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n° 13512Fiche technique17067 caractères17067
Temps de lecture estimé : 11 mn
06/10/09
Résumé:  Son mari lui a préparé une soirée particulière.
Critères:  fhh hépilé hotel odeurs massage facial fellation cunnilingu anulingus 69 yeuxbandés init -couple+h
Auteur : Yves & Béa      
La mission


Béa rentrait d’une journée de travail comme tant d’autres. Sur la courte route du retour, elle pensait à son mari et ses enfants qu’elle allait retrouver, à ce qu’elle ferait à manger ce week-end… et à d’autres choses futiles… Elle était loin d’imaginer les surprises qu’allait lui réserver ce week-end…


Alors qu’elle atteignait la grille de la cour, elle fut surprise de ne pas trouver la voiture de son mari… Elle commençait à se poser des questions et ouvrit rapidement la porte de la cuisine pour entrer. Là elle trouva sur la table une petite enveloppe posée sur son vanity-case. Elle fut alors rassurée et comprit rapidement que son mari à l’imagination débordante lui avait encore réservé une surprise.


Ce n’était pas la première fois… Yves et Béa étaient mariés depuis plus de dix ans, Béa semblait heureuse de sa vie de couple. Son mari, toujours très amoureux, souffrait, lui, de la monotonie de cette vie réglée. Régulièrement, il imaginait de nouveaux jeux pour pimenter leur vie de couple avec plus ou moins de succès… Souvent, il faut avouer, avec un succès très mitigé, tant les attentes des deux amoureux étaient éloignées…


Béa, curieuse ouvrit l’enveloppe et lut :



Votre mission, si vous l’acceptez :


1. Rendez-vous à l’hôtel Première Classe de Longueau pour 19h30.

2. Prenez la carte de la chambre 107 qui vous attend à la réception.

3. Ouvrez la porte et déposez vos affaires.

4. Sans claquer la porte, allez déposer la carte dans la boîte à gants de votre véhicule pour que nos agents puissent la récupérer.

5. Retournez dans votre chambre, claquez la porte, et lisez la suite des instructions qui se trouvent dans votre vanity.


Ce message ne s’autodétruira pas, mais vous pouvez vous en débarrasser si vous ne voulez pas laisser de preuves…



Béa était à la fois excitée et anxieuse à la lecture de ce message : qu’est-ce que son mari avait encore inventé ? Levant les yeux au plafond, elle n’eut pas le temps d’imaginer davantage car il était déjà 19h00. Elle devait partir tout de suite si elle voulait entrer dans le jeu. Elle hésita encore un court instant, que pouvait-elle faire ? Attendre son mari des heures, chez elle, et le décevoir ou se laisser entraîner dans les délires de son amour ?


Elle finit par attraper le vanity et monter dans sa voiture…


En chemin, elle ne cessait de se poser des questions : « Où étaient ses enfants ? Où était son mari ? Serait-il là à son arrivée à l’hôtel ? Que faire ? »


Elle jeta un œil sur la sacoche rouge qui était posée sur le siège passager. Elle était tentée de l’ouvrir malgré l’étiquette « secret défense – à n’ouvrir qu’en lieu sûr »… Elle prit sur elle, se reconcentrant sur la route. De toute manière, elle était quasiment arrivée…


Elle gara son véhicule sur le parking et se dirigea vers l’accueil. Là, elle n’eut pas de souci pour récupérer la carte de sa chambre. Finalement, elle qui était plutôt réservée se prenait au jeu… « Quel bon agent je fais ! » pensait-elle en montant les escaliers de sa chambre et en souriant toute seule.


