n° 13503 | Fiche technique | 15720 caractères | 15720Temps de lecture estimé : 10 mn | 01/10/09 |
Résumé: Un pari idiot, des conséquences qu'il faut assumer... | ||||
Critères: fffh travail vengeance jouet init | ||||
Auteur : Kris Envoi mini-message |
Afin d’arrondir les fins de mois, mon épouse fait des réunions de vente à domicile mais, n’ayant pas beaucoup d’affinité avec les petites boîtes en plastique avec couvercles hermétiques, elle a choisi le nouveau créneau de la vente de sextoys et lingerie coquine en réunion. Étant d’un naturel jovial et agréable elle se fait un complément de salaire d’environ six cent euros par mois en assurant trois réunions par mois.
Lors de sa dernière réunion, une de ses meilleures clientes, qui a surtout un gros carnet d’adresses, lui a fait une demande particulière, en bonne commerçante mon épouse a promis de faire le maximum. Dès le lendemain elle avait passé commande et organisé la réunion suivante chez cette cliente.
Aujourd’hui, la marchandise a été livrée et quand je rentre du travail, je trouve mon épouse en plein inventaire au milieu de quatre énormes cartons. Curieux, je vais voir cette commande plutôt volumineuse, je découvre avec étonnement, des paquets de couches, des changes-complets, de la layette, du talc, du lait de toilette, des tétines et autres accessoires de nurserie, mais le tout adapté aux adultes. Je lui dis qu’elle est folle, que la quantité est énorme, elle me répond que je pourrais lui faire confiance, quelle sait ce qu’elle fait. Fanfaron comme je suis, je parodie une pub télé et j’avance que si elle en vend la moitié à sa réunion, je veux bien lui servir de modèle pour les réunions suivantes.
Les jours passent et j’oublie ma bêtise
Je suis sagement installé devant la télé, quand elle rentre de sa réunion, sans aucune malice et comme à chaque fois, je lui demande si elle a fait de bonnes ventes. Elle se plante devant moi et m’annonce qu’elle a tout vendu, qu’il y a une autre réunion de prévue dans une semaine avec au minimum le double de filles et qu’elles ont été super contentes d’apprendre qu’il y aurait un modèle masculin à disposition pour les essayages. La mémoire me revient, j’essaie de me défiler mais, me rappelle-t-elle, un pari c’est un pari et elle rajoute que sa copine Sylvie, l’esthéticienne, était là et qu’elle m’a pris un rendez vous pour demain. Je m’étonne, elle me souligne que les bébés ne sont pas poilus comme des ours.
Le lendemain, je suis présent à l’heure du rendez-vous. En tant que mec on se sent un peu ridicule au milieu de cette clientèle exclusivement féminine, quand Sylvie m’entraîne vers les cabines d’épilation je sens bien le regard amusé des clientes.
Dans ce petit réduit une table genre table de massage en plein centre et tout autour des étagères contenants différentes boîtes et deux espèces de réchauds à fondue, dans le coin une chaise et un porte-manteau. Nous nous connaissons depuis longtemps, elle ose donc une certaine familiarité en me demandant de me foutre à poil afin qu’elle évalue les dégâts.
Je ne sais pas ce qui me pousse à autant de naïveté, mais je garde mon caleçon espérant échapper à une partie du supplice. Mais elle a tôt fait de se moquer de moi en me signalant que l’épilation du maillot ne s’adresse pas au caleçon, mais à ce qu’il y a en dessous. Je le quitte, et elle fait de suite l’inventaire des travaux. Elle m’annonce qu’étant donné le coefficient élevé de pilosité de mon corps, elle va devoir demander de l’aide pour ne pas y passer la nuit et sans demander mon avis, elle ouvre la porte et appelle Valérie.
Quand Valérie entre, je cache mon sexe avec mes mains par réflexe, Sylvie éclate de rire et m’apprend qu’elle est la spécialiste de la zone que je viens de cacher. Vaincu, je laisse retomber les bras le long de mon corps et elle d’un œil professionnel évalue le boulot.
Allongé sur le dos j’ai les larmes aux yeux, si je n’étais pas aussi fier je hurlerais. À coup de cire, de bandes collantes et autres instruments de torture, elles sont en train de me faire virer au rouge.
Après m’avoir fait mettre sur le ventre, elles attaquent le dos et les fesses, l’angoisse monte quand je sens une bande prendre place dans le sillon fessier et un doigt insister sur le collage au niveau de mon anus. Je me maudis mille fois de faire des paris idiots.
Quand vient le lait apaisant, je pense au fait qu’il doit être agréable d’en profiter quand on n’a pas toute la surface du corps en incandescence.
Le signal de fin est donné, j’espère juste arriver à enfiler mes vêtements sans hurler.
Mon épouse qui m’attendait, demande à voir le résultat, je lui réponds que ce n’est pas possible parce que je vais passer les prochaines années de mon existence dans un bain d’eau froide. Je me rends d’ailleurs immédiatement dans la salle de bain, mais pour un bain tiède.
