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Temps de lecture estimé : 21 mn
27/07/09
Résumé:  Pendant les vacances de mes parents, je suis accueilli par une de leurs amies, un rien obsédée. Nous sympathisons rapidement. Sa perversion préférée : le voyeurisme dans un quartier qui s'y prête bien.
Critères:  fplusag jeunes vacances collection voir exhib nopéné -amiamour -voyeuroca -exhib
Auteur : Pollux a la barre            Envoi mini-message

Série : Quelques jours pimentés

Chapitre 01 / 03
Solange m'invite à son safari

Les premiers jours.


Chaque année, depuis que j’ai 12 ans, mes parents profitent d’une maison de vacances qui leur est proposée gratuitement dans le sud de la France. Et chaque année, c’est ma grand-mère qui s’occupe de moi. Elle est d’abord venue à la maison, parce que je devais continuer à aller à l’école, mais depuis que j’ai commencé l’université, depuis que mes parents ont décidé de calquer ces vacances sur mon blocus d’étudiant, c’est plutôt moi qui vais chez elle.


Mais cette année, Mamy a dû se faire opérer, et elle n’est pas en assez bon état pour prendre soin de moi (!). Mes parents étaient bien embêtés. Et c’est par hasard que Maman a reçu un coup de fil d’une de ses copines et que cette dernière lui a proposé de m’héberger et d’être aux petits soins avec moi pendant cette période, afin que je puisse pleinement me consacrer à mes études. Sans même me demander mon avis, et trop heureuse de trouver une solution, Maman a accepté.


Je n’ai de Solange que peu de souvenirs. Ça doit faire presque dix ans que je ne l’ai plus vue. Je me souviens qu’elle a de gros seins et un rire qu’on peut qualifier de tonitruant.

Je ne suis pas très motivé à me rendre chez elle, mais je me dis qu’au moins, je pourrai étudier, étudier et étudier, ce que je n’ai sans doute pas assez fait cette année. Et puis, peut-être que je pourrai vérifier par le trou de serrure de sa salle de bain si ses seins sont aussi gros, libérés de leur soutien…


Mes parents me laissent donc chez Solange après qu’on a mangé à quatre un barbecue assez réussi. Solange a effectivement une paire de lolos qui correspond à mes souvenirs. Un chignon qui n’arrange que modérément sa chevelure plutôt brune, de bonnes joues qu’on a envie d’embrasser, une bouche charnue à souhait, de grands yeux rieurs et un petit nez mutin décorent son visage. Ses fesses et ses cuisses correspondent à ses seins, et encadrent un ventre resté étonnamment plat, ce qui rend son corps particulièrement accueillant. Elle est habillée d’une robe orange un peu style Woodstock, si je peux me permettre cette référence culturelle.


Je monte dans la chambre d’ami où Solange m’a installé une table qui me permettra de travailler sérieusement… Elle m’appelle et me propose de descendre regarder la télé avec elle. Je ne suis pas trop sûr d’avoir envie de me coltiner une première soirée avec cette quasi inconnue et je traîne un peu. Elle vient alors me chercher. Elle a besoin de moi pour choisir le programme. De toute façon, j’aurai le temps de terminer de ranger ma chambre le lendemain. Je n’ai donc pas le choix…

Elle me lance la revue télé en m’annonçant que le programme est fait pour moi et qu’il y a plein de chouettes films avec de chouettes gonzesses. Puis elle s’inquiète :



Moi qui rêvais de regarder la finale entre Barcelone et Liverpool, je lui annonce piteusement que « pas trop ».

