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Temps de lecture estimé : 10 mn
17/09/09
Résumé:  Relations entre voisins au camping
Critères:  fhh extracon inconnu voisins vacances plage voir exhib nudisme photofilm
Auteur : Alaink            Envoi mini-message
Camping de la plage (histoire presque vécue...)

Marion, la trentaine, est en vacances avec son mari, en camping, dans les Landes depuis une semaine. Les voisins sont Allemands, ont à peu près le même âge mais lui ne parle pas du tout français, à part bonjour ou bonsoir et elle parle très peu notre langue. Le mari de Marion a juste remarqué que le voisin, Rudolf, avait un appareil photo moderne et, en lui montrant, a ainsi appris qu’il était photographe.


Un jour, en fin d’après-midi, la voisine, Inge, vient voir Marion et lui dit avec hésitation :



Marion s’inquiète un peu de l’heure de retour mais Inge lui fait comprendre en montrant sa montre que c’est une balade de deux heures… Marion est heureuse car son mari va tous les soirs à un cours d’œnologie qui ne la passionne pas.


Le trajet dure une dizaine de minutes et la voiture prend un chemin de terre. Inge explique à Marion qu’ils ont vu une maison abandonnée en se promenant et qu’ils reviennent maintenant car la lumière de fin de journée est plus belle. Effectivement, ils arrivent, juste avant la forêt landaise, à ce qui doit être non pas une maison mais une bergerie abandonnée. Il n’y a qu’une pièce, une porte et une fenêtre. Les huisseries ont disparu. Rudolf arrête la voiture à proximité.


Inge sert de modèle. Elle a un « pantacourt » et un haut très moulant, visiblement sans soutien-gorge. Ce qui lui va très bien car elle est grande, plus grande que Marion, très mince, les cheveux un peu frisés et blonds et très peu de poitrine.


Rudolf lui demande différentes poses. Marion est intéressée ; elle n’a jamais assisté à ce genre de prises de vue. Après un moment, Rudolf dit quelque chose à Inge qui traduit pour Marion :



Marion répond spontanément :



Elle se met donc à côté d’Inge. Marion est vêtue d’une jupe en toile légère, courte, d’un débardeur blanc et, en dessous, elle est en maillot de bain.


Rudolph prend quelques clichés et fait comprendre à Marion qu’elle doit changer elle-même les poses. Elle n’a jamais posé et elle essaie de se souvenir des poses glamour dans les magazines. Buste en avant, taille cambrée, elle fait la moue à la Bardot. Elle joue aussi avec sa jupe, la relevant comme une danseuse, dévoilant ses cuisses. De dos, elle lance ses fesses en arrière comme une danseuse de French Cancan, avec de grands éclats de rire.


Rudolf veut maintenant photographier les deux femmes ensemble. Il les guide, de face, de dos, se tenant la main. Il leur demande de s’asseoir dans l’embrasure de la fenêtre, une jambe de chaque côté du mur. Marion est devant Inge. Celle-ci attire Marion en arrière pour qu’elle s’appuie sur elle. La tête de Marion, renversée en arrière, est sur l’épaule d’Inge. Inge lui tient les bras, passe les mains dans ses cheveux, et pose même ses mains sur le haut du décolleté.


Rudolf dit quelque chose qu’Inge ne traduit pas mais elle fait glisser le débardeur de Marion sur une épaule. Rudolf a l’air satisfait, fait quelques clichés. Inge passe le bout des doigts sur le haut des seins de Marion. Celle-ci lui signifie par une petite tape sur la main, en riant, que c’est une coquine ! Rudolf explique qu’il a fait plus de photos que prévu et qu’il voudrait revenir demain, si Marion est d’accord.



Rendez-vous est pris pour demain, même heure.

Quand son mari revient du cours d’œnologie, elle lui raconte comment ça s’est passé et qu’ils retournent demain.







Le lendemain, Inge, Rudolf et Marion reprennent le même chemin. Quand ils arrivent à la bergerie, Rudolf dit à Inge qu’il voudrait faire des photos en maillot de bain. Inge enlève son pantalon, son haut, et apparaît dans un maillot très classique. Elle pose très bien et comprend tout de suite les désirs de son mari de photographe.



Marion fait glisser sa jupe, fait passer son t-shirt par-dessus la tête et pose tout sur le sac photo de Rudolf. Et elle apparaît en maillot de bain.


Ah ! le maillot de bain de Marion. C’est quelque chose de bizarre, constitué de quatre triangles de tissu de coton blanc et mince. Deux triangles sont censés couvrir les seins. Leurs extrémités supérieures se terminent par un cordon et les deux cordons sont noués derrière le cou. Et un cordon termine les autres angles de chaque triangle, deux cordons sont noués dans le dos et deux autres entre les seins.


