Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13436Fiche technique7956 caractères7956
Temps de lecture estimé : 5 mn
27/08/09
Résumé:  Un navigateur échoue sur l'île aux Amazones, et en subit les conséquences !
Critères:  fh fffh plage bateau hsoumis fellation 69 pénétratio attache -hfff
Auteur : Sexy story
L'île aux Amazones

Au cours de mon périple en solitaire autour du monde, et après avoir essuyé une violente tempête sur ma vieille goélette, un ancien bateau de pêche à deux mâts que j’avais fait retaper et équiper des dernières technologies de navigation, je m’étais perdu à proximité de l’archipel des Bermudes, alors que mes instruments électroniques étaient hors service.


Après des jours et des nuits de mer sans vent, épuisé et à court d’eau douce, je m’échouai dans une crique d’une petite île paradisiaque, et découvris un ruisseau auquel je m’abreuvai longuement avant de m’endormir épuisé.


Je fus réveillé par les douces caresses d’une jeune femme aux longs cheveux bruns. Elle semblait fascinée par ma présence. Par ses caresses judicieuses et ses baisers langoureux auxquels je me laissais aller, je conclus qu’elle était expérimentée en matière d’hommes. Mais son attitude me laissait soupçonner qu’elle n’en avait pas vu depuis longtemps.


Ce n’était pas dans mes habitudes de me laisser aller comme ça dans les bras d’une inconnue, mais la joie de ne plus être seul perdu au milieu de l’océan, et surtout ses yeux d’un bleu profond, ses délicieuses caresses et tout son être m’appelaient à chavirer dans ses bras et à m’abandonner à ses désirs qu’elle exprimait par tous les atouts de sa féminité.


Nous nous sommes enlacés et embrassés longuement et tendrement, comme deux amants qui se retrouvent après une longue séparation. Nos gestes et nos caresses répondaient immédiatement aux attentes de l’autre, comme si nous nous connaissions déjà, ou qu’une lumière céleste nous eût enseigné ce qui allait faire le plus de bien à l’autre. Nos corps et nos esprits communiaient dans cet échange fiévreux et charnel qui ne semblait jamais finir.


J’aurais tant voulu m’unir à elle, mais elle ne semblait pas prête. Pourtant sa connaissance et ses talents d’exploratrice du corps masculin étaient sans limites. Alors que je glissais une main aventurière entre ses cuisses, elle pivota autour de l’axe formé par mes doigts dénichant son bourgeon de plaisir, et vint gober littéralement mon membre de chair qui n’attendait que ça, sans oser l’imaginer…


Mes lèvres remplacèrent ma main pour mieux épanouir les pétales de rose de son intimité. Nos corps ondulaient l’un dans l’autre, elle sur moi, moi sous elle, nos bouches et nos sexes scellés dans une danse sensuelle dont l’issue fut l’orgasme électrique qui nous traversa d’un commun cri de plaisir infini, comme un électrochoc qui irradiait nos âmes unies.


Nous nous endormîmes l’un dans l’autre, l’un sur l’autre, dans cet aveuglement qui succède à l’extase.


***


À mon réveil, j’étais attaché à un poteau en bois sculpté, et mon amoureuse de même à quelques pas en face de moi. Nous étions nus comme au premier jour, et entourés de jeunes femmes vêtues de pagnes qui nous tournaient autour comme d’un cadeau que l’on désire et dont on attend l’autorisation pour s’en emparer.


Des femmes de tous âges vaquaient à leurs occupations, certaines à cheval et d’autres à dos d’âne, mais aucun représentant masculin ne semblait présent sur les lieux…


Une idée folle me traversa l’esprit : ainsi, la légende des Amazones, peuple perdu sur une île au milieu de l’océan et descendantes des guerrières amazones de la mythologie grecque, était-elle peut-être fondée… Selon la légende, les Amazones tuaient leurs enfants mâles ou les rendaient aveugles ou boiteux, pour ensuite les utiliser comme serviteurs. Quant aux femmes, pour assurer la perpétuation de leur civilisation, elles s’unissaient une fois par an avec les hommes des peuplades voisines dont elles choisissaient les plus beaux.


