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21/09/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Inquiété par les paroles d'Estelle, et essayant de l'oublier au plus vite, je rejoins les filles qui doivent déjà dormir. Mais c'est sans compter sur la toute puissance de Bazouk et sa faiblesse à obéir à tous les caprices de mes compagnes...
Critères:  ff fffh fbi grossexe hotel trans fellation cunnilingu préservati pénétratio double fantastiqu -fantastiq
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Quel génie !

Chapitre 10 / 11
Les expériences d'Aurélie

Résumé des épisodes précédents : une étrange théière est tombée dans mon jardin ; il s’est avéré qu’elle renfermait un génie, nommé Bazouk. D’abord bluffé, je me suis vite aperçu que c’était plus une plaie qu’un cadeau du ciel. Il est tout de même parvenu, après d’innombrables efforts, à me "créer" deux magnifiques jeunes femmes, physiquement absolument sublimes, Azura et Pandore.

Après diverses péripéties, nous avons atterri chez Aurélie, une ex-petite amie, que Bazouk a envoûtée, la rendant éperdument amoureuse tant de moi-même que d’Azura et Pandore. Cédant aux demandes insistantes de mes compagnes, le bon génie ne s’est pas arrêté en si bon chemin, puisqu’il m’a ensorcelé à mon tour, m’octroyant une érection permanente.

Nous sommes également parvenus à le convaincre de nous « fabriquer » des billets de banque, nous assurant un avenir doré. Toutefois, nous sommes à présent activement recherchés par la police, et la seule solution semble être la fuite. Nous décidons de nous envoler pour une lointaine destination paradisiaque.

Arrivés aux abords du grand aéroport de Roissy, nous prenons une suite dans un luxueux hôtel. Je ne parviens pas à résister aux provocations outrancières d’une charmante réceptionniste, Estelle, et passe un moment dans ses bras, après qu’elle m’a réservé quatre billets d’avion pour les Caraïbes.



***



En remontant vers ma suite, je repensai rapidement à la soirée que je venais de passer : à la jolie réceptionniste, Estelle, à la façon dont j’étais bêtement tombé entre ses pattes de nymphomane insatiable, à son extase lorsqu’elle m’avait dit qu’elle avait adoré notre étreinte ; et puis je repensai à Aurélie… Je m’en voulais quand même de l’avoir trompée… Mais d’un autre côté, c’était pas vraiment ma faute, avec cette érection brutale qui ne disparaissait jamais ; il fallait plutôt en tenir rigueur à Bazouk… Mais je me jurai que c’était la dernière fois ! Que dorénavant je serais fidèle à Aurélie ! Exception faite, bien sûr, d’Azura et de Pandore, qui égaieraient toujours nos jeux charnels…

En sortant de l’ascenseur au seizième étage, je me remémorai aussi les derniers mots d’Estelle : sa mise en garde, le fait que j’étais recherché par tous les flics de France. J’espérais vraiment qu’elle ne me balancerait pas, sinon ça allait sérieusement se compliquer.


Il était presque une heure du matin lorsque j’entrai doucement notre immense suite ; il n’y avait aucun bruit dans le salon, les filles étaient probablement déjà endormies. Et aucune trace non plus de Bazouk. Il arrêtait pas de me raconter qu’il montait la garde, mais tu parles ! Toutefois, quand je refermai sans presque aucun bruit la porte derrière moi, la voix d’Aurélie s’éleva de la chambre attenante :


− C’est toi Gufti ? Enfin…

− Oui, me voilà… chuchotai-je.

− Tu peux parler normalement, reprit Aurélie, on est réveillées. Attends, j’arrive…


Elle avait un ton étrange, presque mystérieux. Elle arriva avec un grand sourire tandis que j’étais en train de retirer mes grolles. Elle devait sortir de la douche car elle avait les cheveux humides et portait un de mes peignoirs, infiniment trop grand pour elle, qui laissait entrevoir sa somptueuse poitrine que lui avait récemment faite Bazouk. Devançant ses questions sur le pourquoi de ma si longue absence, je lui expliquai :


− Ça y est, les billets d’avion sont réservés, on part demain en début d’après-midi. Mais j’ai une mauvaise nouvelle : figure-toi qu’on est recherchés par tous les flics de France, il va falloir qu’on fasse rudement attention. Et puis y a une nana, à la réception, qui m’a reconnu ; j’ai réussi à négocier avec elle, j’espère qu’elle nous balancera pas…


Aurélie avait l’air de s’en foutre comme de l’an quarante. Pourtant, ce que je lui racontais n’était pas très optimiste. Mais elle conservait un sourire de gamin qui a fait une farce dont il est fier et attendit aimablement que j’eus terminé de propager mes inquiétudes. Et puis, toujours campée devant moi, en riant presque, elle me fit :


− Regarde ce que m’a fait Bazouk !