Elle ouvrit la porte de sa chambre, déposa ses affaires sur le lit, retourna à la voiture pour y déposer la carte et rejoignit rapidement son repère. Là, elle commença à nouveau à se poser des questions : « Pourquoi mettre la carte dans la voiture ? Allait-elle avoir de la visite ? » Cela semblait couler de source… « Mais de qui ? » Elle était néanmoins rassurée car elle, de sa chambre, elle pouvait voir le parking… « Qu’allait-il se passer ? »


Elle se décida enfin à ouvrir le vanity. Il contenait pas mal d’affaires qu’elle voyait d’ailleurs pour la première fois : un bustier noir très sexy qui avait la particularité de s’ouvrir de devant, un petit string noir avec, bien entendu, le porte-jarretelle et les collants assortis. Continuant à fouiller dans la boîte elle découvrit alors des huiles de massage qui dégageaient un parfum très agréable, un flacon de chocolat et un de sirop de fraise… avec différents pinceaux pour s’initier à la peinture sur corps… Il y avait aussi un bandeau noir qui allait avec le reste de la tenue vestimentaire. Enfin, elle aperçut une deuxième enveloppe comme celle qu’elle avait découverte chez elle… Elle s’empressa de l’ouvrir.



Bravo ! Vous avez réussi avec succès la première étape de votre mission, mais celle-ci ne fait que commencer et risque d’être longue et périlleuse… Profitez du peu de temps qui vous reste pour vous détendre et vous revitaliser le corps.


En sortant, vous enfilerez la tenue que nous vous avons spécialement préparée, sans oublier le masque, car cette mission et délicate et vous devez absolument rester dans l’obscurité du début à la fin…


En cas de problème, il vous suffit de dire « STOP » : la mission s’arrêterait et vous seriez très rapidement rapatriée.


Nous comptons sur votre dévouement pour l’organisation. Soyez prête pour 20 heures.



« Qu’avait-il encore imaginé ? » Béa s’inquiétait un peu… « Qu’allait-il se passer ? Irait-elle jusqu’au bout ou le décevrait-elle encore une fois en refusant de se prêter à ses petits jeux ? » Elle alla prendre une douche qu’elle prit le temps d’apprécier. En sortant, elle s’aperçut qu’il ne restait que dix minutes avant le début de sa « mission »…


Vite, elle enfila sa tenue, prenant même le temps de s’admirer dans la glace… « Bandante » se dit-elle… Elle laissa les huiles et les autres accessoires dans la mallette et jeta un dernier coup d’œil à sa montre avant de plonger dans la l’obscurité grâce à son bandeau. Elle avait pris la peine de retirer ses lunettes… À quoi bon ? Elle ne voyait rien de toute manière… Le bandeau qu’elle avait enfilé la plaçait dans le noir complet, elle ne distinguait même pas les ombres… Elle se laissa aller dans un demi-sommeil, oubliant tout… Finalement, ça avait du bon de quitter le stress du quotidien.


Son repos fut de courte durée, elle entendit la porte s’entrouvrir doucement… Comme elle ne voyait rien, en agent hautement qualifié, elle tendit l’oreille pour récolter un maximum d’informations… Elle entendit un homme entrer dans la pièce. Ouf il n’y en avait qu’un, c’était déjà ça ! Un ou une ? Comment savoir, après tout ? À la démarche, elle pensait qu’il s’agissait d’un homme.


Elle l’entendait qui retirait ses chaussures et ses vêtements… Une boucle de ceinture vient taper lourdement à terre. Plus de doute, c’était un homme. En enlevant ses vêtements, elle reconnut le parfum de son mari : Gucci by Gucci« Quel amateur il fait à côté d’un agent de mon rang ! » pensait-elle en riant intérieurement… « Tu vas en avoir pour ton grade, je vais me prêter au jeu et être ta soumise ce soir… »


Béa sentit des caresses lui effleurer le corps. Elle ne savait pas dire avec quel objet elle recevait ces douces… Un plumeau ou quelque chose du genre… Toujours est-il que c’était bien agréable ; elle fermait les yeux pour en profiter d’avantage bien que cela n’eusse aucun sens puisqu’elle ne voyait rien !


Ces effleurements à distance continuaient sur tout son corps, la plume se baladait dans son cou et derrière ses oreilles, descendait sur ses seins, son ventre, son sexe, ses jambes et sur les pieds. Béa mouillait déjà pas mal. L’inconnu en eut rapidement la confirmation quand il lui enleva sa culotte. Pour qu’il en profite un maximum, Béa avait replié la jambe droite, laissant une belle vision de sa chatte.


