s’est caressée dans son bain en imaginant cette scène.


Elle se plie à sa volonté.




Ils se revoient les jours suivants pour le même genre de séance. Il lui parle de manière de plus en plus directe. Parfois, cela la choque un peu. Elle ne l’avoue pas, mais elle y prend goût.


GREG - On me retire mon plâtre demain.

L. É - C’est super.

GREG - Ça sera la fin de notre histoire, pas vrai ?

L. É - Oui. Un service très particulier dans des circonstances particulières.


C’est sa façon de se protéger des douleurs dans le ventre. Il est touché qu’elle se souvienne de ses mots.

Elle se lève et part sans le regarder. Le même sentiment de nostalgie qu’à la fin des vacances de son enfance l’assaille.


Une heure plus tard, elle est de retour avec un grand sourire qu’elle a du mal à dissimuler. Elle prend la chaise et l’utilise pour bloquer la porte. Elle fait voler son imper, dévoilant sa tenue d’infirmière commandée sur le net. Prenant son rôle très à cœur, elle l’ausculte avec un faux stéthoscope. L’appareil descend sur son torse puis son pénis. Elle monte sur le lit et vient à quatre pattes entre ses jambes.


L. É - Bien, je vais maintenant procéder à la vérification de son bon fonctionnement. Ne vous inquiétez pas, ça ne sera pas douloureux.


Elle le masturbe d’une main. Rapidement, elle le prend en bouche en jouant avec ses bourses de l’autre main. Elle l’attaque directement sans les petites douceurs tout en sensualité auxquelles elle l’avait habitué. Il a beaucoup de mal à se contrôler. Il lutte pour profiter le plus longtemps possible de cette dernière gâterie. L. É se donne à fond afin de le faire jouir au plus vite. Elle a envie de lui montrer ce dont elle est capable. L’excitation de son partenaire, qu’elle sent entre ses doigts et ses lèvres, lui fait ressentir un bouillonnement dans le bas-ventre. Il commence à gémir. Elle est très mouillée.


GREG - Ralentis, je sens que ça vient.


Elle retire son string tout en continuant d’aspirer le gland.


L. É - Taisez-vous, je n’ai pas terminé de vous examiner.


Elle lui met la pièce de lingerie dans la bouche avant de poursuivre sa tâche avec encore plus d’ardeur. Il éjacule enfin. Pour la première fois, elle le boit directement à la source, décuplant ainsi l’intensité de son orgasme. Elle lui retire son bâillon.


GREG - C’est ce qu’on appelle un happy end.

L. É - Pas encore.


Elle remonte sur lui et vient placer ses genoux sur l’oreiller au-dessus de sa tête. Il n’a pas le temps d’admirer sa chatte qu’il voit pour la première fois car elle descend son bassin, lui faisant goûter à son nectar.




* * * * * * * * * * * * * *




Antoine est rentré de New York. Il a revu Greg et ses amis, en compagnie d’L. É. Tout est comme avant. Elle veut pimenter un peu ses relations de couple. Elle a fait part de ses désirs de soumission à son homme. Mais son nouveau travail qui le fatigue nuit à sa créativité. Elle décide de prendre les devants en établissant un programme de ce qu’Antoine peut lui ordonner. Elle a pensé faire appel à l’imagination de Greg qui semble plus inspiré qu’eux pour la domination. Mais elle trouve un trop perverse l’idée de demander à son « presque-amant » d’écrire ce que son pote va lui faire subir. Elle s’applique donc à rédiger un message cru visant à l’exciter et à l’orienter précisément.

(J’attends que Revebebe publie ce texte pour envoyer le lien à mon homme.)



Antoine, le jour où tu voudras mettre en application ce scénario envoie-moi par texto l’heure à laquelle tu penses rentrer à l’appart. Ces consignes sont très claires, relis-les bien pour ne rien oublier. Je ne voudrais pas entendre le son de ta voix.


Je me préparerai psychologiquement et physiquement à ce que tu m’utilises. Je me ferai un lavement à l’eau tiède. À l’aide d’une seringue sans aiguille, je m’injecterai une solution lubrifiante dans l’intestin avant de placer un plug. Puis je mettrai ma tenue de soubrette.