En une fraction de seconde, je repensai à la façon dont il lui avait augmenté sa poitrine et me demandai ce qu’ils avaient encore bien pu imaginer. Et puis elle ouvrit son peignoir qu’elle laissa tomber à ses pieds, et je poussai un long hurlement de terreur. La réalité était bien pire que tout ce à quoi j’aurais bien pu penser. Aurélie se tenait devant moi, nue, ses cheveux noirs mi-longs ondulant jusqu’à ses fines épaules et ses seins magnifiques ; sa mince taille et ses hanches délicieusement arrondies surmontaient toujours ses belles jambes élancées. Mais au beau milieu de tout ça se trouvait une grosse bite qui pendait horriblement du haut de son pubis jusqu’au milieu de ses cuisses.


− Aaaahhh ! Mais ça va pas ! T’es devenue folle ou quoi ! Qu’est-ce que c’est que ce délire !


Elle prit en main son nouvel attribut qu’elle souleva et tourna en tous sens à mon intention. Il y avait même une belle paire de couilles pour aller avec. Quelle horreur !


− Tu n’aimes pas ? me demanda-t-elle toujours souriant.

− Non ! C’est épouvantable ! Tu vas me faire le plaisir de m’enlever ça rapidement ! Bazouk ! Viens ici !

− T’t’t’t’t… inutile, je l’ai congédié…


Elle relâcha son horreur dont je ne parvenais pas à détacher les yeux, et commenta :


− Et ça marche bien, hein… c’est comme une vraie, apparemment… Bazouk a vraiment bien bossé sur ce coup-là… Et je ressens tout aussi !


Je devais faire une drôle de tronche, mais elle continua, ravie :


− Là elle est un peu molle, mais je l’ai essayée tout à l’heure : je me suis tapée Azura et Pandore et elles étaient ravies !

− Ben tu m’étonnes ! Avec un engin pareil !

− Voyons, Gufti, tu sais bien que la taille ne fait rien à l’affaire…

− Ah si ! objecta la voix d’Azura, provenant de la pièce voisine. Quand même un peu !

− Ouais, enfin c’est surtout pour l’excitation… trancha Aurélie.


Elle continua de me couver d’un regard lubrique, se caressant désormais les seins. Je la contemplai encore intensément avec une moue de répugnance.


− Tiens, je sens que ça remonte un peu…


Son machin se gonflait en effet tout doucement. Elle se mit à le branler gaiement en commençant une conférence de sciences naturelles :


− N’empêche, c’est marrant, ce que vous ressentez, vous, les mecs ! Une fois que c’est parti, que ça commence à monter, on n’a vraiment plus envie de s’arrêter, ça doit être vachement dur, d’ailleurs, de s’arrêter, ou même de se contrôler. Tout à l’heure, j’avais franchement qu’une envie, c’était de jouir au plus vite. Et puis l’orgasme, c’est bizarre aussi, c’est hyper intense, mais qu’est-ce que ça va vite !


J’étais parfaitement abasourdi. Était-ce vraiment possible que Bazouk fut parvenu à lui brancher une bite qui fonctionnait réellement ? Mais Aurélie continuait, intarissable :


− Mais j’sais pas, ça va toujours aussi vite ? Enfin, je verrai à l’usage. Oh regarde, comme ça m’excite de me branler devant toi ! T’as vu comme elle durcit ? Tu viens me sucer, Gufti ?

− Alors là tu rêves ! Franchement, je te préférais avant, avec ton clito, ta chatte, et pas de bite !

− Ah mais attends ! Je t’ai pas tout dit, c’est ça qui est génial : je les ai toujours, regarde !


Elle tint en l’air sa bite presque tendue et souleva ses couilles, se déhanchant curieusement pour me montrer qu’elle avait toujours sa fente et son sexe bien à elle. Incroyable ! Hallucinant !


− Tu vois, c’est pour ça qu’elle est fixée légèrement trop haut, m’expliqua-t-elle en désignant son nouvel attribut. Mais comme ça, c’est parfait, je pourrais profiter de tous les plaisirs du sexe !


Et comme pour étayer son propos, elle se remit à branler sa queue et passa son autre main plus bas pour visiblement se caresser le clitoris.


