« Dernièrement je me suis fait draguer par un collègue… En réponse à un de mes mails professionnels, il m’a dit qu’il était content de recevoir un mail de la plus belle fille du service… et cela a été le départ d’une aventure assez chaude… De fil en aiguille, après plusieurs mails et quelques rencontres discrètes autour d’un verre, je lui ai avoué que, bien que mariée et heureuse, je passerais bien un moment agréable avec lui… il était étonné et d’accord.

« J’ai donc tout préparé et j’ai réservé une chambre un après-midi dans un des plus beaux hôtels de la ville. Je ne voulais pas que cela se passe dans un hôtel de rendez-vous ! Le jour dit, j’avais pris congé, je me suis préparée à mon aise : un bon bain, une crème hydratante pour le corps, je me suis rasée tous les poils du sexe à l’anus (j’avais lu dans un magazine que c’était plus hygiénique pour les cunnilingus), j’ai mis une belle parure, soutien et string assortis, dim-up, des escarpins et une belle robe légère. J’avais même prévu les préservatifs. Je suis arrivée avant lui à l’hôtel, comme convenu et je l’ai attendu. J’étais un peu nerveuse même si je t’avais déjà trompé, il y a dix ans avec un représentant à Paris.

« À un moment, on a frappé à la porte. C’était lui. Il est entré, s’est dirigé vers moi et m’a prise dans ses bras. Il m’a embrassée passionnément et ses mains couraient sur tout mon corps. Il a commencé à enlever ma robe et moi, sa chemise. J’étais debout en lingerie sur mes hauts talons. Il continuait à me caresser ; il m’a enlevé mon soutien et a caressé mes seins. Il m’a emmenée vers le lit et, avant qu’on se couche, je lui ai enlevé son pantalon. Sur le lit, il a joué avec le bas de mon string et ses doigts se sont glissés dedans et ont trouvé mon clitoris. J’étais trempée et super excitée. Moi, je lui caressais le sexe sur son slip et, au moment où il m’a mis un doigt dans la fente, je lui ai sorti sa queue du slip et j’ai commencé à le masturber.

« Ensuite, il m’a retiré mon string. J’avais encore mes escarpins et mes dim-up. Il s’est mis à sucer mes tétons et a continué à passer ses doigts de mon clito à ma chatte. Trop top ! De mes seins, sa langue est descendue à mon clito et il a commencé une superbe minette. Sans que je m’y attende, il s’est retourné et s’est retrouvé en 69 au-dessus de moi. Là, j’avais sa queue qui bandait juste au-dessus de moi. Je n’ai pu résister, je l’ai attrapée et je l’ai mise dans ma bouche pour le sucer. Sa langue passait de mon clito à mon sexe et de mon sexe à mon anus (quelle bonne idée de m’être rasée !).

« En me léchant le clito, il m’a fait jouir une première fois. Puis, il a retiré sa queue de ma bouche car il ne voulait pas jouir avant de me prendre. Je lui ai passé une capote. Il l’a mise et s’est glissé entre mes jambes. Je l’ai aidé à trouver le bon endroit et il m’a prise tout doucement. Je sentais sa queue me prendre petit à petit. C’était génial de le sentir en moi. On se regardait dans les yeux à chaque coup de queue et moi, je l’attirais tout au fond de moi. Après quelques minutes de ce traitement, il s’est lâché et a joui en poussant comme un rugissement ! Ça surprend la première fois !

« Ensuite, on est resté collé un bon moment et on a repris nos petits jeux. À mon tour de passer ma langue de sa bouche à ses tétons ; de ses tétons à son ventre et de son ventre à son sexe. Je me suis glissée entre ses jambes et je l’ai branlé et sucé jusqu’à ce qu’il rebande fort. Je lui ai remis une capote. Il m’a doucement retournée sur le lit, je me suis mise à quatre pattes et il m’a prise en levrette… et sa main est repassée devant et ses doigts ont retrouvé mon clito. Nouvelle branlette et nouvel orgasme. Génial.

« Ensuite, on s’est relaxé, j’avais commandé du champagne qu’on a oublié dans le feu de l’action. J’ai servi deux coupes et on a pris le temps de déguster. J’ai enlevé mes escarpins et mes dim-up et je me suis retrouvée nue à côté de lui. Après quelques temps, nous avons recommencé. Je lui caressais le sexe pour qu’il rebande et ensuite, je lui ai remis une capote et je me suis assise sur sa queue et il a recommencé à me baiser ou plutôt, c’est moi qui le baisais en donnant le rythme. Lentement puis de plus en plus vite ! Je l’ai amené à jouir à mon rythme.

« Ensuite, à nouveau champagne. Puis, j’ai pris du champagne en bouche et je me suis couchée sur lui en 69 et j’ai pris sa bite en bouche avec le champagne froid. Ça lui donnait de belles sensations. Sa langue a rapidement retrouvé le chemin de mon sexe et ensuite de mon anus. Soudain, il m’a fait arrêter le 69 et j’ai dû m’accroupir sur le lit. Il est passé derrière moi, a relevé mes fesses et a recommencé à sucer mon anus. Tu sais que c’est une zone tabou pour moi mais là, dans l’excitation, je ne trouvais rien à dire, je le laissais faire, le cul en l’air. Sa langue titillait ma rondelle et je me suis ensuite rendu compte qu’un de ses doigts avait remplacé sa langue et me massait l’anus. Le doigt s’est légèrement introduit, une fraction de seconde et, avant que je réagisse, il avait recommencé à me masser. Je laissais toujours faire. Ensuite, le doigt est revenu mais il n’était plus seul ! J’avais deux doigts qui me pénétraient l’anus ensuite trois ou même quatre ! L’autre main s’occupait à nouveau de mon clito.

« J’ai senti que ses doigts sortaient un instant de mon cul et j’ai entendu qu’il déchirait l’emballage d’une capote. Je me disais : c’est pas possible, je ne vais pas me faire enculer à 45 ans passés ! Et pourtant, il s’est glissé derrière moi et j’ai senti son sexe pousser contre mon anus et tout doucement il m’a sodomisée. J’avais un peu de mal mais il me guidait avec beaucoup de douceur : Quand je rentre, tu pousses comme si tu étais aux toilettes, ça va bien te détendre et quand je la sors, tu te retiens. J’ai suivi ses conseils et la sodomie devenait de plus en plus acceptable. Et lui imprimait le rythme, de plus en plus vite, et moi je suivais (pousser/retenir). Ses doigts continuaient à me branler et à un moment, j’ai commencé à jouir.

« C’est le signal qu’il attendait. À son tour, il a joui au fond de mon cul en attrapant mes fesses à deux mains et en claquant ses jambes contre mon cul tout en me disant : Depuis que je te vois passer avec ton petit cul dans nos bureaux, j’ai toujours eu envie de ça ! Et moi, j’étais toute surprise d’avoir accepté cette première sodomie à 45 ans et d’avoir adoré et pris mon pied ! »