Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13544Fiche technique53204 caractères53204
Temps de lecture estimé : 30 mn
28/10/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Sa femme se transforme pour un soir en professionnelle du sexe.
Critères:  fh prost voir strip vidéox ffontaine massage fellation fsodo jeu champagne aliments attache yeuxbandés fouetfesse
Auteur : Fantasio      
La professionnelle

I.



Tout avait commencé la veille. Éric était affalé dans un fauteuil, les pieds sur la table basse du salon, feuilletant un magazine tandis que la télé ronronnait en fond sonore. Mireille, son épouse, était montée coucher les gosses.

Elle redescendit une demi-heure plus tard, traversant le salon d’une démarche sensuelle dans l’espoir d’attirer l’attention de son mari. Malgré ses efforts et sa tenue sexy – chemisier largement ouvert sur sa superbe poitrine, micro jupe au ras des fesses couronnant de jolies jambes terminées par des socquettes blanches – Éric l’ignorait superbement, tant il était absorbé par la lecture d’un reportage sur un défilé de sous-vêtements à Milan.

Elle alla donc s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil et, lançant ses jambes en travers de celles de son mari, l’enlaça et l’embrassa goulûment sans lui laisser le temps de réagir.



Tout en caressant ses jambes nues, il lui demanda ce qui lui valait ce traitement de faveur. Mariés depuis dix ans et parents de deux jeunes enfants, leur vie amoureuse avait cédé le pas à la routine, laissant peu de place à l’imagination ou la fantaisie.



Éric, dont la main avait rapidement disparu sous la jupe, ne paraissait pas convaincu. D’autant qu’en se glissant sous l’étroite pièce de vêtement, ses doigts avaient découvert la chatte nue et frémissante de son épouse. Sans être particulièrement pudique, elle n’avait pas vraiment pour habitude de se promener les fesses à l’air. Sans hésiter, Éric poursuivit donc son exploration, enfonçant deux doigts aventureux dans la caverne chaude et humide qui s’ouvrait devant eux.



Les doigts d’Éric s’étaient mis au travail, l’index et le majeur fouillant avec application les profondeurs de son con, le pouce frottant vigoureusement le clito dressé. De l’autre main, il lui pétrissait les seins avec l’application d’un maître boulanger.



Vexée, Mireille voulut se lever mais Éric la tenait encore fermement par le con et la poitrine.



Sans lui laisser le temps de réagir, il fit basculer son épouse sur ses genoux, coinçant ses jambes entre les siennes, de telle sorte qu’elle se retrouva le cul à l’air, dans une position laissant peu de doute sur ses intentions.

Clac ! Clac ! Clac ! Mireille essayait désespérément de se libérer, mais Éric la maintenait fermement entre ses cuisses, tandis que sa main retombait lourdement sur les fesses charnues, colorant celles-ci d’une délicieuse teinte rougeoyante.



Bien qu’il ait relâché sa prise, Mireille resta de longues secondes dans la même position, frottant en silence ses fesses brûlantes !



Partagée entre la colère et ce plaisir délicieux qui s’écoulait de son entrejambes, Mireille reprit son souffle.



Sans même prendre la peine de baisser sa jupe sur le coucher de soleil qui illuminait son derrière, elle quitta aussitôt la pièce pour rejoindre leur chambre.




II.




En se garant devant leur maison le lendemain soir, Éric ne savait pas trop à quoi s’attendre.

Lorsqu’il était monté se coucher la veille, Mireille dormait déjà. Quelques tendres caresses sur ses fesses encore tièdes n’ayant pas réussi à la réveiller, il s’était endormi contre elle, la bite glissée entre ses fesses, au garde-à-vous devant les portes du paradis, prête à monter au combat au moindre signe de sa belle. Mais rien ne s’était passé et Éric s’était donc levé seul le lendemain matin, abandonnant Mireille aux bras accueillants de Morphée. C’est donc avec une appréhension vite dissipée qu’il sonna à sa porte.



Éric eut du mal à répondre, tant il était subjugué par l’image si différente de son épouse. Elle avait remonté ses longs cheveux bruns en chignon. Des boucles torsadées tombaient de chaque côté du visage, maquillé plus qu’à son habitude. Ses lèvres, surtout, étaient d’un rouge intense, contrastant avec le teint mat de sa peau. Ses yeux ressemblaient à deux grands papillons verts, dont les ailes battaient au rythme de ses longs cils noirs. Sous un déshabillé de soie transparent s’arrêtant juste au-dessus des fesses, elle portait une guêpière de velours rouge garnie de volants noirs, et un tanga de dentelle rouge moulant impudiquement sa chatte. Ses seins voluptueux débordaient des demi-balconnets, révélant la rondelle sombre des aréoles et le début du téton. Ses longues jambes galbées étaient emprisonnées dans un filet de résille noire. Des bottines noires à lacets et talons aiguilles complétaient sa tenue.



