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n° 13497Fiche technique23286 caractères23286
Temps de lecture estimé : 14 mn
29/09/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Grâce à une grève des transports en commun, ma collègue préférée accepte de passer la nuit chez moi.
Critères:  fh collègues lingerie fellation cunnilingu préservati pénétratio
Auteur : Rugbyboy20eme            Envoi mini-message
Estelle

Estelle est belle.


Estelle est une belle brune, environ 1m65 pour une cinquantaine de kilos. Elle se trouve trop maigre, mais je trouve que les filles filiformes ont leur charme. Je ne les ai jamais vus, mais d’après mes observations, ses seins doivent faire un bon 85C, gros bonnet et petit dos. Ses cheveux coupés courts m’attendrissent au plus haut point. J’ai toujours adoré les femmes aux cheveux courts, comme les actrices Cécile de France ou Nathalie Portman.


Estelle est ma collègue la plus proche, nous nous racontons tout, sans aucune ambiguïté. Elle est heureuse et épanouie dans son couple, tout comme moi.

Bien sûr, il m’arrive de la regarder, d’admirer son physique, son visage enfantin avec ses cheveux courts. Mais pas avec plus d’insistance que je ne le ferais lorsque je croise une belle inconnue dans la rue.


Tout aurait pu en rester là si les forces vices de la nation (les syndicats) ne s’en étaient pas mêlées. Suite à une agression, les syndicats de la RATP et de la SNCF avaient déclenché une grève générale, bus, métro, RER et trains de banlieue étaient bloqués. Seules fonctionnaient encore la ligne 14 du métro et, partiellement, la ligne A du RER. Travaillant à La Défense et habitant non loin de Nation, j’avais une petite chance de pouvoir rentrer chez moi. En revanche, Estelle était complètement bloquée, impossible pour elle de retourner chez elle dans le Val d’Oise. La pauvre ne savait vraiment plus quoi faire.



De retour dans notre bureau après nos coups de fil respectifs.



Après notre journée de travail, nous avons réussi à attraper un RER après seulement vingt minutes d’attente, au lieu de deux ou trois en temps normal. Bien évidement hors de question de s’asseoir, c’est tout juste si nous arrivions à respirer, ambiance boîte à sardines au four. Les vingt-cinq minutes de trajet me parurent une éternité, je n’étais pas fâché d’arriver à Nation. Encore quelques minutes de marche et nous pourrions nous rafraîchir et nous détendre.


Le répondeur clignotait, un message, c’était Claire. Sa grand-mère était souffrante et elle devait se rendre à Versailles en taxi pour passer la nuit avec elle. Le reste de sa famille étant en province, c’est elle qui s’occupait de sa grand-mère.



Pendant qu’elle se douchait, je décidai moi aussi de me mettre à l’aise. Exit le costume, bienvenue au polo et au jean. Dans la salle de bains, l’eau commençait à couler. Je tentais de m’imaginer comment elle était nue, je ne l’avais jamais vue avec autre chose qu’un tailleur. Une petite idée germa dans mon esprit. Je me plaçai derrière la porte de la salle de bains.



Et voilà, presque trop facile. J’ouvrai la porte et passai ma tête dans la pièce. Entre la vapeur et le rideau de douche, je ne voyais pas grand-chose. Mais j’arrivais à distinguer sa silhouette quasi parfaite, ses seins se détachaient du reste, ils avaient l’air de bien tenir, malgré leur taille, comparée au buste.



J’allais sortir, content de ce que j’avais déjà vu, lorsque j’aperçus ses vêtements posés sur le bord du lavabo. Sa veste et sa jupe était posées en premiers, venaient ensuite son chemisier blanc, et sur le dessus du tas, ses sous-vêtements. Une paire de bas noirs auto fixant avec dentelle, un soutien- gorge, noir aussi, très travaillé, sans doute de marque, et le string assorti, très fin, légèrement transparent. Je ne savais pas si elle en portait des comme ça tous les jours, mais c’était vraiment très beau.


En préparant les boissons, j’essayais d’imaginer cette lingerie sur sa silhouette, pas évident, mais un régal assurément. L’eau venait de s’arrêter de couler, je mis les verres sur un plateau et les amenai sur la table basse du salon.


