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25/08/09
Résumé:  Madeleine aime par-dessus tout s'amuser. Elle adore jouer avec ses sens, sentir son désir à fleur de peau. Madeleine est une femme subtile et provocante.
Critères:  f fh fépilée plage fête revede exhib noculotte fmast pénétratio -lieuxpubl
Auteur : Baradoz69            Envoi mini-message
Madeleine et l'ivresse des sens

Madeleine aime par-dessus tout s’amuser. Elle adore jouer avec ses sens, sentir son désir à fleur de peau. Madeleine est une femme subtile et provocante. Elle a un corps sublime, des formes parfaites et elle le sait !


Elle adore les souliers à talons hauts qui lui font oublier sa taille modeste. Ses escarpins, ses sandalettes mettent en évidence ses pieds fins et élégants et cambrent délicieusement ses reins. Quand la chaleur n’est plus là, elle enfile sensuellement des bas fins et délicats qu’elle retient avec un porte-jarretelles ou une guêpière.


Ses seins sont tout simplement parfaits. Ni trop volumineux, ni trop fluets. De délicieux seins ronds et pleins, joliment en forme de poire, aux tétons sensibles et pointant à la première émotion. Elle aime autant les parer de dentelle que de les laisser libres, nus. Leurs mouvements légers sous un chemisier délicat aiguisent son désir à longueur de journée.


Elle aime la fine dentelle de ces parures et apprécie prendre son temps à les choisir, à les coordonner à ses habits. Elle sourit chaque fois en pensant aux hommes ou aux femmes qui la regarderont. Elle aura pris soin que ces observateurs attentifs devinent ce qu’elle porte sous ses habits, mais subtilement. Dévoiler, donner envie d’en savoir plus… Et si le spectateur lui plaît, elle continuera à s’amuser avec lui en s’exhibant de manière plus ostensible. Ses cheveux longs châtains encadrent son visage et ses yeux noisette pétillent d’envie presque en permanence…



Ce soir, c’est la fête au village. La grande place s’est garnie de nombreuses tables et les stands de nourriture s’organisent. Des guirlandes de lampes multicolores passent d’arbre en arbre pour éclairer doucement ce grand espace.


Cette fin de journée est étouffante et, avant de se rendre sur la place villageoise, Madeleine a décidé de se prélasser sous une douche fraîche. Elle prend son temps pour savonner son corps savoureusement. Elle aime explorer tous ses trésors. Elle se caresse langoureusement sous le torrent d’eau qui coule sur elle. Ses mains glissent sur son corps. Ses doigts explorent ses orifices.

Elle joue avec son orgasme. Il est là, tout près. Alors elle suspend ses caresses pour sentir son ventre papillonner. Puis elle reprend, plus précisément, visant ses zones érogènes préférées. Alors elle jouit de ses doigts agiles.


Après s’être séchée, elle parcourt soigneusement son corps à la chasse du moindre poil. Elle les déteste et préfère mille fois sa peau douce et lisse. Partout. Ensuite, elle attrape une bouteille de lait hydratant et en profite une fois de plus pour se prodiguer de délicieuses caresses. Ses mains glissent sur son corps, le parcourent. Ses seins pointent de désir et ses doigts attrapent ses tétons pour les stimuler encore plus.


Mais le temps passe… Elle enfile un minuscule string, puis une jolie robe légère à fleurs, entièrement boutonnée sur le devant. Elle lui arrive à mi-cuisse et son décolleté généreux peine à voiler ses seins nus. Elle chausse rapidement une très jolie paire de sandalettes à talons hauts. Finement manucurés, ses pieds ainsi cambrés sont savamment mis en valeur. Elle attache ses cheveux pour dégager sa nuque et quitte son nid douillet.



La foule a gagné la place et les discussions vont bon train. La nuit est claire, la lune et l’éclairage ménageant des zones de pénombre et d’autres plus éclairées. Madeleine, après avoir pris une boisson à l’un des nombreux bars, va s’asseoir sur un banc, en bout de table. Elle se délecte des nombreux regards qui l’observent.


Sirotant nonchalamment son cocktail, son regard parcourt la foule, occupée à boire et à manger. La chaleur est encore présente, tenace et pesante. Madeleine aimerait être nue sur cette place, même sa robe légère est de trop. Son esprit vagabonde.

À défaut de pouvoir satisfaire complètement son envie, elle a maintenant un désir qu’elle veut satisfaire au plus vite. Elle veut être nue sous cette robe. Alors délicatement et discrètement, elle déboutonne quelques boutons du bas de son vêtement.

