Week end de sexe. Tomates cerise
Résumé des épisodes précédents : Après 8 jours de chasteté dus à la visite de ma mère, j’ai promis à mon mari d’être à lui durant tout un weekend. Sur le chemin du gîte, après qu’il m’eut bien échauffée, nous avons fait une halte torride. Arrivés au gîte, nous avons profité d’une nuit réparatrice et avons bruyamment fait l’amour le matin. Dans la journée, nous avons fait la connaissance de nos voisins de chambre : une blonde siliconée flanquée d’un monsieur muscle à petite zigounette. Durant le dîner, elle a tenté de séduire mon mari, ce qui m’a franchement mise hors de moi. Le soir, nous les avons surpris en train de faire l’amour et avons joué les voyeurs tout en les accompagnant.
Dimanche, au petit matin.
Le soleil pointe à travers les volets. Mes doigts de pieds caressent le petit oiseau tout riquiqui de mon mari étalé en travers du lit et plongé dans un sommeil de plomb.
Je regarde les draps poisseux, maculés de mouille et de sperme. Un vrai champ de bataille. Jusqu’à 2 heures du matin, mon chéri survolté par le spectacle d’hier soir est parti à l’assaut de ma foufoune, multipliant les attaques en alternance avec des moments de pure tendresse. Malgré le secours de sa langue et de ses doigts, ma chatte insatiable a remporté le match. De peu !
Son dernier assaut à l’aube, mené avec une érection matinale d’enfer, m’a laissé le minou tout endolori. Il m’a prise en missionnaire, j’avais remonté les jambes pour le sentir au plus profond.
Comme il avait éjaculé déjà plusieurs fois dans la nuit, il était devenu hyper résistant et il en a longuement profité, me besognant puissamment pendant de longues minutes. Ma chatte durement sollicitée s’est mise à dégouliner de mouille alors que mon chéri, les couilles vides, peinait à jouir, si bien que quand j’ai décollé il n’a pas réussi à m’accompagner. Il a alors attrapé mes mollets, écarté mes jambes a 180° et s’est mis à défoncer mon vagin béant comme un pilon, cherchant son plaisir comme un enragé, me faisant repartir encore plus haut en quelques instants. Il a enfin pris son pied et s’est rendormi du sommeil de celui qui a tout donné.
J’examine ma chatte en compote. Ma vulve nouvellement épilée est toute rouge d’irritation. Mon clito n’est pas en meilleur état. J’ai une légère douleur au fond du vagin. Comment fait mon amie Maud dans ses soirées libertines pour se farcir 4 ou 5 mecs à la suite ? Question d’entraînement ? Sûrement.
Pourquoi me suis-je laissé réveiller en plein sommeil pour me faire sauter ? Parce que j’aime ça, j’aime quand mon homme a une folle envie de moi, j’aime l’amour passion, celui qui met nos corps en transe, nous fait quitter toute retenue, nous coupe le souffle, nous fait battre le cœur à 100 à l’heure. Je ne me vois pas avec un mari qui me demande timidement :
- — Chérie, me permets-tu de te faire l’amour ce soir ? J’aimerais tant te prendre en levrette pour une fois… S’il te plait, chérie… fais-moi plaisir…
- — Mais, bon sang, saute-moi dessus. Impose-toi, sois un homme, un vrai !
Quelle horreur, un mec mou. Cela excuse tous les amants, des amants bien virils.
Je pose un baiser sur ses lèvres.
- — Chéri, réveille-toi, on va rater le petit déjeuner.
Nous sommes effectivement les derniers. Aucune trace de Paméla et de M. Propre. J’attaque mon chéri devant son café.
- — Mon loulou, quand je vois la nuit que tu m’as fait passer, je me demande comment tu fais quand tu es seul au bout du monde. Je me pose des questions.
Pierre est un peu interloqué mais répond avec un grand sourire :
- — Mais Karine, tu n’es pas avec moi à l’autre bout du monde.
- — Justement.
- — Tu n’as pas compris. C’est toi qui me mets dans cet état.
- — Tu ne vas pas me faire croire qu’il n’y a que moi qui te fasse bander.
- — Non, bien sûr, mais toi c’est magique.
- — Qu’est-ce qui, chez moi, te fait cet effet Viagra ?
- — Tes yeux, ton sourire, la façon dont tu me regardes. Pourquoi ris-tu ?