Envoûté par ces fesses à moitié dénudées qu’il avait pourtant contemplées des milliers de fois, il la suivit dans le bordel qu’elle avait préparé pour lui. Leur salon baignait dans une lumière mauve. Le divan et les fauteuils étaient recouverts de tissus chamarrés. Une boule disco pendait du plafond, renvoyant des éclats de lumière multicolores sur les murs et le mobilier. Un air musique « soul » résonnait en sourdine.



« Elle ne perd pas le nord », pensa-t-il.



Il posa sa mallette, ôta sa veste, dénoua sa cravate et s’installa confortablement dans un des fauteuils. De sa poche, il sortit son iPhone et se mit à mitrailler cette pute délicieuse, dont il allait louer les services pour le reste de la soirée.

Lorsque Mireille/Eva revint, elle avait ôté son déshabillé. Elle traversa le salon en balançant ses hanches au rythme de la musique. Arrivée devant Éric, elle se tourna et se pencha ostensiblement vers la table basse pour y déposer son plateau. Ses adorables fesses étaient à quelques centimètres à peine du visage rougissant de son mari, surmontées de leur volant de dentelle et séparées par une étroite bande qui s’élargissait pour venir enserrer les lèvres rebondies et juteuses de son con. Tandis qu’elle versait le champagne, il caressa tendrement les deux globes à la rondeur parfaite, n’hésitant pas à les saisir avec fermeté comme pour en tester la fermeté.



L’excitation qu’elle avait ressentie tout l’après-midi, en préparant leur soirée, était montée d’un cran lorsqu’elle avait ouvert la porte à son mari. Maintenant que le jeu avait commencé, une chaleur intense rayonnait de son entrejambes et la possédait toute entière. Le cul effrontément dressé sous le nez d’Éric, elle avait bien du mal à garder la pose et à remplir les coupes, tant elle était sensible aux caresses sensuelles qu’il lui prodiguait.

Lorsque les doigts de son client glissèrent sous la fine enveloppe de dentelle pour caresser ses lèvres ruisselantes, elle poussa un petit cri de surprise.



Tout en disant cela, elle se retourna, lui tendit sa coupe et alla s’asseoir lascivement en travers des genoux de son impatient client, en lui passant un bras autour du cou. Sensuellement enlacés, ils portèrent un toast à la soirée qui s’annonçait pour le moins intéressante.

Éric voulut l’embrasser, mais elle détourna les lèvres.



Tout en parlant, elle posa sa main sur l’entrejambes d’Éric, pour saisir d’une poigne ferme l’impressionnant gourdin déformant son pantalon de flanelle grise.





III.




Le visage de Mireille se colora instantanément, ce qui n’échappa pas à l’attention d’Éric qui la regardait avec un petit sourire égrillard. Jusqu’ici, elle n’avait eu qu’à se pavaner en sous-vêtements, en se laissant tripoter les fesses. Mais à présent, il fallait vraiment jouer son rôle de pute de luxe. Elle hésita un peu avant de lui répondre.



Pour se donner du courage, elle vida son verre d’un trait, puis se leva et se dirigea vers la chaîne hi-fi pour y glisser un CD de Joe Cocker. Quelques secondes plus tard, les premières notes de « You can leave your hat on » retentirent dans la pièce.

Perchée sur ses talons de quinze centimètres, ses longues et jolies jambes emprisonnées dans leur filet de maille noire, elle se mit à onduler au rythme syncopé de la musique, tournant plusieurs fois sur elle-même, pour ne rien dissimuler de ce corps enivrant qu’elle s’apprêtait à effeuiller sous les yeux ravis de son client.


Son premier geste fut de défaire son chignon, laissant retomber ses boucles brunes sur ses épaules. Puis elle s’approcha du fauteuil, enfourcha une jambe de son client et, accrochée au dossier, fit onduler son corps, alternant les frottements de sa chatte sur la cuisse et le frôlement de ses seins à quelques centimètres du visage extatique de son mari. Elle répéta ce mouvement de va-et-vient durant de longues secondes, jusqu’à ce que l’intensité des éclairs électriques traversant son clito lui fasse comprendre qu’il valait mieux changer de position.

Dans un mouvement naturel, elle pivota sur elle-même pour tourner le dos à son mari et chevaucher ses deux cuisses. Ce n’était plus son con, mais la queue d’Éric qui s’échauffait à présent, au rythme des fesses à demi nues venant glisser contre son membre dressé. Elle lui demanda de délacer sa guêpière, ce qu’il s’empressa de faire avec une impatience maladroite. Lorsqu’il eut terminé, elle se releva rapidement sans lui laisser le temps de glisser ses mains sous le vêtement délacé. La guêpière maintenue contre sa poitrine, elle se tourna vers lui en poursuivant ses déhanchements suggestifs. Puis, elle laissa le vêtement glisser sur le sol pour dévoiler enfin sa superbe poitrine aux tétons fièrement dressés, témoignage indéniable de l’excitation intense qui traversait son corps.

