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Temps de lecture estimé : 23 mn
15/09/09
Résumé:  Un enlèvement qui bouleversera ma vie et mes habitudes...
Critères:  fffh hépilé fdomine exhib couche uro scato attache yeuxbandés -initiatiq
Auteur : Kris      Envoi mini-message
Une heure que je courais

Déjà une heure que je courais, bien que j’adore la sensation de liberté qu’un bon jogging peut apporter à l’esprit, il me fallait rentrer.

Juste le temps de prendre une douche et de me changer, j’avais rendez vous pour visiter un appartement à plus de trois millions d’euros.


Que de chemin parcouru, la chambre d’étudiant, l’ordinateur rafistolé qui bugge, la start-up et les railleries devant mon enthousiasme. Les premiers succès, les premières embauches, les bureaux de plus en plus grands et après quinze ans, la proposition.


Eh oui, trois mois de négociations, j’ai vendu et bien vendu mon bébé. À trente cinq ans je suis à l’abri du besoin. Seule ombre au tableau, quarante des cent vingt administratifs vont être licenciés, je m’étais pourtant juré d’être irréprochable et d’avoir toute ma vie le côté humain comme priorité, mais voilà j’ai choisi le chèque, avec beaucoup de zéro derrière.


Dernier pâté de maison, je passe la porte de l’immeuble, je vais vérifier le courrier… Un bruit de bousculade derrière moi, pas le temps de me retourner, plusieurs bras m’immobilisent, un tissu avec une odeur épouvantable est pressé sur mon visage, mes jambes me lâchent, je sombre. Noir.



Petit à petit je reprends mes esprits, j’ai cette odeur dans les narines, j’essaie d’ouvrir les yeux, il y a quelque chose sur mon visage, pas moyen de me concentrer, je suis à la limite de replonger, j’entends des voix, des bruits, je n’arrive pas à bouger.


Je parviens tout doucement à me concentrer un peu, l’esprit fonctionne lentement, le corps ne semble pas réagir, le jogging, la boite à lettres, j’ai été agressé, je suis peut être à l’hôpital.

Les sensations reviennent, j’ai une espèce de tissu sur les yeux, je porte toujours mon jogging, mon tee-shirt est froid, certainement la transpiration qui s’est refroidie.

Apparemment j’ai les bras et les jambes attachés, j’ai déjà vu dans les feuilletons qu’on attachait les gens sur les brancards pendant leur réveil, mais pourquoi les yeux bandés, peut-être suis-je gravement blessé, j’ai la gorge sèche, la langue comme gonflée, je n’arrive pas à émettre un son.

Je commence à comprendre les voix.



Je bouge ma tête, pour montrer que je me réveille.



Je suis où ? Ce n’est pas très médical tout ça, je tente :



Plusieurs personnes se rapprochent de moi.



Je hoche la tête !



Enlevé, mon esprit embrumé essaie de faire le point.



Un silence, comme s’ils attendaient une réaction.



Qui appeler, bonne question, je n’ai pas de famille, pas de petite amie, plus de collègues… Mon avocat, il n’y a que lui qui puisse faire quelque chose.



La pièce est vide, je réfléchis, enlevé, je ne suis pas dans la merde. Les liens sont solides, combien de temps vais-je passer ici, est-ce qu’ils vont me tuer, c’est étrange j’ai l’impression de n’avoir entendu que des voix féminines. Les pensées se bousculent, et si personne ne paie pour moi…

La porte s’ouvre, aux bruits je dirais trois personnes.



Je n’entends plus que des murmures, ça sent l’amateur à plein nez, bon ou mauvais signe ?



La porte, des pas, une chaise qui bouge, plus rien.

Un quart d’heure de silence, j’entends sa respiration, rien d’autre, pas un bruit, je suis où ? Pas de circulation, rien silence complet, peut-être une cave, mais il ne fait pas froid.



Un bruit de bouteille en plastique, un goulot qui s’approche de mes lèvres, j’essaie de soulever la tête, pas terrible pour boire, je m’étouffe, une grosse quantité d’eau me coule dans le cou.



Silence à nouveau.



L’amateurisme va me poser des problèmes de vessie, je le sens mal ce coup-là.


À vue de nez, peut-être une heure que nous sommes là à deux, j’ai de plus en plus envie d’uriner, la porte s’ouvre, une personne entre.



Elles, j’en suis sûr ce sont des femmes, donc elles en ont de bonnes, je me retiens…



Elles se bougent, et les voilà près de moi.



