Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13450Fiche technique12892 caractères12892
Temps de lecture estimé : 8 mn
10/09/09
Résumé:  Une première rencontre au calme entre un homme et une femme...
Critères:  fh caférestau intermast fellation confession -fellation -lieuxpubl
Auteur : Soeur sourire  (Debutante dans l'écriture, merci de votre indulgence...)            Envoi mini-message
Toi et moi...

On s’était rencontré simplement, sur un site libertin. J’aimais fréquenter le « chat » de ce site. Même si les rencontres n’étaient plus que de lointains souvenirs pour moi, j’aimais discuter, échanger et plaisanter avec les gens présents. Et un jour, nous nous sommes retrouvés à plaisanter ensemble avec d’autres personnes sur ce chat, avant de passer en privé pour une conversation agréable et sensée.


Cela s’est reproduit à plusieurs reprises et nos conversations sont devenues plus intimes. Nous avons fini par converser chaque jour et, de plus en plus, dans la journée, je me prenais à penser au moment qui allait arriver. Quelque chose m’attirait en toi et nos conversations étaient de plus en plus osées, et me faisaient de plus en plus d’effet. Te lire m’excitait au plus haut point.

Très vite, et avant même que nous nous soyons vus, tu savais ce que j’aimais et en jouais dans les conversations suivantes. Tu as même réussi, rien qu’en me le demandant, à me faire enlever mes sous-vêtements au travail. Cela a été très excitant et grisant, à tel point que, de quelques « coups » de doigts bien placés, je me suis fait jouir pour diminuer la tension sexuelle présente en moi. Mais cela n’a pas suffi et j’ai dû recommencer rapidement.


Enfin vint le jour où tu proposas que l’on se rencontre. Tu souhaitais passer la soirée dans mon coin, je t’ai naturellement proposé de venir visiter mon modeste deux pièces. Tu as refusé, prétextant que cela ne se faisait pas, que ce serait me donner l’impression de ne venir que pour me baiser, et que ce n’était pas le but !

Le ton était froid, je n’ai pas insisté. Un peu perplexe, je t’ai proposé un bar lounge à une vingtaine de kilomètres de chez moi ; un endroit tranquille, composé de plusieurs pièces (une ancienne maison de maître), dont les décors un peu psychédéliques contrastaient avec des canapés très profonds dans lesquels on s’enfonçait immanquablement quand on voulait s’y installer.


Enfin, le jour J arriva, je m’étais torturée longuement pour la tenue, tout en te maudissant. Et oui, si tu étais venu chez moi, je t’aurais accueillie nue et n’aurais pas dû cogiter à une tenue décente, mais sexy, qui te donne envie de revenir…

J’ai finalement opté pour une jupe grise évasée qui tombe sous les genoux, un polo blanc qui laisse voir la naissance de mes seins, bien serrés dans un soutien-gorge pigeonnant noir, et des sandales ouvertes à petits talons. Un collier tombant dans le décolleté complétait le tout.


Doucement, en me regardant une dernière fois dans le miroir avant de partir à ta rencontre, je me caressais les seins par-dessus mes vêtements. Ils étaient déjà très excités, même si, visiblement, selon le ton de notre dernière conversation, ce serait une rencontre sage.


J’arrivai quelques minutes à l’avance, me garai et scrutai les voitures aux alentours afin de voir si tu étais là. Mon regard croisa alors celui, très profond, d’un inconnu, qui semblait attendre quelqu’un à la porte de l’établissement. Je n’ai pas eu besoin de me poser de question, je savais que c’était toi.

Malgré l’appréhension qui me gagnait de plus en plus, je sortis de la voiture, avançai le plus naturellement du monde vers toi et tout en te disant bonjour, je t’embrassai au coin des lèvres. Nous sommes entrés et avons « visité » les pièces jusqu’à en trouver une, tout en longueur, occupée uniquement par un couple dans le fond. Nous décidâmes de nous installer dans un des canapés, assez loin du couple.


Après avoir ri de la position dans laquelle nous nous retrouvions (à moitié couchés) et avoir choisi un cocktail pour deux, nous avons devisé joyeusement, de tout et de rien, avec ces petites insinuations propres à nos conversations virtuelles. Ton regard plongeant dans mon décolleté et un sourire en coin me laissaient penser que nous pourrions nous revoir dans un contexte plus intime.