Un pied posé sur la table basse, elle voulut détacher ses bas mais il lui demanda de les garder. Il ne restait donc que son tanga de dentelle rouge à ôter. Elle glissa deux doigts sous l’élastique, de chaque côté des hanches, et se mit à descendre la petite culotte très lentement, balançant les fesses au rythme de la musique. Lorsqu’elle arriva juste au-dessus de son mont de vénus, elle se retourna, se pencha en avant et tendit ses fesses en offrande à son client, qui ne se fit pas prier et entreprit de faire glisser le slip avec la même lenteur sensuelle.

Descendu à hauteur des genoux, il s’en désintéressa pour plonger son visage au cœur des rondeurs volcaniques dont les effluves passionnées envahissaient ses narines. Elle secoua comiquement son adorable derrière, frottant le nez et la bouche de son client sur ses trésors les plus chers, avant de s’éloigner en poursuivant ses pas de danse.

Elle termina son exhibition par une dernière séance de « lap dance », au cours de laquelle elle frotta une nouvelle fois son sexe nu et détrempé sur la cuisse d’Éric. Elle en profita pour lui ôter sa cravate, qu’elle noua sur ses yeux au moment où la chanson se terminait.



Elle pinça, lécha, mordilla ses tétons tandis que ses mains, descendues d’un étage, défaisaient sa ceinture pour libérer une superbe bite fièrement dressée.

Pendant que des mains expertes s’affairaient à lui faire reluire la courgette, Éric explorait à l’aveugle le corps dénudé penché devant lui. Pétrissant les seins, suçant les mamelons, caressant les cuisses, se perdant dans les contours détrempés de la chatte, saisissant les fesses à pleine main. Mireille comprit qu’à ce rythme, ni l’un ni l’autre ne tiendraient très longtemps. Elle se leva donc, tandis que les mains d’Éric se tendaient dans le vide, alla mettre un autre CD dans le lecteur et leur versa une nouvelle coupe de champagne.

En souriant, elle regarda son mari, sa cravate nouée sur les yeux, affalé dans le fauteuil avec la queue en majesté, essayant de reprendre son souffle. Prenant une gorgée de champagne, elle s’approcha de lui et, dans un baiser humide, fit passer le liquide pétillant dans la bouche de son client d’un soir.



Il n’eut pas la force de répondre, hochant simplement la tête en signe d’approbation. Alors, elle s’accroupit entre ses jambes pour lui pomper le dard avec une application toute professionnelle, léchant le bout et le rebord du gland, enfournant la longue hampe jusqu’au fond de la gorge, mordillant les testicules, remontant le long du mat dressé. Tout en lui dévorant consciencieusement la pine, elle poussait des petits soupirs de plaisir, comme si elle dégustait la plus délicieuse des friandises.



Ayant ôté la cravate, Éric avait du mal à reconnaître sa pudique épouse sous les traits d’Eva la professionnelle, accroupie entre ses jambes, les fesses à l’air et dont la bouche experte l’entraînait sans rémission vers une imminente explosion orgasmique.

Lorsqu’elle sentit qu’il allait lâcher la sauce, elle s’écarta et, saisissant la queue d’une main ferme, s’appliqua à terminer son ouvrage à la main. Quelques secondes plus tard, un long jet de sperme s’écrasait sur son visage, un deuxième dans sa bouche grande ouverte, le troisième sur sa joue, les derniers terminant de la maculer de coulées blanches translucides. Elle le regarda fixement tandis que sa langue gourmande léchait les contours de sa bouche et que ses doigts récoltaient la précieuse semence, pour la déguster avec passion.




IV.




Après avoir joui sur le visage de son épouse, Éric était prêt à arrêter le jeu. Elle avait mérité son petit ensemble, et même plus. Mais à l’entendre poursuivre le plus naturellement du monde son rôle de professionnelle du sexe, il n’eut soudain plus du tout envie que tout cela s’arrête. Il se leva du fauteuil, rangea son membre ramolli, reboutonna lentement son pantalon et porta un toast.



Aux premières notes du « Sexual Healing » de Marvin Gaye, les mains d’Éric vinrent se poser sur les fesses de son hôtesse dans un claquement sonore.



Fermement emprisonné dans sa poigne virile, il attira le joli cul d’Eva vers lui, écrasant brutalement le sexe détrempé contre sa cuisse. Loin de s’en offusquer, la jeune femme le serra à son tour dans ses bras, écrasant ses tétons dressés contre la poitrine de son client prodigue.