Béa s’offrait totalement au jeu, profitant de ces instants sensuels qu’elle avait presque oubliés depuis qu’elle avait épousé son homme. Les enfants, le travail et les occupations diverses… La routine s’était vite emparée de leur vie de couple sans qu’elle s’en soit aperçue. Évidemment, son mari, sentant la monotonie s’installer dans leur couple, avait à plusieurs reprises tenté de tirer la sonnette d’alarme… Mais ses efforts étaient restés au stade de promesses, sans que rien ne puisse y changer. Pourtant, ce soir, elle avait réellement envie de se prêter au jeu et de vivre cette aventure interdite à l’hôtel. Elle prenait sa mission très à cœur.


L’inconnu avait laissé son plumeau pour lui offrir des caresses plus intimes avec les mains et les doigts. Celles-ci se faisaient de plus en plus sensuelles sur tout le corps, en particulier les seins qu’il venait de libérer du bustier en retirant le lacet. Son sexe aussi semblait un terrain de jeu fort agréable. Béa sentait son amant à côté d’elle. À plusieurs reprises, elle tenta d’agripper son sexe pour lui rendre des caresses en retour, mais, très rapidement, elle se fit remettre les mains le long du corps.


Elle obéissait, elle avait juste pu découvrir que l’homme était encore en caleçon. Elle le sentit s’éloigner d’un coup. Heureusement « l’absence » ne fut pas trop longue, car elle aurait dû finir toute seule, sinon ! Elle sentit une huile parfumée se rependre sur son ventre… Comme c’était agréable ! L’huile était tiède, on aurait pu penser à une coulée de sperme. Elle sentit à nouveau les mains de son compagnon glisser sur elle et étaler dans les moindres recoins cette substance si parfumée.


L’obscurité, les odeurs divines, Béa n’en pouvait plus. Elle finit par remonter à nouveau ses mains vers le caleçon du mâle. Elle ne rencontra pas de résistance, cette fois-ci. Elle en profita donc pour lui malaxer le sexe avec grand soin. S’il était indéniable que Béa était dans un état d’excitation important, elle put constater que la bite qu’elle avait dans la main était aussi très en forme. Même à travers le caleçon, il n’y avait pas de doute, elle allait en prendre pour son grade.


Elle entendit l’homme ouvrir deux flacons qu’il lui fit sentir. Elle discerna immédiatement les odeurs de fraises et de chocolat et comprit qu’il s’agissait des flacons de peinture sur corps. L’homme posa les deux flacons sur son ventre. D’une main il lui caressait le bord des lèvres de la chatte ; de l’autre, il appliquait la lotion avec un pinceau sur ses seins qui pointaient avec provocation.


Béa, qui n’en pouvait plus, baissa le caleçon pour libérer le sexe qu’elle était en train de malaxer. Elle sentit l’élastique résister quelques instants tant la bête était tendue mais le caleçon finit rapidement au sol. Elle saisit le sexe à pleine main. « Quelle bite ! » pensait elle… « Yves a rarement été dans une telle forme ! Oh mais qu’est ce que c’est ? » Elle découvrit aux caresses que la bite qu’elle touchait était toute lisse… sans poils ! « Quel con, il sait que je n’aime pas en plus. »


Elle n’eut pas le temps de se poser davantage de questions car elle sentit immédiatement un pinceau sur son sein gauche… Un pinceau à droite, un à gauche… et une main sur la chatte ! Un frisson lui traversa alors tout le corps et Béa se laissa aller à un petit cri de jouissance… Elle tendit sa main gauche et sentit, dans son autre main, une bite qu’elle reconnut tout de suite… Elle venait de comprendre : l’homme qui lui donnait tant de plaisir depuis le début était un parfait inconnu et son mari la contemplait depuis plus de quinze minutes à présent…


Elle avait attrapé la chair de poule devant l’intensité des émotions mais avait marqué une pause d’un instant… Elle se remit à branler les deux bites pour le plus grand plaisir des deux hommes présents. Le temps d’hésitation n’avait pas duré trop longtemps, Béa était un peu vexée de s’être fait prendre au piège. « Qu’allait penser sa direction, quand elle rentrerait à l’agence ? » Mais elle avait reçu tant de plaisir ce soir, qu’elle ne voulait pas s’arrêter là. Elle connaissait son homme qui connaissait les limites à ne pas dépasser…


Les deux hommes étaient affairés à lui manger les seins, elle continuait à leur malaxer les couilles. Elle finit par se redresser un peu, amena la bite de son mari à la bouche et l’engloutit. Yves vint l’embrasser. Il lui restait sur les lèvres du chocolat qui provenait de sa poitrine.



