n° 13407 | Fiche technique | 21086 caractères | 21086Temps de lecture estimé : 12 mn | 08/08/09 |
Résumé: Une petite boutique de fringues, une dernière cliente arrivant sur le tard, un dérapage incontrôlé. | ||||
Critères: fh inconnu magasin essayage voir exhib noculotte hmast nopéné -occasion -magasin | ||||
Auteur : Pazapa Envoi mini-message |
Les journées sont souvent longues et monotones pour un homme dans le prêt-à-porter féminin, mais une de ces journées s’est terminée de manière étonnante.
Il était près de 19 heures et je m’apprêtais à fermer ma boutique, quand une cliente apparut dans l’entrebâillement du rideau, et me dit, avec un sourire propre à faire fondre toutes les murailles :
J’avais une longue journée harassante derrière moi et hâte de rentrer, mais par flemme, peut-être d’avoir à parlementer :
Je la laissai entrer et refermai le rideau derrière elle en disant :
Je me rattrapai à temps.
Elle éclata de rire en me disant :
Je la regardai alors attentivement, un peu agacé par son sans-gêne, mais irrésistiblement attiré par ses yeux rieurs…
Je m’écartai pour la laisser passer.
Généralement, je laisse les clientes choisir elles-mêmes, mais ce soir-là je l’accompagnai pour la conseiller et réaliser la vente le plus vite possible. Mais ma véritable motivation se situait au niveau de la courbe tentatrice de ses hanches, et des expressions singulières qu’elle donnait à sa bouche.
J’oubliais complètement mon boulot de vendeur, et je restais derrière elle comme un con à respirer son parfum… Oui, c’est cela, son parfum, un étonnant mélange d’odeur capiteuse et de discrétion ambrée…
Mon regard survola ses formes d’une manière toute professionnelle pour apprécier sa taille.
Je remarquai qu’elle n’avait pas complètement poussé le rideau, sûrement par pure négligence, pensai-je. Profitant de la situation, je me mis à mater par la fente bien dégagée et quand elle se trouva en slip genre petit bateau et soutien-gorge bien couvrant, le tout du style confortable, je me dis intérieurement : « Raté mon garçon ! On ne peut dire que ce soit vraiment érotique ». Elle mit la robe en se tortillant et après moult gymnastique, elle réussit à se glisser dans l’étroit fourreau de crêpe lycra, un col mao laissant place à un dos dénudé jusqu’au creux des reins.
La robe lui allait à merveille ; mais entre son slip qui montait plus haut que le bas du décolleté dans le dos et la barrière du soutien-gorge qui fendait en deux la perspective, c’était à la limite du ridicule.
Elle commença alors à défaire son soutien-gorge sans retirer la robe, mais ce n’était pas facile, et soudain :
En tirant l’agrafe, ma main toucha sa peau, qu’elle avait toute chaude, lisse et moelleuse, je commençai à avoir le cœur en effervescence et le geste peu sûr.
L’agrafe se décrocha et la robe glissa sur ses épaules.
J’étais derrière elle et je suivais sa réaction dans le miroir de la cabine, elle devint rouge et ouvrit la bouche pour répondre, mais aucun son n’en sortit et c’est sur ses lèvres que je lus le « oui ».
Je saisis l’agrafe entre mes doigts en séparant les deux bouts. J’observai dans le miroir les bonnets se relâchant du globe de ses seins, retenus seulement par le bout de ses tétons durcis, puis je lâchai ma prise.
Quelques secondes après, elle était nue jusqu’à la taille, ayant perdu le sourire assuré lors de son arrivée, pour une attitude plus timide.
Je me penchai en rapprochant ma bouche de son oreille, pour lui chuchoter :
C’est d’un souffle à peine perceptible qu’elle me parlait.
Elle ne disait plus rien et moi, je tournais mille phrases dans ma tête pour essayer de sortir quelques mots ne risquant pas de casser cet instant magique.
N’en trouvant pas de satisfaisant, je remontai doucement le haut de la robe, en m’arrêtant au moment où le tissu allait recouvrir ses bouts de seins. Sa respiration devenait de plus en plus forte, et ça me fit prendre conscience de l’état dans lequel j’étais moi aussi.
Ma gorge était contractée, et une raideur caractéristique envahissait mon bas-ventre.
Cet instant ne dura que quelques secondes mais j’eus l’impression que le temps s’était arrêté.
Quand je renouai l’agrafe sur sa nuque, l’atmosphère se décontracta à nouveau…
Elle prit ses seins à deux mains pour parfaire leur position sous le tissu fin.
J’eus l’impression que d’un seul coup son sourire restait suspendu à ce mot sans équivoque, et à mon regard planté dans le fond de ses yeux clairs…
Je me penchai à nouveau pour lui glisser dans le coin de l’oreille :
Je ne sais toujours pas si j’ai imaginé ou si elle a vraiment dit ces mots dans un murmure à peine audible, mais considérant que « qui ne dit mot consent », je lui dis tout en m’accroupissant :
Je saisis le bas de la robe et la remontai doucement, découvrant ainsi peu à peu ses jambes nues. Elle ne disait rien mais remise de son trouble du départ, elle suivait avec un sourire amusé la suite des opérations.
Lorsque la robe dépassa ses genoux en découvrant ses cuisses, je lâchai le tissu en laissant mes deux mains continuer la progression sous sa robe.
Tout en remontant le long de ses cuisses, je palpais de mes doigts fébriles la douceur satinée de sa peau faisant en sorte de retarder au maximum, cette ascension érotique.
