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n° 13435Fiche technique18307 caractères18307
Temps de lecture estimé : 12 mn
27/08/09
Résumé:  Un nouveau collègue de travail... Ce qu'il est mignon !
Critères:  fh collègues travail pénétratio québec -occasion -travail
Auteur : Gypsy  (Femme fin trentaine, artiste jusqu'au bout de l'âme...)            Envoi mini-message
Compagnie X, Y, Z... La face cachée

Note pour le lecteur. Ce texte a été écrit via MSN « messagerie directe ». Un défi qu’un ami et moi nous sommes lancé un soir de décembre 2008. J’ai écrit un premier paragraphe, il a enchaîné et c’est ce que ça a donné. Version femelle, version mâle d’une même histoire… Rien n’a été changé au contenu…








Elle :


Ce matin, je suis allée me chercher un café à la cantine. Comme à l’habitude j’ai dû traverser l’entrepôt pour me diriger vers l’arrière de la bâtisse où nous attend habituellement Mike, le gars de la cantine avec son café au goût « infect » mais qu’on se plaît bien de boire quand même. Ce matin, en traversant l’entrepôt, un visage inconnu a attiré mon attention. Sûrement un nouveau gars qu’ils venaient d’engager. En l’apercevant, les jambes m’ont flanché, j’ai trouvé qu’il avait un charme fou…



Lui :


J’ai vu passer un « pétard » ce matin, les gars. Oh, quelle démarche elle avait ! Et je crois qu’elle avait un « ti-œil » cochon quand elle m’a regardé. Ouf ! Quelle beauté sur deux pattes ! Je pense que je vais faire un détour par le bureau de l’administration, il me manque un papier pour ma feuille de temps…



Elle :


J’étais bien curieuse de savoir, c’était qui, ce nouveau gars. Je suis donc allée voir la comptable pour avoir plus de détails. Ben quoi ? Je suis célibataire depuis un bout, faut que je voie à mes intérêts… Et puis moi, le flirt au travail je m’en balance pas mal. De toute façon, je prévois de quitter ce foutu job dans quelques semaines, j’ai donc rien à perdre… La comptable s’est mise à rire dès qu’elle m’a vue apparaître dans son bureau. Faut croire qu’elle commence à me connaître. Coudonc, ma réputation de « mangeuse d’hommes » est faite !



Lui :


Bon ! Les gars, c’est mon jour de chance ! J’arrive dans le bureau de la comptable et qui je vois, en train de jaser avec la comptable ? Elle, en personne. Là, j’ai manqué m’étouffer de gêne… Merde ! Elle a tout un regard cette femme. Elle m’a dévisagé de haut en bas, sans gêne, tranquillement, et a pris une pause au niveau de ma ceinture… J’vous dis, les gars, c’est une beauté sauvage !



Elle :


J’étais en train de jaser avec Rita, et qui je ne vois pas retontir justement dans le bureau ? Ben oui : le petit nouveau… Y’ est passé à côté de moi, son after-shave sentait tellement bon, hmmm. Discrètement, je l’ai regardé de la tête aux pieds et je me suis assuré qu’il avait de quoi d’intéressant au niveau de la ceinture… J’espère qu’il ne s’en est pas trop rendu compte… J’ne veux pas qu’il se rende compte trop vite que j’ai le taux d’hormones dans le tapis…



Lui :


En tout cas, un regard comme ça, ça me les fait frémir d’envie. Merde ! J’avais peur de bander juste au moment où elle me zyeutait. Et je ne sais pas si je me suis fait des idées, mais elle a subtilement déboutonné un bouton de son chemisier en se penchant pour ramasser son crayon qu’elle a (j’ai l’impression) fait par exprès de laisser tomber. Quand elle s’est relevée, elle a même fait certain que j’avais une vue plongeante sur son petit décolleté tellement que je n’avais plus aucune idée de ce que je venais faire dans le bureau de la comptable !