Yves ne se fit pas attendre et badigeonna sa verge de sauce chocolat. Béa reprit la gâterie… Elle n’en perdait pas une goutte. Elle finit par sortir le membre de sa bouche et ajouta :



Yves sortit pour laisser place à son coéquipier qui avait déjà enduit sa bite de sirop de fraise. Béa, que l’on aurait pu croire coincée, s’en donnait sans retenue, comme si elle avait imaginé ce moment toute sa vie, sans jamais oser passer à l’acte : elle suçait avec tant de plaisir cet esquimau à la fraise… Son mari était émerveillé. Au bout de quelques instants, elle ajouta :



Les deux hommes s’étaient approchés de sa tête, elle suçait tour à tour son mari et l’homme à sa droite. Elle finit par coller les deux bites ensemble et les engloutit toutes deux. Elle les suça longuement. C’était divin… Pour elle sûrement, mais aussi pour son mari qui fantasmait depuis longtemps sur ce genre de situation.


Béa avait à présent droit à un massage à quatre mains. L’un des hommes avait attrapé le flacon d’huile et lui avait enduit le ventre brûlant de désir. Les mains se mélangeaient et se baladaient sur tout son corps, elle ne savait même plus quelle main étaient à qui. Ses seins étaient dressés, brillants. Béa se laissait totalement envahir par le plaisir…


Se laissant guider, elle se redressa pour permettre à l’inconnu de s’installer sur le lit… Elle n’avait pas retiré son masque et c’était mieux ainsi. Elle profitait sans complexe de la situation. Elle vint s’installer en position de 69 avec l’étalon. Elle avait encore faim, semblait-il… Elle offrit sa moule luisante à sa langue et reprit la fellation de plus belle. Elle avait les jambes bien écartées, laissant à Yves une belle vue sur sa rondelle.


Yves ne put se retenir longtemps… Lui écartant délicatement les fesses davantage de ses mains, il se mit à lui lécher la petite entrée resserrée. Béa ne cessait de s’agiter, les deux langues lui entraient profondément dans les orifices, quel pied !


Yves n’en pouvait plus, il finit par entrer sa bite dans la foune. Autant dire que la pénétration fut assez aisée. L’inconnu continuait de jouer avec son clitoris pendant que son mari faisait des va-et-vient en elle… Par moment, la langue de l’homme fouillait d’avantage l’intérieur de ses lèvres et entrait en contact avec la bite d’Yves qui trouvait ça, finalement, assez agréable.


Les allers-retours ne durèrent pas très longtemps tant l’excitation était intense… Yves sortit rapidement, laissant Béa se remettre sur le dos. Elle continua de les sucer quelques secondes en se faisant masturber le clito par les deux hommes. Elle finit par jouir dans un râle intense et reçut presque simultanément de toutes parts des jets de sperme chaud sur la bouche et les seins…


Un silence suivit ce moment de jouissance partagée.


Béa s’était allongée, chacun des hommes lui faisait un câlin… Pas un mot ne vint perturber cet instant magique de repos… L’homme finit par se lever, se rhabilla, et partit en disant :



La porte claqua… Béa se tourna vers Yves, souleva son bandeau… Ils se regardèrent… Ils venaient de franchir un pas… Ils éclatèrent de rire et s’embrassèrent amoureusement… Ils partirent alors pour un resto/ciné pour terminer la soirée en amoureux… La nuit fut longue et agitée… Mais ça c’est une autre histoire, peut être que je vous la raconterai un jour…