− Et le plaisir est largement plus que doublé, souffla-t-elle. C’est vraiment génial !


Je la contemplai un instant se masturber de partout devant moi. Peut-être qu’en temps normal, j’aurais pu finir par trouver ça excitant, mais là, j’avais beau toujours avoir la gaule, ça m’écœurait plutôt, et j’avais vraiment pas du tout la tête à ça ; les propos inquiétants d’Estelle me trottaient toujours dans la tête. Et puis de toute façon, j’avais baisé à peine vingt minutes avant…


− Bon, je suis très content que ça te plaise, ma puce, mais compte pas sur moi pour jouer avec !

− Oh Gufti, s’il te plaît ! Ne fais pas ton bougon…


Mon bougon ! N’importe quoi ! Je soupirai et la laissai se branler ; je m’éloignai pour aller sortir l’ordi qu’on avait apporté. Je voulais consulter le net pour essayer d’évaluer le risque et voir s’ils parlaient tant que ça de moi.


− Bon, eh ben je vais retourner voir les filles, elles sont plus ouvertes que toi !

− C’est ça ! Va…

− Et puis Azura aime bien avaler, en plus… ajouta-t-elle en s’éloignant.


Je soupirai en m’asseyant sur un des bureaux du luxueux salon et démarrai internet. Dans la chambre voisine, les gémissements ne tardèrent pas à monter. Je tombai rapidement sur une page d’un site d’information qui mentionnait ma fuite et le fait que j’étais recherché. Je commençai attentivement la lecture. C’était évidemment n’importe quoi ! À en croire les dix malheureuses lignes, j’étais vraiment l’ennemi public numéro un, responsable de kidnapping, de torture, mais aussi de divers vols à main armée (tu parles, ma seule arme avait été la bazoukoline…) commis avec l’aide de deux jeunes femmes. Et une vieille photo de moi qu’ils avaient trouvée je ne sais où (peut-être à mon boulot) accompagnait l’article dégueulasse. Remarque, celui qui me reconnaîtrait sur cette pauvre photo pourrait sans doute postuler directement au FBI…


− Hmmm ! Ouais, vas-y, suce-moi, bien profond ! Et mets-moi un doigt en même temps ! Hmmmm !


Aurélie ne se sentait plus… J’éteignis l’ordi et commençai à essayer de réfléchir. Il fallait absolument qu’on réussisse à prendre l’avion le lendemain à 14h25. On avait déjà de faux passeports, il allait sans doute nous falloir aussi de nouvelles tronches. Enfin en tout cas à moi, les filles on les reconnaîtrait sans doute pas.


− Rrrhhhhaaa, hmmmm, ouiiii, lèche-moi la chatte pendant qu’Azura suce ma grosse bite… Aaaahhhh !


Elle était presque vulgaire, Aurélie. Ça devait être depuis qu’elle avait des couilles…


Bon, vu qu’il était capable de greffer des bites, Bazouk saurait sans doute changer un peu mon apparence. La transformation de ma compagne me donna une idée : je pourrais peut-être me métamorphoser en nana… Mais j’écartai rapidement l’idée ; c’était trop dangereux, et j’avais pas envie de rester une gonzesse toute ma vie si Bazouk ne parvenait pas à inverser ses sorts.


Aux gémissements d’Aurélie se mêla la voix plaintive d’Azura, qui sans doute être en train de se faire défoncer par l’hermaphrodite. Ah là là ! d’un autre côté, malgré moi, ça m’excitait quand même drôlement…


Bon, donc on changerait d’allure, avec les faux passeports, ça suffirait sans doute. Et il y avait l’histoire des billets ; c’était hors de question qu’on se sépare de notre sac qui contenait tous les billets, mais pour embarquer avec un bagage à main, il fallait le faire passer au détecteur où les douaniers verraient nécessairement que le sac était plein de fric. Où il était, d’ailleurs, ce sac ?


− Gufti ? Tu as des capotes ?


Oh, elle me saoulait !


− Non, désolé.


Ah, là, dans un coin du salon, avec les sacs de fringues. Si les filles les avaient déplacés, c’était peut-être qu’elles avaient trouvé une solution.


Pandore se mit à couiner à son tour dans la pièce voisine. Je n’essayai même pas d’imaginer dans quelle position tordue les filles s’étaient foutues. J’ouvris le sac dans lequel j’avais rangé tout le fric et me figeai de surprise, il ne contenait plus un seul billet, mais des fringues. Où est-ce qu’elles les avaient foutus ? J’ouvris les autres sacs, qui étaient également remplis de vêtements.

