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Temps de lecture estimé : 11 mn
26/09/09
Résumé:  Depuis ce jour mon mari ne regarde plus les tomates cerise de la même façon.
Critères:  fh hépilé vacances plage exhib nudisme hmast légumes aliments
Auteur : Karine2x            Envoi mini-message

Série : Week-end de sexe

Chapitre 03 / 03
Week end de sexe. Tomates cerise

Résumé des épisodes précédents : Après 8 jours de chasteté dus à la visite de ma mère, j’ai promis à mon mari d’être à lui durant tout un weekend. Sur le chemin du gîte, après qu’il m’eut bien échauffée, nous avons fait une halte torride. Arrivés au gîte, nous avons profité d’une nuit réparatrice et avons bruyamment fait l’amour le matin. Dans la journée, nous avons fait la connaissance de nos voisins de chambre : une blonde siliconée flanquée d’un monsieur muscle à petite zigounette. Durant le dîner, elle a tenté de séduire mon mari, ce qui m’a franchement mise hors de moi. Le soir, nous les avons surpris en train de faire l’amour et avons joué les voyeurs tout en les accompagnant.



Dimanche, au petit matin.


Le soleil pointe à travers les volets. Mes doigts de pieds caressent le petit oiseau tout riquiqui de mon mari étalé en travers du lit et plongé dans un sommeil de plomb.


Je regarde les draps poisseux, maculés de mouille et de sperme. Un vrai champ de bataille. Jusqu’à 2 heures du matin, mon chéri survolté par le spectacle d’hier soir est parti à l’assaut de ma foufoune, multipliant les attaques en alternance avec des moments de pure tendresse. Malgré le secours de sa langue et de ses doigts, ma chatte insatiable a remporté le match. De peu !


Son dernier assaut à l’aube, mené avec une érection matinale d’enfer, m’a laissé le minou tout endolori. Il m’a prise en missionnaire, j’avais remonté les jambes pour le sentir au plus profond.


Comme il avait éjaculé déjà plusieurs fois dans la nuit, il était devenu hyper résistant et il en a longuement profité, me besognant puissamment pendant de longues minutes. Ma chatte durement sollicitée s’est mise à dégouliner de mouille alors que mon chéri, les couilles vides, peinait à jouir, si bien que quand j’ai décollé il n’a pas réussi à m’accompagner. Il a alors attrapé mes mollets, écarté mes jambes a 180° et s’est mis à défoncer mon vagin béant comme un pilon, cherchant son plaisir comme un enragé, me faisant repartir encore plus haut en quelques instants. Il a enfin pris son pied et s’est rendormi du sommeil de celui qui a tout donné.


J’examine ma chatte en compote. Ma vulve nouvellement épilée est toute rouge d’irritation. Mon clito n’est pas en meilleur état. J’ai une légère douleur au fond du vagin. Comment fait mon amie Maud dans ses soirées libertines pour se farcir 4 ou 5 mecs à la suite ? Question d’entraînement ? Sûrement.


Pourquoi me suis-je laissé réveiller en plein sommeil pour me faire sauter ? Parce que j’aime ça, j’aime quand mon homme a une folle envie de moi, j’aime l’amour passion, celui qui met nos corps en transe, nous fait quitter toute retenue, nous coupe le souffle, nous fait battre le cœur à 100 à l’heure. Je ne me vois pas avec un mari qui me demande timidement :



Quelle horreur, un mec mou. Cela excuse tous les amants, des amants bien virils.

Je pose un baiser sur ses lèvres.



Nous sommes effectivement les derniers. Aucune trace de Paméla et de M. Propre. J’attaque mon chéri devant son café.



Pierre est un peu interloqué mais répond avec un grand sourire :



Punaise, que va-t-il me sortir ?



Nous arrivons devant une immense plage quasi déserte en face de Jersey. Nous posons nos serviettes au bord des dunes à l’abri du vent. Coup d’œil à gauche et à droite, personne sauf un couple de retraités naturistes qui déambule au bord de l’eau. Je déboutonne mon short, je retire mon t-shirt, dégrafe mon sous tif et baisse mon petit slip avec le sentiment de braver un interdit.


Me voici nue, Pierre a les yeux fixés sur mes lèvres intimes exposées au soleil, des lèvres qu’il n’a pas l’habitude de voir sans le moindre poil.


Amusée à l’idée de renverser les rôles et de mettre le feu à l’entrejambe de mon cher époux encore en maillot, je pars à la recherche de mon tube de crème solaire en lui montrant mes fesses, je me penche sans plier les genoux pour fouiller le fond du sac, les jambes écartées juste ce qu’il faut pour lui faire péter les plombs.


Fantasme, Chéri, fantasme. Regarde mon joli petit cul au soleil, les deux globes musclés de mes fesses et juste dessous mon abricot bien charnu. Si tu regardes bien, tu dois apercevoir au milieu de ma fente mes petites lèvres couleur brun roses et luisantes d’excitation. Allez, bande mon chéri…


Je me tartine consciencieusement en regardant en coin, amusée, mon mari, gêné par son érection, regarder dans toutes les directions avant de se résigner à quitter son maillot de bain.



J’éclate de rire.


C’est parti pour jouer les lézards. Je gonfle mon petit oreiller pour m’installer confortablement sur le dos les jambes sagement serrées l’une contre l’autre et je me plonge dans mes mots fléchés. Pierre ayant toujours un problème avec son érection qui ne se calme pas se met sur le ventre et reprend son bouquin.




Cinq minutes plus tard…



Cachée derrière mes lunettes de soleil, je détaille l’anatomie du monsieur.





Encore cinq minutes plus tard.



Punaise, si j’osais ?


Je plie une jambe et j’écarte légèrement comme sans le faire exprès tout en suçant mon stylo à bille avec le sentiment d’être une exhibitionniste qui s’ignore.


Le voyeur, les yeux rivés sur ma fente, me renvoie un grand sourire d’encouragement. J’en ai les seins qui pointent. Deux minutes plus tard, je ne résiste pas à l’envie de remonter la seconde jambe et de bien l’écarter pour lui donner une vue encore meilleure sur ma vulve épilée.


Je suis une super salope, j’assume.



Je fais semblant de me replonger dans mes mots croisés tout en restant dans la même position. Toujours protégée par mes lunettes de soleil, je surveille le voyeur du coin de l’œil.



Punaise, je suis une vraie vicieuse, songé-je en m’appliquant à enduire d’une couche d’huile solaire les parties blanches de mon anatomie. Poussant mon exhibition jusqu’au bout, je termine en faisant semblant d’ôter des grains de sable sur mes lèvres intimes. Ce qui plaît beaucoup au voyeur.





Une minute plus tard.



Je renfile mon short, mon T-shirt, j’embarque le reste, slip, sous tif, crème, magazine, dans mon sac, direction la voiture pour aller baiser vite fait quelque part. Sur le chemin, de l’autre côté des dunes, quelques maisons de vacances encore inoccupées avec des jardins plus ou moins grands.


Pierre me regarde, nous sommes en phase, je lui fais signe que oui, c’est l’idéal.


Nous sautons par-dessus le petit portillon d’un vaste jardin bien entretenu, une pelouse superbe. Je me dirige vers un rideau d’arbustes pouvant nous cacher, je m’allonge dans l’herbe et je requitte mon short. Prête, offerte. Sauf que mon chéri se fait attendre.



L’expérience étant concluante, une demi-heure après, ma chatte gloutonne a ingurgité toute la boite de tomates cerise, quelques fraises, des morceaux de pêche épluchés et un gros Kiwi épluché.