Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13456Fiche technique32314 caractères32314
Temps de lecture estimé : 22 mn
12/09/09
Résumé:  Vision heureuse d'un futur... souhaitable !
Critères:  grp facial fellation cunnilingu pénétratio sf -sf
Auteur : Zébulon            Envoi mini-message

Concours : Un futur pas si lointain
In sexo veritas

Le jet stratosphérique Boston-Paris se posa à l’aéroport Charles de Gaulle une heure après avoir quitté la Nouvelle-Angleterre. Lizzie McCormick posa enfin le pied sur le sol français. Francophile convaincue, elle rêvait de ce voyage depuis des années. Il lui avait fallu attendre Harvard et son sujet de thèse pour que son espérance devienne réalité. Son séjour était payé par le gouvernement américain, auquel elle avait réussi à vendre les futures conclusions de son travail de recherche. Elle était bien décidée à profiter du mieux possible du temps qu’elle passerait sur cette terre de romantisme, et notamment de mener à bien son étude très personnelle sur les mérites comparés des amants français et américains. Elle pénétra dans la salle des arrivées et scruta les personnes présentes à la recherche de son hôte.


Thomas Dubois regardait la file interminable des mille deux cent quarante passagers que n’en finissait pas de déverser le couloir des arrivées. À chaque fois qu’il voyait une femme seule franchir la porte, il brandissait la pancarte mentionnant le nom de son invitée, espérant que l’Américaine ne soit pas le laideron en jupe orange ou l’obèse en survêtement. Son cœur fit un bond quand il vit une belle jeune femme brune aux cheveux longs, habillée d’un pantalon moulant et d’un chemisier très échancré, lancer un regard interrogateur sur l’assemblée. Pourrait-elle être celle qu’il attend ? Il agita le panneau dans sa direction. La jeune femme se dirigea vers lui.



Je vais tout faire pour, ajouta-t-il intérieurement.



Le jeune fonctionnaire se fraya un passage parmi la foule des arrivants et des personnes venues les accueillir, ouvrant la voie pour sa charmante invitée. Une fois dans le couloir, ils purent marcher côte à côte. Ses yeux ne purent s’empêcher de plonger régulièrement dans le décolleté qui cheminait à sa gauche. Ils parvinrent enfin au lounge réservé aux personnalités, où ils s’installèrent confortablement l’un en face de l’autre.



En disant cela, elle croisa les jambes. Thomas eut soudain un flash, l’image d’une scène d’un très vieux film où l’actrice principale, assise face à plusieurs hommes en salle d’interrogatoire, dévoile fugacement son intimité en faisant ce même mouvement. Il regretta que Lizzie ne soit pas vêtue d’une jupe plutôt que d’un pantalon. Il chassa bien vite cette pensée de son esprit, il était en mission pour le ministère, pas en séance de séduction.



Lizzie McCormick écoutait attentivement son interlocuteur. Thomas Dubois ne put s’empêcher d’être troublé par la beauté des yeux verts qui le fixaient. Il se concentra du mieux qu’il put, et continua son exposé.



Si elle continue à me regarder comme ça, je vais lui sauter dessus ! pensa Thomas.



Le fonctionnaire abandonna l’air sérieux et professionnel qu’il s’imposait depuis le début de l’entretien, et afficha un large sourire.



Il se leva prestement et tendit la main à son invitée pour l’aider à faire de même. Celle-ci s’en saisit. Le bref contact de sa peau provoqua un frisson d’excitation chez Thomas.



Thomas regarda Lizzie d’un air étonné. Elle n’était vraiment pas dans l’état d’esprit qui convenait. Il faudrait qu’elle adopte un mode de pensée moins conformiste si elle voulait venir à bout de sa thèse. Sans cela, elle n’était pas au bout de ses surprises.



Le regard de Lizzie sur le Français changea. Elle était arrivée emplie malgré elle du sentiment de la supériorité américaine, regardant avec condescendance un petit pays folklorique. Elle était en train de s’apercevoir que ce pays n’était pas seulement une attraction touristique, mais qu’il y avait peut-être réellement des idées à piocher, des exemples à suivre.


Leurs pas les avaient conduits jusqu’à la station de MGV. Thomas invita Lizzie à monter dans la rame. Ils s’assirent face à face, à côté d’une fenêtre. Le train démarra. Les deux premières minutes du trajet se déroulèrent en surface avant que le métro ne plonge dans un tunnel. L’Américaine regardait le paysage avec curiosité.



Thomas éclata de rire.



Un regard d’incompréhension interrogative se lut dans les beaux yeux verts.



Le train s’immobilisa.



Lizzie regarda Thomas. Tout compte fait, sous des abords de fonctionnaire méticuleux, il avait un petit côté séduisant. Il pourrait bien être d’agréable compagnie pour des moments de loisir.



Un silence un peu gêné s’installa entre eux. Au bout de quelques secondes, Thomas s’éclaircit la voix et reprit.