Elle soulève rapidement ses fesses pour passer le tissu de l’arrière de sa robe par-dessus le banc. Lentement, elle glisse latéralement ses deux mains et finit par attraper les petits bouts de dentelles de son string. Elle le fait glisser sur ses cuisses et soudainement elle le sent parcourir ses genoux, puis ses mollets pour enfin tomber sur ses pieds. Elle l’attrape pour le glisser dans son sac.


C’est à ce moment-là qu’elle aperçoit une jeune et jolie femme, souriante, qui l’observe. Madeleine lui sourit à son tour. Aucun doute, elle a tout vu et visiblement cela lui plaît.

Tout en continuant à la regarder droit dans les yeux, le sourire aux lèvres, elle déboutonne deux boutons du haut de sa robe. Son décolleté en devient indécent et, si quelqu’un venait à passer à ses côtés, nul doute qu’il aurait une magnifique vue sur sa poitrine dénudée et déjà excitée par la situation.

Elle s’enivre de cette situation. Ses mains glissent sur ses cuisses. Elle passe subrepticement sa langue sur ses lèvres, signe de la montée de son désir. Deux boutons d’en bas filent sous ses doigts. Voilà sa robe maintenant ouverte quasiment au niveau de son entrejambe palpitant.


Au loin, la spectatrice de Madeleine remue les lèvres. Un ordre, simple à comprendre même en le lisant uniquement sur ses lèvres : « Caresse-toi ». Madeleine écarte alors ses jambes et irrésistiblement ses doigts son attirés par sa délicieuse fente imberbe et déjà humide. Elle ferme les yeux. Ses doigts explorent son intimité.

Elle jette un coup d’œil en direction de sa voyeuse, mais elle a disparu ! Madeleine est déçue d’avoir perdu cette complice de jeu, mais continue tout de même sa divine caresse. Elle réalise aussi maintenant qu’elle est en train de faire monter son plaisir, à moitié nue au milieu d’une foule qui ne se doute de rien.

Soudain, elle sent une présence derrière elle. Une voix douce, féminine lui susurre : « Continue ! ».

Madeleine soupire d’aise et poursuit sa caresse indécente. C’est alors que deux mains viennent jouer avec ses seins. Elles pincent les tétons déjà bien excités par le contact du tissu. Et l’orgasme monte par surprise. Madeleine est submergée et ne peut contenir un léger râle, heureusement inaudible dans le brouhaha de la fête.


La mystérieuse femme glisse alors une carte de visite dans le décolleté de Madeleine, en profitant au passage pour caresser encore une fois cette poitrine si tentante.



Salma embrasse délicatement Madeleine dans la nuque et disparaît.

Madeleine flotte, heureuse de ces minutes de plaisir. Elle ne sait pas que la soirée ne fait que de débuter.



J’ai été l’observateur privilégié de ce moment hors du commun ! En partant, mon amie Salma m’a fait un clin d’œil. Nous sommes amants et complices de longue date, travaillant dans le même bureau. Toutefois j’ignorais qu’elle était au village ce soir. Quelle douce surprise ! Mais elle est déjà happée par la foule. Reste devant moi, à quelques mètres, Madeleine, reprenant lentement ses esprits.


J’ai fait sa connaissance il y a déjà quelque temps. Nous fréquentions les mêmes séances d’organisation politique de nos villages voisins. Nous n’avions jamais eu l’occasion de discuter en tête-à-tête. Mais, je me rappelle encore cette séance où elle m’avait regardé, longuement, toute la soirée. Et elle m’avait troublé. Elle me plaisait et, à chaque fois que je la voyais, j’avais de plus en plus envie d’elle, envie de mieux la connaître, de découvrir ses plaisirs, ses fantasmes.


Alors je franchis les quelques mètres qui nous séparent, pour venir m’asseoir en face d’elle. Nous échangeons quelques banalités et parlons de cette belle et chaude nuit. Puis soudainement et sans préambule, je lui lâche :



Madeleine a rosi. Je lui explique mon amitié de longue date avec la belle Salma. Sans détail, mais sans équivoque, je lui relate nos aventures, nos délires. Sans franchement lui laisser le temps de réagir, je continue en lui proposant :



Nous avons la chance extraordinaire de vivre au bord d’un grand lac, nous offrant ses eaux délicieuses pour nous apaiser des chaleurs estivales. Sans hésiter, Madeleine accepte. Nous nous dirigeons vers une petite plage herbeuse, à l’écart du bruit de la fête. Madeleine ôte ses souliers pour marcher dans l’herbe, puis arrivant proche de la rive, elle déboutonne le peu de boutons qui restent attachés et fait glisser sa robe à ses pieds.