Elle :


Ce n’est pas des farces ! J’étais tellement mal à l’aise de me trouver dans la même pièce que ce gars-là, que j’en ai échappé mon crayon. En me penchant, je me suis détaché un bouton, la blouse me tirait de tout bord, je ne sais pas s’il s’est rendu compte que mes seins étaient dressés… Il s’est mis à bégayer devant Rita, je l’ai trouvé cute… Elle lui a proposé de faire du surtemps ce soir, comme ils sont en manque de personnel aujourd’hui… Je me trouverai bien de la paperasse à compléter ce soir moi aussi… Il faut absolument que je lui parle, il dégage tellement de testostérone ce gars-là, c’est fou…



Lui :


Bon, ben en plus, moi qui voulais l’inviter à prendre une bière après le travail, me v’là poigné pour faire de l’overtime à soir… Ben ça me fera ça de plus de ramassé pour ma moto. Ouais ! Je l’imagine déjà assise derrière moi à se coller les seins sur mon dos. Merde ! Je suis en train de virer fou moi là, je sais même pas son nom et je la vois déjà se coller sur moi… Ouf ! Je suis mieux de retourner au travail…



Elle :


On est sorti du cadre de porte en même temps. J’ai pu sentir son after-shave de plus près. Mes seins l’ont frôlé. On a eu un premier « eye contact ». J’vous jure que je me laisserais pas prier pour me retrouver dans ses bras, y’ a des yeux tellement cochons… Ouf ! J’en ai quasiment mouillé ma culotte… Je suis retournée travailler le reste de mon chiffre… J’étais tout le temps dans la lune, j’espère que ça ne paraîtra pas trop sur mes rapports… Cinq heures a enfin sonné, le bureau s’est vidé… Je suis allé ramasser les derniers papiers dans l’entrepôt dans la boîte du receveur…



Lui :


Merde ! Je lui ai ouvert la porte pour la laisser passer et elle s’est appuyé les seins sur mon bras qui tenait la porte et elle a glissé de côté assez de près pour que son chemisier s’ouvre afin de me laisser entrevoir le plus joli des seins que j’ai jamais vu. Ouf ! J’ai même quasiment eu honte ! Mon regard ne se décollait plus du galbe de son sein… Pis là, oh, surprise ! Après mon chiffre, elle apparaît juste à côté de moi, elle venait ramasser des papiers. Ça devrait être interdit d’être aussi belle que ça ! Je sais plus si je suis en train de tourner du métal ou si je fabrique des « dildos » en acier inox…



Elle :


Je l’ai regardé travailler pendant un moment… Ses mains ont l’air terriblement habile avec ce métal. Je me demande bien ce qu’il pourrait me faire à moi… Bon « enweille fille, parle-lui, t’es restée rien que pour ça… »




Lui :


Non, mais ! Elle est restée là à me regarder travailler comme pour une éternité, à me regarder et me déshabiller des yeux. J’en avais des picotements dans le dos. Puis elle m’a parlé. Elle s’appelle Annie et travaille au marketing. Ouf ! Quelle voix sensuelle elle a ! Mais elle a surtout une manière de me regarder qui me fait avoir chaud dans le cou !



Elle :


J’ai compris que ma présence le dérangeait. Il s’est échappé un morceau de métal sur la cuisse… Merde ! Le sang s’est mis à pisser partout… Je me suis vite dépêchée à aller chercher ce qu’il fallait dans le bureau du responsable de l’entrepôt… Je ne pensais pas devoir lui faire baisser son pantalon aussi rapidement…



Lui :


Heye ! Avec elle qui me regardait travailler et moi qui sentais déjà que mon élastique de bobettes commençait à s’étirer, j’ai échappé le ciseau qui m’a revolé sur la jambe. Merde ! J’ai l’air fin moi là, la cuisse en sang… Mais oups ! Elle est partie à la course chercher des bandages (le mien était déjà parti) et déjà elle s’affairait à ouvrir la boîte de pansements en me disant d’enlever mes culottes. Alors j’ai descendu mes culottes, un peu gêné, en espérant que justement mon érection serait disparue ! Eh oui… Ouf ! Tout était à sa place. Jusqu’à ce qu’elle touche ma cuisse et la nettoie bien comme il faut. Même très comme il faut…



Elle :


J’ai voulu jouer aux infirmières ! Mais en me mettant à genoux devant lui pendant qu’il baissait ses pantalons, j’ai soudain eu une petite pensée coquine… J’ai pris le temps de tout nettoyer comme il faut, lui ai demandé s’il avait été récemment piqué contre le tétanos… Ouf ! Ce qu’il a de belles cuisses ! J’en aurais pris une mordée… Et que dire de la bosse dans son boxer ? Hmmm… Une fois que tout était bien pansé… Je lui ai caressé l’intérieur de la cuisse en me relevant…



Lui :