Elle est satisfaite et me précise alors que je vais pouvoir me rincer l’œil, parce que, ce soir, il y a les seins de Kaprisky dans « L’Année des méduses » sur une chaîne, ceux de Sophie Marceau dans « Fanfan » sur une autre et même ceux de Brigitte Bardot dans « Le Mépris » sur Arte. Je choisis Fanfan. J’aime beaucoup Giraudeau, mais il a fait beaucoup mieux que ce film avec la belle Valérie. J’ai pas envie de me prendre la tête avec le Godard. Même si je le regarderais bien, juste pour le dialogue avec Piccoli, le dialogue le plus bandant que le cinéma nous ait permis d’écouter. Mais la Marceau dans Fanfan… et surtout les salles de bain avec les miroirs sans tain… Un fantasme absolu !


On s’assied côte à côte sur le divan. Et on regarde. C’est vrai que ce film est sympa. Et c’est vrai que Sophie a de chouettes lolos ! Et Solange commente. Cette dame, presque vingt ans plus âgée que moi, qui me parle des nibards de la télé, qui me demande ce que j’en pense, qui regrette que Perez, le partenaire de Marceau, ne s’exhibe pas plus… alors que je la connais à peine… Je suis un peu gêné…


Je m’esquive rapidement après le film, en expliquant que je dois me lever tôt demain. Elle aussi se lève tôt. Elle travaille encore trois jours avant de prendre une petite quinzaine de jours de repos. Juste le temps de mon séjour chez elle. Elle viendra me réveiller.


7 h 00. Elle frappe et entre dans ma chambre. Puis va ouvrir les tentures. J’enfouis ma tête dans l’oreiller. Je n’aime pas l’agression de la lumière le matin. J’essaie de paresser un peu, mais elle revient et insiste. Il est l’heure de me lever ! Je laisse couler. Elle revient à la charge. Et comme je ne bouge pas, elle arrache l’édredon. Je dors nu, et elle ne semblait pas s’y attendre. Me voilà, les fesses à l’air sous son regard un rien ahuri… Elle pousse un cri, glousse, puis s’enfuit en riant…


Je me lève enfin. Passe un short pour me rendre rapidement à la douche. Puis descends pour prendre le petit déjeuner. Juste au moment où elle s’apprête à quitter la maison. Elle me fait la bise, en me disant que je trouverai ce qu’il faut sur la table de la cuisine, qu’il y a des pâtes à réchauffer pour midi, qu’elle rentre vers 18 h et que j’ai un joli petit cul. Puis, elle claque la porte. Je me dis qu’elle est un peu folle, mais que finalement elle est sympa… Et puis, le fait qu’elle m’ait foutu à poil, c’est plutôt fait pour me plaire !


Je travaille comme un dieu ce jour-là. Même mon père qui est le plus chiant des pères pour ce qui concerne les études serait fier de moi. C’est Solange qui en rentrant m’extrait de mes bouquins…


On mange sur la terrasse. J’ai même pas remarqué qu’il y avait du soleil aujourd’hui. Elle m’annonce qu’il n’y a rien d’intéressant à la télé et me propose d’ouvrir une bouteille de rosé et de passer la soirée au calme à écouter le soleil se coucher ! Doublement poétique la dame ! Mais si ! Écouter le soleil se coucher, c’est poétique. Et ouvrir une bonne bouteille de rosé, c’est poétique aussi, je trouve ! Elle torche seule plus de la moitié de la bouteille. Je n’y vois aucun inconvénient, il faut que je sois en forme demain pour poursuivre sur ma lancée studieuse.


Solange me questionne sur mes petites amies, me demande si j’ai rêvé des seins de Sophie Marceau (prémonitoire ! Julien Clerc n’avait pas encore chanté la chanson à cette époque !), bref, reste conforme à l’image que je commence à me faire d’elle. Assez sympathique, et un rien obsédée. Sa conversation me plaît, et je profite des instants où elle remplit les verres, moments pendant lesquels son décolleté s’ouvre, confirmant si besoin en était le volume bien agréable de sa poitrine. Je crois qu’elle remarque mon manège, mais elle ne s’y oppose pas.


Direction le lit. Même carrousel le lendemain matin, sauf que je suis réveillé et que je me lève plus rapidement. Je déjeune avec elle. C’est sympa, d’autant plus qu’elle me reproche de n’avoir pu admirer mes fesses. Elle pense qu’à ça la gonzesse. Faudra que j’y sois plus attentif !