Quelques minutes plus tard, elle entre dans la salle de bain, et j’accepte quand même de me mettre debout dans la baignoire et de tourner sur moi-même, elle semble heureuse du résultat, personnellement je me sens plus nu que nu, un côté excitant et bizarre, en même temps je ne peux m’empêcher de penser à la réunion-vente de mon épouse, ainsi épilé, je me sens moins sur de moi et plus prêt à me laisser dominer.
Le temps est passé très vite et le fameux soir est là ; cette semaine j’ai quand même pu découvrir les avantages de l’absence de pilosité lors de nos ébats conjugaux.
Mais nous sommes devant la porte de notre hôtesse du soir et je ne suis pas complètement rassuré, mon épouse a été un peu vague sur la nature de mes prestations et l’organisation.
Quand la porte s’ouvre et qu’elle nous accueille, je me sens déshabillé du regard, quand je passe devant elle les bras chargés de cartons, je sais que ses yeux sont braqués sur mes fesses.
Le salon où doit se passer la séance est déjà prêt à recevoir ces dames, un tapis rouge part de la cuisine et finit en plein milieu des fauteuils, je comprends de suite que c’est sur cette piste que je vais devoir défiler. Dans la cuisine des plateaux de mignardises et autres apéritifs estampillés du meilleur traiteur de la région, dans un recoin de la pièce une table, des chaises et un portant avec des cintres.
C’est là que je vais m’installer et me changer pour le défilé.
J’interroge la maître d’œuvre, en effet je ne sais rien sur le déroulement, ce que je dois porter, quand, etc.
Elle me dit que tout est prévu, que Sylvie et Valérie, mes esthéticiennes de choc, seront là pour me passer les vêtements dans l’ordre établi et m’aider pour les changements. Je m’assieds donc et attends la suite.
Vers vingt heures, elles commencent à arriver, j’entends les bruits des conversations, lors d’un passage de la maîtresse de maison je jette un œil et compte déjà une douzaine de femmes de tout âge.
Vingt heure quinze, mes assistantes sont là et préparent les portants. Un peu avant la demie, elles décident qu’il est l’heure de me préparer et me demandent de me déshabiller. Je dois commencer par un défilé de grenouillères, je me mets donc en slip. Elle me signale que le port de la couche est obligatoire pour que la grenouillère soit mise en valeur et que mon épouse tient à un maximum de réalisme. Du coup Sylvie tend un change complet à Valérie avant de baisser et d’enlever mon slip.
L’hôtesse de la soirée, qui venait chercher un plateau se joint à notre groupe et tout en passant une main sur mon torse et l’autre sous mes testicules, les félicite pour la qualité de l’épilation, leur promettant sa clientèle et celle de son mari.
Enfin vêtu pour mon premier passage, je pousse la porte et pénètre dans l’arène. Applaudissement, je fais un tour d’horizon, environ une quinzaine sur leur trente-et-un. J’avais bien pensé adopter un déhanché de mannequin, mais avec le paquet d’ouate entre les jambes, il n’y a que la démarche cowboy solitaire qui soit possible.
J’avance, arrivé au centre je tourne sur moi-même comme je l’ai vu faire dans les défilés télévisés, mon épouse me rejoint et vante les détails du produit, enfin elle arrive au rabat des fesses qui tient avec des pressions et le fait fonctionner pour prouver l’accès à la couche.
Deuxième passage, même principe, mais rabat à velcro.
Etc. Zip, velcro, pressions, devant, derrière, jusqu’en haut, jusqu’en bas. La collection épuisée, nous passons aux bodies. Sur le même principe, mon épouse vantant les différents systèmes d’ouverture, la plupart à l’entrejambe et quelques-uns sous forme de rabats. Le dernier body a l’air particulier, d’ailleurs quand je pénètre dans la salle, elle annonce le clou de la série vestimentaire.
Rien d’extraordinaire au départ, velcro à l’entrejambe et ouverture classique, mais apparemment un système de velcro pressions dans le dos, aux emmanchures et aux cuisses devrait faire la différence. La démonstration est imminente, la démonstratrice de mon cœur, s’approche et saisissant le body par le col, elle tire en avant me laissant immédiatement avec ma seule couche pour vêtement, une espèce de body pour chippendale. Applaudissement et gros succès pour ce modèle.
Elle leur annonce, maintenant la démonstration des accessoires. Alors que j’allais me rendre dans la cuisine, elle me rattrape par le bras en me signalant à l’oreille que le meilleur est à venir.
D’abord les tétines, différentes couleurs et motifs, bien qu’étant de type physiologique, elles ont une taille impressionnante, dès que je me retrouve équipé, je suis incapable de dire le moindre mot. Elles sont toutes équipables d’une sangle pour éviter que le bébé ne l’enlève.