La voix d’Aurélie s’éleva encore :


− Bonsoir mademoiselle…


Mais à qui est-ce qu’elle parlait ?


− Chambre 1601…


Putain ! mais elle téléphonait à la réception ! Je fonçai jusque dans la chambre ; Aurélie était agenouillée sur le lit, avec le combiné à la main. Azura, derrière elle, la caressait entre les fesses, pendant que Pandore, allongée devant elle, branlait doucement sa grosse bite tendue. Ça me faisait vraiment bizarre…


− Oh, pas grand-chose, mais je voudrais savoir si vous pourriez nous monter des préservatifs ?


N’importe quoi ! Je ressortis de la chambre en soupirant profondément et retournai farfouiller un instant dans les sacs de vêtements, toujours à la recherche du fric, légèrement inquiet, me demandant ce qu’elles en avaient fait.


− La plus grande taille que vous ayez.


Je réalisai enfin que les billets avaient été soigneusement répartis entre les fringues, au cœur du sac.


− N’importe. Oui, vanille, si vous voulez…


Tiens, ça me rappelait quelque chose… Je me reconcentrai sur le fric. Bon… c’était peut-être pas si mal planqué, après tout… De toute façon, c’était pas hyper grave, au pire on parviendrait bien à faire fabriquer de nouveaux billets à notre bon génie.


− Merci. Ah et dites-moi, par hasard, vous n’auriez pas du lubrifiant, aussi ?


Je pouffai nerveusement. Puis sortis une grosse liasse de billets orange que j’allai ranger dans le veston que je porterais le lendemain.


− Eh bien faites au mieux. Oui, je vous remercie infiniment.


Il était presque deux heures du matin. Il allait pas falloir trop traîner, quand même, surtout si on voulait dormir un peu. Préparer nos nouvelles tronches et achever nos faux papiers nous prendrait sans doute un peu de temps. Mais j’avais comme l’impression que la soirée était encore partie pour être longue…


− Aaah, c’est trop bon ! beugla Aurélie, m’informant ainsi qu’elle avait sans doute raccroché. Gufti, viens, je t’en supplie ! J’ai tellement envie de toi !


Ça commençait à me démanger d’y aller…


− Oui, deux minutes…


Je rangeai et fermai les sacs de voyage, ressortis de la poche de mon jean la confirmation de réservation de nos billets que m’avait imprimée Estelle, la posai avec mon portefeuille sur le bureau où j’avais déjà déposé nos faux passeports. Puis je me décidai enfin à aller voir les filles, qui gémissaient de nouveau à qui mieux mieux ; j’étais en train de me dévêtir entièrement et de constater que ma queue toujours tendue émettait une drôle d’odeur (mélange post-éjaculatoire mâtiné de vanille et de fraise, restes des délires de la réceptionniste nymphomane, quelques minutes auparavant) lorsque j’entendis frapper doucement à la porte de la suite. Bah au moins ça traînait pas, leur room-service… Apparemment, les filles n’avaient rien entendu car elles continuaient de gémir et de soupirer comme si de rien n’était. Ça me saoulait de répondre, mais bon… je renfilai quand même le peignoir qu’Aurélie avait laissé traîner à terre à mon arrivée, pris un billet de cinquante euros, et voyant qu’une méchante bosse déformait affreusement le peignoir, tins une fringue devant mon sexe toujours tendu pour aller ouvrir la porte.

Et bingo ! C’était Estelle qui arborait un grand sourire et un petit plateau argenté contenant une dizaine de préservatifs en vrac. Elle se marra encore plus en entendant les râles qui montaient de la pièce voisine. Je dus la regarder comme un ovni car elle m’expliqua :


− Quand j’ai vu que c’était pour ta chambre, j’ai tenu à te les apporter moi-même…

− Chhhut, lui fis-je à voix très basse en attrapant le plateau. Et s’il te plaît, ne fais aucune allusion au moment qu’on a passé ensemble tout à l’heure…

− Alors ? Toujours en pleine forme ? fit-elle doucement en faisant mine de vouloir venir palper ma queue.


Je m’écartai vivement. Un long et puissant gémissement monta de la pièce voisine, déclenchant l’hilarité de la réceptionniste.


− C’est tes copines qui s’éclatent comme ça ? demanda-t-elle à voix basse. Et sans toi ?