Elle est maintenant nue devant moi, splendide et très désirable. Qu’elle est belle ! J’aime ses courbes, ses formes. Moi qui rêve d’un modèle photographique de nu… Je lui demanderai un jour si elle a envie de poser pour moi.



Je suis pris dans mes rêveries et Madeleine court déjà ! Je quitte le plus rapidement possible mes vêtements, et j’entends le bruit d’un plongeon. Elle me devance largement. Malgré tous mes efforts, elle rit et m’attend depuis de nombreuses minutes quand j’arrive au radeau, essoufflé !



En quelques mots, elle m’a exprimé son désir, son envie de moi. Quel bonheur ! Alors je me retourne et l’embrasse longuement, tendrement. Mes mains se promènent sur sa peau douce. Je la parcours, l’explore lentement.

Ses seins sont une merveille, fermes, doux et moelleux à la fois. Je sens ses tétons se durcir d’envie. Puis je descends le long de son ventre pour atteindre son pubis. Il est doux et lisse comme je l’apprécie tout particulièrement. Elle gémit au contact de mes doigts sur ses lèvres. J’ai très envie d’elle et son fantasme m’excite tout particulièrement.



Et je plonge prestement du radeau… J’arrive bien sûr le premier et je peux admirer, au clair de lune, Madeleine sortir de l’eau. Je suis assis dans l’herbe et elle se précipite sur moi, me renverse et colle ses lèvres aux miennes.

Nos corps sont frais de la baignade, mais rapidement, nous nous échauffons, en nous frottant l’un contre l’autre. Elle saisit ma verge déjà bien dressée, et commence un long mouvement de caresse.



Je lui souris en lui obéissant, enfilant mon pantalon de toile légère, abandonnant mon boxer, certainement inutile ces prochaines heures. Je remets ma chemise tandis qu’elle remet sa robe soigneusement… déboutonnée au maximum.


Et nous nous dirigeons vers la place, tout autant excités l’un que l’autre à l’idée de notre projet. Au passage d’un stand, nous achetons une petite barquette de calamars et une bouteille de rosé pour étancher notre soif.


Je trouve une table légèrement à l’écart, et peu éclairée, idéale pour nous. Je m’assois à l’extrémité du banc, à califourchon. Madeleine, enjambant le banc, vient se coller à moi et juste avant de s’asseoir, elle fait voler délicatement sa robe pour venir poser ses fesses nues sur la planche de bois.


Elle remue son bassin et ses mains viennent rapidement dégrafer mon pantalon et sortir ma queue. Je suis maintenant dressé dans son dos, recouvert par le pan de sa robe. Elle se relève légèrement, me guide vers sa fente humide et lentement, elle s’empale sur mon dard.

Je l’attrape par les hanches en resserrant mes jambes pour qu’elle prenne place confortablement. Je sens ses doigts qui doucement caressent son sexe, son clitoris, descendent le long de ma verge, glissent sur ses lèvres qui me gobent, flattent mes bourses épilées et remontent pour une nouvelle exploration.


Elle se tourne parfois vers la table pour gober un calamar ou boire une rasade de rosé. Elle en profite à chaque fois pour effectuer quelques lents va-et-vient. Elle lâche des soupirs d’aise et visiblement a de plus en plus de peine à se retenir d’accentuer le mouvement.


Madeleine entreprend alors de stimuler son clitoris. Son doigt glisse, je le sens, puis soudain il longe ma queue et vient la rejoindre dans la chaleur moite de son intimité. C’est son doigt maintenant qui la pistonne. Elle ondule des hanches, son désir monte.

Glissant mes mains sous sa robe, j’entreprends de remonter en direction de ses seins tendus. Je les enveloppe, les masse, titille ses pointes tendues.

Elle ne peut plus se retenir et je sens soudain les spasmes de son orgasme, et elle s’abandonne contre moi. Elle reste un temps immobile, puis soudain, elle se lève, se retourne, me laissant dressé devant elle. Elle se rassoit et me dit en posant sa main sur mon gland tendu :



Lentement elle commence sa caresse. D’abord du bout des doigts, puis des deux mains. Elle alterne frôlements et serrements énergiques de mon pieu. Puis elle commence à aller et venir, toujours lentement de haut en bas. De bas en haut.

Je me tends encore plus sous ses caresses délicieuses. Je vibre, palpite d’envie. Elle n’arrête plus. Mais toujours lentement. Elle coulisse savamment.

Alors, je sens ma jouissance arriver, inexorable. Un spasme initial et je jouis, une goutte de sperme vient se loger au milieu de ses seins. Elle lèche ses doigts avec délice avant de se désaltérer d’une grande rasade de rosé.