Tout cela est très simple mais ne soutient ni ne cache grand-chose. Dès que Marion se penche, ses seins sont bien visibles et, pour peu qu’elle aille en même temps à droite ou à gauche, un sein a tendance à sortir. Ce qui lui est arrivé l’autre jour à l’épicerie du camping ! Quand elle se baigne, ce sont souvent les deux seins qui sortent pour peu qu’elle lève les bras ou qu’une vague un peu plus forte la bouscule. Elle ne remet de l’ordre que quand elle sort définitivement de l’eau…


Quant au slip, lui aussi constitué de deux triangles réunis par des cordons noués sur les hanches, il a tendance sur le devant à glisser à droite ou à gauche, laissant entrevoir un peu la vulve, malgré une taille « maillot » du pubis. Et derrière, il entre régulièrement dans la raie des fesses, presque autant que le font les strings. Si bien que, quand Marion sort de l’eau, il lui faut et remettre les seins à leur place et passer un index de chaque côté pour remettre le maillot en place sur ses fesses.


C’est donc ce maillot qu’elle arbore devant Rudolf. Celui-ci a l’air très satisfait et Marion remarque vite qu’il lui fait souvent prendre des poses le buste en avant pour bénéficier d’une vue plongeante sur ses seins. Elle s’en amuse.


Marion pose maintenant de dos. Rudolf dit quelque chose à Inge et celle-ci s’approche de Marion, réajuste le slip et, surtout, le fait rentrer dans la raie.



Ne sachant pas le mot, il lui donne une tape sur le cul. Marion rougit. Et pense qu’entre le soutien-gorge qui bâille et le slip qui lui dégage les fesses, il n’ignorera bientôt plus rien d’elle… En effet, il lui demande de se tourner. Pose de face classique ; il lui demande de lever les bras comme si elle était accrochée au plafond tout en écartant les jambes au maximum. « Le coquin », pense-t-elle. En effet, non seulement ses deux mamelons sont sortis ou sur le point de l’être mais même son sexe doit être en partie visible… Quelques clic-clac, quelques mots de Rudolf, et Inge vient se mettre devant Marion :



Et, sans attendre la réponse, elle lui murmure merci, lui fait une bise sur la bouche et tire sur les nœuds du maillot. En quelques secondes, sans avoir eu le temps de réfléchir, Marion se trouve nue.


Ses seins sont plus gros que ceux d’Inge et ce qui surprend surtout c’est son pubis comparé à celui d’Inge. En bonne Allemande, Inge ne se rase absolument pas et, même si ses poils sont plus blonds, elle a un pubis beaucoup plus important que celui de Marion qui est régulièrement taillé, en été, pour tenir dans le petit maillot.


Rudolf fait de nombreuses photos et Marion se plie de bonne grâce à ses exigences, jamais vulgaires. Elle est nue, plus à son aise qu’au début quoique toujours un peu gênée. Inge a, à son tour, enlevé son maillot et pose pour son mari.


Puis Rudolf demande aux deux filles de poser ensemble. Une pose de dos, d’abord. Elles entrent dans la bergerie, se tiennent par la main, puis il leur demande, en guidant leurs mains, de se poser mutuellement la main sur les fesses. Marion a un petit frisson quand elle sent la main d’Inge. Elle pose sa main elle aussi sur les fesses d’Inge et s’aperçoit vite que la main s’est déplacée, qu’elle n’est pas simplement posée mais plaquée entièrement sur la fesse, le bout des doigts sur la raie. C’est la première fois que Marion touche ainsi une autre femme et elle est troublée. Aussi, quand Rudolf fait comprendre qu’il veut qu’elles soient face à face, serrées et qu’elles s’embrassent, elle ne résiste pas.



Et Marion sent la langue qui écarte ses lèvres. Elle se laisse faire. C’est doux, c’est agréable… et elle est troublée. Elle ne s’étonne pas non plus quand Inge lui caresse franchement la poitrine, excitant même un tétin. C’est Rudolf qui arrête le jeu en rappelant qu’il fait bientôt nuit et qu’il faut rentrer. Inge se rhabille tandis que Marion s’étire en murmurant « Dommage… » Elle est encore nue. Rudolf s’approche d’elle, lui tapote les fesses et dit quelque chose que sa femme traduit :



Marion ne réfléchit pas et répond oui immédiatement.


De retour au camping, à son mari qui lui demande comment ça s’est passé, elle répond :



Et elle l’embrasse sensuellement, en pensant à la bouche d’Inge qu’elle connaissait il y a peu de minutes…





Marion a bien dormi et s’est réveillée suffisamment tôt pour être debout et habillée quand Inge et Rudolph viennent la chercher. Marion est habillée comme hier.


La voiture roule quelques kilomètres vers le sud et tourne à droite. Un chemin sablonneux de moins en moins carrossable se termine derrière une dune. Rudolph arrête le moteur. Marion s’étire et prend le temps de descendre. Elle tourne la tête, regarde le paysage et bute sur Inge qui, sans un mot et avec un sourire, la déshabille, glisse la jupe, ôte le t-shirt et défait les nœuds du maillot de bain.


En quelques secondes, Marion est complètement nue et elle pense même qu’elle n’a jamais été aussi nue. Nue en pleine nature, visible à des centaines de mètres, mais à cette heure matinale il n’y a personne. D’ailleurs, Inge et Rudolph se sont mis nus eux aussi. Et Marion remarque tout de suite que le sexe de Rudolph, sans bander, a néanmoins une taille intéressante… Il n’oublie pas son sac photo et sort son appareil, marchant derrière les filles qui escaladent une petite dune.


