n° 13413 | Fiche technique | 30230 caractères | 30230Temps de lecture estimé : 23 mn | 08/08/09 |
Résumé: Tina plonge ma main dans son chemisier jusqu'au fond de son soutien-gorge et elle demande d'un air narquois : tu n'aimes pas ça, peut-être ?
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Critères: fh couple vacances hotel amour fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Rocco si refroidi (J'aime la langue française, surtout celle de ma femme.) Envoi mini-message |
Concours : Sexe brut |
C’est en rentrant dans notre chambre d’hôtel que je comprends que Tina a beaucoup aimé la sangria du petit bar à tapas du front de mer. Et elle n’est pas décidée à éteindre les lampions de la fête ! Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est un peu imbibée de boissons qu’elle est désinhibée, mais je la trouve bien excitée, tout à coup.
Elle m’attrape par le cou en titubant et elle me lance dans le nez, en même temps que des relents d’alcool et d’agrumes :
Les mimiques de fausse timide qui suivent sa réponse me font sourire car une timide comme elle ferait rougir bien des hommes : Tina m’effeuille sans complexe et sans demander mon avis. Elle a maintenant les pommettes remontées par un grand sourire d’excitation joyeuse.
J’ai presque autant de mal qu’elle à rester debout tellement elle me bouscule pour me déshabiller. Il faut même que je la soutienne pendant qu’elle défait les boutons de ma chemise en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres. Elle attrape ma ceinture et elle me plaque contre elle en gloussant d’excitation.
Voilà qu’elle pelote – que dis-je – qu’elle malaxe mes fesses à pleines mains, oui ! Je hausse les sourcils tellement je n’en reviens pas.
Avec des yeux pétillants et en mordant ses lèvres pour ne pas éclater de rire, elle glisse sa main dans mon pantalon, juste à l’entrejambe. Je sens aussi, rien qu’à la façon dont elle roule des épaules, qu’elle s’ingénie à presser ses petits seins contre mon torse pour me provoquer de leur contact ferme. Mes lèvres commencent à chercher sa bouche…
Pour être sûre que je ne lui résisterai pas, elle prend la précaution de m’exciter sans vergogne : elle masse mes testicules contre sa cuisse, qu’elle remonte entre mes jambes et elle écrase son sexe sur ma cuisse dans un roulement de cul ravageur.
J’en perds les pédales et ma fausse assurance virile. Je fais le timide. C’est peut-être aussi pour jouer au séducteur pris à son propre jeu.
Pendant que je caresse son oreille avec la pointe de ma langue, je susurre :
Étonnée, Tina recule un peu la tête et me fixe un instant de son grand regard bleu, comme pour tenter de lire sur mon visage ce qu’elle vient d’entendre. Puis, rassurée, elle plonge ma main dans son chemisier, jusqu’au fond de son soutien-gorge et elle demande d’un air narquois :
D’un roulement d’épaule, elle prend soin de bien exposer les renflements soyeux de ses seins comprimés dans l’échancrure de son chemisier. Juste sous mes yeux. Ou plutôt, en plein dans le mille de mon envie d’elle, puis elle lâche :
Elle demande ça en malaxant mon sexe à pleine main, dans mon boxer. Je ne sais pas si c’est à cause de la fraîcheur de ses doigts ou de leurs contractions lancinantes sur mes bourses mais j’ai l’impression que tout mon sexe est brûlant.
En agrippant son poignet pour empêcher Tina de continuer à se servir sans retenue, je réponds :
Là, elle a déjà sorti mon pénis de mon jean. Elle commence à me masturber en plantant son regard d’allumeuse jusqu’au fond de mes yeux. Comme si elle essayait de masturber aussi mes prunelles !
Elle quitte son chemisier en m’aguichant du roulement de ses seins gonflés au point de faire craquer son minuscule soutien-gorge en dentelle rouge. Ça me donne des envies de saveurs pimentées et presque aussi piquantes pour m’exciter que ses œillades outrageusement provocantes.
Avec un sourire radieux, elle donne une tape sur ma fesse. Puis elle lance, avec l’air le plus aguichant qu’elle sait prendre quand elle veut jouer :
Elle a dit ça en baissant un bonnet de son soutien-gorge pour montrer son sein. Elle suce son index, elle le glisse sur l’aréole pour faire pointer son mamelon en me lançant un regard plus allumeur qu’un lance-flammes, puis elle continue ses bêtises :
Cette dernière réplique me surexcite et donne le signal de départ de notre course au plaisir. C’est à celui qui sera nu le premier ! Nos vêtements volent dans toute la pièce avec nos éclats de rire.