- — J’ai tout faux. Je pensais que tu allais citer d’autres parties de mon anatomie.
- — Karine, tu sais, je rentre crevé à l’hôtel, épuisé par les discussions très compliquées en anglais avec les Chinois, liquéfié par le climat chaud et humide, ce n’est pas terrible pour la libido.
- — Tu peux tout me dire. Moi je n’ai pas de honte de t’avouer que je me caresse souvent quand tu n’es pas là. Tu n’as pas recours aux petites putes qui pullulent aux abords des grands hôtels ?
- — Non, chérie… mais…
- — Mais quoi ? questionné-je soudain inquiète.
- — Karine, il y a une histoire que je ne t’ai jamais racontée parce que tu es du genre tigresse jalouse.
Punaise, que va-t-il me sortir ?
- — En janvier à Shanghai, continue-t-il, un fournisseur m’invite à dîner. Je le retrouve au restaurant où il m’attend avec une superbe fille qu’il me présente. « Voici Zhang, ma nièce, m’annonce-t-il. Elle est ravie de faire la connaissance d’un Français. Vous avez une chaude réputation, a-t-il continué avec un petit rire plein de sous-entendus. Elle serait ravie de sortir avec vous.»
- — Une pute ?
- — Je dirais plutôt une escort girl, c’est plus chic.
- — C’est pareil.
- — C’est plus haut de gamme. Elle a commencé à me faire du pied sous la table, elle était enragée, elle devait toucher une méga prime si elle arrivait à ses fins, j’ai peiné à m’en dépêtrer.
- — Tu as pensé à moi, c’est bien.
- — Pas du tout. J’ai pensé que mon fournisseur aurait un poids sur moi dans les négociations et que si mes patrons américains qui sont très prudes avaient vent de l’affaire, j’étais mal barré.
- — Salaud !
- — Karine, je te fais marcher. Bien sur que j’ai pensé à toi.
- — Jure-moi qu’elle ne s’est pas retrouvée dans ton lit ?
- — Je te le jure, j’ai été héroïque.
- — Tu ne voudrais quand même pas une médaille ?
- — Karine, ce sont les hommes malheureux en amour qui se payent des putes. Moi j’ai une femme que j’aime, jolie comme un cœur et chaude comme la braise qui m’attend à la maison. J’ai plutôt intérêt à me mettre à la diète.
- — Mon loulou, je t’adore, dis-je en riant. Moi aussi je te fais marcher. Je sais bien que les putes, ce n’est pas ton truc. Tu as fini ton café ? On y va ?
- — Si on allait à la plage naturiste dont parlait Paméla, la grosse cochonne ?
- — Chez les culs nus ?
- — Oui, Tu adores te baigner à poil. Cela te gène de montrer tes fesses à des inconnus ?
- — Si il y a déjà des gens à poil, je m’en fous. Et toi ?
- — Comment ça, et moi ?
- — Je ne me mets à poil que si tu l’es aussi. Je ne veux pas que tu passes pour un pervers qui exhibe sa femme.
- — D’accord. De toute façon il n’y aura pas grand monde, nous sommes hors saison. On va commencer par s’acheter un pique-nique.
Nous arrivons devant une immense plage quasi déserte en face de Jersey. Nous posons nos serviettes au bord des dunes à l’abri du vent. Coup d’œil à gauche et à droite, personne sauf un couple de retraités naturistes qui déambule au bord de l’eau. Je déboutonne mon short, je retire mon t-shirt, dégrafe mon sous tif et baisse mon petit slip avec le sentiment de braver un interdit.
Me voici nue, Pierre a les yeux fixés sur mes lèvres intimes exposées au soleil, des lèvres qu’il n’a pas l’habitude de voir sans le moindre poil.
Amusée à l’idée de renverser les rôles et de mettre le feu à l’entrejambe de mon cher époux encore en maillot, je pars à la recherche de mon tube de crème solaire en lui montrant mes fesses, je me penche sans plier les genoux pour fouiller le fond du sac, les jambes écartées juste ce qu’il faut pour lui faire péter les plombs.
Fantasme, Chéri, fantasme. Regarde mon joli petit cul au soleil, les deux globes musclés de mes fesses et juste dessous mon abricot bien charnu. Si tu regardes bien, tu dois apercevoir au milieu de ma fente mes petites lèvres couleur brun roses et luisantes d’excitation. Allez, bande mon chéri…
Je me tartine consciencieusement en regardant en coin, amusée, mon mari, gêné par son érection, regarder dans toutes les directions avant de se résigner à quitter son maillot de bain.
