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n° 13449Fiche technique23060 caractères23060
Temps de lecture estimé : 14 mn
08/09/09
Résumé:  Maryse est envoyée par son chef comptable à la déchèterie pour se débarrasser de quelques archives. Là-bas elle est troublée par le regard des hommes et particulièrement par celui de M. Francis.
Critères:  fh extracon inconnu fsoumise hdomine voir photofilm facial nopéné -bourge -exhib -attirautr
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Série : Maryse, naissance de la perversion

Chapitre 01
Maryse, naissance de la perversion (1)

- 1-



En cette belle journée d’été, Maryse se console d’être encore devant son écran d’ordinateur en se disant qu’il ne lui reste qu’une heure avant de quitter son bureau. On est mercredi, son travail et ses horaires lui permettent d’avoir sa demi-journée, ce qui était très pratique lorsque ses enfants étaient plus jeunes. Maintenant qu’ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aînée, elle profite de ce temps pour vaquer à ses occupations. Mais d’abord elle doit finir sa comptabilité si elle ne veut pas avoir son chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier déboule dans son bureau, sans frapper comme toujours, accompagné d’un stagiaire à tout faire :



Et sans lui laisser le temps de répondre :



Le pauvre « petit » Martin ne sait plus où se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu’il connaît à peine avec une mission qui ne doit pas l’enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant son bureau dans une demi-heure pour l’aider. Il lui reste peu de temps, mais elle réussit à prendre de l’avance sur son travail. Elle retrouve le jeune Martin devant son bureau.



Les cinq cartons chargés, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder son emploi. Et puis la déchèterie est sur son chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garés. Deux hommes sont en train de jeter leur détritus, un à la benne de recyclage des déchets organiques et l’autre à la ferraille. La casse de voitures se trouve juste à côté. Un homme en tenue de chantier s’approche d’elle.



Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dévore des yeux.



Maryse se dit qu’en plus d’être lubrique, le bonhomme n’est pas très aimable…



Elle fouille son sac, sous le regard de l’employé qui n’en perd pas une miette. Pourtant elle est habillée sobrement comme toujours. Sa robe à motif vert est fraîche, mais elle la couvre jusqu’au cou. Elle lui tend sa carte d’identité.



Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l’ouverture se trouve un peu au-dessus de son visage. L’employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n’est pas si souvent qu’une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l’appétit. Les deux autres non plus n’en ratent pas une miette. D’ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L’un d’eux s’adresse à l’employé :



Et Francis de répondre :



S’en suivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n’ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l’échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l’aise. Elle n’ose rien dire. Son cœur bat la chamade. Son souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu’il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n’ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu’elle se reprenne. Francis l’employé approche d’elle.



Le bonhomme s’en va sans même l’aider. Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers son soutien-gorge.


Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s’empêcher de repenser à ces derniers moments à la déchèterie. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s’occupe de la maison en attendant le retour de son mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu’elle essaie d’oublier.


Le lendemain matin, elle décide de repasser à la déchèterie car elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd’hui, elle s’est habillée d’un pantalon et d’un chemiser assez ample. Comme la veille son regard est attiré par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. Son regard la gêne, elle-même n’ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libérer les pulsions de l’autre en le regardant.



il inscrit son nom sur son registre.



Elle lui donne son numéro de portable machinalement.



Elle s’apprête à remonter en voiture quand Francis l’interpelle :



Elle est abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Elle ne sait quoi répondre. Et il lui tourne le dos et s’en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un véritable goujat, vulgaire et répugnant. Et pourtant, le reste de la journée elle repense encore à cette phrase et au regard de Francis qui la déshabille, la transperce…


- 2 -



Une semaine passe dans la monotonie de son travail. Son mari lui annonce :



Oui, mais elle, elle doit rester à la maison seule. Cela obscurcit un peu sa journée. Elle repense encore à sa discussion avec son mari quand son chef déboule dans son bureau :



Encore ! Il a osé lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s’en prend à Martin qui est resté dans l’encadrement de la porte, en lui disant sèchement :



Le pauvre n’y est pour rien, mais il fallait qu’elle passe ses nerfs sur quelqu’un ! Les cartons chargés, elle remonte en voiture et se dirige vers la déchèterie. En route, elle repense à sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se répète sans arrêt. Aujourd’hui, elle est habillée encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermé jusqu’au cou, des chaussures à petits talons. Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ! Cela n’a aucun sens, se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu’elle pourrait ouvrir quelques boutons de son chemisier. Elle s’arrête sur le bord de la route. Elle regarde autour d’elle, pas une voiture. Ce n’est pas étonnant à cette heure-là. Il est plus de 13 heures. D’ailleurs il faut qu’elle se dépêche. Elle défait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rétroviseur. Son cœur bat à nouveau la chamade. Est-il possible qu’elle soit excitée à ce point-là ? Elle redémarre et arrive à la déchèterie. Cette fois elle est seule, il n’y a pas d’autre voiture. Elle s’arrête devant la benne de papiers et commence à jeter ses dossiers. Elle n’entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse son salut :



Elle lui tend la carte sous son regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversée par ce regard libidineux. Elle n’a plus de doute sur son excitation. Pourtant l’homme qui se trouve en face d’elle, dans sa tenue de travail tachée, n’est pas son type. Il n’est pas très grand, il commence à avoir une petite bedaine. Il est mal rasé et coiffé n’importe comment. Bref il n’est absolument pas son type d’homme. Après avoir noté les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence à jeter ses dossiers.