Après une nouvelle journée de travail fructueuse, je m’occupe du poulet, fais chauffer la compote de pommes dans le micro-ondes et plonge les frites dans l’huile bouillante. Elle prétend que je suis un véritable cordon-bleu, ce qui, en plus de mon petit cul, devrait satisfaire l’heureuse femme qui me mettra la corde au cou ! Elle n’en rate pas une. Mais ce soir, ça ne fait que commencer…

Je range la table quand elle m’appelle à l’étage. Je la rejoins. Elle regarde un jeune couple qui débarque des valises d’une Audi rouge. Et elle m’explique.



Et paf ! Une petite claque sur les fesses pour m’inviter à terminer le rangement de la cuisine.


Je suis dans le divan quand elle redescend, un album sous le bras…

Elle vient s’asseoir et ouvre l’album. Dans lequel je découvre des photos de l’Audi rouge de tout à l’heure, la nana qui ferme le garage avec effectivement la foufoune et le reste à l’air, le mec avec un zob tout dur qui, lui, va rouvrir le garage… Elle m’explique :



J’acquiesce et fais mine d’aller voir plus loin dans l’album… Une petite tape sur la main.



Et pour m’ôter toute envie de transgresser sa décision, elle remonte les photos.



Je monte dormir. Elle commence à vachement m’exciter avec toutes ces histoires. J’ai de moins en moins la tête aux examens. Je m’endors difficilement, mais y arrive finalement… Elle vient me réveiller à 7 h. Mais ces dernières 48 heures m’ont émoustillé et je cherche la provoc’ avec Solange. Je reste donc sagement dans mon lit. Elle m’enguirlande gentiment quelques minutes plus tard, mais vu mon manque de réaction, elle fait mine de retenter l’expérience de la première nuit. Je suis cette fois couché sur le dos, l’oreiller posé sur ma tête pour éviter la lumière. Et je dois dire que les pensées qui m’agitent agitent particulièrement un point précis de mon anatomie. Solange se place au pied du lit, et tire doucement sur l’édredon. Elle découvre mon nombril. Va-t-elle aller plus loin ? Moi, je ne réagis pas et laisse faire…



Pas de réaction de ma part. L’édredon se remet à glisser. Une petite résistance s’oppose à l’édredon au niveau de mon sexe. Solange semble hésiter. Quelques petits à-coups ne suffisent pas. Et elle se décide. Un grand coup. Me voilà complètement dénudé, une belle érection matinale au milieu de mon corps. Un grand sourire chez Solange, puis un éclat de rire et un départ en courant hors de ma chambre. Je souris aussi. Et récupère l’édredon pour me couvrir à nouveau, le temps de tenter d’arrêter de bander. Les pensées qui m’assaillent ne rendent pas cette opération facile. J’y suis cependant suffisamment arrivé quand Solange déboule à nouveau dans ma chambre.



Et je joins le geste à la parole. Me voilà debout et nu devant elle. C’est elle qui perd un peu contenance. Je vais prendre ma douche, et me glisse, nu, entre elle et le chambranle de la porte. Je la sens me regarder me diriger vers la salle de bain. Je me retourne en y pénétrant.



Un petit « À ce soir ! » sort de la bouche de Solange. Et je ferme la porte derrière moi. Là, je l’ai bluffée !


Une douche rapide, un petit-déj plus rapidement expédié encore, et je me plonge dans mes livres. Cela marche deux heures. Et puis Solange apparaît dans mes pensées. Je repense à ces quelques heures passées avec elle. Puis, je pense à l’album… Je me lève, fonce dans sa chambre et me mets à sa recherche. Je suis un peu gêné de fouiller ses affaires, ce n’est pas vraiment dans mes habitudes, mais l’attrait pour cet album est trop grand. Il me faut un quart d’heure pour le dénicher dans une boîte derrière des piles de vêtements. Accompagné d’un second album. L’album rouge, c’est celui que Solange m’a montré hier. Et puis, il y a un album blanc.


