n° 13522 | Fiche technique | 8785 caractères | 8785Temps de lecture estimé : 6 mn | 13/10/09 |
Résumé: J'ai des fantasmes assez particuliers. Celui que je vais vous raconter est de loin le plus excitant... | ||||
Critères: fh religion hdomine fmast fellation cunnilingu pénétratio confession | ||||
Auteur : E.rotika Envoi mini-message |
J’ai des fantasmes assez particuliers et je tente de les assouvir autant que possible. Celui que je vais vous raconter est de loin le plus excitant…
J’ai toujours voulu me masturber dans un confessionnal. Je ne sais pas pourquoi, ça m’a toujours tentée et excitée. Savoir que je suis dans ce lieu sacré, à me toucher, en pensant à la position de l’église à ce propos, ça me fait mouiller.
Je décide d’y aller, après tout on n’a qu’une vie et j’ai pris la décision de la vivre à fond.
Me voilà donc dans l’église de ma paroisse, elle est vide. Je vois le confessionnal, et je me dirige sans penser à autre chose qu’au plaisir que je vais me donner.
Je me fous de savoir si on me verra, m’entendra ou jugera, tout ce que je veux, c’est me donner du plaisir.
Me voilà assise dans cette pièce étroite si particulière. Pas de prêtre de l’autre côté. J’imagine qu’un inconnu vient me rejoindre et que, sans échanger un mot, il baisse son pantalon et me montre sa queue bien tendue. Cela suffit à rajouter à mon excitation et je glisse une main dans mon pantalon. Ma culotte est toute humide, je sens à travers le tissu que j’ai vraiment bien mouillé. Je m’empresse de toucher ma chatte trempée. Mes doigts glissent bien et j’entends même ce bruit si caractéristique qui m’excite au plus haut point. Je ne peux m’empêcher de pousser un gémissement, tellement c’est bon.
Soudain, le rideau devant moi s’ouvre, un homme entre dans le confessionnal et referme aussitôt le rideau derrière lui.
C’est le prêtre de la paroisse qui est là, dressé devant moi.
Malgré tout, ma main reste collée à ma chatte, j’ai trop bon, tant pis, je continue mon va-et-vient. Je me demande pourquoi il ne dit rien, quand je remarque la grosse bosse à son pantalon. Mon curé est avant tout un homme et le spectacle qui s’offre devant lui semble l’exciter au plus haut point. Je continue donc à caresser ma chatte qui mouille comme jamais et lui reste là devant moi à me regarder. Il est si proche de moi, n’oublions pas que la pièce est vraiment petite, que quelques fois, j’en profite pour me frotter à son sexe à travers son pantalon. Je jouis sans peine devant lui, sans retenue, heureuse d’avoir eu tant de plaisir.
Je le regarde droit dans les yeux et je comprends qu’il ne souhaite qu’une chose, que je le libère de son excitation.
Ni une, ni deux, j’ouvre la braguette de son pantalon et saisis sa queue dans ma main. Elle est tendue et bien dure et je la caresse lentement. Mais le bougre est pressé, il saisit ma tête et ramène ma bouche à son sexe, je ne me fais pas prier pour la lécher et la sucer. Je me demande s’il est puceau et ça m’emballe au plus au point de penser que je suis peut-être en train de le dépuceler ! Il a bon, il pousse de petits gémissements, je devine qu’il se retient pour que nous ne soyons pas surpris. Il se met à faire un va-et-vient et me baise littéralement la bouche avec son sexe. Comme c’est bon de sentir sa queue dure, je sens qu’il va venir et il ne tarde pas à déverser son jus béni dans ma bouche. Il se retrouve là devant moi, la queue à l’air et je ne peux pas me résoudre à en rester là.
Je retire alors mon jean’s et ma culotte et l’invite à venir visiter mon entrejambe. Il s’agenouille devant moi et, sans hésiter, plonge son visage dans ma chatte. Il me lèche comme un dieu (facile le jeu de mot), la sensation est extraordinaire, il commence par me lécher complètement, enfonçant sa langue dans mon trou, il vient sucer mon clito, me bouffe carrément la chatte. J’écarte bien les jambes et pose mes pieds sur ses épaules, pour me donner complètement à lui. C’est là qu’il introduit deux doigts en moi, pendant qu’il me suce le clito. Il fait des va-et-vient lents avec ses doigts, mais s’acharne sur mon clito, je n’y tiens plus, me voilà en train de jouir pour la deuxième fois. Je peux sans aucun doute affirmer qu’il n’en est pas à son coup d’essai ! Mon curé a de l’expérience, je doute que je vais lui apprendre des choses. Tout cela est très troublant, je dois bien l’avouer.