Toujours aussi aimable, se dit-elle. Mais son trouble est bien là, elle en tremble ! Elle quitte l’endroit quelques minutes avant qu’il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur son portable.



À nouveau elle ressent une boule dans son estomac. Les battements de son cœur s’accélèrent. Elle ne peut voir le numéro, mais elle sait que c’est M. Francis qui lui a envoyé ce message. Elle l’efface et rentre chez elle. Elle décide de se calmer avec un bon bain, un thé et une sieste sur la terrasse au soleil.


- 3 -



Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Maryse. Elle n’a rien dit à personne et son mari met son attitude sur le compte de son déplacement qui approche. Le mercredi matin, elle s’habille plus légèrement. Les températures sont chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant son petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de son effet. Elle se doute que son chef va encore débouler dans son bureau pour l’envoyer à la déchèterie. Il est tellement prévisible. Elle sent une pointe d’excitation à l’idée de cette nouvelle rencontre.


Et son chef ne manque pas de lui demander d’aller à la déchèterie. Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder à la dérobée. Cela la conforte sur son apparence. Confortée certes, mais son trouble grandit au fur et à mesure qu’elle approche de la déchèterie. Sa respiration est courte. Elle se demande même ce qu’elle est en train de faire. Puis elle se dit qu’elle ne fait rien de mal. Elle arrive enfin à la déchèterie qui est une nouvelle fois déserte. Elle gare sa voiture. Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s’être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d’écoulement. Elle regarde à travers les portières d’une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui sont au-dessus et se fige sur place.


Elle s’arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l’impression que son cœur bat tellement fort qu’on peut l’entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l’autre côté M. Francis en train d’uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l’homme, duquel s’échappe un gros jet d’urine. Il a retroussé la peau de son gland et un fois qu’il a fini d’uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu’elle l’a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ? Le temps qu’elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard.



Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec son sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l’autre est sur sa hanche.



Elle réalise qu’il la tutoie.



Elle est toujours tétanisée.



Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu’il s’en va fermer la grille de la déchèterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu’il logeait ici. Et toujours cette boule dans l’estomac et sa respiration qu’elle ne contrôle plus. Un bref regard dans son rétroviseur lui révèle le regard d’une proie affolée.



Elle n’a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu’il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme.



Il referme la porte derrière lui.



Maryse est tétanisée, elle est sous l’emprise de cet homme commun, vulgaire, qu’elle n’aurait jamais regardé, qui ne l’aurait jamais intéressée, elle en est sûre, mais la voilà seule dans cette caravane avec cet homme.



Que fait-elle là ? Elle regarde autour d’elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein prisonnier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l’autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu’en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant son voyeur. Lui observe sa proie avec son petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n’en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, son petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s’approcher et de la peloter. Il veut qu’elle s’abandonne à lui.



Sans rien dire, les yeux baissés, elle défait son soutien-gorge. Et elle est obligée de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extérieur. Il adore ce qu’il voit. Elle a de belles aréoles roses. Et ses tétons sont tendus, il sait que la température n’y est pour rien, elle est excitée !



Elle s’exécute, elle tourne sur elle-même dans l’espace confiné de la caravane.



Ses yeux s’agrandissent ! Là, cela va trop loin, mais elle a à peine le temps de répondre qu’elle voit un premier flash, puis un second.



Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitée par la situation et elle finit par l’admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l’autre. Il prend autant de photos qu’il peut. Elle commence à prendre des poses. D’abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils sont lourds sans être trop fermes. Les tétons sont tendus. Elle se caresse la toison qu’elle a fournie. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s’ouvre et M. Francis peut voir qu’elle mouille en abondance. Elle se tient à la paroi d’une main et se caresse le clitoris de l’autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s’assoit devant son voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n’aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée.



Elle regarde son entrejambe. Son bleu est déformé par son membre tendu. Il baisse sa fermeture éclair et lui exhibe son sexe tendu. De taille normale, mais tout veiné, ce qui excite Maryse. Il s’approche. Elle sait ce qu’il va lui demander. Son regard passe de son sexe au regard de la brune qui se fait éjaculer dessus. Elle sait qu’elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite éjaculer. Il arrive à hauteur de son visage.



Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s’en faire et cela participe à son excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l’exhibitionnisme. Mais elle n’a pas le temps de penser. Elle veut qu’il lui éjacule dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur réflexe et soudain c’est l’explosion ! Un gros jet vient s’écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu’elle a ouverte de surprise. Le dernier se dépose sur son sein gauche. Il grogne sa jouissance. Il reprend peu à peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de son sperme. Elle goûte son sperme au goût fort, elle se sent… salope. Et cela lui plaît.



Elle ne répond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer.



Maryse se rhabille après s’être essuyée du mieux qu’elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu’elle se dépêche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est à nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L’excitation ne la quitte pas.