Tout en te racontant une histoire rocambolesque en faisant de grands gestes, je bousculai le verre à cocktail que tu me tendais et en renversai un peu sur ta cuisse droite. Maladroitement et rouge de confusion, balbutiant des excuses, je sortis des mouchoirs en papier de mon sac et tentai de réparer les dégâts quand je sentis une grosseur sous mes doigts. Je les enlevai prestement en rougissant, n’osant croiser ton regard. Du coin de l’œil, je te voyais me fixer, imperturbable et impassible.

Je sentais, de mon côté, que cet épisode ne m’avait pas laissée indifférente, je mouillais un peu et la pointe de mes seins avait durci.


Après un silence gêné, j’osai enfin un regard dans ta direction, tu souriais en me regardant. Tu me dis enfin :



L’envie qui déchira mon ventre à ce moment me fit sursauter. Je répondis timidement :



Un air de défi dans la voix et dans les yeux, en te regardant fixement, toujours rouge de honte, mais aussi d’envie, je me redressai et, en jetant rapidement un œil du côté du couple, plongé dans une discussion passionnante et ne faisant pas du tout attention à nous, j’enlevai rapidement mon soutien-gorge sous mon polo et le fourrai d’un geste vif dans mon sac. J’eus l’impression, à ce moment précis, de voir un sursaut à ton entrejambe.


Plus aucun de nous ne parlait, nous nous fixions, nous jaugeant, à qui allait oser en premier.

Tu posas délicatement ta main sur mon décolleté et parcourus de tes doigts la partie visible de mes seins. Cette caresse me fit tressaillir et je me pris à te supplier de partir de là pour rejoindre mon appartement. Sans aucune attention apportée à mes supplications, tu glissas ta main dans mon décolleté pour soupeser un sein. La profondeur du canapé nous masquait à la vue de l’autre couple et leur discussion ne s’interrompait jamais.

Je me laissai aller à cette caresse, que tu continuas avant de passer un doigt sur le téton, puis un autre, jusqu’à jouer avec, le faire rouler, le tirer, le titiller. Ma respiration s’accéléra et un gémissement étouffé m’échappa. Tu redoublas d’ardeur et te penchas pour m’embrasser entre les seins.


Je me mordis les lèvres pour ne pas gémir plus fort et attirer l’attention. Les yeux fermés, totalement affalée, la poitrine encore couverte mais déjà offerte, je tâtonnai pour te toucher, te sentir sous mes doigts. Je frôlai alors doucement ton entrejambe, où la bosse sentie plus tôt par inadvertance était toujours bien présente. Tu continuas de me caresser les seins tout en relevant mon polo, et découvris ma poitrine que tu attaquas directement avec la bouche. Le doute n’était plus permis sur ce que nous étions en train de faire et, de loin, je voyais les œillades appuyées et peu discrètes du couple qui ne pouvait pas voir grand-chose mais devinait ce qu’il se passait.


Tu m’embrassais la poitrine, suçais les tétons, les léchais, les aspirais et je n’en pouvais plus de ce traitement. Des papillons me chatouillaient le ventre et je sentais que j’étais trempée. Ma main ne restait pas inactive sur ton pantalon. Je caressais ton sexe, l’effleurais, en prenant bien tous les contours. Je salivais à l’idée de pouvoir bientôt le prendre réellement en main, le sentir frémir sous mes doigts.


Je m’attaquai à ta braguette dont je vins à bout rapidement et me heurtai directement à mon nouvel ami. Quelle surprise ! Nous avions eu la même idée, ne pas mettre de sous-vêtements. Je pris ton sexe dans ma main et fis un premier mouvement de bas en haut, afin de pouvoir en prendre totalement possession.


De ton côté, toujours la bouche et la main occupées sur mes seins, tu redoublais d’ardeur pour me faire gémir, et tu n’étais pas loin de me faire crier tant j’aimais cela. Ma main continuait ses va-et-vient sur ton sexe qui tressautait à chaque remontée vers le gland. Je descendis soupeser tes testicules et vis le rictus d’envie que cela te procura. Je jouais avec eux, les tâtais, les faisais rouler dans mes doigts, et tu semblais apprécier ce traitement. J’allais même jusqu’à aller gratter délicatement de mon ongle la petite surface plane entre les bourses et l’anus.