Maudit qu’elle sent bon… C’est comme d’être dans le paradis pour moi tout seul ce qu’elle me fait ressentir. Elle m’a nettoyé la cuisse. Finalement y’ avait rien de grave. Mais tout le temps qu’elle me nettoyait, elle me donnait une vue incroyable sur son décolleté. Ouf ! Je sais pas comment j’ai fait pour ne pas bander jusque-là. Mais quand elle a remonté sa main sur ma jambe, c’est comme si toutes les cloches de toutes les cathédrales sonnaient dans ma tête. Je me suis laissé aller à ses cloches, pour réaliser quelques secondes plus tard que j’étais en complète érection et qu’elle regardait mes boxers comme avec une envie de les manger…



Elle :


J’ai même poussé l’audace à lui effleurer le sexe discrètement… J’ai senti aussitôt son membre se durcir sous ma main… S’il pensait que je n’avais pas vu qu’il regardait dans mon décolleté… J’ai eu des petites nouvelles pour lui, moi… Rendus à sa hauteur, nos corps se frôlaient… Je me suis accotée sur sa table de travail pendant qu’il faisait semblant de remonter son pantalon… Mais juste avant qu’il arrive jusqu’en haut, je l’ai agrippé par le chandail et lui ai braqué un baiser des plus sensuels sur ses lèvres bien charnues…



Lui :


Quand j’ai eu repris mes esprits et que l’agneau dei avait fini de sonner dans ma tête, j’ai niaiseusement voulu remonter mes culottes, mais déjà, elle était sur moi avec les lèvres les plus juteuses que j’ai jamais embrassées. Là, je ne savais pas trop quoi faire de mes mains qui tenaient encore mes culottes… Alors je les ai laissé tomber pour plutôt la prendre dans mes bras pendant qu’elle m’embrassait comme je n’ai jamais été embrassé avant. Ses lèvres étaient partout, dans mon cou, sur mon front encore tout suant d’émotion, et déjà elle se battait pour m’enlever mon t-shirt…



Elle :


La chaleur de mon corps était tellement intense. Je l’embrassais de plus belle. Je n’avais qu’une envie : le sentir près de moi. Je lui ai enlevé son chandail, lui ai caressé le torse, le dos… Et j’ai laissé ma main se diriger sous son boxer, il était dur à souhait… Je me suis remise à genoux devant lui. Lui ai accoté les fesses sur sa table à son tour… Et je me suis régalée de son membre en le regardant gémir comme un bon… C’était délicieux…



Lui :


Elle m’a enlevé mon t-shirt et tout de suite, a pris ma queue dans ses mains et a commencé à me licher le gland. Au début, tellement fort, je croyais qu’il allait éclater. Tout en me suçant avec passion, elle a réussi à se déshabiller pour se retrouver complètement nue devant moi. Tout aussi dénudé et tout tremblant encore. Elle avait un corps à faire bander un Pape aveugle ! Et je suis loin d’être un Pape ! Puis elle a doucement liché mon membre dur de tout son long, en me caressant les fesses. J’essayais de voir son corps, mais c’était tellement bon que je ne pouvais garder les yeux ouverts !



Elle :


Pendant que je le suçais, mon désir s’intensifiait tellement que j’en ai profité pour lui faciliter la tâche en me déshabillant en même temps… Je suis peut-être allée un peu raide au début, mais j’ai diminué l’intensité quand j’ai réalisé que je n’aurais peut-être pas le temps de prendre mon pied et qu’il viendrait sans doute trop vite… Ma langue le parcourait sur toutes les parois de sa splendide queue, ses testicules, je me suis régalée pendant un moment… Je me suis relevée en parcourant son torse de mes caresses et ma langue… Dans un geste calculé, j’ai nettoyé une portion de sa table de travail et me suis assise dessus en face de lui…



Lui :


Une chance qu’à un moment donné, elle a ralenti sa cadence. Je crois que j’étais prêt à éjaculer, mais elle s’est levée et pour la première fois, je la voyais nue, debout devant moi. Elle avait les yeux hagards d’une femme qui en veut encore ! Elle a tout tassé sur la table et s’est assise devant moi, les jambes bien ouvertes, mettant en évidence sa vulve déjà tout humide et quémandante. Je me suis penché pour aller la déguster et elle a ouvert encore plus les jambes en arquant le dos, de façon à ce que sa vulve soit présentée comme un cadeau pour ma bouche.