Avec les pieds encore empêtrés dans son string, Tina se jette sur le lit en criant :
Elle roule pour se coucher sur le dos et elle attrape un de mes mollets pour me rapprocher d’elle. Tina est couchée trop près du bord du matelas et sa tête bascule en arrière, en dehors du lit.
Sa belle chevelure noire que j’aime tant s’étale par terre comme un diadème autour de son front. Hi ! Elle ne doit voir que mes pieds dans cette position.
Tina lance son invitation au bal la tête à l’envers :
Comment voulez-vous que je résiste à une demande comme celle-là ? Je me laisse tomber à genoux juste à côté de sa tête que je prends à pleines mains. Je savoure le plaisir de sentir son poids dans mes mains pendant que je la soulève jusqu’à ma bouche. Je l’embrasse comme un fou !
C’est bon de sentir mon dos se courber vers elle pour que nos lèvres puissent s’écraser ensemble. Elles laissent à peine la place à nos langues pour en profiter aussi. Mais qui embrasse l’autre ? Quelle est la langue la plus agile pour envelopper sa rivale, maintenant ? C’est aussi suave que bandant, ces deux langues qui font l’amour sans nous demander notre avis et presque sans nos volontés. Juste pour nous exciter de leur jeu bien plus sexuel que sensuel.
Pendant que nos têtes roulent dans le même baiser, Tina attrape ma verge. Je ne sais pas comment elle a fait pour savoir o๠elle était avec ses yeux fermés. C’est peut-être cela qu’on appelle l’intuition féminine ? Tina miaule de plaisir avant de dire :
Elle agrippe mon membre à pleines mains et elle tire dessus comme sur une poignée de valise pour le rapprocher de sa figure et elle recommence :
Et pan ! Dans les dents de mes illusions de poète romantique. Juliette n’avait sûrement pas bu de Sangria avant d’inviter Roméo dans sa chambre.
Et regardez-la ! Elle me pompe le nœud à mort ! J’en perds mon français de collégien accro aux belles lettres…
Soudain, ses mains qui caressent mes fesses me font oublier les miennes, occupées à calmer mes envies de ses jolis petits seins.
Mais non ! Ce ne sont pas ses mains qui me surprennent, c’est son cou ! Je vois qu’il se déforme. En même temps, je sens que mon gland passe quelque chose au fond de sa bouche. Ma verge vient de pénétrer dans sa gorge ! Effrayé, j’ai un réflexe de recul qui me fait presque ressortir de sa bouche.
Tina pousse un grognement féroce en agrippant mes cuisses, comme pour m’en empêcher. Puis elle me laisse sortir et demande :
Tina reprend ma verge dans sa bouche lentement et je la regarde faire… J’ai des difficultés pour avaler ma salive, tellement elle m’excite en faisant cela. Elle recommence à rouler mon gland entre sa langue et son palais, puis elle bascule la tête en arrière en ouvrant sa bouche au maximum.
Cette fois, je sais ce qui va se passer et je sens le contact de sa luette au bout de mon gland. Elle a un petit haut-le-cœur qui me contracte mais je la laisse faire. Je n’ai d’ailleurs pas le temps de faire quoi que ce soit car presque en même temps, je vois de nouveau son cou se dilater et je sens que je suis délicieusement serré en elle.
Je suis tellement fasciné par ce qu’elle fait que je ne réalise pas immédiatement que ses lèvres s’écrasent doucement contre mes bourses. C’est lorsque sa langue chaude commence à mouiller mon pubis, que je sens une décharge de plaisir crisper les muscles de mon ventre.
Maintenant Tina fait coulisser ma verge dans sa gorge en offrant le spectacle fascinant de son cou que ma présence fait gonfler doucement à chaque fois qu’elle m’enfonce en elle.
Tout à coup, je comprends que ce qui est si agréable et qui masse si fort ma hampe, ce sont ses amygdales… Elle est folle ! Surtout que je réalise également qu’elle a forcément enfoncé mon gland encore plus profondément dans sa gorge… Ma tête va exploser ! Elle est vraiment folle de faire ça, mais c’est follement bon !
Je suis totalement surexcité. Surtout que les gémissements qu’elle émet me persuadent que c’est bon aussi pour elle.