Ils sortirent de la station de métro et se dirigèrent vers la Cité. Lizzie ouvrait de grands yeux pour ne rien perdre du paysage, de l’architecture, des monuments qui s’offraient à elle. Elle oublia complètement pendant la durée du trajet la raison de sa venue. Thomas se garda bien de la lui rappeler et s’employa à faire le guide. Les yeux de la jeune femme brillaient d’excitation. Elle était à Paris, enfin. Son émoi fut à son comble quand ils furent arrivés sur le parvis de Notre-Dame.



Lizzie rougit sous le compliment, et ne sut que répondre. L’émotion d’être dans ce lieu mythique, les avances d’un homme, la ville des amoureux, tout cela lui tournait la tête. Thomas constata son trouble et décida d’en profiter. La visite qu’il s’apprêtait à lui faire faire lui en donnerait l’occasion.



Ils franchirent les quelques mètres qui les séparaient de l’entrée du centre de soins. Thomas exhiba sa carte du ministère devant le cerbère de service, qui immédiatement s’effaça pour les laisser passer.



Le fonctionnaire entraina l’étudiante vers un escalier qui descendait aux niveaux inférieurs. Ils le descendirent et se trouvèrent face à une lourde porte que Thomas ouvrit. D’un geste il invita son hôte à entrer, savourant par avance sa surprise. La jeune femme pénétra dans le sous-sol et s’arrêta brusquement, interloquée.



L’Américaine se retourna vers lui, et plongea son regard dans celui du jeune homme.



Lizzie McCormick était désormais admirative. Elle n’imaginait pas que ces petits Français avaient pu être aussi ingénieux et imaginatifs. En même temps elle mesurait le chemin qu’il restait à parcourir à son pays pour appliquer le même type de mesures. Sa thèse n’allait pas être si facile à rédiger, et sa crédibilité de chercheuse risquait d’être mise à mal. Mais elle repoussa ces considérations à plus tard, il serait bien temps de s’en préoccuper à son retour.


Thomas affichait un sourire radieux. Il avait pu constater le changement dans l’attitude de Lizzie depuis son arrivée, les différents stades par lesquels elle était passée pour arriver à ce qui ressemblait maintenant à une admiration sans bornes. Le regard qu’elle portait sur lui, le messager, le professeur, avait suivi une évolution similaire. Le fruit avait mûri, il allait bientôt être bon à cueillir. Il fallait maintenant passer à la dernière étape.



Thomas invita Lizzie à le précéder dans l’escalier. Il put tout à loisir apprécier la rondeur ferme du fessier de l’Américaine qui se balançait voluptueusement devant ses yeux. L’excitation commença à le gagner.



Lizzie s’exécuta. Ils pénétrèrent dans un long couloir de part et d’autre duquel s’ouvraient les chambres des malades du cancer. En passant devant une porte ouverte, elle écarquilla les yeux. Elle s’arrêta pour mieux voir, et instinctivement se recula un peu pour ne pas être vue.


La scène qui se déroulait devant ses yeux était tout simplement incroyable dans un tel lieu. Une femme nue debout à côté d’un lit était en train de pratiquer une fellation à un patient allongé. En regardant plus attentivement, Lizzie aperçut aux pieds de la femme une blouse. C’était une infirmière ou un médecin. Le patient gémissait de plaisir sous la caresse buccale. La femme s’arrêta de sucer et prit le membre dressé en main. Elle commença une vigoureuse masturbation, et s’adressa au patient.



Celui-ci lui répondit par un signe de tête qui l’encourageait à continuer. L’infirmière varia la vitesse et l’intensité de son mouvement. Le patient hocha la tête en guise d’encouragement. Elle continua encore quelques instants, suivant les indications gestuelles de l’homme allongé. Enfin, une longue coulée de sperme jaillit, que le patient accompagna d’un borborygme.


Lizzie s’empressa de quitter son poste d’observation pour ne pas être découverte, et rattrapa Thomas qui ne s’était pas aperçu de son arrêt. Elle était très gênée d’avoir aperçu cette scène, et d’avoir violé l’intimité du couple en l’épiant. Elle n’osa pas en parler à son guide.



Les joues déjà rosies de Lizzie virèrent d’un coup au rouge.



Lizzie comprit tout à coup la nature de la scène qu’elle avait surprise quelques instants plus tôt.



Il poussa la porte devant laquelle ils s’étaient arrêtés, et fit signe à Lizzie d’entrer. Cette dernière, déjà émue par sa vision précédente, était désormais excitée à l’idée de ce qu’elle pourrait découvrir dans cette salle. Thomas l’avait très bien ressenti, il espérait avec cette ultime étape porter le coup de grâce à ses défenses. Elle entra.


Huit lits étaient disposés dans la grande salle. Tous étaient occupés, par cinq femmes et trois hommes. À côté ou sur chacun des lits se tenaient une ou deux infirmières qui s’occupaient d’apporter intensivement des soins à leur patient. Des râles de plaisir se faisaient entendre de tous côtés.



