n° 13556 | Fiche technique | 15502 caractères | 15502Temps de lecture estimé : 10 mn | 09/11/09 |
Résumé: Nous marchions nus dans la forêt quand nous avons rencontré un couple qui faisait son jogging. | ||||
Critères: 2couples inconnu hépilé fépilée forêt exhib nudisme intermast préservati -entrecoup -nature | ||||
Auteur : Rascal31 (Pascal et Catherine. Couple exhib.) Envoi mini-message |
Nous sommes un couple de Toulouse dans le sud de la France. Nous sommes mariés depuis bientôt quinze ans et nous aimons toujours, de plus en plus semble-t-il, partir à la recherche de la réalisation de nos fantasmes.
Il y a quelques années, au printemps, nous rêvions d’aller en forêt, près de chez nous. Juste à l’ouest de Toulouse, la forêt de Bouconne est très belle, très vaste, et propice à des escapades amoureuses plus ou moins sages… C’est du moins ce que nous souhaitions tester…
C’est par une belle après-midi de mai, chaude, ensoleillée, que je me suis décidé. Nous avions convenu que c’était moi qui déciderais du moment où nous tenterions l’expérience. Le midi, nous avons déjeuné avec ma femme qui portait une robe chasuble bleue, assez moulante. Je lui ai demandé d’aller aux toilettes pour être nue sous sa robe. Nous avons l’habitude de faire ce petit jeu. Ma femme aime imaginer des hommes s’apercevant de son état et risquant d’admirer sa toison toujours bien coupée de frais, surtout que, pour revenir des toilettes, il faut descendre un escalier en colimaçon ajouré, avec des tables situées juste en dessous !
Ce jour là d’ailleurs, on pense que le plus jeune des quatre occupants de cette table a dû voir le sexe offert de ma femme qui, bien que n’étant pas complètement épilée, ne garde qu’une bande étroite sur le pubis, avec les lèvres bien dégagées pour les moments assez nombreux où j’ai envie de la lécher. C’était un bien jeune homme, un apprenti ouvrier sans doute, il devait avoir dans les dix-huit ans, pas beaucoup plus. Il n’avait visiblement pas trop d’assurance, pas au point d’avertir ses voisins de table en tout cas. Mais il n’arrêtait pas de regarder dans la direction de l’entrejambes de ma femme, pour être sûr d’avoir bien vu, ou pour mieux revoir ce qu’il avait apprécié.
À la fin du repas, j’ai demandé à ma femme de retourner aux toilettes et de prendre tout son temps dans l’escalier, histoire que ce jeune homme passe une bonne après-midi ! En coquine de longue date, elle a fait une halte au beau milieu de l’escalier. Elle a fait mine d’observer une tache sur ses cuisses, tout en les écartant un peu et en remontant sa jupe. Elle avait choisi la meilleure position pour que ce jeune homme ait une vue superbe sur sa fente, que je devinais toute humide de plaisir.
Le jeune homme était rouge de confusion et les autres hommes de la table ont dû s’apercevoir de quelque chose, ou le jeune homme les avait prévenu car, quand ma femme est revenue dans le hall du restaurant pour payer, et quand on est passé devant leur table, ils l’ont tous suivie des yeux, avec une insistance qui en disait long.
Une fois dans la voiture, elle a compris qu’il se passait quelque chose quand on a quitté le chemin habituel menant à notre lieu de travail.
Elle a eu un beau sourire, et pour toute réponse elle a commencé à appliquer le scénario qu’on avait mis au point.
Ma femme s’est un peu relevée sur son siège et elle a remonté sa jupe de manière à ce qu’elle soit assise sur ses fesses nues, avec son sexe offert à ma main droite baladeuse, curieuse et très coquine. Bien sûr, il faut faire attention à bien garder le contrôle de sa voiture, et j’avoue que je m’étais un peu entraîné en prévision de cette balade.
C’est dans un état d’excitation très avancé que j’ai arrêté la voiture dans le parking de la forêt. Ma femme aussi était toute émoustillée et, n’y tenant plus, elle s’est penchée sur moi et elle a entrepris de défaire la braguette de mon pantalon. Avec une lenteur divine, elle s’est approchée et elle a englouti mon sexe dans un baiser voluptueux. Étant penchée en avant, j’ai pu glisser ma main sur ses fesses libérées dans ce mouvement, pour caresser son œillet tout sensible, puis son bouton tout humide et déjà si sensible. C’était merveilleux de sentir dans la voiture les odeurs de nos deux sexes, d’entendre le bruit de succions qui accompagnait la fellation de ma femme, tout cela sur le parking, à la merci d’être vu ou découvert par des visiteurs !
Assez rapidement, j’ai préféré arrêter ce manège, car je voulais me préserver pour la balade qui allait venir. Nous sommes sortis de la voiture, ma femme remettant sa jupe dans une position correcte, et nous avons alors emprunté un premier sentier. D’abord assez larges, les allées sont vite devenues assez étroites. Au bout de quinze minutes environ de marche à pied, j’ai senti que la petite clairière, là, juste à droite, serait propice à nos ébats.