Ils dansèrent ainsi enlacés durant de longues minutes. Elle avait posé sa tête sur son épaule, tandis qu’il lui déroulait un chapelet de baisers dans le cou, sur ses épaules dénudées, sur sa nuque noyée sous la cascade de boucles brunes. Les mains d’Éric pétrissaient les fesses rebondies, tandis que la chatte dégoulinante glissait sensuellement contre sa cuisse. Il l’entraînait au bord de l’extase, sentant ses jambes plier sous elle, reposant de plus en plus lourdement sur cette troisième jambe qui martyrisait son con avec délice.

Vers la moitié de la chanson, il lui fit faire un tour et demi sur elle-même et se retrouva collé contre son cul dénudé, les mains posées sur ses seins gonflés de passion. C’était son tour à présent de presser son sexe contre sa partenaire. Eva s’appliquait à le satisfaire en agitant sa croupe dans un mouvement circulaire, qui réveilla peu à peu le membre à moitié endormi.


Elle avait noué ses mains autour du cou de son client et se tenait, les reins cambrés, les seins pointés vers l’avant, le cul pressé contre le membre de son homme. Elle tourna la tête et lui dévora la bouche avec la même passion brûlante qui dévorait son corps. Éric descendit ses mains pour les placer de part et d’autre de l’abricot juteux, les pouces réunis sur le mont de vénus et sur le clito dressé, les index et les majeurs écartant largement les lèvres du volcan en éruption. Ses quatre doigts s’enfoncèrent sans peine dans la caverne inondée, excitant dans des mouvements de va-et-vient les muscles formant l’entrée du vagin. Sous l’intensité du plaisir, Mireille ne put se retenir plus longtemps. Accrochée au cou d’Éric, soutenue par la seule force des doigts enfoncés au cœur de son sexe, elle releva les jambes comme le ferait une petite fille que l’on soutient pour uriner, et laissa jaillir de longs jets de jus de chatte sur le sol du salon.




V.



Lorsqu’Éric la posa sur le sofa à la fin de leur danse passionnée, Mireille resta allongée durant de longues secondes, reprenant péniblement sa respiration. Il lui apporta une nouvelle coupe de champagne et s’assit à ses côtés.



Les paroles de son mari eurent un effet immédiat sur la jeune femme. Le jeu n’était pas fini et elle avait encore quelques centaines d’euros à grappiller, si elle voulait pouvoir s’acheter cet ensemble qui lui plaisait tant.



Il éclata de rire.



Mireille avait prévu le coup, elle savait que leurs petits jeux leur ouvriraient l’appétit.



Elle se pencha pour faire démarrer le lecteur de DVD, offrant une nouvelle fois, sous le nez de son mari, le paysage enivrant de son joli cul dénudé, puis elle quitta la pièce pour disparaître dans la cuisine.

Lorsque le film démarra, Éric reconnut immédiatement leur chambre, et leur lit trônant au centre de l’image. Puis Mireille apparut à l’écran et alla s’étirer lascivement au milieu du lit. Elle portait pour seul vêtement la nuisette transparente avec laquelle elle lui avait ouvert la porte.



Sans quitter la caméra des yeux, elle porta ses mains sur ses seins et sur sa chatte largement ouverte et déjà très humide. Elle se caressa sensuellement, jouant avec son clitoris, suçant avidement ses tétons. Ses doigts qui s’enfonçaient au plus profond de son vagin ressortaient humides et brillants, tout trempés d’une succulente liqueur qu’elle portait à sa bouche avec gourmandise.



Éric bandait comme un taureau à la vue de sa femme se masturbant impudiquement sous l’œil de la caméra, et qui lui parlait avec des mots qu’il ne lui avait jamais entendu prononcer jusqu’ici. Il avait extrait sa queue et se branlait vigoureusement en regardant son cul largement ouvert face à la caméra, tandis qu’elle s’était agenouillée, le visage enfoncé dans les draps. Les doigts de la jeune femme glissaient tout au long de la chatte brillante, pour remonter jusqu’à la petite rondelle où l’un d’eux finit par disparaître. Un doigt dans le cul, les autres profondément enfoncés dans sa caverne rose, il entendait ses râles de plaisir à moitié étouffés par les draps. Sa main accéléra son rythme, ses gémissements se firent plus sonores et quinze secondes plus tard, une douche fumante jaillissait en direction de la caméra.

Éric, qui avait accompagné le mouvement de sa belle, eut bien du mal à ne pas jouir en même temps qu’elle. La voix de son hôtesse, le prévenant que le dîner était prêt, le fit revenir à la réalité. Il arrêta l’enregistrement au moment où la jeune femme se retournait vers la caméra pour lui envoyer un baiser mouillé au jus de chatte.


Il reconnut à peine sa salle à manger, plongée dans la pénombre et éclairée de la lumière tremblante de dizaines de bougies. Eva était allongée sur la table, un bandeau sur les yeux. Sur sa bouche et ses tétons, elle avait dressé des petits cônes de caviar posés sur une base de fromage frais. Un alignement de scampi sur un lit de sauce cocktail descendait entre ses seins jusqu’au nombril. De fines tranches de saumon étaient disposées sur le bas-ventre et le haut de ses cuisses, formant une sorte de couronne autour de sa moule juteuse. Entre ses jambes largement écartées, elle avait disposé une demi-douzaine d’huîtres. Éric sourit en tournant de longues secondes autour de la table, admirant et photographiant longuement le délicieux tableau, littéralement envoûté par le spectacle qu’elle lui offrait.