Elle débarqua dans le salon uniquement vêtue de sa serviette. Elle la couvrait de la poitrine au haut des cuisses. Cette fois, j’étais sûr que ses seins tenaient tout seuls. Je devais vraiment faire une tête bizarre car elle éclata de rire.



C’est avec regret que je la regardai quitter la pièce, je ne la reverrais, sans doute, plus jamais habillée d’une simple serviette.

Son retour fut un vrai choc émotionnel, elle avait moulé son buste dans une des brassières de Claire, à cela s’ajoutait un tout petit short qui soulignait parfaitement le galbe de ses fesses. Heureusement que j’étais déjà assis.



Je sentais mon visage rougir à une vitesse fulgurante. Je ne m’étais même pas rendu compte que je la regardais sans aucune discrétion. Complètement hypnotisé par ses tétons pointant sous le tissu tendu de la brassière.


Le téléphone sonna et me sauva la vie. Claire venait d’arriver et me raconta rapidement les déboires de sa grand-mère, puis elle me laissa, passant le bonsoir à Estelle et nous souhaita une bonne soirée.


Après cela, nous avons discuté de tout et de rien en sirotant nos Martinis. Je faisais mon maximum pour bien la regarder dans les yeux et éviter de descendre vers sa poitrine. Ce qui arrivait quand même de temps à autre. Elle faisait semblant de ne rien voir, seule une aveugle n’aurait rien remarqué et encore, discret comme je suis…

Au fur et à mesure de la conversation, nous en sommes venus à parler de choses de plus en plus personnelles. La lingerie arriva au sujet.



Moi, menteur ? Jamais de la vie !



Je pensais qu’elle allait revenir avec ses sous-vêtements dans les mains, mais non, elle s’était changée et les portait face à moi. Plus besoin de les imaginer sur sa silhouette, j’avais l’image en direct. Avec le soutien-gorge, ses seins avaient l’air encore plus gros, je pouvais voir les tétons à travers le tissus et la dentelle, ils n’étaient pas très larges et sans aréole. Ses bas lui gainaient les jambes jusqu’en haut des cuisses. Quant à son string, il remontait assez haut sur ses hanches, moulant sa vulve. Là aussi le tissu était un peu transparent, ce qui me permettait d’admirer une jolie épilation en ticket de métro.


Elle fit un tour sur elle-même.


Ses fesses bien rondes et sa cambrure me sautaient aux yeux. Si tout est bon dans le cochon, on peut aussi l’affirmer pour Estelle.

Je devais avoir arrêté de respirer, les yeux écarquillés et la bouche entrouverte. Si je ne me bavais pas dessus, je n’en étais pas loin.



Qu’est ce que je venais de sortir ? Faut que j’arrête le Martini quand j’ai une invitée. Si elle le répètait, ça irait faire des rumeurs au boulot. Quel con.



Pas du tout choquée, elle me demandait ça le plus naturellement du monde, avec un sourire éclatant.



Elle rit un bon coup et vint s’asseoir à côté de moi. Elle avala d’un coup son Martini.



Elle était à vingt centimètres de moi, en lingerie fine très sexy. Comment résister ?



J’étais terriblement gêné. Impossible de savoir si elle jouait avec mes nerfs ou si le Martini lui montait à la tête. Peut être les deux.



Elle fit vagabonder un doigt sur ma cuisse, puis le remonta pour me caresser le visage.



Elle me caressait maintenant l’intérieur de la cuisse, remontant vers mon sexe.



Je devais bien constater que j’avais une érection du tonnerre et sa main était justement en train de la caresser à travers le jean’s.



Elle passa sa deuxième main derrière ma tête et m’attira à elle pour m’embrasser. Je lui rendis son baiser. Impossible d’y résister.


Elle continuait à me caresser l’entrejambe, je faisais partir mes mains à la découverte de son dos et de ses fesses. Je caressais les petits tissus délicats qui la recouvraient. Sa peau était douce, elle sentait le savon. Je l’embrassai dans le cou et descendis vers sa poitrine, elle fit sauter l’agrafe de son soutien-gorge. Lorsqu’elle le retira, ses seins changèrent à peine de forme, et dire qu’ils étaient vrais, la perfection mammaire. Je les caressai, les soupesai, les embrassai, elle me regardait avec un sourire bienveillant. Je m’en pris à ses tétons, les faisant durcir en les aspirant, les léchant tendrement, tétant parfois comme un bébé. Elle soupirait d’aise, me caressant les cheveux et appuyant mon visage contre sa poitrine.


