n° 13545 | Fiche technique | 11994 caractères | 11994Temps de lecture estimé : 7 mn | 28/10/09 |
Résumé: Un jeune couple se retrouve après une longue période d'absence. | ||||
Critères: f fh jeunes couple fépilée amour lingerie fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio -amourpass | ||||
Auteur : Mademoiselle Envoi mini-message |
Cela faisait maintenant dix jours qu’elle ne l’avait pas vu. Pas embrassé. Pas caressé. En réalité, bien que jamais elle ne l’admette devant lui, elle était dans un état de manque prononcé. Et comment aurait-il pu en être autrement ? Se passer de sa peau, de sa bouche, de son sexe devenait de plus en plus difficile avec le temps. Le soir, elle les imaginait nus, gémissant du plaisir qu’ils prenaient l’un avec l’autre. Rien n’avait pu apaiser son désir. Les récits érotiques, les films pornographiques, la masturbation… Elle n’avait pas lésiné sur les moyens d’épancher sa soif d’érotisme.
C’était le soir que l’absence de son homme apparaissait la plus difficile à surmonter. Le souvenir de leurs peaux se frôlant pendant l’amour l’électrisait. Une douce humidité s’invitait soudain entre ses cuisses, à l’orée des lèvres de sa chatte. Cette chatte qu’il avait tant de fois effleurée, embrassée, léchée. Elle glissait alors une main vers cette partie d’elle-même qui la contrôlait désormais. Elle se caressait également les seins, bien qu’il fût le seul à savoir exciter ses tétons. Elle était en réalité plus concentrée sur ses doigts trempés. Ils s’affairaient avec dextérité sur son clitoris, le frottaient, le pinçaient, le pressaient. Parfois, elle les faisait pénétrer en elle, dans sa fente chaude et mouillée. Et elle gémissait, les jambes écartées, dans une pose d’une impudeur ultime. Elle aimait cette impression de se transformer en chienne avide de plaisir. Plus rien ne comptait plus que l’orgasme libérateur, les spasmes de la jouissance. Alors que ses doigts exécutaient une folle danse sur son petit bouton, elle se raidissait violemment et criait son plaisir, telle une actrice de porno. À la différence qu’elle avait joui, vraiment. Ces séances de plaisir solitaire, elle les aimait. Pourtant, elles ne la satisfaisaient pas. Elle voulait sentir le souffle de son homme sur elle quand l’orgasme montait. Elle voulait jouir pour lui, savoir qu’il la regardait, qu’il l’entendait.
Elle se prépara pour son retour. Elle épila avec soin son sexe. Elle choisit des vêtements qui la mettaient en valeur, qui soulignaient sa poitrine, qui affinaient sa taille : corset et jupette. Quant aux dessous, elles opta pour le sexy. Guêpière-porte-jarretelles, string et bas. Devant la glace, le résultat semblait plus que satisfaisant. Sa tenue l’assurait d’une nuit de délices. Ce soir, elle sera aux petits soins pour son chéri.
Il avait à peine passé la porte qu’elle était déjà contre lui. Comme sa présence pouvait la rassurer. Sa chaleur, la puissance qui émanait de lui, son odeur étaient autant d’éléments qui faisaient de lui son protecteur favori. Ils échangèrent un baiser langoureux, leurs corps frémissant d’émotion.
Elle percevait déjà son membre gonflé, enfermé dans sa prison de tissu. Quant à lui, il sentait sa poitrine s’écraser contre son torse. Il pouvait presque imaginer ses tétons qui pointaient de désir. Il lui ôta ses habits et découvrit ses sous-vêtements avec plaisir.
Elle était terriblement indécente. Mais si désirable.
Et il se retrouva comme par magie en boxer. La bosse qui déformait le tissu trahissait adorablement l’état d’envie dans lequel il se trouvait. Elle frottait doucement ses seins contre l’organe dressé, encore caché de sa vue par le sous-vêtement. Il pouvait observer selon son envie la poitrine qui s’affairait contre sa bite, les fesses qui ondulaient, le visage qui lui souriait. Il la releva et l’embrassa.
Elle entreprit alors de libérer le pieu du caleçon. Son érection était magnifique. Dix jours qu’elle ne pensait plus qu’à ce pénis dressé pour elle. Elle posa sa bouche sur le gland, savourant le contact chaud et humide. Puis elle promena sa langue sur toute la verge, entourant ce sexe tant désiré, le frottant, le léchant.
