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n° 13507Fiche technique8706 caractères8706
Temps de lecture estimé : 6 mn
05/10/09
Résumé:  Un homme se laisse mater...
Critères:  sportif masturbation voyeurisme
Auteur : Centaure le bûcheron            Envoi mini-message
Alex et la douche

Je suis Alex. Je suis un sportif accompli depuis mon plus jeune âge… Mon père, lui-même sportif de bon niveau m’a inculqué, comme à mes autres frères, la passion du sport, du dépassement de soi, le goût de l’effort intensif, bref, la défonce physique. Chacun a choisi une discipline forte qui lui est propre car là, notre paternel ne nous a pas influencés. Il y a deux rugbymen, un nageur et moi le décathlonien. Tous sommes bien classés hormis Raphaël qui lui a lâché pour des études.


Je suis bien reconnu dans la région et cela me vaut, je le reconnais, quelques petites minutes de gloire et pas mal d’avantages… Mais je ne m’étendrai pas sur cela.


Un privilège cependant est bien appréciable : celui de pouvoir bénéficier régulièrement de la plus belle salle de musculation de la ville à titre gracieux si je fais l’honneur à sa direction de venir une fois en semaine m’entraîner parmi les clients. Ce n’est pas toujours agréable ni de tout repos mais en compensation et pour pouvoir m’entraîner sans avoir à papoter avec les gens, je peux disposer des appareils tous les soirs à la fermeture pour une heure… Ce moment est pour moi un univers de régal car je suis tranquille et peux utiliser à volonté toutes les machines et dépendances sans avoir à attendre que la clientèle finisse son job.

Je m’éclate alors pleinement, mes muscles s’en donnent à cœur joie, je soulève poids, plaques en fonte, tire, pousse et je peux transpirer à tordre sans en être gêné. Même je peux me payer le luxe suprême de travailler torse nu !


Et puis il y a bien sûr le fabuleux instant de la douche ! Là je me détends au maximum et c’est la récompense de tant d’efforts.


Quel plaisir d’avoir un vestiaire à moi seul, de me trimbaler nu en toute quiétude, de me délasser ainsi sur le banc et sentir mes muscles se reposer docilement…

Je ne suis pas dérangé !


Bien sûr Évelyne, la propriétaire, vient quelques fois laver les éléments du vestiaire Hommes car à cette heure-là, la femme de ménage n’est pas disponible. Qu’à cela ne tienne, cela ne me gêne en rien, cela ne dure jamais très longtemps et cette jolie femme sait rester discrète. Une fois elle m’a surpris nu juste au moment où j’allais entrer dans les douches communes, elle en a été beaucoup plus embarrassée que moi !


Depuis les quelques mois où j’ai ce privilège, j’ai remarqué les œillades de cette femme, veuve depuis trois ans, sur mon corps durant l’entraînement. Cela me plait car elle-même est très appétissante. Monitrice de musculation et autres disciplines en salle, ses formes sont harmonieusement réparties, fermes malgré une très belle cinquantaine, enveloppées dans un juste au corps qu’elle masque par correction quand la clientèle est partie.

Hier soir, alors que j’étais sous ma douche, je l’ai vue, grâce aux reflets dans les carrelages des vestiaires, pénétrer silencieusement dans la pièce et comme une chatte fautive, entrer dans une douche individuelle face à l’ouverture béante mais calculée des communes… L’eau qui coulait abondamment des pommeaux collectifs m’empêchait d’entendre quoi que ce soit…


Que venait-elle faire ?


La réponse plus qu’évidente m’a fait largement sourire avant de m’exciter particulièrement.

L’idée qu’elle ait eu l’envie et monté le stratagème pour venir me mater me flattait terriblement et me troublait plus encore…


Les spots qui éclairaient mon corps à la verticale reflétaient mon image sur la face brillante des faïences. Je pouvais de mon côté me voir comme elle devait sans conteste le faire en catimini.


Alors, de ce fait, insensiblement je m’approchai de la large entrée des douches où, étant théoriquement seul, je pouvais choisir le pommeau le plus puissant. Là je me suis donné en spectacle. Je la savais seule dans la vie, sans doute assez privée de sexe et ne pouvant décemment pas avoir de liaison avec les jeunes hommes de sa clientèle. Bien que son physique ait pu le lui permettre, on ne lui connaissait aucun amant. De par son métier, elle aimait les corps sculptés et ma discipline sportive a aussi comme spécialité de développer tous les muscles et de là, forger un corps que l’on me dit de très réussi.