Je commence par le rouge. Rempli de photos de gens à poil. Certaines photos sont prises à travers une fenêtre, d’autres montrent des gens dehors… tous nus ! Les photos ne présentent pas un grand intérêt en tant que tel. Si ce n’est que c’est sans doute Solange qui les a prises, ce qui démontre son intéressante perversité… Je tourne les pages, sans rien remarquer de bien particulier. Quelques gros nichons m’interpellent plus. De même, je sens pointer chez moi une petite jalousie à la vue d’un sexe mâle particulièrement bien proportionné ! Mais à part ça, rien de particulier… Je pense que ça sera plus intéressant de regarder ces photos avec Solange. Je tenterai le coup le moment venu…


Je prends alors le second album… Et là ! Surprise plus grande encore. Des nanas et des mecs à poil, mais… dans… SA salle de bain ! Solange prend des photos des gens quand ils sont dans sa salle de bain… Les photos ne sont pas très bien cadrées. Je suppose donc qu’elle tire un peu au hasard… Je file voir dans cette pièce avec l’album, repère l’angle de vue, et déniche sur une étagère, une boîte de Tampax consciencieusement refermée, mais comprenant deux petits trous. Un, pointé vers moi, et laissant apparaître l’objectif, et un autre, à l’arrière qui laisse passer un fil qui lui-même file à travers le mur. Je déboule dans le bureau de Solange, situé justement de l’autre côté de ce mur, retrouve le fil et découvre qu’il est connecté à un petit ordi portable. Madame espionne donc les gens qui se lavent dans sa salle de bain et prend des clichés… Quelle petite salope ! Et quelles parties de plaisir ces découvertes annoncent-elles ! « T’es une petite salope, et j’aime ça ! » est la ritournelle qui tourne maintenant dans ma tête.


Je replonge dans l’album. Finalement pas plus intéressant que l’autre. Des hommes à poil, des femmes à poil, en photo, c’est amusant, mais on se lasse. Sauf que je reconnais un visage. C’est ma tante Olga ! Puis son mari, oncle Fred ! Et même mes parents ! Maman toute nue sur les photos de Solange. Et Papa ! S’il savait ça ! Lui qui refuse depuis toujours qu’on rentre dans la salle de bain quand il y est, alors que le reste de la famille se promène facilement les fesses à l’air à la maison !

Je range tout, et m’oblige à retourner étudier. Je ne peux pas dire que le travail pour le reste de la journée soit particulièrement fructueux, mais je m’y attèle.


J’entends Solange qui rentre. Elle chipote en bas, puis vient me dire bonjour, avant de redescendre préparer le repas… Je la rejoins. On parle de tout et de rien, mais je la sens toujours sur le coup de mon exhibition du matin. Je range la table puis la vaisselle dans le lave-vaisselle. C’est le moins que je puisse faire pour la remercier de l’accueil, puis lui annonce que je vais prendre une douche, la journée ayant été assez chaude. Je décide de me déshabiller dans la chambre, et mon vœu est exaucé, je l’entends monter les escaliers. C’est bien évidemment le moment que je choisis pour déboucher sur le palier, et de naturellement me diriger vers la salle de bain, avec un léger sourire à son adresse. Je prends le temps de me regarder dans le miroir, et prends des poses discrètes pour qu’elle puisse réaliser quelques photos où je serais à mon avantage. Je dois dire que, comparé aux personnes sur les photos que j’ai pu parcourir tout à l’heure, je suis probablement plus jeune. Les autres sont des mâles et femelles ayant déjà un bout de chemin derrière eux !