Je suis fasciné car je n’arrive pas à comprendre la source de ce plaisir intense que nous procurent visiblement à tous deux sa bouche et sa gorge. Je ne crois pas que ce soit du seul fait que je sois comprimé ou qu’elle se sente dilatée par ma verge. Non, c’est bien plus fort que cela.
Tina ressort ma verge brusquement en haletant. Je suis un peu surpris et je comprends d’un seul coup.
Effrayé, je m’exclame :
Pendant que je caresse ses lèvres avec mon sexe, elle joue à laper mon gland à chaque fois qu’il passe à portée de sa langue.
Cette conversation a dû quand même l’exciter, car Tina nous remet très vite dans le feu de l’action. Elle le fait même de façon exagérément provocante : pendant qu’elle suce à fond ma queue elle étire ses mamelons d’une main et de l’autre, elle malaxe tout son entrejambe en grognant de plaisir. Elle veut vraiment jouer avec moi à plus nymphomane qu’elle n’est ?
Tina a raison. Ça m’excite joyeusement et je rentre dans son jeu : je caresse son cou à pleines mains, de façon un peu trop appuyée. Puis je referme mes doigts sur ses joues au point d’y sentir les contractions qui m’aspirent en elle. J’en tremble un peu.
C’est bon de sentir comme le moindre mouvement de son cou est excitant : à chaque fois que Tina déglutit, je sens remonter dans mon bras tous les frissons que ce petit mouvement fait naître dans la paume de ma main. Pourquoi donc est-ce si excitant ? C’est si fort que j’ai du mal à ne pas serrer son cou pour ressentir encore plus intensément tout ce plaisir.
Sans réfléchir, je lui dis tout ce que mon excitation me souffle à l’oreille pour jouer avec elle :
Elle ressort ma verge pour mouiller ses lèvres et elle me retrousse. Puis elle referme ses lèvres comme un piège moelleux et trempé sur mon gland découvert. Ça m’excite comme un fou ! Elle aussi, sûrement, parce qu’elle redouble la force de ses succions d’aspireuse de plaisir masculin. Je reprends mes encouragements en remuant les reins pour onduler plus fort en elle :
Je lâche son cou pour planter trois doigts dans son vagin.
Maintenant, elle miaule et elle serre toute sa main sur ma verge. Son autre main se dépêche de m’encourager en plaquant ma main entre ses cuisses.
Je vois de nouveau sa tête qui bascule en arrière mais cette fois, je ferme les yeux. Pourquoi ? Je ne sais pas. C’est peut-être la peur d’être trop excité pour rester raisonnable ? Ou bien, une gêne idiote de la voir s’abaisser à faire cela, alors qu’elle vient d’expliquer qu’au contraire, elle fait ça avec une pointe de domination sur moi ?
Je me rassure en me rappelant que nous sommes en train de jouer à celui qui sera le plus excité.
C’est l’impression de sentir que ma verge tout entière glisse dans sa gorge qui rouvre mes yeux et je ne vois plus qu’une chose : je n’ai plus de verge. Elle l’a fait disparaître entièrement en m’enfonçant jusqu’à la garde dans sa gorge complètement offerte.
Ses lèvres chaudes sont délicieusement enroulées tout autour de ma verge, au plus près de sa base. Comme le ferait une avaleuse de sabres ! Je sens même un peu ses dents qui pressent la chair de ma hampe.
Et là, il n’y a plus de mots. Il n’y a plus que les couleurs rougeoyantes qui envahissent mon regard quand mes paupières se referment à fond !
Ou plus fort, à présent : il y a ce qui me brûle en enveloppant mon membre et mes bourses, et qui remonte entre mes fesses pour longer tout mon dos jusqu’à ma nuque. J’ai l’impression que ce raz-de-marée de frissons envahit tout mon corps en migrant au galop à l’assaut de ma tête pour l’encercler dans un vacarme assourdissant !
Je brûle ! J’ai vraiment l’impression que ma chevelure brûle comme les forêts du Var en été.
Tina me paralyse complètement, comme pour m’empêcher de hurler ! À présent, je suis totalement impuissant à commander mon corps. Les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, je hurle silencieusement. Probablement comme si j’avais un orgasme sec, sans avoir besoin d’éjaculer pour jouir.
Fort. C’est la définition du mot : fort. C’est FORT ! Bon dieu !