À tour de rôle, elles glissent sur le sable, tombent en avant, rient et Rudolph photographie. Encore quelques dizaines de mètres et ils voient la mer. C’est la marée haute et elle n’est pas très loin. Inge et Marion se donnent la main et courent vers l’eau.


Dans les premières vagues, elles s’éclaboussent mutuellement sous les encouragements de Rudolph qui trouve très photogéniques ces gerbes d’eau sur les corps nus. Elles plongent dans les vagues, jouent et font semblant de se battre. Elles se prennent par la taille et tombent dans l’eau, collées l’une contre l’autre. Inge saisit les fesses de Marion et essaie de la retourner mais Marion, bien que plus petite, est robuste et ne se laisse pas faire. Et c’est elle qui retourne Inge, plaque son ventre contre ses fesses et lui tient les seins à pleines mains. Inge crie grâce et montre qu’elle est essoufflée. Marion la laisse se retourner. Inge lui prend le visage, le lèche et finit par lui faire à nouveau un baiser profond tout en lui caressant les seins.


Marion se laisse tomber à la limite de l’eau, bras et jambes écartés. Inge se couche sur elle et de ses mains explore tout le corps de Marion. Tout à coup, elle voit Rudolph photographier et lui crie quelque chose en allemand. Marion en comprend le sens quand elle voit Inge se lever et prendre l’appareil de son mari et celui-ci courir vers Marion. Il n’a plus simplement le sexe gonflé mais il bande fort.


Marion crie « Non ! » en riant et court vers les vagues. Rudolph la poursuit et finit par la rattraper. Elle se débat, et son corps glisse d’entre ses mains. Elle nage maintenant et il finit par la rattraper. Ils n’ont plus pied et se laissent porter par les vagues. Lui aussi embrasse Marion et il s’enhardit à lui caresser les fesses puis les seins. Elle pense qu’il a des mains très douces…


Ils sont revenus près de la plage et ont de nouveau pied. Marion envoie de l’eau vers Rudolph. Celui-ci lui saisit les mains, la force à se retourner et lui donne une gentille fessée. Marion se rebiffe et se retourne à son tour mais Rudolph la saisit par la taille et la lance en l’air ; elle retombe, il la reprend et la lance à nouveau. Marion, qui partait de côté, se rattrape en passant ses bras autour du cou de Rudolph. Il se balance fort de droite à gauche, comme s’il voulait s’en débarrasser. Marion tient bon et, pour assurer sa prise, passe ses jambes de chaque côté de la taille de Rudolph et elle serre.


Celui-ci capitule et se dirige vers la plage. Il s’est mis à soutenir Marion en la tenant par les fesses. Elle sent le sexe dressé qui la touche à chaque pas. Il s’arrête et, sans prévenir, écarte un peu le sexe de Marion d’une main, et de l’autre guide son sexe. Il pénètre ainsi Marion qui sursaute et l’embrasse goulûment.


Il avance doucement vers le sable. Inge a arrêté de photographier, elle a posé l’appareil sur le sac et s’approche d’eux. Elle s’assoit sur le sable, à la limite de l’eau, les jambes grandes ouvertes vers l’océan. Rudolph comprend, s’approche de sa femme et, pliant les jambes, dépose Marion entre les jambes d’Inge, sans se retirer d’elle.


Marion est presque allongée, la tête sur les seins d’Inge, et Rudolph, bras tendus, fait aller et venir son sexe, tout doucement. Marion a fermé les yeux. Elle sent une main d’Inge qui lui titille un mamelon et le sexe de Rudolph qui va au plus profond d’elle-même. Les deux Allemands arrêtent ensemble tout mouvement. La main est toujours posée sur le sein, le sexe est toujours dans le vagin, mais rien ne bouge. Ils ne ressentent que les battements du sang dans le cœur et les veines…


Tout doucement, Rudolph reprend son mouvement, accélère, bute au fond du vagin à plusieurs reprises et jouit dans Marion qui se tord, tourne la tête et lâche un râle.


Ils restent tous les trois ainsi un long moment. Puis Inge embrasse doucement le front de Marion. Rudolph lui lèche les seins. Et, sans échanger une parole, ils se font comprendre qu’ils sont très heureux de l’heure qui vient de s’écouler. Ils se lèvent et se dirigent vers la voiture. Qu’il est dur de remettre les vêtements…



En arrivant au camping, Marion voit que son mari sommeille encore. Elle se déshabille, se glisse près de lui, l’embrasse et, repoussant le drap, descend le long de son corps, trouve le sexe aimé, le glisse dans sa bouche. Elle sait ce qu’il faut faire et, quand il est bien raide, elle s’assoit à califourchon sur son mari et se fait pénétrer à nouveau. Le mari a ouvert les yeux, il attire sa femme sur lui et, découvrant le goût salé de son visage, se souvient qu’elle a été faire des photos à la plage.