Il commença par le caviar posé sur les lèvres, moins pour le goût que par désir de dévorer sa bouche et lui témoigner son amour. Après avoir échangé une longue gorgée de champagne, il passa au sommet des seins qu’il dévora avec un appétit féroce, mordillant les tétons endurcis. Ils partagèrent ensuite les scampi, qu’il emmenait entre ses dents jusqu’à la bouche grande ouverte de la jeune femme. Il en prit deux qu’il introduisit dans la chatte de Mireille, pour les en ressortir couverts d’un jus épais et salé. Il en glissa un dans la bouche de sa femme et avala l’autre avec délectation. Muni d’une petite cuiller, il récolta quelques gouttes de jus tout au fond de la grotte inondée pour en napper les tranches de saumon, qu’ils partagèrent avec gourmandise.


Il ne restait plus que les huîtres. Pour les déguster, il s’assit face à la chatte frémissante, relevant les jambes de la jeune femme et lui demandant de les garder contre son torse en les retenant sous les genoux. Dans cette position, son con largement ouvert ressemblait à un coquillage ruisselant et juteux, aussi appétissant que les huîtres disposées devant lui. Il coupa le pied de la première et, la prenant dans une cuiller, la posa sur le sexe tremblant. Mireille fut prise d’un frisson électrique au contact de l’animal sur ses chairs brûlantes. Elle poussa un cri de surprise et faillit relâcher ses jambes, lorsqu’il fit couler quelques gouttes de citron acide sur l’huître et son délicieux calice. Sous la morsure du citron, les lèvres de la jeune femme et celles de l’huître se rétractèrent en même temps. Éric fit glisser la cuiller dans le vagin pour en ressortir le délicieux coquillage baignant dans le jus de con. Il répéta cette préparation une demi-douzaine de fois, partageant sa pêche miraculeuse avec la belle Eva, déclenchant à chaque fois les mêmes frissons, les mêmes cris de plaisir, et récoltant à chaque visite une liqueur de plus en plus abondante.


Lorsqu’il eut terminé, il prit une gorgée de champagne qu’il régurgita dans la chatte béante, afin de déguster l’enivrant breuvage dans le plus merveilleux des calices. Les picotements électriques des bulles de champagne à l’intérieur de son vagin eurent raison de la résistance de Mireille, dont le corps fut une nouvelle fois secoué par un orgasme bouillonnant. Éric colla sa bouche à la fontaine, avalant le liquide salé qui s’écoulait dans sa gorge, mordillant les lèvres et le clitoris gorgé de sang. Cela dura de longues secondes, comme si ça ne devait plus s’arrêter. La jeune femme était prise de tremblements frénétiques et son con giclait comme un tuyau percé.



Éric ne l’avait jamais entendue parler ainsi et ce ne pouvait être Eva qui parlait, ou alors Mireille était la meilleure actrice du monde. Il sentit sa queue trembler dans son pantalon, signe d’une explosion imminente. Il se leva et alla rapidement poser son sexe tendu contre la bouche de Mireille, qui l’engloutit avec gourmandise. Elle le suça amoureusement durant quelques secondes, avant qu’il ne lâche sa semence en longues giclées chaudes au fond de la gorge de sa femme.




VI.



Mireille resta allongée sur la table, le souffle irrégulier, le bandeau toujours posé sur les yeux, les cuisses trempées du jus de son plaisir. Son corps était traversé de frissons, ultimes soubresauts de l’orgasme intense qui venait de la consumer. Éric continuait à la caresser tendrement, posant des baisers délicats sur sa peau couverte de sueur et des reliefs de leur repas.

Elle retira son bandeau.



Il aurait aimé la baiser ici-même, sur la table et sans fioritures. Il l’aurait retournée et après l’avoir sommairement préparée, l’aurait empalée sans ménagement sur sa lance dressée. Mais plutôt qu’une lance, c’était une limace flasque et dégoulinante qui pendait entre les jambes.



La jeune femme lui lança un regard soupçonneux, mais elle mourait d’envie qu’il la prenne enfin, qu’il baise la pute en chaleur qui l’habitait depuis le début de leur soirée.