Elle se mit à genoux face à moi et entreprit de me délester de mon jean’s. Je l’aidai en soulevant mon bassin, elle retira tout d’un coup, boxer compris. Elle prit en main mon sexe et le masturba doucement.



Je voyais son visage, toujours aussi enfantin, encadré de ses cheveux courts, s’approcher de mon sexe. Elle ouvra la bouche et fit entrer le gland à l’intérieur. Sa langue me massait le frein tandis qu’elle aspirait le gland. D’une de ses main, elle caressait les couilles tandis que de l’autre, elle se caressait les seins. J’avais tout loisir de regarder sa croupe et ses fesses, mises en valeur par son string, pendant qu’elle me suçait divinement. Sa caresse buccale était un véritable délice, à croire qu’elle ressentait la moindre de mes émotions. Elle prenait un malin plaisir à me maintenir au bord de l’orgasme. Un coup de langue mal dosé ou une aspiration trop forte et j’inondais sa bouche et son visage.


Elle décida, finalement, d’arrêter de jouer à cache-cache avec mon orgasme. Se relevant, face à moi, elle retira doucement son string, en me regardant droit dans les yeux, comme pour me défier de ne pas regarder son sexe ou sa poitrine. Je dois bien vous avouer que j’ai lamentablement échoué à ce défi, tant je me suis régalé de son irréprochable plastique.


Elle monta sur le canapé, une jambe de chaque côté de mon corps. Mon visage se retrouvait maintenant à quelques centimètres de son sexe. Encore une fois, elle sut se montrer très explicite quant à ses envies, en prenant ma tête entre ses mains pour me coller le nez dans son entrejambe. Son sexe était incroyablement doux, parfaitement lisse avec juste une fine ligne de poils sur le pubis. Ses petites lèvres dépassaient légèrement du reste de la vulve. Petits morceaux de chairs roses, qui n’attendaient qu’un coup de langue de ma part. Empoignant ses fesses à pleine main, je me jetai à corps perdu dans la bataille de son plaisir. La léchant sur toute la longueur de sa vulve, du clitoris à l’entrée du vagin, en suivant le sillon de ses lèvres. Elle gémissait en ondulant le bassin, appuyant parfois sur mon visage pour y frotter son sexe. Sa cyprine inondait son vagin et coulait un peu sur mon menton. Je glissais, par moment, un ou deux doigts afin de la stimuler par l’intérieur. Des introductions saluées par un concert de gémissements. Un de mes doigts s’égara du côté de son anus, le caressant et le chatouillant, mais lorsqu’il tenta une approche plus «profonde» du sujet, il fut fermement rappelé à l’ordre.



Cette remarque sonna le glas de nos préliminaires. Elle se mit à genoux et se retrouva assise sur mes cuisses. Elle masturba un peu mon sexe, qui avait gardé toute sa vigueur et enfila dessus un préservatif. Je ne l’avais pas vue le prendre, sans doute pendant sa fellation, son sac à main étant juste à mes pieds.


Elle releva son bassin et vint s’empaler doucement sur mon sexe, dans un long et régulier gémissement. Une fois mon sexe enfoncé au maximum, elle me donna un long baiser et commença à onduler doucement, d’avant en arrière. Les mains sur les fesses, j’accompagnais son mouvement, je sentais mon sexe qui frottait sur les parois de son vagin. Le plaisir ne venait pas que des sensations de la pénétration, mais aussi du fait de la voir bouger sur mon sexe, de regarder ses seins, si ronds, de pouvoir les lécher en me penchant un peu.


La voir prendre du plaisir, à califourchon sur moi, était aussi une incroyable source d’excitation. Ses mouvements prenaient de la vitesse, la fréquence de ses allers et retours augmentait tandis que son buste restait stable, me permettant de lécher ses tétons à volonté. En plus des mouvements d’avant en arrière, un léger haut en bas fit son apparition. Son bassin faisait maintenant une sorte de rotation sur mon sexe et ses seins se balançaient sous mes yeux, restant toujours aussi fermes. Fluides au départ, ses mouvements se faisaient saccadés à mesure que son plaisir augmentait, ses ongles me griffaient les épaules et elle alternait entre cris et gémissements, la tête penchée vers l’arrière. Je sentais son plaisir couler sur mon sexe et entre mes cuisses, sa peau devenait moite de transpiration, ses cheveux lui collaient sur le haut du front.