Cela te fit te contracter et tu voulus reprendre le contrôle des opérations. D’un mouvement, tu retiras ma main et me pris le poignet. Je me retrouvai à moitié couchée sur ce canapé, toi penché sur moi, le couple nous regardant maintenant franchement. C’est alors que tu approchas ta bouche de mes lèvres et nous partîmes dans un baiser doux et fort à la fois, plein d’envie. Entre le ballet de nos langues légères et les mordillements de nos lèvres, nos corps s’échauffaient et l’envie se faisait de plus en plus pressante.


Tu stoppas pourtant cet élan et naturellement, alors que ton mât était toujours dressé et ma poitrine dénudée, tu me proposas le cocktail délaissé depuis plusieurs dizaines de minutes.

Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, après juste une gorgée, tu le reposas sur la table basse et passas une main sous ma jupe. Tu as eu l’air surpris de ne trouver aucun barrage à l’expédition lancée par tes doigts. Surprise agréable à en croire ton sourire et la vigueur retrouvée de ton sexe.


Après avoir joué avec mon clitoris, ce qui me refit gémir, cette fois à haute voix, tu enfonças deux doigts dans mon sexe d’un seul coup. Des éclairs dans la tête, je crus que j’allais jouir sur place. Pour en profiter encore plus, j’avançais mon bassin pour venir à la rencontre de tes doigts. Tu profitas de cette position pour reprendre possession de mon clitoris avec ton pouce. Tu allais et venais au fond de moi avec tes doigts tout en m’embrassant fougueusement. Je repris également ton sexe en main pour une branlette en règle, ne négligeant ni les bourses, ni le petit morceau de peau derrière.


Tu accéléras le rythme de tes doigts, repris possession de mes seins avec ta bouche pour un bal effréné. Je me sentais partie, je ne savais plus où j’étais, je voyais qu’on nous regardait avec des yeux ronds mais n’en avais cure ; la seule chose qui m’importait était de jouir.


Plusieurs minutes de ce traitement et je me cambrai en poussant un long gémissement. Mon corps entier n’était plus que jouissance et j’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais. Tout mon corps était sensible. Tes doigts étaient trempés, comme le canapé sous moi.


Mon corps inerte retomba sur le canapé et il me fallut plusieurs minutes, toujours exposée aux regards du couple, pour revenir à la réalité.

Mes esprits retrouvés, je t’ai souri avant de fondre sur ton sexe que j’ai goulûment pris en bouche. Après quelques lents va-et-vient, je t’ai léché de bas en haut, avant de titiller et sucer le gland. De ma main, je caressais et soupesais toujours tes bourses. Je ne te quittais pas des yeux et, pour me faciliter le travail, je me glissai à genoux sur le sol, entre tes jambes. Je pouvais docilement te sucer, tout en te regardant dans les yeux. J’adore voir l’effet que procure une fellation sur la personne qui la reçoit et je n’étais pas déçue. Tu te laissais complètement aller sur le canapé, les yeux mi-clos pour mieux savourer la caresse.


J’alternais les allers et retours profonds et la succion du gland, que tu semblais aimer plus particulièrement. Un soubresaut et un gémissement m’ont fait comprendre que la jouissance n’était pas loin je redoublai d’ardeur et d’entrain pour te voir fermer les yeux et profiter de ce moment. En un instant, ton corps s’est arqué et tu laissas échapper un long gémissement avant de me tenir la tête pour que j’accélère encore le mouvement. Enfin, la délivrance, tu jouis de longs jets chauds dans ma bouche et je n’en ratai pas une seule goutte. Je continuais d’ailleurs de te lécher sucer le gland pendant que tu te remettais de tes émotions.


Tu te redressas et je m’affalai dans le canapé. Le couple partit, en nous remerciant pour le spectacle, et je rougis en baissant les yeux.

Tu te penchas alors vers moi, m’embrassas doucement sur les lèvres et me dis :