Un quart d’heure avant ton arrivée, envoie-moi un deuxième message pour me prévenir. Tu trouveras la clef de la paire de bracelets, un préservatif, le lubrifiant, une boîte de mouchoirs et un sex-toy sur la table, et moi, au milieu de la pièce principale, les yeux bandés, les mains menottées dans le dos, les genoux sur un oreiller et le buste posé sur un autre.


En appuyant sur mon bassin, tu me feras me cambrer au maximum. Tu retireras l’accessoire, de mon anus qui l’aura maintenu légèrement dilaté, pour le remplacer par le gode long et fin que tu viendras de lubrifier. Tu le feras aller et venir de plus en plus loin avec douceur. Tu le laisseras fiché presque entier dans mon fondement. Tu passeras devant moi pour me redresser sur les genoux.


Tu sortiras ton sexe et te masturberas devant mon visage. D’une pression du pouce sur mon menton, tu me feras ouvrir la bouche. En touchant du doigt ma langue, tu m’indiqueras que tu veux que je la tire. Tu passeras ton gland dessus. Quand tu pousseras ma tête vers ta verge, je t’accueillerai dans ma bouche et commencerai mon travail. Tu pourras sortir ton sexe et appliquer tes testicules sur ma langue pour que je les lèche.


Quand tu seras suffisamment excité, tu libéreras mes mains. En me poussant entre mes omoplates, tu me feras mettre à quatre pattes. Ça sera au tour de ta queue de remplacer le gode anal que tu envelopperas, aussitôt sorti de moi, dans un mouchoir. Tu appliqueras une dose généreuse de lubrifiant sur ton phallus avant de commencer à me pénétrer doucement. Tu me sodomiseras avec lenteur en me tenant fermement par les fesses. Tu ne jouiras pas à l’intérieur. Tu te retireras gentiment quand tu auras fini de me sodomiser.


Si tu n’as pas mis le préservatif, tu iras laver ton sexe au savon dans la cabine de douches, profites-en pour nettoyer également le jouet avant de le ranger.


Tu t’assiéras dans le fauteuil et me siffleras pour que je vienne à quatre pattes me présenter devant toi. Tu m’attireras contre ta queue pour que je termine mon travail.


Je ne veux pas parler de vive voix de ces instructions. Si tu as des modifications à suggérer, fais-le-moi savoir par mail.




* * * * * * * * * * * * * *




Antoine a suivi toutes les instructions à la lettre. Il a juste omis d’en faire part à sa moitié d’un petit plus. Il est dans le fauteuil, profitant de sa copine qui le suce avec un art consommé. Il sent sa jouissance proche. Il retire soudainement le bandeau de sa soumise qui s’aperçoit alors de la présence d’un intrus à son fantasme. Antoine se déverse longuement dans la bouche de sa suceuse dont il retient la tête.


L’intrus, c’est Greg. Elle le voit nu, en érection, tenant un caméscope allumé braqué sur elle. Elle tente de se relever mais son homme l’en empêche. Prisonnière, elle se décide à avaler le sperme. Elle reconnaît l’appareil numérique, c’est le leur.


Greg rompt le silence :



Elle n’en revient pas qu’Antoine ait osé lui faire ça. Elle le dévisage comme si elle le voyait pour la première fois. Comme pour lui répondre, il se lève et récupère le caméscope qu’il pointe aussitôt dans sa direction. La meilleure solution qu’il lui reste encore est de jouer le jeu pour les amadouer. Elle se demande s’ils n’oseraient pas essayer de la faire chanter ou montrer la vidéo à d’autres potes et si elle ne deviendrait pas une sorte d’esclave sexuelle. Elle prend conscience de la chaleur, de son cœur qui bat vite, de colère mais aussi d’excitation. Elle sent les mains de Greg passer autour de son cou. Il lui met un collier et recule à l’autre bout de la pièce. En voyant la lanière qui les unit maintenant, elle comprend qu’il s’agit d’une laisse.


GREG - Allez, au pied !


Elle jette un regard à Antoine. Il ne quitte même pas l’écran de l’appareil, il se caresse de l’autre main. Elle l’entend déjà lui rappeler que c’est elle qui lui reproche sans cesse de manquer d’initiative… Pour l’instant, il rebande déjà.


Il est mignon avec son caméscope. S’il avait un peu de mémoire, il saurait que le disque dur n’enregistre plus depuis qu’L. É l’a laissé tomber.