n° 13478 | Fiche technique | 7313 caractères | 7313Temps de lecture estimé : 5 mn | 21/09/09 |
Résumé: Retrouvailles de deux amants dans un hôtel à la campagne | ||||
Critères: fh couple hotel amour fellation pénétratio fsodo hdanus tutu -totalsexe | ||||
Auteur : Louve Envoi mini-message |
Je t’attends, le cœur battant… Plusieurs semaines sans ta peau, sans ton odeur… Tu n’es pas encore là que mon cœur bat la chamade.
J’entends des pas dans le couloir de l’hôtel campagnard que tu as réservé pour abriter notre amour cette nuit… Ce doit être toi, mon cœur va exploser dans ma poitrine. Tu ouvres la porte, c’est bien toi, mon amant que j’aime.
Ton regard est sans équivoque, tu ressens au fond de toi le même désir que moi. Tu poses ta valise dans un coin de la pièce et me serre contre toi. Rapidement nous ne pouvons plus attendre, nos lèvres se rejoignent en un baiser langoureux et humide. Sentir ta langue jouer avec la mienne achève de me faire fondre et je me sens désormais très excitée…
Tu prends mes seins à pleines mains, ils sont durs. Je ne te sens pas assez j’ai envie de ta peau contre la mienne, nous ne savons pas comment, mais sans que nos bouches ne se séparent nous atterrissons sur le lit, toi en slip, moi dans les sous-vêtements que tu préfères.
Tu me regardes quelques instants avec tendresse et désir, puis la valse lente des corps s’enclenche. Ta bouche descend de mes lèvres à mon cou, tu me mordilles l’épaule, je frissonne, et enfin ta bouche fonce sur mes seins. Oh j’attends ce moment depuis une éternité !
Tes lèvres sur le bout de mes seins, ta langue jouant avec mes tétons dressés vers le ciel. J’aime lorsque tu les fais rouler entre tes lèvres charnues. J’aimerais que tu aies cent bouches, cent mains, que tu me caresses et m’embrasses partout à la fois. Tes caresses me font me perdre dans le dédale des sens. Ariane ne déploie pas ton fil, j’aime me perdre dans le labyrinthe du plaisir avec Lui…
Sous tes doigts, mon corps ne devient plus qu’une immense zone érogène que tu effleures, empoignes, griffes et caresses à la fois… Je ne peux m’empêcher de gémir malgré mes dents plantées dans mes lèvres.
Mon sexe te réclame, mais je ne te laisse pas y accéder, j’ai peur de ne pas maîtriser mon plaisir or j’ai envie que cela dure, dure, dure…. Dure ou dur, comme l’état de ton sexe lorsque je pose ma main sur lui. Je t’enlève ton slip presqu’avec dévotion.
Il est là.
Mon deuxième amour se dresse fièrement, il est gonflé de désir, tendu comme un arc et une bouffée d’émotion et d’excitation m’envahit jusqu’au fond du ventre. Plus je le regarde et plus il grandit et je lis dans ton regard ta fierté.
Je referme mes doigts sur lui et le caresse doucement… tout doucement…
Je prends mon temps, je savoure cet instant, je retarde le moment où je l’engouffrerai dans ma bouche et pourtant j’en ai si envie. J’ai faim et soif de toi comme tu ne pourras jamais l’imaginer. Je caresse le bout de ton sexe tendrement et ma deuxième main rejoint la première, te caressant autour de ton sexe….
Le haut de tes cuisses tout d’abord, puis ton pubis, et enfin j’atteins la terre promise, tes boules d’amour dont le contact me fait frissonner à chaque fois. Elles sont douces et duveteuses, je n’ai pas envie de m’en éloigner, je veux encore les sentir durcir lorsque ton plaisir accourt comme un cheval au galop…
Ma bouche abandonne tes lèvres pour déposer sur ton torse et ton ventre de petits baisers qui n’ont qu’une finalité : descendre, descendre… Enfin j’ai ton sexe près de mon visage, quelques gouttes de plaisir suintent déjà, que je m’empresse de lécher avant de t’embrasser… doucement, de haut en bas, de bas en haut, je redécouvre ta verge avec ma bouche et ma langue. C’est si bon !