Je suis désolé, mais je ne trouve rien d’autre à dire. Et rien ne va mieux que ce mot pour dire la puissance de ce que je ressens, à la fois simplement et totalement, avec les yeux fermés à bloc, à présent. Comme pour m’isoler complètement du monde et pour faire durer encore quelques fractions de secondes cette tornade de jouissance aux accents de tsunami !
Quand je rouvre les yeux, c’est pour voir que Tina a ressorti mon sexe de sa bouche et qu’elle affiche un sourire et des yeux pétillants comme un feu d’artifice de 14 juillet. Elle demande :
Elle coupe court à mon envolée enthousiaste :
Elle éclate de rire, puis elle reprend :
La faire jouir ? Elle croit que ça va être facile, après ce qu’elle vient de faire ? Maintenant j’ai l’impression d’être un petit garçon qui n’a jamais vu une fille ! Mais je ne baisse pas les bras. Si elle sait ce qu’elle peut obtenir avec sa bouche, moi je sais ce qui se passe quand elle a ma main ou ma tête entre ses cuisses.
En prenant des airs de macho, je lui ordonne :
Elle sait qu’elle a tout à y gagner. Alors elle m’obéit, dans l’intérêt légitimement égoïste de son plaisir.
Je ne remets que deux doigts en elle. C’est plus agréable. Et je les recourbe vers le haut, à la recherche de son point G. Je sais que je ne suis pas très fort à ce jeu-là, mais Tina est bon public. Je crois qu’elle remplace mon peu d’efficacité par le plaisir qu’elle a, quand elle sent dans son ventre combien j’ai envie d’être la source de son plaisir.
Tina caresse ma poitrine. Elle a aussi repris ma verge dans sa main et elle la retrousse à petits va-et-vient délicieux. Elle roule les hanches d’avant en arrière et ce qui coule de son sexe mouille toute ma main pendant que je continue à l’explorer tendrement.
Tina reste lucide tout de même. Et le plaisir que je lui donne, elle en cherche toutes les subtilités sensuelles et toute la délicatesse en restant les yeux fermés.
Il est possible aussi qu’elle ait envie de ressentir au fond de son ventre ce qu’elle a ressenti dans sa poitrine quand elle m’a serré dans ses bras sur la jetée du port, tout à l’heure. Je le sens aux mouvements infimes et délicats de son bassin et aux vagues qui creusent son ventre dès que j’appuie mes doigts un peu plus ici, ou bien là.
Elle susurre avec une voix que l’envie du meilleur fait remonter dans des tonalités enfantines :
Les mots de Tina tintent dans mes oreilles comme les notes acidulées du carillon de porte d’un vieux magasin de bonbons.
Je rêve d’être le marchand qui sourit en voyant rosir d’excitation gourmande la fille aux yeux pétillants qui vient d’entrer chez lui pour choisir ses petits plaisirs sucrés. Il sait déjà qu’il ne lui fera pas payer toutes ses folies de papilles, puisque c’est lui-même qui se délecte à lui faire tout goûter.
Mes doigts sont les sucres d’orge dont je régale Tina. Et je les veux aussi caramels blonds trop doux, chamallows étouffants ou bien fraises Tagada fondantes. Je crois que si Tina le désirait, je pourrais continuer à la masturber comme ça pendant des heures.
Maintenant, elle roule ses hanches comme une contorsionniste.
Je n’en reviens toujours pas, du pouvoir de ce point sublime sur les femmes. Il y a de quoi être jaloux, non ? Non. Je suis vraiment de mauvaise foi. Car même si celui-ci n’a rien d’officiel, un homme a aussi un point G et la femme qui l’aime sait le trouver. Je crois que Tina a trouvé le mien sur ma nuque.
Elle m’affole si elle caresse - ou mieux ! - si elle agrippe cet endroit-là. Je suis excité rien qu’en y pensant. Mais du coup, j’ai perdu son point sublime.
Ça ne fait rien. Il est temps d’aller m’occuper de son sexe avec ma langue maintenant. Et pour cela, je dois aller m’installer devant son ventre.
Tina me regarde faire le tour du lit. Plus j’approche du but, plus je vois s’épanouir son sourire. Je crois qu’elle se régale à l’idée de ce que je vais faire et elle s’y prépare activement : elle rapproche ses fesses du bord du lit et elle pose ses pieds au sol comme si elle allait s’asseoir.