Elle quitta la pièce en balançant les fesses et en lui lançant une œillade égrillarde qui eut un effet immédiat sur la bite endormie d’Éric…


Il remit le lecteur en marche alors que l’image de leur chambre disparaissait, remplacée par celle d’une boutique, dans laquelle il reconnut le drugstore où son épouse travaillait tous les matins. Il n’eut plus aucun doute lorsqu’un superbe cul féminin apparut face à l’écran, dans sa majestueuse nudité. C’était bien celui de Mireille qui, chastement vêtue au-dessus de la ceinture, s’occupait d’un couple de clients ignorants de l’exhibition à laquelle elle était en train de se livrer. Elle avait posé la caméra sur une étagère derrière elle, offrant une vue en contre-plongée sur ses jambes gainées de Dim-up noirs et les rondeurs enivrantes de ses fesses. Tout en s’occupant de ses clients, elle jouait avec la caméra, se penchant par-dessus le comptoir, les jambes largement écartées, dévoilant son cul magnifique et les lèvres humides et frémissantes de sa chatte. De temps en temps, sa main descendait le long de son ventre et ses doigts mouillés apparaissaient entre ses cuisses, remontant le long de la raie des fesses. Elle tournait régulièrement la tête vers la caméra pour lui lancer des baisers passionnés.


Au bout de cinq minutes de ce petit jeu, elle se pencha sous le comptoir et disparut de l’image. Lorsqu’elle se redressa, elle tenait à la main un plug anal en plastique noir, terminé par une longue queue de cheval. Tout en discutant avec un client, elle fit glisser le jouet le long de la vallée sombre séparant ses fesses. Après l’avoir abondamment lubrifié dans la chaleur moite de sa chatte, elle l’approcha du petit trou étroit où elle le fit disparaître avec une lenteur infinie. Ses jambes tremblantes révélaient le mélange d’inconfort et de plaisir qui la saisissait tandis que le cône de plastique s’enfonçait au fond de ses entrailles. Lorsqu’il fut enfin en place, une longue mèche de cheveux noirs pendait de son anus, en balançant élégamment le long de ses jolies jambes gainées de noir.


Alors que la boutique était déserte, elle se retourna face à la caméra pour lui lancer un sourire coquin. Écartant les jambes, elle posa ses mains de part et d’autre de son sexe, étirant les lèvres baveuses et dévoilant le large vestibule rose et brillant menant au temple du plaisir. Alors qu’elle ramenait ses doigts juteux à sa bouche, Éric distingua à l’arrière plan un jeune homme s’approchant du comptoir qui s’arrêta soudain, les yeux grands ouverts, devant le spectacle d’une queue de cheval noire se balançant sensuellement sur le cul rose et nu d’une impudique jument. Percevant une présence derrière elle, Mireille se retourna brusquement et se retrouva face au client qui attendait patiemment, le plus naturellement du monde.



Même dos à la caméra, son trouble était évident. Elle se balançait d’une jambe sur l’autre, portant la main sur le jouet qui lui défonçait le cul. Son visage devait avoir pris une couleur rouge intense, comme chaque fois qu’elle se retrouvait dans une situation gênante.



Mireille était piégée. Elle se retourna brièvement vers la caméra, avant de répondre au jeune homme :



Éric ne put s’empêcher de rire, en entendant sa timide épouse jouer avec assurance le rôle d’Eva la délurée. Elle se tourna vers la caméra, qu’elle regarda fixement, et tendit sa croupe vers le comptoir. Le jeune homme se pencha et avança la main pour se saisir de la tresse et la tirer lentement, jusqu’à ce que le jouet quitte son étui soyeux en émettant un « plop » sonore. Il posa un billet de cinquante euros sur le comptoir et, lançant un baiser à la vendeuse, quitta le magasin, son trophée à la main. Après une dernière image de Mireille se baissant pour envoyer un baiser à la caméra, l’écran vira au noir.




VII.



Éric n’en revenait pas. Sa timide Mireille, se baladant les fesses à l’air sur son lieu de travail, le cul fourré d’un plug qu’elle s’était fait ôter par un inconnu ! Il commençait à se demander si cette histoire n’était pas allée trop loin, lorsqu’une voix féminine l’invita à la rejoindre dans la chambre.


Perdu dans ses pensées, il monta les escaliers et pénétra dans la pièce à peine éclairée. Eva était nue, allongée sur le dos, les yeux bandés, raide et tremblante, les tétons dressés vers le ciel. Il la regarda durant de longues secondes. Les frissons qui parcouraient sa peau révélaient une excitation intense.

Éric la laissa mijoter dans son jus durant quelques minutes, ouvrant des tiroirs, faisant résonner des bruits métalliques, des bruits de tissu que l’on froisse, de ceinture de cuir qui claque.



La jeune femme se retrouva sur le ventre. Il lui attacha un collier de chien autour du cou et, saisissant ses poignets, lui passa une paire de menottes garnie de fourrure rose, avec laquelle ils s’étaient amusés bien des années plus tôt. Il attacha la laisse à la paire de menottes, de manière à ce que les mains remontent jusqu’au milieu du dos. Enfin, il glissa un épais coussin sous son bassin afin de laisser ses fesses bien en évidence.