Je me glisse sous la douche, profite du jet rafraîchissant, puis sors pour me sécher. Je suis sec et m’apprête à quitter la salle d’eau, quand Solange frappe à la porte et me crie de venir rapidement, les voisins à l’Audi rouge semblent préparer leur petite excursion. J’ouvre à poil et la rejoins à la fenêtre. Elle ne sait plus où se mettre, moi tout nu et la voisine d’en face qui apparaît dans le même état à la porte du garage…



Et la voiture s’en va.



Puis elle me regarde, et me lance :



Et sa main claque sur ma fesse nue. Je traîne quelques minutes dans ma chambre dans la même tenue espérant son passage, mais je l’entends redescendre. Je m’habille alors, et profite pour passer en revue quelques pages qui m’avaient semblé plus difficiles aujourd’hui. Et miracle, elles rentrent facilement dans mon petit cerveau. Solange réapparaît à la porte.



Et en effet, quelques minutes plus tard, l’Audi débouche à l’autre bout du quartier. Le chauffeur gare sa voiture devant la porte du garage et sort de la voiture, nu, une belle trique le précédant. Ça ne dure que quelques secondes. Il revient à la voiture, la rentre dans le garage. Sa compagne sort à son tour et va fermer la porte. C’est fini. Mais Solange en a profité pour améliorer sa collection de photos, photos qu’elle prend avec un gros téléobjectif. Ça lui coûte des sous d’assouvir sa perversité ! Elle remarque mon regard dirigé vers son matériel.



Par chance, il n’y a rien à la télé et on peut donc parler cul. Je suis assez impressionné par la balade des voisins et je cherche avec elle comment on pourrait s’immiscer dans leur petit jeu. Mais les idées sont peu convaincantes. Elle préfère manifestement orienter la conversation vers moi.



Je réponds :



Elle admet, mais ajoute :



Le lendemain, je fais sonner mon réveil. Solange commence ses vacances et a droit à se reposer. Plutôt que de me lever, je prends un de mes bouquins et entame mon travail. Je bosse une bonne heure avant qu’elle ne vienne me saluer. Elle s’étonne que je sois toujours au lit. Je lui explique qu’il m’arrive d’organiser ma journée à ma façon, et que je peux être très efficace pour les études dès le réveil. C’est même parfois mon meilleur moment de la journée.



Je fais signe que non.



Elle acquiesce et retourne vers sa chambre. Cela devient une habitude, mais il faut que je l’entende quitter cette pièce pour que je quitte la mienne, évidemment la biroute à l’air.



Ma douche terminée, je la rejoins pour le petit-déj, où elle me rappelle notre virée de l’après-midi.



Je souris, mais ne relève pas.


Le safari…


La matinée est calme et je carbure bien. La matière rentre plus facilement que je ne l’espérais. Après un bout de pain et de fromage, je l’accompagne donc à la découverte de son « safari ».



J’obéis. Caché derrière l’arbre, je la vois s’approcher de la maison. Puis s’arrêter à sa hauteur, et faire un signe de la main. J’aperçois alors un tout nu au premier étage. Elle lui fait un autre signe. Il répond. Cela dure quelques secondes, puis elle s’en va et me rejoint.



« Ça te plaît ? Allez, on continue !


« Ici, c’est monsieur Gilbert. Lui, il vit toujours tout nu. Il sort chercher son bois dans la remise ? Tout nu. Il va chercher son chien qui ne veut pas rentrer ? Tout nu. Son courrier le matin ? Tout nu. Il ne s’habille que pour quitter le périmètre de sa propriété. En été comme en hiver. Des voisins ont bien râlé auprès de sa femme. Qui apparemment, au début, n’était pas trop pour les exhibs de son homme. Mais qui s’y est finalement habituée. Les flics sont bien passés une fois ou l’autre. Mais il fait rien de très grave le bonhomme. Il est chez lui ! Et ceux que ça dérange, ils n’ont qu’à regarder ailleurs. Moi je regarde chaque fois que je passe. Mais, pour voir son kiki, le samedi c’est pas un bon jour. Il est rarement là le samedi. Il part faire une grande balade avec sa femme et son chien. Ce qui m’impressionne, c’est sa paire de couilles ! Une sacrée paire de couilles qui pend bien bas !