Oh elle allait pas s’y mettre, celle-là ! Je posai le plateau de capotes sur une chaise et retournai vers elle.


− Je vous remercie bien, mademoiselle, fis-je à voix haute. Bonne soirée !


Et je la poussai doucement vers la porte. Mais elle résistait ! Les gémissements cessèrent.


− Tenez, mademoiselle ! m’énervai-je en lui foutant le billet sous le nez et en lui faisant les gros yeux pour qu’elle se tire.


Mais trop tard… Aurélie débarqua tranquillement à poil avec sa grosse bite pointée vers le ciel. Estelle poussa une puissante exclamation de surprise et fit la même tronche que si elle avait vu arriver un dinosaure.


− Ah ! Super ! Voilà les capotes !


Estelle demeurait parfaitement scotchée et fixait des yeux le gros engin d’Aurélie qui se balançait légèrement à chacun de ses pas tandis qu’elle s’approchait.


− Gufti, tu as payé la demoiselle ?

− Oui, tenez ! insistai-je en glissant le billet de cinquante balles dans la poche du chemisier d’Estelle et en la poussant vers la sortie.

− Ouaouh ! fit enfin la belle réceptionniste toujours fortement impressionnée.


Elle contempla ma compagne transexuée des pieds à la tête, puis fixa de nouveau les yeux sur son innommable attribut. Aurélie observa aussi la jeune femme minutieusement, avant de lancer, d’une voix dominante et presque vulgaire :


− Elle est rudement mignonne, cette petite ! On se la taperait bien, hein Gufti ?


J’enfouis ma tête dans ma main libre en soupirant. Aurélie était non seulement devenu un monstre, mais elle semblait également gagnée par tous les défauts excessifs des mecs. Ses couilles devaient lui délivrer des hormones inhabituelles… Et elle se mit à se branler doucement en susurrant :


− Elle te plaît, ma grosse queue ?


N’importe quelle nana normale se serait barrée en courant ! Mais pas Estelle… Celle-ci, sa surprise passée, ferma tranquillement la porte derrière elle et s’avança avec un sourire. Aurélie parut ravie et se mit à masturber de plus en plus fort sa verge toute dure.


− C’est une vraie ? lui demanda Estelle.

− Vraie de vraie ! Cent pour cent efficace ! Vas-y, tu peux la toucher…


Elle ne se le fit pas dire deux fois et accompagna d’une main les mouvements d’Aurélie en venant se coller contre elle. Celle-ci lâcha son engin, posa ses mains sur les joues de la jolie réceptionniste et lui roula une grosse pelle. Azura et Pandore se pointèrent encore par-dessus tout ça, toutes les deux à poil et sourirent niaisement en découvrant la scène. Elles vinrent se coller contre moi et Azura me signala :


− Mon Gufti adoré, tu vas bientôt posséder un véritable harem…


Et en plus elle se payait ma tronche ! Pandore s’avança jusqu’à côté d’Aurélie et glissa une main entre ses cuisses, par derrière, sans doute pour lui caresser son autre sexe. Ma compagne hermaphrodite soupira en fermant les yeux. Estelle me fixa un instant intensément avec des yeux ardents, puis se libéra de l’étreinte d’Aurélie pour venir sans la moindre hésitation arracher la fringue avec laquelle je cachais mon sexe et me retirer mon peignoir.


− Ouaouh ! Je vais être gâtée ! fit-elle d’un air espiègle en découvrant ma queue toujours ultra raide.


Je regardai Aurélie ; elle avait toujours l’air enchantée. Elle n’était pas dans son état normal, c’était sûr. D’ordinaire, elle n’aurait pas toléré qu’une autre nana fasse le dixième de ça… Elle s’approcha d’Estelle, releva sa jupe avec sa bite, puis se colla contre elle, appuyant sans doute un endroit sensible avec son gros phallus et mimant presque une pénétration. La réceptionniste se déhanchait doucement en me branlant avec ferveur. Pandore alla tranquillement s’asseoir dans un des canapés du salon pour observer la scène en se touchant ; Azura resta collée à moi et se mit à me caresser le cul.

Aurélie parvint à déboutonner et enlever le chemisier d’Estelle, puis lui caressa un instant les seins à travers le tissu de son soutien-gorge, en continuant les petits mouvements de son bassin. Elle lui retira ensuite d’un geste sa jupe et sa culotte.


− Azura, ma puce, demanda-t-elle, tu veux bien me passer une capote ?

− Même deux, à la rigueur… suggéra Estelle.