Je rejoins mes doigts qui te caressent toujours le bout du sexe. Ça y est, j’écarte légèrement mes lèvres et ton sexe énorme glisse dans ma bouche. Tu retiens un petit « ah » de plaisir, tu aimes me sentir te prendre en bouche, surtout que tu sais maintenant que j’y prends autant de plaisir que toi… Je t’aspire, te lèche, te goûte, te suce, t’embrasse, oh que tu es dur, c’est délicieux de te sentir aller et venir, je sens mon désir tremper désormais le haut de mes cuisses.
Tu gémis à mesure que j’accélère, et que mes doigts continuent leur exploration… Ils s’aventurent entre tes cuisses, se faufilent agilement jusqu’à tes fesses, et restent là, sans bouger. Tu te contractes légèrement, en un mélange de désir, de gêne et de peur. Je commence à bouger légèrement en massant l’entrée de ta petite grotte. Ton sexe est toujours dans ma bouche, tu sembles perdre tes moyens, j’ai envie de sourire et de te dire quelque chose, mais aucun son ne sort, la place est déjà prise.
Sans que je force vraiment, tu te détends et un doigt glisse à l’intérieur… Tu ne tiens plus, tu t’enlèves de ma bouche, me retourne d’un geste. Je suis sur le dos, tes mains sur mes poignets, ton visage près du mien, nous avons tous les deux le souffle court. Deviner ton sexe tendu à l’extrême près du mien finit de me rendre animale. Je me cambre pour essayer de t’atteindre, mais tu ne me laisses pas faire, tu me retournes une fois encore et ce sont désormais mes fesses qui te sont offertes…
Je n’essaie même pas de me débattre, j’ai trop envie de toi… Je sens ton sexe titiller l’entrée de mon sexe soumis, viens, s’il te plaît, viens en moi, glisse, VIENS. Tu sembles lire dans mes pensées car je te sens entrer, puis t’enfoncer en moi comme dans du beurre salé. Tu es très excité et tu fais des va-et-vient d’abord lents, puis je te sens t’enfoncer de plus en plus fort, et de plus en plus vite, oh oui encore, encore, ENCORE.
Je voudrais que ça ne s’arrête pas, mais le plaisir me surprend sans crier gare, mon ventre se soulève et un orgasme venu de loin me submerge. Gémir ne me suffit plus, il faut que je crie mon plaisir, que j’exprime le bien que tu me fais. La petite mort est foudroyante.
Je n’ai pas le temps de me remettre de mes émotions que ton sexe dégoulinant de miel oscille de mon coquillage à mes fesses. Je voudrais te dire non, attends, mais tu es déjà au creux de mes reins. Je ne peux plus parler, ma bouche ne fait que gémir, pousser de petits cris, je ne suis plus moi.
Tu gémis, toi aussi, tu me dis que tu aimes ça et cela augmente encore mon excitation. J’ai l’impression que de mes fesses coule le même miel que de mon sexe, tu glisses si facilement. Tu te sens légèrement serré et tu aimes ça. Tu sens mes doigts près de ton sexe, je me caresse en même temps que tu me prends les fesses, mon dieu que c’est bon.
Tu empoignes alors mes hanches sauvagement, tu n’es pas gentil, tu sais que cela va m’envoyer au septième ciel dans les trente secondes. Je te sens pousser un râle et c’est de sentir ton sexe exploser en moi qui me fais jouir cette fois. Nos plaisirs sont longs et nos sexes mettent du temps à se séparer… Tu t’allonges à côté de moi, tu as cet air bienheureux et satisfait du devoir accompli, du mâle assouvi. Je me love contre toi, nous partons dans des rêves lointains…
Je t’aime.