Je n’ai pas le temps de penser cela qu’il se relève et je vois qu’il bande à nouveau, il m’invite à me relever, il me retire mon t-shirt, me retourne contre le mur du confessionnal, vient se plaquer derrière moi et introduit sa queue dure dans ma chatte qui n’attendait que ça. Le simple fait de me dire que je suis nue alors que lui est toujours dans son habit de prêtre me fait mouiller à mort. Il n’y va pas par quatre chemins et me baise comme un acharné, ses coups de queue sont fermes et rapides, je le sens excité comme un fou, et je le suis tout autant que lui. Il me tient les seins, les malaxe, les pince, il sait ce qu’il fait. Mon prêtre est une bête de sexe et il me fait jouir là contre le mur du confessionnal.
Il n’a pas joui, il bande toujours fermement, j’adore le regarder vêtu tout de noir avec cette queue qui dépasse, je décide de le déshabiller totalement, mais il ne veut pas, il me fait mettre à genou maintenant, à quatre pattes ensuite et je devine qu’il veut me prendre par l’arrière. Il est dans une position ahurissante, compte tenu de l’étroitesse de la pièce, on dirait qu’il me prend comme si nous étions des animaux. Là aussi il a un rythme effréné et j’ai bon, tellement bon que mes gémissements doivent s’entendre dans toute l’église. Il se retire de moi et déverse son jus sur mon dos.
Je voudrais lui dire un mot et là il pose son doigt sur ma bouche pour me faire garder le silence. Je ne peux m’empêcher de le lécher, malgré tout ce que je viens de faire, je suis encore très excitée, j’ai envie d’aller loin avec lui, je veux aller jusqu’au bout de ce fantasme et de l’excitation que je ressens. Il le comprend très vite et cette fois-ci m’invite à sortir du confessionnal, je suis nue, j’hésite, il me tire par le bras, il sort la queue à l’air, et moi complètement nue !
Je me dis qu’il est fou, mais l’appel du sexe est le plus fort, je traverse l’église et me retrouve à l’arrière dans son bureau. Il me regarde avec des yeux qui en disent long et il bande à nouveau. Il s’assoit sur son fauteuil et m’invite à venir m’installer sur lui. Je me place à califourchon et j’enfonce sa grosse queue sans mal dans ma chatte. Il ne bouge pas, il attend que je fasse tout le travail, je ne me fais pas prier, je me sers de sa queue pour me donner du plaisir, lui s’occupe de mes seins, il les lèche à pleine bouche, il aime ça, je le sens. Je vais et je viens lentement sur sa queue, j’ai envie de faire durer mon plaisir, je le rends fou, il gémit de plus en plus fort, il en veut plus, mais je ne lui donne pas, je compte à m’empaler sur sa bite lentement, c’est tellement bon, je veux faire durer ça un maximum. Mais c’est sans compter sur la fougue de mon prêtre qui m’attrape par la taille, me soulève et me couche sur son bureau, il place mes jambes sur ses épaules, m’écarte totalement et plonge sa queue en moi, il me regarde fixement pendant qu’il me baise, retirant complètement sa queue de moi pour l’enfoncer au plus profond de moi avec presque de la violence. Je deviens folle, tout tombe de son bureau, je ne peux plus gémir, je crie carrément, je sens que tout monte en moi, l’orgasme est proche, pour lui aussi ce n’est plus loin, je l’entends haleter et grogner de plaisir, pendant qu’il se déverse une nouvelle fois en moi, je hurle mon plaisir de me faire sauter de la sorte !
Il reste en moi un instant, le temps de reprendre notre souffle, quand il se retire, il me demande encore de garder le silence, je le vois ranger sa queue, fermer son pantalon, je comprends qu’il est temps pour moi de rentrer chez moi.
Il m’accompagne au confessionnal pour récupérer mes vêtements, nous traversons donc encore une fois l’église, heureusement il n’y a personne.
Je me dirige vers la sortie, il vient avec moi, et alors que je veux ouvrir la porte, il s’en occupe, et je vois qu’il avait fermé à clé ! Quand il ouvre la porte, je vois quelques dames attendant l’ouverture. Elles me regardent sortir un peu surprises et il les accueille sans sourciller, les invitant à s’installer. Je comprends maintenant pourquoi j’ai trouvé plusieurs fois cette porte fermée quand je suis venue, et pourquoi les dames qui sortaient de l’église à ce moment-là avaient l’air si apaisé…