Et Azura s’exécuta, ravie. Aurélie enfila la sienne comme si elle avait fait ça toute sa vie, tandis que je laissai la sympathique réceptionniste dérouler l’autre sur mon sexe. Elle se cambra ensuite en arrière tout en relevant bien haut sa croupe et Aurélie se fit un plaisir de la pénétrer presque brutalement, lui arrachant un long hurlement. Elle referma ensuite de nouveau ses mains sur la poitrine de la jeune femme qu’elle pelota de nouveau avec vigueur tout en commençant à la défoncer doucement.


− Alors, ma salope, elle te plaît, ma grosse queue ? se mit à beugler Aurélie avec élégance.


Décidément, elle devenait vraiment vulgaire. Estelle répondit par un hurlement plus fort que les autres et en se mettant à se caresser le clitoris.


− Gufti, viens me baiser, viens me prendre la chatte par derrière, pendant que je défonce cette petite chienne !


J’avais beau trouver ça stupidement grossier, j’en avais très envie ! De toute façon, Estelle était visiblement trop accaparée pour pouvoir s’occuper de moi. Comme ça, j’allais pouvoir vérifier si l’autre sexe de ma copine était encore fonctionnel…

Je contournai les deux jeunes femmes et vins glisser une main sous les fesses d’Aurélie. Elle était monstrueusement trempée, ça coulait le long de ses cuisses. Je lui enfonçai deux doigts sans le moindre effort ; elle ne donna même pas l’impression de les sentir. J’écartai les jambes et les pliai un peu pour pouvoir appuyer mon sexe toujours rigide contre le sien. Puis je la pénétrai doucement et profondément ; elle gémit un peu plus que précédemment, et peina un instant à maintenir le rythme des déhanchements qui lui permettaient de baiser elle-même notre jolie réceptionniste.


La position m’était vraiment très inconfortable, je n’allais sans doute pas tenir longtemps. Mais Estelle atteignit vraiment rapidement l’orgasme et jouit visiblement en se contractant plusieurs fois et en criant par saccades. On manqua de tomber tous trois à terre lorsqu’elle se crispa dans un ultime spasme en hurlant longuement. Et puis elle s’extirpa de l’étreinte de sa partenaire pour s’écrouler lourdement à côté de Pandore, en poussant un grand soupir d’extase.

Sans retirer mon sexe du sien, je portai Aurélie jusqu’au canapé, où elle s’agenouilla juste entre les deux jeunes femmes, et s’appuya sur le dossier. Pandore, sans cesser de se masturber, glissa sa main entre les cuisses d’Aurélie que je m’étais remis à défoncer avec vigueur, et caressa alternativement ses nouveaux attributs et les anciens. Estelle sembla découvrir avec stupéfaction que sa partenaire n’était pas simplement trans, mais carrément bisexuée. Azura s’installa à côté d’elle et entreprit de la caresser doucement sur tout le corps.


Aurélie explosa rapidement sous nos assauts conjugués. Du moins explosa-t-elle ‘classiquement’. Mais une fois remise de son orgasme, elle se remit à branler fermement sa grosse queue en couvant Estelle d’un regard lubrique. Celle-ci, soigneusement préparée par Azura, se tourna pour présenter sa croupe au monstre hermaphrodite, qui n’avait visiblement plus comme seule envie que d’enculer la jolie réceptionniste. Et quand elle fut confortablement fichée bien profondément en elle, que les va-et-vient et les ahanements sérieux avaient repris, Azura s’écarta et je me glissai sous l’espèce de couple pour venir à mon tour pénétrer Estelle.


On la défonça tous les deux un bon moment tandis qu’elle criait de toutes ses forces, et elle finit par jouir une nouvelle fois en convulsant quasiment et en poussant une série de hurlements surréalistes qui nous arrachèrent les oreilles. Aurélie et moi, on aurait bien continué, mais Estelle se dégagea de notre étreinte pour aller s’effondrer plus loin sur le canapé en soufflant comme un ouragan. Elle regarda l’une après l’autre nos bites toujours tendues et nous sourit tour à tour, puis soupira encore une fois profondément.


Aurélie arracha sa capote et monta sur le canapé avec un air lubrique, approchant sa queue démesurée de mon visage, sur lequel elle referma ses mains. Hyper excité, j’ouvris la bouche pour accueillir l’engin monstrueux. J’avais jamais sucé de bite, juste quelques fois des godes, pour faire plaisir à des copines, mais de toute façon pas des comme ça. Je devais être bien maladroit, mais Aurélie avait l’air ravie. Je passai une main entre ses cuisses pour aller doigter sa fente toujours dégoulinante.


