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n° 13499Fiche technique9551 caractères9551
Temps de lecture estimé : 7 mn
29/09/09
Résumé:  Vacances et découvertes du plaisir avec un jeune homme
Critères:  hh vacances campagne fellation hsodo init confession
Auteur : Calvin      
Vacances étonnantes

Cette histoire s’est passée il y a quelque temps. J’étais chez des amis à la campagne, une famille bien comme il faut, pour passer quelques jours de détente. Cette famille avait un fils, de dix-huit ans, qui passait ses vacances avec nous.


Plutôt réservé, timide même, il semblait trouver amusant que je sois là, car je devais me trouver à un âge qui se situait à mi-chemin entre eux et lui. Il avait l’air de s’ennuyer un peu, je sentais qu’il aurait aimé trouver quelqu’un avec qui parler et se marrer un peu.


Je lui posais des questions sur ce qu’il faisait, sur ce qu’il aimait et peu à peu se dessinait le portrait d’un jeune homme plutôt sensible, peu sûr de lui, mais intelligent et sympa. Je voulais qu’il se sente plus à l’aise, alors je me suis mis à lui proposer d’aller jouer au tennis, faire des trucs simples et sympas. Lui paraissait content, et c’est ainsi que nous avons commencé à être comme deux copains.


Le quatrième ou cinquième jour, je le lui ai proposé, pendant que ses parents faisaient la sieste, d’aller faire un tour à vélo. Il a paru enthousiaste et nous voilà partis sous le soleil, lui et moi à bicyclette. Nous avons roulé un bon moment à travers champs, entre les champs de blés et au bout d’une heure, le soleil tapant trop fort, je lui ai proposé de faire un petit arrêt pour nous reposer. Nous avons posé nos vélos contre un arbre et nous nous sommes allongés sur l’herbe.


J’ai fermé les yeux, laissant le vent me chatouiller, et le silence s’est installé. J’étais sur le point de m’endormir. J’ai ouvert un peu les yeux et j’ai vu que lui aussi. Sa chemise était un peu remontée, laissant apparaître un ventre plat, sans poils. Je me suis rendu compte que je restais trop longtemps à regarder cette peau. Malgré moi, je la trouvais belle, jeune et attirante. J’ai détourné mon regard et j’ai laissé un peu de temps passer. Il semblait dormir, son ventre montait au rythme de sa respiration, et mes yeux revenaient vers sa peau, son ventre.


Quelle pensée a traversé son sommeil, je l’ignore, mais je me suis rendu compte que quelque chose avait changé. Son pantalon n’était plus plat, quelque chose bougeait. Je suis resté sans bouger et j’ai regardé comme son pantalon prenait du volume, comme se dessinait une bosse en-dessous de sa ceinture. Il semblait toujours endormi.


J’étais fasciné. C’était nouveau pour moi, nouveau de sentir mon ventre chauffer à la vue d’un homme, nouvelle cette envie de suivre son érection grandissante. Ma bouche était sèche, mon cœur battait vite.


Je me suis approché de lui. J’étais tout près, je n’avais que mon bras à tendre pour le toucher. Mon sexe avait enflé, il me gênait, dur comme du bois, et j’ai senti que je perdais le contrôle. Je me suis approché encore un peu et, comme en rêve, j’ai vu ma main s’approcher de lui et se poser sur la bosse qui tendait son pantalon.


Il a sursauté, ouvert les yeux, et m’a regardé. J’ai vu qu’il paniquait, qu’il ne savait pas quoi faire, qu’il était surpris. J’ai vu aussi qu’il allait s’échapper. C’était impossible. J’ai posé mon autre main sur son torse et gentiment je l’ai repoussé vers le sol. Il luttait contre moi, mais pas assez pour me dire clairement que non, juste assez pour que je comprenne qu’il était indécis.


J’ai attrapé son sexe à travers son pantalon, et j’ai commencé à le masser tout doucement. Nous nous regardions et j’ai vu qu’il aimait ça. Ses yeux m’ont abandonné et j’ai vu qu’il regardait mon pantalon, qu’il voyait comme j’en avais envie. Il n’a rien dit et il a cédé à ma pression. Il s’est allongé et a fermé les yeux.


J’étais comme fou, je ne comprenais pas ce qui se passait, je me sentais possédé. J’ai ouvert son pantalon et son sexe a littéralement bondi hors de son caleçon. Sa queue était belle, longue, fine et je me suis mis à la caresser lentement, de haut en bas. Mes doigts se sont serrés un peu plus et je l’ai prise complètement. Il gémissait, les yeux toujours fermés.


J’ai appuyé un peu plus ma caresse, tirant la peau vers le bas, faisant sortir son gland tout brillant, puis le recouvrant à nouveau. Je le branlais lentement, serrant sa belle queue dans ma main. Son sexe n’en finissait pas de durcir. Je voyais les muscles de son ventre se contracter de plaisir et j’étais de plus en plus fasciné par son sexe. J’avais perdu toute mesure. Je me suis approché et j’ai posé mes lèvres sur son gland. Un cri lui a échappé. Fou d’excitation, je l’ai pris entièrement dans ma bouche.