Moi aussi ça me fait sourire qu’elle fasse cela, car je sais que cette position va m’offrir complètement son sexe. En même temps, Tina creuse sensuellement le ventre pour attirer mon regard vers sa toison soigneusement taillée en triangle, juste au-dessus de son sexe parfaitement mis en valeur par une épilation impudique.
Ce triangle noir semble indiquer - comme une flèche dirigée entre ses cuisses - que pour le plaisir, c’est par là …
Avec les jambes écartées à ce point, ses petites lèvres s’entrouvrent légèrement. Comme un appel à venir les écarter du bout de la langue, pour me permettre de boire Tina et de m’enivrer lentement des effets de son plaisir sexuel.
Je m’assois par terre entre ses pieds. Je m’apprête à embrasser son sexe mais je suis stoppé net par le spectacle que Tina offre ingénument. Elle est trop belle, vu d’ici ! Me précipiter sur son sexe si délicat, si désarmé, ce serait de la goinfrerie ! Il faut d’abord que je prenne soin de ses jambes. Je garderai le meilleur pour sa faim de ma langue…
Je pose de petits baisers et je fais glisser ma langue à l’intérieur de sa belle cuisse tout en en caressant ses hanches. Puis je laisse courir mes mains entre son genou et son ventre : son genou, son ventre, son genou, son mollet, sa longue cuisse… Mes lèvres sur sa peau… Je fonds quand je vois son regard plonger dans le mien.
Tina se laisse faire en toute confiance. Simplement, quand j’approche de son pubis, je sens ses mains qui cherchent ma tête et son bassin roule vers ma bouche.
J’approche encore plus près pour caresser son ventre. Je cajole ses seins et je souffle doucement entre ses cuisses. Comme si je caressais son sexe avec ma respiration.
Tina retient un instant ma main sur son sein, puis elle ouvre complètement le V de ses cuisses en agrippant ses genoux. Elle ferme les yeux pour mieux sentir toute mon envie d’elle pénétrer dans son ventre.
Les effets de son excitation commencent à se faire sentir en moi : je n’entends plus que son souffle lourd et il résonne dans ma tête en m’attirant irrésistiblement vers son sexe.
Je pose mes lèvres au creux des plis de l’aine, tout près des lèvres de sa plus belle bouche et j’alterne les baisers appuyés et les longs coups de langue.
J’ai l’impression que nos respirations sont maintenant rythmées par les roulements de ma tête. C’est doux comme une danse délicate et puissante à la fois. Une danse aux tourbillons enivrants, avec des relents de Rythm and Blues qu’auraient débauché une valse. Puis, toujours plus près, j’embrasse ses grandes lèvres pour que Tina perçoive bien ce dont j’ai tant envie.
Elle supplie :
Mais je ne cède pas. Je veux encore prendre le temps de choisir l’instant merveilleux o๠ma bouche ira enfin la goûter vraiment : ce n’est pas un hamburger que je convoite, mais c’est celle que j’aime !
Je la torture, juste de part et d’autre du cœur de son désir. Il palpite en prenant une couleur de plus en plus vive, en exhalant un parfum de plus en plus enivrant.
Tina frémit à chaque pression de ma langue et à chaque caresse de mon souffle quand je passe au-dessus de son clitoris.
Même pour moi c’est terriblement efficace ce ballet de caresses. Je bande comme un étalon tellement j’ai envie de son sexe !
Elle roule de plus en plus les hanches et elle agrippe mes cheveux. Je crois que je peux la goûter à présent.
Je glisse mes mains sous ses fesses, je porte ses lèvres mouillées jusqu’à ma bouche et je la touche enfin infiniment, profondément, passionnément ! J’ai l’impression de prendre Tina tout entière dans ma bouche.
Les sifflements de son souffle de surexcitée nous affolent tous les deux pour de bon ! Ses mains torturent les draps, agrippent furtivement ma tête, puis se referment à nouveau sur le tissu. Elle crie, maintenant :
Elle tire mes cheveux, pour plaquer encore plus ma bouche sur son sexe. Peut-être aussi, parce qu’elle a envie de sentir ma langue rentrer encore plus loin dans son vagin ? Ou pour que je mange et que je suce son clito encore plus fort ? C’est la deuxième proposition qui est la bonne et même la plus délicieuse pour tous les deux : non seulement je la suce, mais je la lèche aussi intensément, pour son plus grand plaisir !
J’y vais à grandes traînées de ma langue, en va-et-vient de son clitoris à son petit trou, en labourant sa vulve au passage.