Deux mains se saisissent de mon pantalon et de mon boxer en même temps et commencent à les descendre, mais comme je suis attaché jambes écartées et que je porte plutôt des boxers serrés pour aller courir, l’ensemble est rapidement bloqué au niveau des cuisses. En fait la ceinture du boxer est juste sous les testicules et le tissu bien tendu.



Manifestement elles cherchent comment positionner la bouteille, entre les jambes elle est penchée en avant à cause du tissu et de côté elle pose sur les hanches.



Elles ont choisi la position posée sur le caleçon, des doigts fins et frais attrapent mon sexe et le dirigent vers le goulot, je n’y vois rien, mais je n’imagine pas ce que ça va donner, l’envie est trop pressante, je me laisse aller.

Au premier jet d’urine mon pénis a fait un sursaut, un cafouillage s’en suit l’une lâche la bouteille, l’autre mon sexe, je me retrouve à me pisser dessus, incapable de m’arrêter tant l’attente a été longue.



Me voilà attaché, trempé, mais soulagé. On m’essuie sans ménagement, puis la serviette est posée en boule sur mon sexe.



Elles partent s’asseoir, et plus un mot, certains détails semblent leur avoir échappé pendant la préparation, pour peu qu’il y ait eu une préparation.


Environ une heure plus tard, la troisième les rejoint, j’imagine qu’elle doit être entre guillemets le chef. Elles partent dans une pièce contiguë, je les entends discuter, mais je suis incapable de comprendre le moindre mot.

Des bruits de porte, l’une d’elle revient dans la pièce, s’assoit et silence…


Le temps passe, je n’ai aucune idée du jour et de l’heure et je sais que je n’aurai aucun indice sur ce qui m’attend avant demain.

Il y a bien déjà une bonne heure de passée quand « la chef » revient…



Mes baskets sont délacées et enlevées, puis la chef demande à l’autre de me détacher un seul pied, elles me rapprochent les deux jambes, le cache-sexe en éponge est enlevé et mon pantalon et le boxer rejoignent mes chevilles. Elles glissent les vêtements du côté de la jambe de libre et me rattachent immédiatement le pied.



L’opération ne dure que quelques secondes et je me retrouve dans la même position, mais à demi-nu, j’imagine bien la scène, un mec en tee-shirt, veste de jogging et chaussettes attaché jambes écartées la quéquette à l’air. Ça pourrait être érotique, si les circonstances s’y prêtaient.



Elles s’affairent avec des sachets plastiques, qu’est-ce qu’elles mijotent !



Je comprends immédiatement l’astuce, en quelques secondes je me retrouve équipé d’une couche culotte.

Pas bête et comme ça, le tableau est complet, je ne dois pas pouvoir avoir l’air plus ridicule.



Elles se font la bise, et l’autre part, on dirait une journée ordinaire, le ridicule de cette situation me troue le cul.


Un long moment de silence, au bruit je dirais qu’elle feuillette une revue, je n’arrive pas à comprendre comment et pourquoi je me suis retrouvé là.



Elle a sûrement raison, mais ces quelques mots donnent à réfléchir…

À nouveau silence, je me concentre sur mon ressenti, c’est assez amusant en fait ces couches culottes sont assez confortables, une sensation de douceur et d’enveloppement c’est presque le seul élément rassurant de cette aventure.

Je laisse vagabonder mes pensées, de toutes façon pas grand-chose d’autre à faire.


Après un bon moment de silence, je reçois ma première information sur le temps écoulé.



D’accord c’est un peu bizarre de boire une soupe au biberon allongé, mais elle fut bienvenue, la journée avait été longue et j’en avais oublié le plaisir d’avoir quelque chose dans l’estomac.


D’après une estimation personnelle la relève arriva vers vingt et une heures, c’était la plus silencieuse du groupe. Elles se retirèrent un peu à l’écart et je suppose qu’elles se donnèrent les consignes, puis la porte claqua.



La plus silencieuse et certainement la moins convaincue.



J e suppose qu’elle doit avoir des enfants, parce qu’à ma grande surprise elle se dirigea vers moi et d’un geste presque automatique elle écarta le bord de la couche, comme on fait avec les bébés pour en vérifier l’état.



Elle s’éloigna vers ce que je suppose être ‘la douche’et fit couler l’eau, de retour elle souleva tant bien que mal mon tee-shirt et ma veste de jogging, à nouveau direction la douche, bruit de friction de gant, pendant qu’elle revenait je sentais déjà l’odeur du savon et la pensée de ne plus sentir la transpiration, fut comme un petit coin de bonheur dans ma captivité.