- — Chéri, tu m’en mets sur le dos et les fesses, demandé-je en lui tendant le tube et en m’allongeant à plat ventre.
- — Tu as les fesses blanches ma chérie, tu as bronzé vachement vite.
- — J’ai la peau mate.
- — Connais-tu la différence entre ma femme et un poulet ?
- — Charmante comparaison. Je donne ma langue au chat.
- — Aucune différence, c’est le blanc que je préfère.
J’éclate de rire.
C’est parti pour jouer les lézards. Je gonfle mon petit oreiller pour m’installer confortablement sur le dos les jambes sagement serrées l’une contre l’autre et je me plonge dans mes mots fléchés. Pierre ayant toujours un problème avec son érection qui ne se calme pas se met sur le ventre et reprend son bouquin.
Cinq minutes plus tard…
- — Chéri, il y a un mec qui s’installe juste en dessous de nous. Il a toute la plage et il faut qu’il vienne nous coller ! C’est incroyable, quel emmerdeur!
- — C’est sûrement pour t’admirer de près, répond Pierre sans daigner lever le nez.
- — Chéri, il se met à poil.
- — Normal chez les naturistes. Il est comment ?
Cachée derrière mes lunettes de soleil, je détaille l’anatomie du monsieur.
- — Pas mal du tout, la quarantaine, brun, pas de bedaine, plus petit que toi, genre sportif, bronzé partout uniformément, il ne doit jamais mettre un maillot… Il se retourne… Dis donc, il s’est rasé tous les poils ! Et il a une belle queue à moitié érigée…
- — Il n’y a que ça qui t’intéresse.
- — C’est que je n’en vois pas souvent à part la tienne, mets-toi à ma place.
Encore cinq minutes plus tard.
- — Chéri, il n’arrête pas de me regarder.
- — Normal. Dis-toi qu’une fille comme toi en tenue d’Ève est le fantasme de tout homme normalement constitué.
- — Il ne se cache pas, il me fixe carrément.
- — Alors, c’est un voyeur.
- — Ça m’énerve, il me trouble, je n’avance plus dans mes mots fléchés.
- — Si tu veux t’amuser, montre lui ce qu’il veut voir, écarte un peu les jambes.
Punaise, si j’osais ?
Je plie une jambe et j’écarte légèrement comme sans le faire exprès tout en suçant mon stylo à bille avec le sentiment d’être une exhibitionniste qui s’ignore.
Le voyeur, les yeux rivés sur ma fente, me renvoie un grand sourire d’encouragement. J’en ai les seins qui pointent. Deux minutes plus tard, je ne résiste pas à l’envie de remonter la seconde jambe et de bien l’écarter pour lui donner une vue encore meilleure sur ma vulve épilée.
Je suis une super salope, j’assume.
- — Chéri, ça m’excite, ce petit jeu.
- — Que fait-il ?
- — Il admire mon anatomie intime ça lui plait beaucoup, il m’a remercié d’un signe de tête.
- — Tu vois, il ne faut pas grand-chose pour faire plaisir à un voyeur.
Je fais semblant de me replonger dans mes mots croisés tout en restant dans la même position. Toujours protégée par mes lunettes de soleil, je surveille le voyeur du coin de l’œil.
- — Chéri, il bande, il ne s’en cache même pas.
- — Normal. Tu peux faire bander tous les mecs sauf les pédés.
- — Chériiiiii… je mouille.
- — Et lui, que fait-il, il ne s’approche pas ? s’inquiète enfin Pierre.
- — Non, il s’est tourné sur le côté pour me faire admirer son sexe en érection. Il est circoncis, plus courbé que le tien, plus long mais plus fin, un gland tout violet.
- — C’est précis comme description.
- — C’est qu’il est tout proche. C’est un très beau pénis.
- — C’est pour cela qu’il le montre. Il veut t’appâter.
- — Chéri, pourquoi tu ne te retournes pas pour le voir ?
- — Aucun intérêt et puis je ne crains rien, ce n’est pas un pédé.
- — C’est malin !