Maintenant son ventre est agité de secousses violentes qui hachent sa respiration haletante de hoquets éperdus. Tina agrippe ma tête à deux mains. Et même si c’est inconscient, elle sait ce qu’elle fait. Elle sait que ses mains sur ma tête décuplent mes désirs.
Je tremble, tellement j’ai envie d’elle ! J’ai maintenant dix langues pour elle et je la mange à pleine bouche, puis du bout de mon souffle, puis à pleine langue, dans son sexe trempé, pendant que mon index la surexcite en pressant son clitoris à petites pressions saccadées.
J’ai du mal à me retenir pour ne pas mordre son clitoris tellement je suis jaloux de lui, tellement je bande !
Tina feule la bouche grande ouverte, la tête renversée à l’arrière et les seins tendus vers le ciel.
Je n’en peux plus ! Je veux qu’elle jouisse ! Il faut qu’elle se torde, que ses poumons résonnent infiniment de son orgasme, de cette vague, de ce cri qui monte du plus profond de son ventre !
Stop.
Pardonnez-moi, mais je ne peux plus écrire ce qui se passe. C’est tellement « elle et moi » tout ça… Ça s’appelle peut-être « notre intimité » cet instant-là ?
Il y a des pudeurs qu’il m’est impossible de transgresser. De toute façon, c’est trop fort ! Je ne saurais jamais décrire ça. Jamais ! Je ne sais même pas à qui le confier.
Je reprendrais mon récit quand tout sera fini.
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Ça y est. Ses jambes relâchent ma tête et elles ne tremblent plus. Je peux enfin avaler ce que Tina m’a donné et mes oreilles commencent à se remettre de son cri impossible. J’entends aussi du bruit dans la chambre d’à côté. Tina a dû réveiller tout l’hôtel en jouissant si fort.
Peu importe, elle est belle comme ça. Je la sens détendue, illuminée, gracieuse ou tout simplement amoureuse et belle, belle, BELLE !
Je ne suis pas sûr qu’elle ait autant de pudeur que moi car elle reprend très vite ses esprits en disant :
Je me lève pendant que Tina s’assoit au bord du lit en un bond. Elle m’attire près d’elle en souriant d’un air envieux, ou bien soumis peut-être ? Puis elle blottit affectueusement mes jambes contre sa poitrine en enroulant son bras autour de mes cuisses. Si elle est soumise, je veux bien être son maître à rire et à jouir.
J’ai maintenant l’impression qu’elle veut mettre mon sexe en charpie. Mais je comprends enfin son air soumis : elle est soumise au bonheur de me donner du plaisir. Et ce qu’elle veut mettre en pièce, c’est ma raison : elle veut me faire délirer dans ses bras.
Elle est de nouveau tellement excitée, elle a tellement envie de m’offrir à son tour le plaisir que je viens de lui donner, qu’elle me finit en gorge profonde.
Gorge profonde… Ces mots ne veulent rien dire ! Mais les sensations disent tout :
L’envie inavouable, les glissements de sa langue sur ma verge, la chaleur de ses joues dans mes mains… Mon désir intense, ses grognements qui m’encouragent ! Ses ongles plantés dans ma hanche, sa gorge si serrée sur mon gland : Le fantasme fou !
Mes paupières qui écrasent mes yeux, mes orteils qui se recroquevillent et mon cri ! TOUT !
Je ne suis plus qu’un orgasme sans corps et sans esprit, rien d’autre que de la chaleur et de la lumière éblouissante au milieu de la chambre !
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, je suis encore entièrement planté en elle et profondément prisonnier de sa gorge.
Tina gémit doucement en caressant mes cuisses.
Est-il possible que j’ai éjaculé en elle dans cette position ?
Je caresse son front.
Au fond d’elle ?
Je la repousse doucement pour ressortir de sa bouche.
Je ne lui ai pas fait mal, au moins ? Non ?
Elle m’aspire encore avec envie quand mon gland repasse ses lèvres.
Heureusement, heureusement qu’elle sourit. Je m’en serais voulu de lui faire mal !
Je m’assois tout contre elle et nous nous embrassons de longues secondes.
Embrasser. Des secondes. L’enlacer, perdu dans son regard brillant. « Mon amour ». Sa joue, la douceur de sa joue dans ma main. L’embrasser partout sur le visage…
Pourquoi j’aime tant le picotement de ses cils sur mes lèvres quand j’embrasse doucement ses yeux fermés ?
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