Il prit sa tête entre ses mains et la força à engloutir son membre. Elle prit le phallus entre ses lèvres et débuta la fellation. Elle le suçait avec envie, à genoux au milieu du salon. Ils étaient ivres de désir et ne pouvaient plus attendre. - Si, d’aventure, un voisin avait regardé par la fenêtre, il aurait pu admirer les retrouvailles classées X d’un jeune couple -. Elle s’appliquait avec soin à sa tâche. Alors qu’elle le branlait d’une main, et lui caressait les testicules de l’autre, sa bouche exerçait de douces caresses sur son occupant : le manche de Monsieur. Elle aspirait le gland, elle enfonçait le vit tout au fond de sa gorge, elle serrait ses lèvres contre la verge. Il lui baisait la bouche à grands coups de reins qu’elle encaissait sans bouger.
Mais bientôt il n’en put plus. Elle accélérait sans cesse la cadence et il savait qu’à cette allure, il ne tiendrait pas longtemps. Et il voulait la posséder. La pénétrer. L’entendre gémir.
Il la releva et l’installa sur la table de la cuisine. Puis il écarta les jambes vêtues de bas de sa chérie. À cet instant, elle ouvrit largement ses cuisses. Il s’agenouilla alors à son tour et embrassa son petit abricot. Elle frémit.
Elle sentait sa respiration sur son intimité. Il lécha alors doucement sa chatte. Il passa sa langue sur tous les recoins de son jardin secret, explora chaque parcelle de sa peau. Puis il se concentra sur son clitoris. Et elle commença à haleter. À gémir comme la pire des salopes. Mais il aimait l’entendre. Il adorait la sentir trembler lorsque, après avoir ralenti les mouvements de sa langue, il la léchait soudain avidement. Il aimait entendre ses cris redoubler d’intensité quand il titillait ses tétons. Le cunnilingus était l’une de ses spécialités, et comme elle avait pu s’en douter, il n’avait pas perdu le "coup de langue". Elle gémissait de plus en plus fort, son bassin basculé vers l’avant, sa tête vers l’arrière. Elle était proche de l’orgasme.
Il la lécha alors à une vitesse folle, sa langue fouillait sans pudeur le minou au bord de l’extase. Puis il la vit prise de soubresauts : elle jouissait. Son corps était comme secoué par mille vagues de plaisir. Ses seins se soulevaient vers le ciel, ses cuisses se contractaient. Elle lui gardait la tête plaquée contre son sexe. Il continua donc de la satisfaire.
Il posa une dernière fois ses lèvres sur son sexe. Elle fut prise d’une violente secousse. Il la prit ensuite dans ses bras comme pour la protéger, elle qui était sans défenses après l’amour.
Et il l’embrassa.
Mais le repos fut de courte durée. Elle se frottait de nouveau contre lui, sa poitrine frôlait la peau de son torse. Elle le rendait fou : il n’avait pas joui, lui.
C’était la phrase qu’elle souhaitait entendre plus que tout. Elle avala une dernière fois la hampe de son homme avant de dérouler le préservatif. Il la rassit et écarta ses jambes.
Suivant son ordre avec plaisir, il la pénétra. Il entra dans ce fourreau chaud et serré. Il était en elle, leurs corps étaient comme soudés. Elle resta muette quelques secondes, savourant cette impression d’être emplie par lui. Elle noua ses chevilles derrière le dos de son compagnon et l’embrassa. Elle l’embrassa longuement, passionnément, avec tout son amour. Elle n’existait plus que pour lui et pour les instants qui allaient suivre.
Et il commença à aller et venir entre ses cuisses. Les muscles vaginaux se contractaient autour de son pénis. Il libéra de la guêpière les seins de sa belle, puis il se pencha pour en sucer les tétons. Elle soupira et accéléra le mouvement de la pénétration. Elle sentait avec plaisir la virilité de son homme buter contre le fond de son écrin. Elle se balançait au rythme des coup de butoir de son amant.
Elle était apparemment incapable de lui répondre de manière plus construite. Il décida de rendre son expression encore plus difficile et d’augmenter le volume sonore de sa jouissance.
Il glissa ses doigts jusqu’à sa chatte et les posa sur son clitoris. L’effet fut immédiat.
En même temps qu’elle allait s’empaler sur le phallus, elle frottait son clitoris contre les doigts de son homme. Elle avait dépassé le stade du gémissement. Elle criait maintenant son plaisir.
Il accéléra alors la pénétration. Et ils jouirent en même temps. Leurs corps se collèrent et ils savourèrent l’orgasme ensemble, dans une harmonie parfaite. Il prit son visage entre ses mains et l’embrassa tendrement.