- — Ma chère femme, je ne veux pas m’immiscer dans un petit jeu qui a l’air de beaucoup t’exciter et dont je vais tirer tout le bénéfice.
- — Chériiiiii… il me fait signe d’aller avec lui dans les dunes.
- — Alors, ce n’est pas uniquement un voyeur, c’est un satyre. Fais non de la tête.
- — Il insiste.
- — Refais non. Il va finir par comprendre.
- — Il n’a pas l’air content !
- — S’il s’approche, tu me préviens, je lui flanquerai un grand coup de pied dans ses bijoux de famille.
- — Non, il ne bouge pas.
- — Alors, il n’est pas dangereux. Si tu veux lui faire plaisir, tartine-toi voluptueusement de crème sur les seins.
Punaise, je suis une vraie vicieuse, songé-je en m’appliquant à enduire d’une couche d’huile solaire les parties blanches de mon anatomie. Poussant mon exhibition jusqu’au bout, je termine en faisant semblant d’ôter des grains de sable sur mes lèvres intimes. Ce qui plaît beaucoup au voyeur.
- — Chériiiiii ! Il s’est mis sur le côté et il se masturbe en me regardant, c’est dingue….
- — C’est bien tu vas pouvoir reprendre tes mots fléchés dans quelques instants.
- — Chériiiii ! Ca y est, il en a mis plein sa serviette….
- — Déjà ? c’est un rapide !
- — Il se ramollit, il remet son slip… il me remercie, il me fait un grand sourire, il s’en va.
Une minute plus tard.
- — Chériiiiii !
- — Quoi ?
- — J’ai envie de faire l’amour. Emmène-moi dans les dunes.
- — Non, tu as vu, c’est bourré de pervers.
- — Chéri… j’insiste, j’ai envie, fais moi l’amour sinon je cours après ce type. Tant pis pour toi.
- — Eh bien dis donc, c’est urgent ! Je ne t’ai jamais vue comme ça. Allons-y.
Je renfile mon short, mon T-shirt, j’embarque le reste, slip, sous tif, crème, magazine, dans mon sac, direction la voiture pour aller baiser vite fait quelque part. Sur le chemin, de l’autre côté des dunes, quelques maisons de vacances encore inoccupées avec des jardins plus ou moins grands.
Pierre me regarde, nous sommes en phase, je lui fais signe que oui, c’est l’idéal.
Nous sautons par-dessus le petit portillon d’un vaste jardin bien entretenu, une pelouse superbe. Je me dirige vers un rideau d’arbustes pouvant nous cacher, je m’allonge dans l’herbe et je requitte mon short. Prête, offerte. Sauf que mon chéri se fait attendre.
- — Viens me faire l’amour, au lieu de fouiller dans notre pique-nique. Tu n’as pas récupéré des exploits de la nuit ?
- — J’arrive. Écarte les jambes. Je vais te bouffer la chatte.
- — Eh que fais-tu ? m’exclamé-je le sentant glisser quelque chose dans mon intimité.
- — Une tomate cerise, une.
- — Tu es complètement fou, m’esclaffé-je.
- — À ton avis, je peux en mettre combien dans ton vagin ?
- — Aucune idée. Je dirais quatre.
- — Laisse toi faire. Une deuxième. Une troisième.
- — Chéri, je te préviens que si elles sont bien mures, je vais en faire du jus de tomate.
- — Je vais adorer. Une quatrième… essaye de les faire remonter sans les écraser.
- — Il y a un record à battre ?
- — Cinq… c’est le max ! Ton vagin ne ferme plus, ma chérie, tu restes entrouverte, je vois du rouge entre tes lymphes. Ne bouge pas, je vais te déguster. Vas-y, fais moi quelques contractions vaginales.
- — Comme ça ?
- — Mummm… Jus de tomate parfumé à la cyprine de ma femme, génial.
- — Tu es vraiment malade m’exclamé-je en riant.
- — Attends, je vais recharger ta petite chatte… Six, sept… huit. Et maintenant je vais mettre mon gros pénis.
- — Hein ?
- — On va passer à la purée de tomate. Je suis curieux de savoir ce que cela me faire comme sensation.
- — Moi aussi. Viens mon gros pilon.
L’expérience étant concluante, une demi-heure après, ma chatte gloutonne a ingurgité toute la boite de tomates cerise, quelques fraises, des morceaux de pêche épluchés et un gros Kiwi épluché.