Soudainement, elle se serra fort contre moi, s’enfonçant au maximum sur mon sexe, son corps tremblait et une longue plainte s’échappait de sa gorge. Puis elle fut prise de soubresauts et son plaisir coula et inonda mes cuisses. C’était la première fois que je voyais ça en vrai, heureusement, il parait que ça ne tache pas.


Elle resta quelques secondes contre moi, le temps de reprendre son souffle. Son corps était chaud et moite, elle respirait lentement dans le creux de mon épaule. Pour passer à la suite des opérations, elle se souleva de mon bassin, mon sexe quitta le sien avec un léger bruit de succion. Je décidai de prendre les choses en main et l’empoignant par les hanches, je la fis se mettre à quatre pattes sur le canapé, pour une levrette qui promettait d’être torride.


Une main sur le haut de ses fesses, l’autre tenant mon sexe, je faisais lentement entrer ce dernier dans l’intimité d’Estelle. Elle poussa un petit gémissement de plaisir lorsque mon gland arriva au fond de son vagin. Elle était tellement humide et dilatée que je ne sentais que très peu son sexe autour du mien. La tête dans les coussins, Estelle gémissait à chaque coup de reins. Après avoir mené la danse depuis le début, elle s’abandonnait maintenant à mes caresses et mes initiatives. Elle passa une main entre ses jambes pour se caresser le clitoris, et de temps en temps, la base de mon sexe et mes boules.


Prise entre les deux feux de ma pénétration et de sa masturbation, Estelle gémissait de plus en plus fort. Je sentais son plaisir qui montait à mesure des contractions de son vagin, augmentant du même coup mon propre plaisir. À chacun de mes coups de reins, elle venait à ma rencontre en balançant son bassin vers l’arrière. De cette façon, la pénétration était plus profonde et plus forte que si j’étais seul à bouger. J’avais de plus en plus de mal à résister à l’orgasme. J’étais en train de prendre en levrette une des plus belles filles que je connaissais, elle gémissait et prenait du plaisir grâce à moi et j’avais une vue imprenable sur ses fesses et sa croupe, je pouvais même voir son anus qui palpitait au rythme de ses parois vaginales… Elle dut sentir mon sexe se gonfler et se raidir au maximum, signes annonciateurs d’une éjaculation très proche, car elle se masturba très rapidement, presque violemment. Son corps recommença à trembler et à être pris de soubresauts, ses gémissements s’intensifièrent, jusqu’à ce qu’elle crie dans mes coussins. Son deuxième orgasme la submergea, elle s’agrippa aux coussins, toute tremblante, et son plaisir inonda une nouvelle fois mon sexe et mes cuisses.


Elle se retourna et se mit à genoux devant moi. Elle retira le préservatif de mon sexe et le porta à sa bouche. Sa bouche était toujours aussi chaude et douce, ses doigts me caressaient le ventre et les couilles. J’étais de plus en plus crispé, le plaisir n’allait pas tarder à se répandre. Elle se redressa légèrement et me masturba contre sa poitrine. C’en était trop pour moi. Tout mon bas ventre se contracta et un premier jet de sperme s’étala sur ses seins et sa main, d’autres suivirent, je fermai les yeux, savourant égoïstement mon plaisir. Lorsque je les rouvris, Estelle était toujours à genoux, me caressant le sexe avec douceur, elle me regardait avec un sourire éclatant, ses seins étaient couverts de longues traînées de sperme, certaines allant dans son cou, l’une d’elles avait même remonté jusqu’à son menton. Le contraste entre son sourire et son visage enfantin et ses gros seins plein de sperme était saisissant, une image que je garde toujours gravée dans ma mémoire et qui m’inspire, lors de mes séances de plaisirs solitaires.


Après une bonne douche chaude, prise à deux, nous sommes allés manger chinois, comme prévu, comme si de rien n’était. Puis nous avons dormi chacun de notre côté, moi dans le lit, et elle dans le clic-clac, toujours comme si de rien n’était. Nous n’avons jamais reparlé de cette soirée et nos rapports n’ont pas évolué, nous restons de simples collègues qui s’apprécient. Tout juste m’a-t-elle dit un jour, qu’une nouvelle grève des transports ne lui déplairait pas.