Nous nous dirigeons vers deux tables à langer pratiquement similaires, la première existe aussi en version avec commode, la seconde à une astuce qu’elle va leur révéler. Elle me demande de m’y installer et une volontaire pour me débarrasser de mon change complet. Lorsque je suis nu et allongé, elle appuie sur un bouton dissimulé sous la table, deux étriers venus du dessous se déplient et viennent soulever mes jambes. Elle démontre les avantages et dans le même temps ferme les sangles assurant l’immobilisation totale du bébé. À cause du mécanisme cette version n’existe pas avec commode en dessous.
Profitant de la position et de la tenue, elle va leur proposer maintenant les différents modèles de thermomètres, pour prise de température anale.
Modèle de base, très ressemblant au médical des pharmacies, mais un peu plus large. Démonstration !
Deuxième modèle, la partie externe est sensiblement identique, mais la partie destinée à être interne est plus longue et se termine par une boule d’environ un centimètre de diamètre.
Une petite dose de lubrifiant et démonstration !
Le troisième a lui aussi la partie externe identique, mais il y a une espèce de petite poignée à la séparation avec la partie interne. La partie interne fait une sorte de S avec un profil ovale. Tous, y compris moi-même sont dubitatifs, heureuse de son effet, mon épouse donne la clef du mystère, le thermomètre fait aussi office de stimulateur, masseur de prostate.
Démonstration, une bonne dose de lubrifiant sur l’engin, une noix de gel lubrifiant sur mon anus, contrôle de lubrification par toucher rectal et mise en place de l’engin. Alors qu’il s’enfonce je sens un fourmillement très agréable, avec les va-et-vient, cette sensation perdure et s’amplifie sans pour autant créer d’érection. Elle assure un effet rapide intéressant et en réalité je sens déjà le sperme arriver et s’écouler lentement de mon sexe pourtant calme. Elle me décalotte pour que ses clientes puissent mieux constater. Démonstration réussie.
Le sperme sur mon pubis imberbe, lui permet d’enchaîner avec les lingettes et cotons de nettoyage.
Les volontaires ne manquent pas, par contre je les soupçonne de toucher plus que de besoin à l’ensemble de mon anatomie.
Les traces du massage ayant disparu, les laits de toilettes sont testés et comparés sur moi, pas très disciplinées je compte jusqu’à dix mains en même temps sur moi. Des doigts s’aventurent partout, alors qu’une main enduite de lait me soulève les testicules, deux autres me masturbent clairement avec la même substance, je sens même plusieurs doigts dans le sillon fessier et un franchement enfoncé dans mon petit trou.
Mon épouse fait bien de passer aux différents langes et couches, plus de temps avec les laits de toilette et c’était le viol collectif.
Enfin, un peu plus disciplinées, elles testent chacune leur tour les différents modèles et formes de couches, prenant conseil auprès de mon épouse en fonction des caractéristique de leurs maris ou amants. J’apprécie qu’en générale, elles soulignent que leurs hommes ne sont pas aussi bien foutus que moi.
Je suis changé au moins deux ou trois fois par cliente, et à chaque fois effleuré, voire franchement touché, l’excuse la plus répandue étant de bien positionner ma verge avant de refermer le change.
L’une d’entre elle craignant un manque d’étanchéité verse un bon verre d’eau dans un change complet, évidemment elle en profite pour me sécher après, n’oubliant aucun repli.
Certaines écartent les élastiques des cuisses et glissent leurs doigts jusqu’aux testicules, afin d’estimer qu’un contrôle est aisé.
Elles se prennent au jeu et l’une d’entre elle émet l’hypothèse qu’un contrôle en situation réelle, serait parfait, elles choisissent le modèle le plus enveloppant, et me laissent le temps d’une tournée de petits fours, avec la mission de la remplir de toutes les manières et matières possibles. Coté intimité, c’est un peu loupé, difficile d’avoir les sphincters détendus avec une douzaine de membres du sexe opposé à quelques mètres de vous. Je pense à autre chose, et remplis ma mission et la couche par la même occasion.
Après quelques toasts, l’une d’elle vient contrôler et constatant que le contenu souhaité est arrivé, sonne le rappel des volontaires. Je ne vois même plus mon anatomie tant il y a de mains, lingettes et cotons pour s’en occuper. La lingette imprégnée est à mon avis la plus appréciable, notamment sur le scrotum et ses différents plis. L’application de crème anti-irritante sur l’anus a ses bons cotés, mais rien à voir avec la prise de température stimulante. Je suis à nouveau propre et elles satisfaites.
La démonstration se termine, je suis détaché des étriers, je rejoins la cuisine et réintègre mes vêtements habituels.
Les bons de commandes sont bien remplis, après avoir emballé le stock de démonstration, nous reprenons la route direction notre home sweet home.
Dans la voiture, elle me fait le bilan de la soirée, satisfaction des clientes, ma présence a été appréciée, chiffre d’affaire inespéré…
Ah oui, nouvelle réunion dans quinze jours, elles amènent toutes des amies !
Dernier détail, Sylvie et Valérie viendront rafraîchir mon épilation trois jours avant !
Au fait, tournez votre langue sept fois dans votre bouche avant de faire un pari… ou pas… c’est vous qui voyez.