Et on se balade, Solange me racontant ses découvertes, s’animant à propos d’un zob hors norme, ou d’une paire de seins qui n’étaient pas particulièrement exhibés, mais qu’ELLE a vus. Parce qu’elle ne manque rien dans le quartier. Et au fur et à mesure des maisons qui passent, elle explique. Le plus souvent ce sont des anecdotes uniques, parfois plus régulières comme Juan ou monsieur Gilbert. C’est un couple qui monte les escaliers, la dame embrochée sur le monsieur, et qui oublient tous les deux qu’il y a sur le palier une fenêtre qui permet aux passants de profiter d’une image furtive. Ce sont trois jeunes imbibés de bière qui font des paris dans le jardin de l’un d’entre eux et se retrouvent pantalon et slip aux chaussures. Ce sont d’autres jeunes du même style qui la repèrent, qui la trouvent sans doute trop curieuse, mais qui, plutôt que de la remballer, ou de se faire discrets, lui montrent leurs fesses. Et comme elle ne se décide pas à s’en aller, ils exhibent le reste. Elle les salue donc d’un geste amical…


On arrive au bout du quartier. Solange prend alors un chemin qui dirige nos pas à l’arrière des maisons.



On grimpe en s’aidant des bras et des arbres pour atteindre une espèce de sentier assez accidenté. Le « safari » comme l’appelle Solange commence à bien porter son nom !

La belle me montre, assez excitée, une maison aux briques roses.



Je ne vois d’abord rien. Puis une femme apparaît à la porte-fenêtre de la terrasse, complètement nue. Mais ce n’est pas ça qui me surprend le plus… Cette bonne femme à poil doit mesurer entre 1 m 50 et 1 m 60, tant en hauteur qu’en largeur. Bon. J’exagère un peu, mais quand même. On a l’impression de voir une grosse boule. Elle a les joues joufflues, les mamelles mamelues, le ventre ventru, les fesses fessues. On pourrait ajouter, mais la langue française ne nous permet pas ces écarts de vocabulaire, qu’elle a également les cuisses cuissues et les mollets molletus ! Voir en vrai une femme comme ça à poil, c’est étonnant. Mais la surprise ne s’arrête pas là. Elle parle. Je vois en tout cas à l’expression de son visage qu’elle s’adresse à quelqu’un. J’aperçois alors, une copie conforme. Une autre grosse femme, presque identique à la première. La seule différence : elle semble avoir les mamelles plus mamelues que sa sœur jumelle. Car ce ne peut être que des jumelles. Ce n’est pas possible autrement.

Solange me ramène sur terre.



Mon cerveau pénètre alors à l’intérieur de mon slip, mais ne remarque rien de particulier. Il est assez excitant d’observer ces deux nanas, mais ce n’est pas à ce niveau-là que l’excitation se traduit. Et pourtant, je sens malgré tout que mon intérêt pour elles est sexuel. Ce n’est pas une envie de leur sauter dessus, mais je pressens des vibrations « érotiques » inconnues.



Je continue mon observation pendant qu’elle m’explique :



Je reste impressionné et silencieux. Solange accepte mon silence. Les deux grâces sont maintenant effectivement étalées sur deux grandes couvertures au milieu du jardin. Plus rien ne se passe. Ce qui me permet d’enfin atterrir…



Et on continue sur le sentier, on écarte des branches, on fait attention aux orties (qu’est-ce qui m’a pris de mettre un short. Elle aurait pu me prévenir ma copine !), on se baisse, et on arrive au point d’observation de Solange. Elle pousse un petit cri de désappointement…



Et de me raconter :



J’aperçois en effet une série d’instruments de torture que les fanas des tablettes de chocolat au ventre et des biscoteaux maousse costauds semblent apprécier.



On se dirige alors vers la maison.