Il commençait à faire nuit, des feux s’allumaient un peu partout dans le village, et dans la pénombre une cérémonie semblait se préparer. Des jeunes filles défilaient devant moi, caressant mon torse nu, soupesant mes attributs génitaux au grand désarroi de ma partenaire qui criait sa rage dans une langue qui m’était inconnue.


Les femmes plus mûres semblaient donner des ordres, et une douzaine de jeunes femmes vinrent s’aligner devant moi. L’une après l’autre, elles s’emparèrent de mon membre en souriant et, comme pour jouer, le sucèrent jusqu’à ce qu’il devînt suffisamment dur pour tenir tout seul à la verticale.


Puis chacune attendait patiemment qu’il reprenne sa position initiale pour laisser la place à la suivante, qui faisait de même. Cela les amusait beaucoup, et se reproduisit vingt-quatre fois. Autant dire que j’étais en même temps au bord de la crise de nerfs et de l’épuisement.


En face de moi, à quelques mètres, des femmes plus mûres et plus expérimentées s’intéressaient aux tétons et à l’entrecuisse de ma partenaire… elle se débattait, mais était visiblement comme moi esclave d’un plaisir imposé…


Puis, à notre grand étonnement, on nous détacha. Des femmes firent monter ma partenaire sur une estrade, et l’obligèrent à s’installer au bord dans une position indécente, à quatre pattes. Elles enduisirent son sexe et la fente de ses fesses d’une crème huileuse et onctueuse comme pour la lubrifier.


D’autres femmes s’occupèrent de mon membre jusqu’à ce qu’il atteignît le volume et la dureté voulue et m’approchèrent de la jeune femme qui m’avait caressé près du ruisseau. Je ne résistai pas à leur demande de m’accoupler avec elle et, bien que je me doutasse qu’elle était vierge, je m’insinuai dans sa vulve charnue et la pénétrai ainsi en me saisissant de ses hanches sous les cris et ovations de la foule réunie autour de nous.


Elle ne se fit pas prier et s’ouvrit de son mieux pour m’accueillir, accompagnant mes gestes d’un mouvement des hanches qui visiblement approuvait notre union.


C’est dans cette situation surréaliste que mon instinct animal reprit le dessus. Je la pris profondément, allant et venant méthodiquement pour m’enfoncer au plus profond de son ventre, et je sentais les spasmes de sa matrice qui semblait vouloir engloutir mon sexe ainsi que toute la liqueur qu’il pourrait lui fournir. Dans un râle de plaisir j’explosai littéralement d’une jouissance partagée avec ma partenaire, libérant en plusieurs spasmes toute ma précieuse semence au fond du ventre ainsi fécondé.


Je m’écroulai bientôt à même le sol et perdis connaissance, épuisé.


À mon réveil, j’étais attaché, allongé sur le dos, toujours aussi nu, et plusieurs jeunes filles attendaient leur tour d’être fécondées. Des femmes spécialistes de la fellation savaient réveiller malgré moi le désir de copulation, et l’une après l’autre les jeunes vierges venaient s’empaler sur mon vit pour recevoir la semence fécondatrice.


Cela me sembla durer plusieurs jours et plusieurs nuits, vidé de toute énergie et à demi inconscient, sans doute jusqu’à atteindre mon épuisement complet.


Lorsque je repris conscience, j’étais à nouveau à bord de ma goélette, toutes voiles dehors, le gouvernail bloqué en direction de l’ouest. J’aurais voulu faire demi-tour, mais sans instruments de mesure, je n’aurais jamais retrouvé l’île aux Amazones…


Et soudain je crus défaillir, était-ce un rêve ou une hallucination, sortant de la cabine, souriante et nue, ma bien-aimée.


Était-ce l’effet de la chaleur ou de l’émotion, mes jambes défaillirent et je m’évanouis… Je fus réveillé par les douces caresses d’une jeune femme aux longs cheveux bruns.