Le gant bien chargé de savon glissait sur ma peau, elle arriva malgré les obstacles vestimentaires à me frictionner les épaules, les aisselles et en me cambrant le dos. Le rinçage avec une eau légèrement plus fraiche fut une bénédiction, comme quoi les choses simples ne sont appréciées que quand elles vous manquent.



Elle décrocha les adhésifs, écarta les bords et rabaissa tout l’avant vers le bas, des pas en direction de la douche, bruit d’eau et de gant, retour, elle commença un savonnage maîtrisé à la perfection, du dos de la main elle remonta ma verge alors que ses doigts soulevaient mes testicules, savonnage de la marge anale, d’une main experte elle écarta légèrement les fesses pour un passage en surface sur mon petit trou.


Le scrotum minutieusement, dans tous ses replis, arrivés à la base de la verge, une friction plus énergique du pubis. Elle repartit, je l’entendis rincer le gant, retour pour le nettoyage de la verge, enveloppant de plus en plus près du prépuce, et au moment où je pensais le savonnage fini, avec un mouvement sublime elle me décalotta, jamais je n’avais connu ça, rinçage du gant, rinçage de toute la zone recalottage, séchage à la serviette. J’aurais payé pour qu’on me fasse ça, si j’avais su.


Elle retira l’ancienne couche qu’elle avait laissée pour protéger le matelas et alors qu’elle revenait avec je le suppose la couche propre, je sentis monter une érection plus que correcte.



Dubitatif, je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. Aller-retour à la douche, elle se rassit sur le bord du lit, sa main glissa entre mes jambes, souleva mes testicules, son autre main descendit, avec le pouce et l’auriculaire elle écarta légèrement les fesses, l’annulaire un peu froid et humide titilla mon anus et d’un seul coup elle me l’enfonça complètement. Elle le tourna à l’intérieur et fit quelques allers-retours sur ma prostate, immédiatement l’érection retomba et je sentis une goutte perler au bout du gland, elle l’essuya et tranquillement referma la couche.



J’étais abasourdi, j’avais vécu la toilette la plus érotique de ma vie, suivie d’un toucher rectal de première et tout ça parce que je m’étais fait kidnapper.



J’ai eu un peu de mal à m’endormir, les sensations que je venais de ressentir, mon cerveau tentait d’y mettre des images, et sans repères c’était un peu tout et n’importe quoi, je finis pourtant par m’endormir.


Je fus réveillé par la relève.



Je ne me manifestai pas de suite, histoire d’entendre comment elle s’occupait. Je la sentis qui tournait en rond, elle n’avait pas l’air de savoir quoi faire.

J’émergeai officiellement.



Elle s’éloigna dans la pièce et j’entendis le bruit typique d’un micro-ondes. Drôle d’impression que de me dire que c’est mon biberon qui chauffait.

Ma mère de substitution vint s’asseoir à côté de moi et m’enfourna sans délicatesse la tétine, étrange petit déj, mais affamé je tétai goulûment.



Je ne relevai pas, le biberon, c’est sacré.


À la fin du biberon, elle se leva, le passa rapidement à l’eau, puis revint tourner en rond dans la pièce.



Voilà, ce qui la travaillait, personnellement j’avais presque oublié, occupé à essayer de penser à rien, j’en perdais le sens des choses.


Le temps s’écoula et il ne manquerait qu’un tic tac d’horloge pour parfaire le décor, si, et oui si, mon ventre voulait bien ne pas gargouiller. Vingt heures que je n’avais rien mangé de solide, et mes intestins aimeraient bien se vider, dans le genre sensation de diarrhée qui urge, mais là, ça me paraissait un peu inimaginable. Je tentai !



Et merde, j’attrapais des suées, il fallait que je me vide, en plus avec quelqu’un à côté, c’était super gênant, mais là, c’était tout de suite ou le malaise.

Pas d’erreur c’était bien liquide, et ça s’étalait partout, je sentais la chaleur qui montait de chaque côté de la couche, mes testicules baignaient et je n’osais imaginer le reste.



Vu la personnalité de ma nurse, on risque d’être bien loin de ma toilette du soir. Elle s’affairait, je l’imaginais bien utiliser les grands moyens, allait-elle me sortir le karcher !



Elle décrocha les adhésifs et décolla la couche en poussant des grognements.



Le nettoyage fut plus doux que je ne l’en croyais capable. Évidement le langage était coloré, mais la douceur était de mise.