Tout en parlant, il fit claquer plusieurs fois la ceinture entre ses mains, s’amusant des tremblements nerveux qui, à chaque claquement, traversaient le corps de son épouse. Puis la lanière de cuir s’écrasa enfin sur le derrière frémissant. « Clac ! Clac ! »


Il prenait soin à ne pas lui faire de mal. Mais la surprise et les picotements électriques de la ceinture sur ses fesses suffisaient à déclencher des cris de douleur, accompagnés d’une contraction de ses fesses et du battement de ses jambes.



Tremblante d’excitation, la jeune femme baissa les jambes, attendant docilement la suite de sa correction. Les claquements reprirent sur un rythme régulier, interrompus de douces caresses pour s’assurer que la peau délicate n’était pas abîmée et la complimenter sur la beauté rougissante de ses fesses. Au bout de cinq minutes de ce traitement, il lui demanda de s’agenouiller en gardant le visage enfoncé contre le matelas. Il lui écarta les jambes pour révéler, au creux du large sillon, la pastille rose sombre dans laquelle elle avait fait disparaître son plug durant son exhibition matinale. Une main sur chaque fesse, il écarta l’étroit passage avec ses pouces, dévoilant le chemin menant à ses entrailles. Il y laissa couler un long filet de salive qui s’accumula au centre de la corolle brune, avant de disparaître lentement dans le boyau soyeux.



Mireille aurait aimé qu’il la prenne, là, tout de suite, qu’il lui enfonce sans ménagement son gourdin veiné dans le cul, qu’il l’encule en la traitant comme la pute qu’elle était ce soir. En même temps, la fessée qu’elle venait de subir avait déclenché des vagues de plaisir d’une intensité depuis longtemps oubliée. L’idée de poursuivre cette attente aveugle de la prochaine claque, du prochain éclair de douleur et de plaisir, l’excitait au plus haut point. Dans cette position indécente, sa chatte largement ouverte coulait lentement, comme un robinet mal fermé.


Après lui avoir assené à main nue une demi douzaine de claques supplémentaires, il lui demanda de se lever et de se tenir debout à côté du lit. Il défit les menottes pour ramener les bras devant la jeune femme et les emprisonner à nouveau. Il noua une corde aux bracelets de métal, lança l’extrémité par-dessus la poutre qui traversait leur chambre mansardée, et hissa les bras de Mireille jusqu’à ce que le corps de la jeune femme soit tendu comme un arc, la poitrine outrageusement redressée, les tétons durcis pointant à l’horizontale, et les pieds à moitié décollés du sol. Éric tourna plusieurs fois autour de son épouse, pétrissant une fesse, pinçant un sein, mordillant le lobe de l’oreille. Mireille se tortillait, poussant de petits cris où se mêlaient douleur et plaisir. Sous la surprise, elle perdit l’équilibre à plusieurs reprises, balançant au bout de sa corde comme un appétissant jambon que l’on aurait mis à sécher.


Éric se plaça devant elle et il l’embrassa passionnément, tout en lui saisissant les seins à pleine main, pinçant sans pitié les tétons durcis et sentant remonter jusque dans la bouche de la jeune femme les spasmes déclenchés par ses manipulations mammaires.



La jeune femme ne put s’empêcher de laisser échapper un cri aigu lorsque les extrémités plates se refermèrent sur l’excroissance de chair. Elle trépignait au bout de sa corde, balançant d’un pied sur l’autre tandis qu’il resserrait l’écrou. Il répéta le même rituel avec le second téton et, son travail terminé, contempla la poitrine de son épouse, tendue sous le poids des deux lourds bijoux métalliques reliés par une chaîne. Après avoir tiré une ou deux fois sur la chaîne comme pour s’assurer que les pinces étaient bien fixées, il s’agenouilla entre les jambes de la jeune femme et se mit à jouer avec les lèvres gonflées et humides de sa chatte.



Tout en parlant, il lui noua une ceinture garnie sur le devant d’un petit vibromasseur en forme de papillon. Passant les lanières entre les fesses, il enfonça la queue de l’animal au cœur de son vagin, tandis que la petite tête se pressait contre son clito. Éric glissa le boîtier de commande dans la ceinture et après avoir placé le curseur sur la puissance maximale, s’éloigna de sa belle captive.



Mireille avait du mal à parler, tant elle se tortillait au bout de la corde.



Il quitta la chambre en ayant du mal à ne pas éclater de rire, tandis que son épouse s’abandonnait aux vibrations électriques qui, de son sexe brûlant, rayonnaient dans son corps tout entier. Il s’éloigna moins d’une minute, le temps de se saisir de la bouteille de champagne et de deux verres. Il rejoignit la chambre en silence, s’asseyant sur le bord du lit pour contempler le spectacle torride de son épouse dénudée, pendue comme un jambon, les tétons enserrés dans des pinces d’acier et le sexe butiné par l’insecte électrique.