Thomas posa sa main sur les reins de la jeune femme et la dirigea vers le deuxième lit. Une patiente était allongée, nue, dans une position très indécente. Une infirmière, nue également, avait la tête enfouie entre les jambes largement écartées. Une autre, dans la même tenue, caressait les seins. Thomas entreprit d’expliquer, sans retirer sa main.



En disant cela, il fit glisser sa main sur les fesses de l’Américaine, qui presque aussitôt se cambra pour mieux profiter du contact. Thomas avait maintenant une érection qui commençait à devenir douloureuse, comprimée comme elle l’était dans son pantalon de costume.



L’infirmière qui léchait avec application le sexe de sa patiente releva la tête. En bonne professionnelle de l’aide aux personnes, elle identifia tout de suite que le couple à côté d’elle avait besoin de ses services. Elle se releva et aida ses voisins à se débarrasser de leur pantalon et sous-vêtements respectifs. Elle fut immédiatement remplacée par sa consœur qui vint prendre place entre les jambes abandonnées.


La queue enfin libérée de Thomas se dressa fièrement sous les yeux de l’infirmière. Celle-ci, n’écoutant que son devoir, la prit goulûment en bouche. Thomas insinua ses doigts dans la fente abondamment lubrifiée de Lizzie.



Lizzie se rapprocha doucement du lit voisin où une infirmière embrassait l’homme qui y était allongé. Le sexe de celui-ci était insolemment tendu vers le visage de l’Américaine. Cela lui fit l’effet d’une glace qui ne demande qu’à être léchée, ce qu’elle fit sans plus attendre. Le patient poussa un gémissement qu’on ne pouvait pas prendre pour de la douleur.


L’infirmière suçait toujours la queue bien raide de Thomas, qui se félicita de l’excellence de la formation du corps médical français. Cette petite pompait divinement bien. À ce rythme-là il ne tiendrait pas longtemps. Le cul de Lizzie devant ses yeux lui faisait terriblement envie. L’étudiante américaine mouillait comme une fontaine et il avait une furieuse envie de la pénétrer. D’un geste de la main, il intima l’ordre à l’infirmière d’arrêter la délicieuse fellation qu’elle lui prodiguait avec application. Celle-ci obéit sans dire un mot et s’en alla aider un autre patient.



Thomas saisit Lizzie par les hanches et s’enfonça brutalement en elle. Elle laissa échapper un petit cri de surprise puis reprit bien vite en bouche le membre avide de succion.


Un long cri masculin, synonyme d’éjaculation, se fit entendre dans la salle. L’infirmière qui avait mené à bien sa distillation d’endorphine se redressa à la recherche de nouvelles douleurs à soulager. Elle vit la femme se faisant prendre en levrette tout en suçant la bite d’un patient. Elle se dit que sa douleur devait être bien grande pour nécessiter autant de soins et résolut de lui apporter un complément de soulagement. D’un mouvement très professionnel, fruit d’une longue pratique en milieu hospitalier, elle vint se placer entre les jambes de Lizzie et entreprit de lui apporter du réconfort à coups de langue sur le clitoris, comme on lui avait enseigné à l’école d’infirmière.


Thomas était surexcité par la vision plongeante qu’il avait derrière lui sur le sexe de la soignante, allongée les jambes écartées entre les siennes. D’une pression des mains sur les hanches de Lizzie, il la fit se baisser un peu, facilitant par là même les soins linguaux, et lui donnant accès à l’entrejambe de la consciencieuse. Tout en continuant à labourer l’Américaine à grands coups de queue, il plongea deux doigts dans le vagin de l’allongée et se mit à la branler frénétiquement.


Lizzie fut contrainte de libérer le sexe du patient de sa prison buccale pour exprimer tout à loisir sa prise de conscience de la montée de son taux d’endorphine. Elle continua néanmoins à prodiguer ses soins à l’aide de sa main droite. La queue de Thomas en elle, la langue de l’infirmière sur son bouton et le sexe vibrant de plaisir dans sa main provoquèrent bientôt un tsunami d’analgésique opiacé que ses neurotransmetteurs, par le biais de ses cordes vocales, accueillirent avec un puissant cri rauque.


La stimulation auditive de l’orgasme de l’Américaine provoqua l’éjaculation simultanée du fonctionnaire et du patient. Les trois corps se retrouvèrent noyés d’endorphine et celui de Lizzie, accessoirement, de sperme.


Satisfaite du résultat obtenu, l’infirmière se releva et demanda doucement à l’oreille de l’étudiante.



Lizzie lui répondit par un soupir. Après avoir repris ses esprits, Thomas remit son caleçon et son pantalon de costume, en digne représentant d’une administration sérieuse. Il s’adressa à Lizzie, toujours affalée tête sur le lit et cul en l’air.



L’Américaine se redressa, sembla réfléchir quelques instants et déclara :