J’avoue que le frottement des lingettes et du gant sur mon anatomie me plaisait bien, je me trouvais ridicule de le penser, mais c’était assez jouissif.

Le lavage terminé elle glissa une couche propre sous mes fesses, mais avant qu’elle ne la replie le téléphone sonna.



J’imaginais qu’il y avait un problème, et que j’allais bientôt le connaître, elle se déplaça en grommelant, oublié le changement de couche, du coup je me retrouvais une fois de plus le sexe à l’air, moi qui suis plutôt pudique, j’ai un peu tendance à m’exhiber depuis quelques heures.

Elle composa un numéro.



Bon, j’avais compris la situation et les menaces, d’ailleurs je la sentais qui s’approchait, elle laissa glisser sa main le long de ma jambe, caressa le scrotum, poursuivit sur ma verge, enfin saisissant le prépuce entre deux doigts, elle souleva ma verge et laissa retomber.



Elle commença à s’éloigner et revint sur ses pas.



Je la sentais excitée par la situation, les portes de placard s’ouvrirent, se fermèrent, l’eau coula et elle fit des allers-retours au pas de course. Quand apparemment elle eut rassemblé tout le matériel nécessaire, elle me demanda de me cambrer et me glissa une espèce d’édredon sous les reins, me laissant dans une position semi gynécologique. Avec les jambes écartées par les liens et l’édredon judicieusement placé, j’avais les fesses écartées, l’anus en liberté et le sexe en surplomb.



L’esthéticienne improvisée se mit à l’œuvre, commençant par le pubis, enchaînant avec les testicules, ses doigts soulevèrent, déplacèrent, maintinrent et au fur et à mesure je sentis la fraîcheur de la nudité sur les parties dépourvues de poils. Au moment où elle attaqua le sillon fessier, mon excitation fut horriblement délicieuse, le frôlement du rasoir sur les plis de mon petit trou provoqua un frisson de plaisir qui remonta jusqu’à la pointe du gland. Rapidement, je perçus l’absence de poils sur chaque partie de mon anatomie intime, les frôlements se firent caresses quand toute pilosité eut disparu.

Un rinçage au gant trempé, un séchage à la serviette éponge, puis elle étala une espèce de lait de toilette, qui sentait le bébé à plein nez, la friction et l’étalage de ce lait étaient purement divins, le massage des testicules fabuleux et le sillon fessier inoubliable.



On aurait dit qu’elle se reculait pour contrôler le résultat.



Elle déplaça une chaise et sembla s’asseoir à proximité, j’eus comme l’impression qu’aucune couche ne viendrait masquer ma nudité dans l’immédiat, cette situation avait quelque chose d’érotique, elle me laissait là nu exposé, volontairement, elle ne disait plus un mot, elle devait regarder, à quoi pensait-elle ?

Mon ouïe semblait s’être développer depuis que j’étais allongé avec ce bandeau, je percevais nettement le bruit d’un escarpin qu’on laissait tomber au sol. Mais en fait j’étais loin d’imaginer que le pied habillé d’un bas satin était en train de se diriger lentement, mais sûrement vers la zone fraîchement rasée.

Au premier contact tous mes muscles se contractèrent, lentement l’autre pied entra en action, et c’est un mélange de caresses et de masturbation pédestre qui commença, j’allais exploser, si elle continuait quelques minutes de plus.



Ces confessions n’allaient rien arranger à mon état, mon esprit imaginait déjà la scène.



Bruit de jupe, elle me provoquait.



Elle s’approcha…



En moins de temps qu’il n’en faut pour que je réalise, elle m’enjamba, je la sentis là au-dessus de mon visage, le tissu de sa jupe frôla mon front, je devais être juste sous son sexe, j’avais envie de le lécher, qu’elle se baisse encore un peu.



Et voilà mes lèvres directement sur un magnifique clitoris tendu, qui, je le confirme, n’avait pas besoin de lubrifiant.

Je m’appliquai à bien faire les choses, elle, elle se déplaça m’offrant successivement l’accès à toute son intimité, elle se cambra même pour que ma langue atteigne sa rosette lisse dans un sillon trempé des sécrétions qui coulaient de son sexe par petits flots à chaque contraction des muscles vaginaux.

C’est un plaisir en soi, mais la promesse faite de me retourner le compliment ne quittait pas mon esprit.