Mais elle se baissa bientôt, s’agenouillant pour venir s’empaler sur ma bite à moi, puis commença de se déhancher en geignant. Sa queue pointait toujours droit vers moi, et en baissant la tête, je parvenais à suçoter toujours son gland. Mais la position était inconfortable ; Aurélie finit par se redresser et se retourner pour s’asseoir et s’embrocher de nouveau sur moi en me tournant le dos. Je refermai mes mains sur sa poitrine et la massai doucement. Azura et Pandore vinrent s’agenouiller devant Aurélie aux pieds du canapé et se jetèrent bouche grande ouverte sur sa verge, qu’elles se mirent à sucer et à branler avec acharnement.


Ma partenaire hermaphrodite continuait de se dandiner au rythme de nos caresses et de nos assauts, de plus en plus vite, de plus en plus fort, son clitoris tournoyant à toute allure sous ses doigts excités. Ses déhanchements devinrent soudain quasiment spasmodiques et ses gémissements se transformèrent en cris plaintifs saccadés. Elle se crispa, poussa un long hurlement, puis tout son corps se mit à trembler, à vibrer, à sursauter à toute allure, de longues secondes. De sa bouche grande ouverte ne sortait plus aucun cri. Je sentais sous sa poitrine son cœur cogner à toute allure. Elle éjacula une impressionnante quantité de sperme sur les magnifiques visages accolés des deux jeunes femmes à ses pieds qui continuèrent un moment de branler sa queue à toute allure. Et je sentis sa vulve se contracter furieusement autour de mon sexe que j’agitais toujours à toute vitesse.


Les orgasmes conjugués d’Aurélie, les visages d’Azura et de Pandore recouverts de sperme, leurs langues avides, déclenchèrent ma jouissance ; et me crispant à mon tour, je larguai quelques maigres gouttelettes au fond du corps de ma partenaire, qui ne bougeait toujours que par à-coups enragés.


Je me laissai finalement tomber en arrière sur le dossier du canapé ; et c’est seulement là qu’Aurélie poussa enfin une longue plainte, en se décontractant d’un seul coup. Elle tomba en arrière, en travers de mon corps, sa tête venant s’échouer sur les cuisses d’Estelle. Azura et Pandore se relevèrent, nous regardèrent tous les trois avachis sur le canapé, et me lancèrent un sourire bienveillant. Puis elles sortirent en direction de la chambre, ou plus probablement de la salle de bains.


Et moi je ne débandais toujours pas le moins du monde. Je tournai la tête vers Estelle ; elle rêvassait, les yeux dans le vague et caressait doucement les cheveux d’Aurélie. Celle-ci n’avait toujours pas bougé depuis qu’elle s’était laissée tomber en arrière. Sa queue s’amollissait peu à peu. Je parcourus son ventre d’une main cajoleuse.


− Aurélie ?


Elle ne bronchait pas. J’arrivais pas à croire qu’elle s’était endormie aussi soudainement.


− Ma puce ?


Je la secouai même un peu, voulant me redresser. Elle ne réagit toujours pas.


− Je crois qu’elle s’est évanouie… suggéra Estelle.


Je lui lançai une drôle de tête et remuai encore Aurélie en l’appelant de nouveau.


− Évanouie de plaisir…


Je me levai du canapé, y étendant ensuite soigneusement les jambes de ma compagne.


− Et toi tu bandes toujours… incroyable ! Vous êtes hallucinants ! Toi avec ta queue tout le temps à bloc…

− Ouais enfin t’imagines même pas comment c’est chiant pour pisser…

− Elle avec ses deux sexes, je savais même pas que c’était possible…

− Ben moi non plus.

− Vu comment elle a pris son pied, ça doit vraiment être génial !

− Ouais, sans doute.


Elle regarda pensivement la grosse queue ramollie d’Aurélie.


− J’aimerais bien avoir la même chose…


Je soupirai, puis déplaçai très doucement la tête d’Aurélie pour l’allonger complètement sur le canapé. Estelle se leva et alla s’asseoir un peu plus loin sur un large fauteuil. J’essayai encore de réveiller Aurélie, mais ça paraissait peine perdue. Un profond gémissement s’éleva de la salle de bains où l’eau coulait depuis un moment déjà.


− Et puis vos deux nanas, là, elles sont complètement hallucinantes aussi !


Je cessai de tenter de ranimer ma compagne et allai jusqu’au minibar prendre trois mignonnettes de whisky et un grand verre.