Elle :


Il a vite compris pourquoi je m’assoyais. Il s’est accroupi devant moi et m’a prodigué un sublime cunnilingus. Sa langue valsait dans tous les sens. Mon dos s’est arqué tout seul et j’ai pu m’écarter les jambes afin de lui faciliter l’accès… Mes mains se sont dirigées tout droit à mes seins et je les pétrissais en gémissant comme une vraie chatte en chaleur. Il m’a pénétré d’un doigt et puis de deux, je ne sais plus, mais c’était tellement bon ! Je sentais ma chatte de plus en plus mouillée… Et dans mes cris de jouissance, je l’ai supplié de me prendre, je n’en pouvais plus…



Lui :


Elle criait tellement que je me suis demandé s’il y avait du monde qui entendrait, mais cette idée a disparu aussi vite qu’elle est venue. Je la voulais tellement ! Je voulais la pénétrer, mais je n’ai pas voulu y aller trop vite. Alors tranquillement, j’ai caressé son clitoris de mon gland bondé de sang, puis, millimètre par millimètre, je l’ai pénétrée quand j’ai compris qu’elle n’attendait que ça. On a commencé à suivre un rythme tellement doux que le silence total faisait du bruit. Puis, à chaque millimètre gagné, je la contenais sur moi pour qu’elle sente bien tout mon membre en elle. Mes mains sous ses fesses lui épargnaient le métal froid de la table et je voyais bien qu’elle aimait les sentir là !



Elle :


Il s’est donc relevé d’un bond et a commencé à me taquiner la chatte avec son gland, une vraie agace… Je voulais tellement le sentir en moi… Mon regard s’est probablement fait si insistant qu’il a compris ce que je voulais… Afin sans doute que je ne glisse, il me retenait par les fesses… Et c’est là qu’il ma fait languir de plus belle en s’immisçant en moi si doucement… Ça ne faisait que réveiller la tigresse en moi davantage… Oh ! Ce qu’il avait l’air d’être fier de lui, le monsieur ! Mais je ne pouvais que savourer ce qui s’offrait à moi de la sorte… Son mouvement de va-et-vient me permettait de tout sentir. Chaque centimètre qui me pénétrait me faisait jouir davantage…



Lui :


Ne pouvant plus résister à lui caresser les seins, j’ai enlevé mes mains d’entre la table froide et sa peau chaude, ce qui lui a fait faire un soubresaut. Déjà, que j’étais tellement excité, tout mon corps était en transe, à suivre ce rythme lent. Mais ce petit mouvement de retrait de mes mains sous ses fesses m’a fait la pénétrer complètement au plus profond que possible et je sentais sa chaleur tout au long de mon membre qui était prêt à éclater de jouissance…



Elle :


Il a retiré ses mains de sous mes fesses. J’ai réalisé assez vite que la table était froide, ça m’a fait sursauter… Et il s’est mis à me caresser les seins tendrement, intensément… Son membre en entier en moi, j’ai senti ses testicules battre contre mes fesses… Je me suis relevée un peu plus, pour lui indiquer d’accélérer la cadence. Ses fesses étaient dures comme du roc ! J’avais envie qu’il me prenne d’instinct. Qu’il me fasse sentir à quel point il avait envie de me posséder. Que j’étais maintenant devenue sa chose…



Lui :


Elle s’abandonnait entièrement à moi. Je sentais ses muscles enserrer mon membre intensément… Elle le faisait tellement fort que son bassin semblait suivre le rythme sans qu’elle ne semble faire aucun mouvement. Elle suivait, initiait le mouvement, et tout son corps était affalé sur la table, pourtant si froide. Juste à voir cette déesse qui se donnait si ardemment à moi, j’ai commencé à sentir l’excitation. Les spasmes de jouissance arrivaient, mais je voulais tellement l’entendre crier « encore, encore ». Je voulais l’entendre hurler de plaisir alors j’ai réussi à retenir cette jouissance ultime ! Quand elle s’est mise à crier :




Elle :


Il s’est mis à me prendre plus ardemment, c’était si bon ! Je gémissais réellement comme une chatte qui est en train de se faire prendre dans une ruelle… Je me suis mise à crier :



Je ne sais pas ce qu’il a compris, mais il m’a regardée bizarrement tout d’un coup. À cause de la ventilation, on comprend parfois tout croche dans cet entrepôt… Son mouvement de va-et-vient s’est intensifié et il a joui simultanément à moi… Ouf ! Quelle baise intense ce fut ! On a repris notre souffle. On s’est alors mis à rire et il m’a dit :