À chaque seconde, je me disais pourvu qu’elle ne me repousse pas, qu’elle ne retombe pas sur Terre en me disant un truc du genre « Mais vous êtes fou, laissez-moi tranquille, enlevez vos sales pattes de là ». Je cherchai son regard à travers le miroir pour saisir un encouragement, même imperceptible, à accomplir cet ultime dépouillement de son intimité.
J’étais là, à ses pieds, accroupi, les yeux levés et accrochés au sourire énigmatique qu’elle avait composé.
Au moment où mes mains encore timides prirent le chemin, l’une de son ventre et l’autre de ses fesses, caressant maintenant ses formes secrètes à travers le coton confortable de son slip, je pris conscience que rarement mon excitation sexuelle avait connu un tel paroxysme.
L’inconfort de ma position rendait par contre mon érection légèrement douloureuse, mais je ne voulais rien changer de peur de rompre le charme.
Est-ce que cet inconfort se matérialisait par mon expression ? Je ne peux le dire mais elle retrouva sa voix pour me dire d’une voix basse :
Je me mis moi aussi à rire, et pelotai maintenant ses fesses et son pubis sans faux-semblant.
D’un doigt j’attrapai le haut de son slip par l’élastique de la taille et commençai à le faire glisser vers le bas, les mains repliées se frayant difficilement un passage entre le slip et la robe moulante. Tout au long de cette descente, je sentais le grain d’une finesse incomparable de la peau de ses fesses, la caresse rêche et excitante de la touffe de son ventre, et au creux de l’aine, je sentis palpiter une veine à fleur de peau.
Je crois que rarement dans l’histoire des petites culottes, le chemin fut si long entre la taille et le haut des cuisses, jamais un slip n’a tant musardé en chemin au moment de dénuder les fesses et le ventre dont il était le rempart pudique.
Les cuisses, les genoux, les chevilles, un pied levé puis l’autre.
Elle se retourna pour contempler le tombant du tissu sur ses reins dans une ligne désormais sans faux plis.
Elle partit, elle aussi, d’un rire franc en me prenant amicalement par le cou pour faire résonner un baiser spontané sur ma joue.
Elle m’entraîna vers le rayon et passa les robes en revue comme on feuillette un livre.
Ayant hâte de la voir si joliment déshabillée par ce bout de tissu minuscule :
Je l’accompagnai vers la cabine, et à ma grande surprise, elle tira le rideau derrière elle, se dérobant ainsi à mon voyeurisme exacerbé.
Elle tira le rideau elle-même, et m’apparut radieuse, un sourire épanoui sur le visage.
La robe avec un décolleté profond ne cachait que le bout de ses tétons et s’arrêtait juste en haut des cuisses.
Lentement, elle se baissa, pour remettre sa chaussure. Évidemment la position fit remonter sa robe et j’eus devant moi le plus ravissant tableau qu’il m’ait été donné de voir. Elle n’avait pas remis son slip et les deux pommes charnues de son ravissant derrière se montraient sans pudeur à mes yeux extasiés.
En disant cela je pris sa main et la plaqua sur mon ventre où mon sexe emprisonné avait du mal à se contenter de la petite place que lui accordait mon slip. Elle ne dit rien mais commença à masser doucement la bosse virile.
Électrisé par sa réaction prometteuse, je plongeai ma main entre ses cuisses, et mes doigts dans la chaleur trempée de son sexe.
Elle se redressa soudain, et me dit :
Un peu ébahi par sa demande, mais complètement excité par la nouveauté de la situation, j’entrepris d’ouvrir ma braguette et baissant mon slip, j’extirpai tant bien que mal ma queue raide comme un pieu.
Je pris mon gland entre deux doigts car la hampe de ma queue était inaccessible à ma main entière, et commençai à le faire rouler entre mes doigts.
Pendant que je commençais à défaire ma ceinture, elle s’installa, assise sur le petit tabouret à roulette, me dévisageant d’un œil amusé.
Je me retrouvai sans pantalon, sans slip, la bite raide pointant vers le plafond, mais avec ma chemise.
Je me retrouvai en un tour de main complètement nu, devant cette femme habillée de sa mini robe et de son sourire moqueur, en me disant que j’allais lui en mettre plein la vue à cette petite mignonne. À chaque vêtement qui tombait, elle commentait d’une onomatopée d’appréciation…
J’empoignai la hampe noueuse de ma bite bandée, et commençai à la branler vigoureusement.
J’avais le gland gonflé, comme s’il devait éclater dans la seconde qui suivait. Pendant cette exhibition, je m’aperçus que, loin de suivre avec intérêt la branlette que j’exhibais, elle s’en désintéressait pour suivre l’évolution de mes sensations dans mon regard.
Elle se mit alors à crisper ses mains jointes entre ses cuisses, et je voyais ses muscles se serrer sur ses doigts.
Je ressentis aussitôt une onde violente contracter mon ventre.
Mon ventre tout entier se tendit dans une ultime crispation et un long jet de foutre jaillit de ma bite brûlante pour arroser ses cuisses.
Elle aussi jouissait, presque sans bouger, en regardant les traînées de sperme, qui maculaient ses cuisses et sa robe retroussée.
Alors que je ne savais plus quelle contenance prendre, elle ôta sa robe, et l’espace d’un instant, je la vis toute nue prendre ses vêtements un à un et se rhabiller sagement sans dire un mot.
Tout con, à poil, la bite molle, je lui donnai la clef.
Quelques semaines se sont passées depuis, et j’attends tous les jours avec impatience, avant la fermeture, qu’elle ouvre la porte pour une merveilleuse fête charnelle comme celle que nous avons vécue. Peut-être que…