− Tu veux quelque chose, Estelle ?


Elle ne répondit rien. Je me servis le triple whisky puis tournai les yeux vers elle.


− Estelle ?


Elle avait les yeux dans le vague.


− Gufti, emmène-moi avec vous !

− Hein ?!?

− Emmène-moi avec vous, aux Caraïbes ! S’il te plaît ! Je veux profiter de vos baises endiablées ; j’ai jamais ressenti autant de plaisir !


Je claquai la porte du minibar en soupirant.


− S’il te plaît…


Je bus une grande gorgée de whisky et m’allumai une cigarette.


− Écoute, Estelle, je crois pas que ce soit une bonne idée ; on se connaît pas du tout…

− On apprendra… et on est déjà sur la bonne voie, tu crois pas ?

− Et puis comme tu me l’as dit, on est recherchés par tous les flics de France…

− Je m’en fous, des flics !

− On est des fugitifs, si tu viens avec nous, ta vie sera plus jamais la même…

− Laisse-moi venir… une semaine, et après si ça se passe mal, je vous fous la paix…


Ses yeux suppliants brillaient sous son visage de poupée. Je soupirai encore en exhalant ma fumée. C’était clair que, d’un côté, ça donnait envie… J’avisai une pendule ; elle indiquait trois heures trente passées. Il allait vraiment falloir que je dorme un peu…


− Écoute, tranchai-je en souriant, tu n’as qu’à voir ça avec Aurélie quand elle se réveillera…


Estelle ne répondit rien, mais parut presque sourire, elle aussi. Je terminai mon digeo et ma clope.


− Je vais me pieuter un peu. Qu’est-ce tu fais ? Tu dors là ?

− J’sais pas… pourquoi pas…


Ça m’ennuyait presque un peu ; je la connaissais pas vraiment. Est-ce qu’elle allait pas profiter de la nuit pour fouiller toutes nos affaires à la recherche de notre fric ? Bah, et quand bien même…


− Bon, ben fais comme tu veux…


J’allai jusqu’à la salle de bains pour me débarbouiller un peu et me brosser les dents. Azura et Pandore étaient retournées dans la baignoire géante et, enlacées, se caressaient tranquillement.


− Mon Gufti adoré, s’écria Azura quand j’entrai dans la pièce, tu viens nous rejoindre ?

− Ton sexe ne demande que ça ! ajouta Pandore en souriant.

− Laissez mon sexe tranquille cinq minutes, vous voulez bien ?


Je pris une douche très rapide, puis me séchai en contemplant les filles s’embrasser et se cajoler dans leur mini piscine.


− Estelle veut partir avec nous… expliquai-je. Qu’est-ce que vous en pensez ?

− Elle est très jolie, me répondit Pandore. Tu devrais être fier de disposer d’une autre femme aussi belle.

− Ce n’était pas tout à fait le sens de ma question…


Elles me regardèrent curieusement.


− Bah, laissez tomber !


Debout à côté de leur baignoire, je me brossai les dents en les observant toujours. Pandore s’agenouilla dans son bain, s’appuyant d’une main sur le rebord pour venir attraper ma queue tendue, et y refermer ses lèvres. Je la laissai faire, amusé, frottant toujours mes quenottes. Mais ça ne m’excitait pas vraiment ; ce n’était pas désagréable, bien sûr, mais l’envie n’était pas là.


− Merci, ma puce, mais je vais vraiment aller me pieuter.


Je m’éloignai au-dessus du lavabo pour me rincer la bouche.


− Désires-tu que nous te rejoignions ? s’inquiéta Azura.

− Non, non, c’est bon, me marrai-je, vivez votre vie… À tout à l’heure.


Je les laissai macérer et avant de rejoindre la chambre, passai dans le salon prendre le téléphone portable d’Aurélie pour le mettre à sonner à neuf heures ; il fallait pas qu’on rate l’avion et on avait encore pas mal de choses à faire. Estelle s’était endormie sur son fauteuil et Aurélie n’avait toujours pas bougé d’un centimètre. Je détaillai encore la grosse queue, désormais flasque, dont s’était nantie mon amie. C’était peut-être le moment d’éveiller Bazouk pour qu’il la lui ôte. Mais j’avais la flemme ; on verrait ça demain…


J’allai jusqu’à la chambre, m’allongeai sur l’immense lit et posai le portable sur une petite table de chevet à côté de moi. Je bâillai une dernière fois puis m’endormis.