Elle voulait voir de l’homme… j’allais lui en donner… et en toute impunité et impudeur !


Je me suis mis à me mouiller copieusement la tête sous l’eau, bras bien levés, torse en arrière, sachant pertinemment que l’eau et la lumière allaient organiser sur moi une vision assez sensuelle. Les muscles soulignés par le ruissellement, le bruit de la chute, les exclamations que j’y rajoutais amplifiaient le tout.


Lascivement je me mis à me caresser les pectoraux, étalant de ma paume l’eau sur eux en faisant rouler les poils qui couvrent mon torse. Comme un homme de cabaret, je me suis subtilement tapoté la poitrine en râlant de plaisir…

Puis mes mains sont peu à peu descendues sur mon sexe que j’ai hardiment malaxé en alternant avec mon poitrail… Ces allers et retours ont eu sur moi l’effet de me faire commencer à bander assez vite, imaginant Évelyne spectatrice assidue…


Une fois mon membre devenu bite, je me suis plus souvent attardé sur ma queue. Ma main allait et venait sur elle, lentement puis plus fortement, puis encore lentement faisant ressortir bien longtemps mon gland trempé d’eau… tandis que l’autre continuait à me palper expertement.


J’aime me branler quand je suis fatigué et j’aime me frapper la queue dans ma main ou plus encore sur un objet dur. Cet amusement me permet de bien sentir la dureté de mon sexe et le bruit mat qui en ressort m’excite beaucoup. Là, ma paume bien tendue encaissait les coups de zob durci que je lui assénais. L’eau recueillie dans ma main apportait un gros clapotis bien plus enivrant encore ! Je n’osais pas porter mon regard en direction d’Évelyne mais je la savais tapie dans son coin à observer mes gestes et apprécier peut-être tout autant cette branle que moi…


Je continuais mon exhibition avec une volupté inégalée à ce jour. J’avais bien sûr déjà été maté à maintes reprises, mais là, la situation de cette femme, cachée, que je désirais sans me l’avouer, me troublait extrêmement.

Je l’imaginais en train de se toucher au travers de ses vêtements, passant un doigt ou deux frêles sur son sexe trempé, se masturbant joliment, se léchant les lèvres ou mieux ses doigts, aller jusqu’à entrer sous ses habits pour avoir directement son beau corps en main… Je l’espérais laisser sa cachette et venir me rejoindre, oser faire l’amour sous l’eau aussi chaude que le sont nos deux corps…

mais au fond de moi je savais hélas qu’elle n’en ferait rien… Les fantasmes les plus tenaces ont ceci de magnifique qu’ils ne vivent que parce qu’ils sont trop souvent irréalisables…


Alors bien évidemment je me donnais à elle comme je pouvais à cet instant. Je continuais de plus belle, j’en rajoutais même. Lui tournant le dos, j’apposai un bras sur le mur de la douche et tout en me branlant énergiquement, je sentais l’eau couler sur mon dos, ruisseler sur tout son long, inonder mes fesses et tomber sur mes couilles. Je râlais de plaisir il est vrai mais j’amplifiais mes respirations pour l’exciter. Je me retournai prestement et balançai en avant mon bassin exposant ma queue prête à exploser, à cracher ma sève… Mes saccades devenaient de plus en plus rapides et mes souffles grossiers… ÇA MONTAIT ! Je tachais de retenir l’idée qu’elle voie ma jute jaillir, ma bite lancer sa lave m’empêchait… De beaux et forts jets de sperme s’abattaient sur le sol en bruits compacts… Je tremblais de cet orgasme que je ne contrôlais plus. Mon plaisir était entier, intense, véritable…

Je m’affalai sur le sol…

Le corps anéanti, la tête lourde… je renaissais paisiblement de l’eau qui me réconfortait…


Je laissai à Évelyne le temps de sortir de sa cachette…


Je me rhabillai et me dirigeai vers la sortie de la salle à l’étage inférieur… Je traversai le hall d’accueil comme si de rien n’était… Les regards d’Évelyne étaient fuyants ce soir… Elle était derrière le comptoir et répondit gentiment à mon bonsoir… J’étais enchanté bien que frustré.