Les jambes de la jeune femme ne parvenaient presque plus à la soutenir. Elle restait suspendue par les bras, tel un pantin désarticulé tournoyant au bout de son unique ficelle. Entre ses jambes, le flux continu de sa jouissance se transformait en une flaque brillante. Éric s’approcha, posa le verre sous la fontaine dégoulinante et recueillit près d’une demi coupe de liqueur salée, qu’il porta aux lèvres de sa belle.



Debout derrière elle, il glissa son sexe entre ses fesses et, après avoir défait la ceinture, posa son gland sur les portes du paradis. Il la pénétra d’un coup de reins, enfonçant son glaive jusqu’à la garde. La saisissant sous les fesses, il la souleva, lui écartant les jambes afin de l’empaler encore plus profondément sur son gourdin dressé. Mireille criait de plaisir, répétant ces mots qui, ce matin encore, l’auraient faite rougir de honte.



Son corps était traversé de tremblements frénétiques, elle bondissait de plaisir sur le pilon dressé. Dans la chaleur du vagin inondé, le membre d’Éric ne résista pas très longtemps. Au bout de moins d’une minute, il explosa en jets réguliers pour se mêler aux secrétions bouillonnantes de son épouse.




VIII.



Après l’avoir décrochée et libérée de tous ses artifices, Éric lui demanda de s’allonger sur le lit, sur le ventre, ce qu’elle fit avec un évident plaisir. Il fit couler un mince filet d’huile parfumée sur ses mains et se mit à lui masser les épaules et le dos. Mireille ronronnait de plaisir sous la douceur sensuelle des caresses de son époux. En descendant des épaules, il glissait ses mains sous le torse de la jeune femme, titillant les tétons encore endoloris par la morsure cruelle des pinces, pétrissant les seins gonflés de passion. Il fit subir un traitement similaire aux fesses roses et rondes qu’il pelotait avec tendresse. Tandis que Mireille se laissait envahir par une endormante ivresse, il sentait sa queue reprendre de la vigueur. Il était temps de se concentrer une dernière fois sur ces fesses somnolentes. Il leur donna deux claques sonores, qui eurent pour effet de sortir brusquement la jeune femme de sa torpeur. Puis, il s’empara des deux globes qu’il écarta largement. Sa petite corolle sombre s’ouvrit et se déforma dans une grimace comique.



Tout en lui parlant, il posa une main ferme sur sa nuque, enfonçant son visage dans les draps, tandis que l’autre main s’affairait à lui malaxer le con avec application. Le cul largement ouvert était pris de mouvements spasmodiques à chaque fois que les doigts pénétraient la chatte, pinçaient les petites lèvres ou torturaient la petite excroissance gonflée de désir.



C’est vrai qu’elle était à nouveau au bord de l’orgasme. Aveugle, livrée à la merci d’un mari qu’elle avait du mal à reconnaître dans l’homme qui lui murmurait ces paroles obscènes, le con martyrisé qui en redemandait encore, elle redressait son cul pour qu’il puisse la pénétrer encore plus profondément. Lorsqu’elle sentit le pouce presser contre sa rondelle et pénétrer l’étroit boyau de son cul, elle serra les fesses, en vain.



Trop tard, il la tenait fermement par la nuque, le cul et le con. C’était comme une pince qui lui enserrait le bas ventre, le pouce à peine séparé des trois autres doigts par une fine cloison de chair, contre laquelle ils coulissaient sans difficulté. La croupe de Mireille montait et descendait au gré des tractions opérées par son mari.



Les râles de la jeune femme étaient de plus en plus bruyants et ce qu’il avait prévu arriva. Mireille poussa un cri profond et un bouillon de jus chaud et salé coula entre ses doigts et inonda le lit. Sans lâcher sa prise, Éric la souleva par le cul, l’obligeant à s’agenouiller, le visage toujours enfoncé dans le matelas. Il se plaça derrière elle, et tout en gardant le pouce enfoncé dans le fion, remplaça ses doigts par une queue vigoureuse qui se mit à lui pilonner la chatte avec passion. Le con coulait comme une rivière en crue. Au bout de deux minutes, il retira son engin avec un bruit de succion comparable à celui de bottes prises dans un marécage. Il posa sa queue trempée contre l’anus dilaté et, dans un brusque mouvement du bassin, l’enfonça profondément dans le boyau soyeux. Mireille poussa un cri profond, puis un deuxième et un troisième, rythmés par le claquement du pubis contre ses fesses écartelées.

Au bout d’une minute, il explosa pour la dernière fois dans les entrailles de sa femme, avant qu’ils ne basculent tous les deux sur la couche, la queue toujours profondément enfoncée dans son écrin douillet.




IX.



Le pilon noueux enfoncé au fond du cul, Mireille se retourna pour dévorer la bouche de son mari.



Ils éclatèrent de rire en même temps, en pensant à leurs prochaines aventures.