Tout à coup, elle se redressa et effectua tout une série de manœuvre afin de se retourner, elle se remit sur ses genoux offrant à nouveau son sexe à la dextérité de mes lèvres et de ma langue, mais sous un nouvel angle.



La découverte des délices de ses caresses directement sur la peau épilée, me dissuada d’avoir même rien que l’idée d’arrêter. Nous étions en train de nous tortiller de plaisir à l’unisson, j’en vins même à bénir cette situation qui pourtant n’avait rien d’enviable à ses débuts.

Je sursautai, d’un coup la porte d’entrée venait de s’ouvrir et quelqu’un entrait dans la pièce.



Elle était entrée dans la pièce et manifestement avait marqué un temps d’arrêt !



Elle prit place, en bougeant une chaise, cherchait-elle le meilleur angle ?



J’ai repris mon activité, elle malgré sa conversation continuait entre chaque phrase, à me rendre la pareille.



D’un seul bond, elle quitta le lit, avec une pointe d’humour, elle me dit « bouge pas je reviens », et j’entendis des bruits de poursuite, de bataille, on se serait cru dans un dortoir d’internat pendant une bataille de polochons, d’après mes oreilles elle poursuivit sa collègue avec la ferme intention de lui subtiliser jupe et culotte. Un cri de victoire, laissa présumer que sa collègue avait désormais un point commun avec nous : les fesses à l’air !

Elle l’entraîna jusqu’au lit, l’autre dut faire mine de résister…



Un nouveau sexe était à nouveau à portée de ma bouche, je n’avais jamais eu l’occasion de faire une comparaison à si peu de temps d’intervalle, mais bien qu’elle exhale un parfum féminin de sécrétion vaginale, son odeur était différente presque fleurie, cessant là mes réflexions, je m’appliquai à honorer ma toute récente réputation.

Contrairement à sa comparse, elle ne pratiquait pas l’épilation intégrale, mais du bout de la langue je découvris une épilation soignée qui laissait supposer le port fréquent de string ficelle échancrés. Bien que moins trempée, elle fut immédiatement réceptive, ses grandes lèvres s’écartèrent facilement et le clitoris un peu plus long que le précédent était croquant à souhait.


Pendant que je découvrais ma nouvelle partenaire, enfin dirons-nous, une partie précise de ma nouvelle partenaire, celle qui était à l’origine de tout n’avait pas perdu son temps, après avoir délicatement posé un préservatif roulé à la base du gland, elle le déroulait avec la bouche. Grâce à une maîtrise évidente il fut très vite installé et elle en position pour s’empaler sur mon sexe encapuchonné.


N’ayant plus aucune notion du temps, je dirais que c’est après un grand nombre de changements de positions et d’échanges de places que mes deux tortionnaires de charme s’effondrèrent et s’allongèrent à côté de moi. J’eus droit à deux petits bisous et deux « ça fait du bien ! ».

Rapidement la partie de mon anatomie qui venait d’être le plus à contribution, retrouva une taille et une position propices au repos.



Elles se levèrent, mais je les interpellai de suite.



Elles eurent la délicatesse de me passer un petit coup de gant de toilette et de positionner confortablement et délicatement mon pénis avant d’emballer le tout confortablement dans la surface ouaté.

Alors qu’elles s’éloignent, je me laissai aller et découvris la sensation de l’urine qui s’insinuait entre la couche et ma peau imberbe. Déjà j’imaginais le plaisir du nettoyage qui suivrait.


La douche et le rhabillage furent rapides, elles étaient à nouveau à côté de moi quand la porte s’ouvrit et que la troisième comparse, mon aide-soignante de la nuit, entra dans la pièce.



À peine débarrassée, elle avait déjà les mains sur les adhésifs de la couche.



N’ayant pas pour autant arrêté son mouvement, elle rabattit l’avant de la couche en même temps que l’information tombait.



Sur ce, elle partit chercher les lingettes, et revint s’occuper de ma petite toilette post pipi.

Me revoilà entre ses mains expertes, avec deux spectatrices, son côté professionnel reprenant le dessus, joignant le geste à la parole, elle leur donna un cours magistral sur l’intérêt de bien nettoyer chaque pli, soulevant tour à tour les testicules, écartant les fesses et l’anus. Le plus dur, leur dit-elle, avec un adulte c’est de ne pas avoir d’érection, mais là, ça… Une hésitation…



Elle referma délicatement la couche, et les invita à rentrer chez elles, la pièce se vida et ma gardienne resta silencieuse.