Sa queue était bonne, douce sous mes lèvres et je voulais la garder là pour toujours. Je léchais son gland tout en appuyant avec mes lèvres le long de sa tige, j’allais lentement de bas en haut, hypnotisé, sentant l’odeur des ses bourses, allant de plus en plus profond. Tout à coup, il a gémi et, sans prévenir, s’est déversé en moi.


D’abord surpris, cette jouissance finit de me rendre dingue et je me mis à le sucer encore plus fort. Il criait presque à chaque giclée, ça n’en finissait plus, je buvais son sperme comme si ma vie en dépendait, j’essayais de l’aspirer tout entier. Il se tortillait, jouissait dans ma bouche et enfin, il se détendit.


Un peu gêné, j’abandonnai sa queue, et je le regardai. Il était rouge, décoiffé et surtout, je sentais qu’il ne savait pas quoi dire. Moi non plus. Nous sommes restés là un moment, puis il s’est levé et sans me regarder a pris son vélo.


Je l’ai suivi et nous sommes rentrés à la maison. J’étais très ennuyé. Je ne voulais pas qu’il se sente mal, et gêné aussi d’avoir tant aimé le sucer, le boire. Mon excitation était toujours là, mais j’avais peur de ce qu’il pouvait dire ou faire.


Rien ne se passa. Nous avons dîné en famille et les conversations passaient au-dessus de ma tête. J’évitais de croiser son regard et essayais de paraître détendu. N’y tenant plus, je suis allé me coucher tôt, prétextant un trop plein de soleil.


Dans mon lit, les images de l’après-midi revenaient et mon sexe demandait sa part. Je me suis mis nu et, fermant les yeux, je me suis masturbé très lentement. J’étais sur le point de dormir quand j’entendis à ma porte comme un grattement. J’ai regardé l’heure, il était une heure du mat. Je me suis levé, à l’écoute et j’ai vu l’ombre de deux pieds qui filtrait sous la porte. Après avoir enfilé un pantalon de pyjama, je me suis approché et j’ai ouvert la porte doucement.


Il était là, tout timide, devant ma porte. J’ai ouvert, il n’a rien dit, est entré. À peine avais-je fermé la porte que mon sexe durcissait de nouveau. Il regarda mon entrejambe et je ne fis rien pour dissimuler ce qui ne pouvait l’être. Il s’est assis sur le lit, je me suis mis à côté de lui. Nous sommes restés là, je voyais qu’il bandait, qu’il ne voulait pas parler.


J’ai mis ma main sur sa cuisse et, lui, a répondu en posant la sienne sur mon sexe. Une décharge électrique m’a parcouru, je n’ai pas bougé. Il me rendait ce que je lui avais fait. Il se mit à genoux entre mes jambes et me branla doucement. Je le regardais, j’étais excité comme jamais. Il était si beau, si doux. Ma main s’est posée sur ses cheveux et, comme s’il n’avait attendu que cela, il m’a pris en bouche, timidement au début. Il a pris mon gland entre ses lèvres.


La chaleur de sa bouche et la douceur de sa langue m’ont fait bondir. Il restait là, comme s’il pouvait encore arrêter, à me tenir dans sa bouche sans bouger. Je sentais son excitation, lui, la mienne, nous étions tous les deux brûlants. D’un coup, il s’est lancé et a pris mon sexe en bouche. Il s’est enfoncé sur moi. J’ai gémi de bonheur, mes mains se sont crispées dans ses cheveux, c’était extraordinaire. Il est remonté et a commencé un va-et-vient très lent.


Sa bouche était si douce, si chaude que je n’ai pas pu me retenir longtemps. J’ai voulu l’arrêter, mais il continuait. J’ai senti la jouissance monter fort, je me suis forcé à ne pas crier et j’ai joui de toutes mes forces dans sa bouche. J’aurais voulu que ça dure toujours. Il est resté sur moi, prenant tout, comme un acte d’amour, buvant mon sperme comme il sortait. Je m’étais renversé en arrière sur le lit, chaque giclée me faisait tressaillir de bonheur.


Il s’est détaché de moi et est venu se poser au creux de mon épaule. Nous sommes restés là, sans mots, mais heureux tous les deux.


Cette nuit fut longue. Il resta dans ma chambre jusqu’à cinq heures. Nous avons tout fait. Je l’ai pris, je l’ai fait jouir, il m’a fait jouir dans ses fesses, me serrant, me mordant pour cacher sa douleur. Il m’a dit qu’il aimait ça, je l’ai repris encore, nous avons joui ensemble, moi dans ses fesses, lui dans mes mains.


Je n’aurais jamais cru cela possible, ni cru que je pouvais faire des choses pareilles.

Je suis reparti quelques jours plus tard. Chaque nuit avait été un festival et nous nous sommes revus. Puis un jour il m’a dit qu’il ne voulait plus. Et sans explication il a disparu.