J’en profitai pour faire le point, j’avais été attaché, dénudé, exhibé, regardé, tripoté, lavé, savonné, rasé, langé et j’avais adoré ça. Sans cette aventure jamais je n’aurais découvert cet aspect de ma sexualité, ni ses plaisirs. J’avais bien une idée qui germait dans ma tête, mais avant de l’exposer je voulais vivre une nouvelle fois l’expérience d’hier soir, mais ce soir pas juste pour un petit pipi.


Les minutes et les heures passèrent, moi j’attendais impatiemment le repas et sa suite…


Le biberon de soupe, un peu d’eau et une espèce de riz au lait très liquide composèrent mon repas, les sphincters pleins, je patientai quelques minutes avant de garnir ma couche.

Ma super nounou à l’odorat attentif se rapprocha du lit écarta les élastiques qui entouraient la jambe et me confirma la nécessité d’une intervention de sa part.

Le festival de douceur de la veille se renouvela, la couche fut ouverte, avec un geste parfait elle y ramassa le plus gros, puis chaque recoin fut nettoyé, aucun pli ne fut oublié, le décalottage vient à la fin comme le bouquet final de mon plaisir. Une couche propre sous les fesses, elle positionna la verge et referma le tout, je me jurai que jamais plus je ne laisserais un poil s’interposer entre la peau de mon pubis et un gant de toilette ou une lingette.


Après ce moment de pur bonheur, il était temps d’exposer mon idée.



Silence !



Un petit moment de silence.



En fait mon plan était simple, je connaissais une maison abandonnée entourée de haies le long d’une nationale. Elles seraient supposées alors qu’elles rentraient en voiture avoir eu un besoin pressant et voulu profiter de l’abri des haies de cette maison pour vider leurs vessies, pendant qu’elles se soulageaient, elles entendraient mes appels au secours, elles me libéreraient et préviendraient la police, reconnaissant je leur ferais un chèque et je les embaucherais.



Je lui proposai d’y réfléchir cette nuit et d’en parler demain avec ses collègues.


J’eus un petit peu de mal à trouver le sommeil et si elles refusaient…


Je fus réveillé par des bruits de conversation, elles étaient toutes les trois dans une pièce à côté, c’est ma spécialiste de l’épilation qui s’approcha la première de moi.



Conciliabule, et la réponse arriva.



Pour la fin de ma captivité, j’eus le privilège d’un savonnage, rinçage et change à six mains, qui me confirma que notre nouvelle association allait être des plus réjouissantes.

J’avais juste omis une petite surprise, mais elles n’allaient pas tarder à la connaître.


À la tombée de la nuit, après quelques kilomètres les yeux bandés, j’eus enfin la chance de voir mes ravisseuses. La surprise fut sympathique, trois visages et trois physiques agréables, une blonde, une brune et une blonde vénitienne.

Le temps de me repérer et je les guidai jusqu’à ma maison abandonnée.



Nous pénétrâmes dans le jardin, je m’arrêtai et m’adressai à elle.



Après l’effet de surprise, mes deux coachs apprécièrent la situation, et retroussèrent leurs jupes, ma gouvernante restait encore immobile.



Elle s’exécuta.

Je m’approchai d’elles et descendis aux chevilles deux strings et une petite culotte en dentelle.



Mes trois pisseuses se positionnèrent, j’admirai enfin le sexe épilé et le ticket de métro que j’avais eu l’occasion de goûter, le troisième que je ne connaissais pas encore n’en était pas moins charmant.

Trois petits jets d’urine jaillirent dans un léger sifflement.


Ce petit plaisir passé, je les invitai à retrouver la dignité nécessaire à notre mise en scène.




Les journaux ont fait la une de ces trois jeunes femmes qui m’ont sauvé la vie, la photo me montre leur remettant les chèques.


En résumé, quelques temps plus tard :


Après un an de plaisirs très imaginatifs, mes deux coachs m’ont demandé de les libérer de leurs contrats et sont parties ouvrir un institut de beauté pour hommes avec le pécule que je leur avais laissé, la prestation qui fonctionnait le mieux est « l’épilation complète avec soins apaisants à quatre mains ».

J’ai épousé ma gouvernante, nous avons tous les deux adopté l’épilation génitale définitive, grâce à ses conseils, j’ai appris à m’occuper de sa toilette intime, tous les soirs après des soins réciproques nous nous endormons blottis dans les bras l’un de l’autre uniquement vêtus d’une couche-culotte.




Cela faisait une heure que je courais et ma vie allait basculer, pour le meilleur et surtout pas pour le pire.





FIN