J’ai attiré ma femme vers ce tapis de verdure, mais c’est debout que j’ai commencé à la presser contre moi, en lui remontant l’arrière de sa jupe et en lui caressant les fesses comme elle aime tant. Tout en échangeant des baisers fougueux, au bout d’un certain temps, alors que ma femme me suppliait de la « prendre », je me suis baissé et, tout en continuant à lui caresser les fesses, j’ai léché cette fente qui ruisselait de plaisirs et de désirs.
Pour faire monter le plaisir, j’ai léché de plus en plus fort son bouton d’amour, alors qu’un de mes doigts s’aventurait dans son petit orifice. Ma femme adore avoir un ou deux doigts en elle de cette façon. On n’a pas encore osé tenter la sodomie, une prochaine fois s’est-on promis récemment… Au bout de quelques minutes de cette douce torture, tout en observant que personne ne pouvait nous voir, et que personne ne venait dans les allées alentour, j’ai supplié ma femme de retirer ses vêtements. Elle a accédé à ma demande et s’est retrouvée entièrement nue dans cette forêt, et je me suis à mon tour déshabillé entièrement.
Nous étions entrelacés, nus, toujours debout, caressant nos deux corps avec nos mains, les léchant avec nos bouches et nos langues. Ma femme s’est alors agenouillée pour pouvoir reprendre la fellation que j’avais interrompue dans la voiture. Un passant ou une passante aurait sûrement été très excité(e) devant un tel spectacle : ma femme me suçant avidement, tout en se branlant d’une main agile. Elle soufflait bruyamment du plaisir de me sucer, et de celui qu’elle était en train de se donner avec sa main. Je lui disais à haute voix tout le bien que je ressentais.
L’excitation aidant, et pour ne pas jouir tout de suite, j’ai relevé ma femme et je lui ai alors révélé la seconde partie de mon plan, encore plus osée… je lui ai demandé de me suivre pour faire une petite promenade dans cette tenue d’Ève et d’Adam, dans les allées entourant cette clairière ! Elle était réticente dans un premier temps, mais après avoir caché nos affaires près d’un creux du plus gros des chênes alentour, elle a dit :
Et c’est avec un grand naturel (enfin presque…) que nous avons alors déambulé dans les chemins étroits de cette forêt.
C’était très excitant de transgresser l’interdit d’être tous les deux nus en plein air, surtout que mon sexe n’était pas du tout au repos, loin de là. Mais après avoir fait quelques dizaines de mètres, nous avons entendu des bruits de pas et de voix au loin… Nous éprouvions des sentiments partagés : à la fois très excités de pouvoir être surpris ainsi par des gens, mais aussi gênés et craintifs de savoir qui était en train de venir vers nous !
L’allée était vraiment très étroite, on était un peu piégés, car les buissons alentour étaient trop denses et il fallait choisir : continuer, ou revenir rapidement vers le chêne salvateur ? Après quelques échanges de regards nous décidâmes de continuer de marcher nus, main dans la main, avec le plus de naturel possible, vous l’imaginez bien…
Au bout de quelques instants, on a pu apercevoir qui venait vers nous. C’était un couple qui faisait son jogging. En nous voyant au loin, ils ont ralenti leur allure, et c’est presque en marchant qu’ils nous ont croisés. Loin d’être offusqués ou choqués par notre tenue, ils nous ont souri et ont lancé un :
qui nous a encouragés à répondre :
Ils se sont alors arrêtés pour nous parler et on a pu observer de plus près la physionomie de ce couple. Ils avaient dans les trente-cinq ans, minces, sportifs, la femme portait un body très moulant laissant entrevoir des seins de belle facture. L’homme était musclé, grand, et ma femme le regardait avec attention et une certaine envie je crois, à moins que ce ne soit avec une envie certaine ?
On ne pouvait rien cacher de nos sentiments, mon sexe dressé et tendu au maximum montrait à cette femme inconnue que j’étais très excité, et pas insensible à ses attraits. Quant à ma femme, elle était blottie tout contre moi, ses bouts de seins étaient tout durs et longs : elle appréciait visiblement cette rencontre. Au bout de quelques échanges plutôt neutres, enfin en essayant d’oublier que nous étions nus devant des étrangers, j’ai décidé de tenter une approche plus directe en demandant au couple :
Pour toute réponse, ils ont échangé un regard complice et ils ont commencé à se déshabiller lentement, en nous regardant, tout en souriant.
L’homme était dans tous ses états, visiblement, au vue de son sexe qui débordait de son caleçon. Et quel sexe ! Très large et très long, plus de vingt centimètres sans aucun doute. La femme a dévoilé un corps superbe : des seins très fermes et en forme de poire, aux aréoles brunes et plutôt larges, avec un bassin étroit et des fesses menues, mais fermes. Le sexe de l’homme ainsi que celui de la femme étaient entièrement rasés, indiquant sans doute un esprit tourné vers les jeux amoureux débridés… on était tombé, par hasard, sur de vrais coquins !
L’homme demanda :
Je répondis :
C’est donc entièrement nus que nous avons rejoint tous les quatre la clairière où ma femme me suçait quelques minutes auparavant. Les chemins étant étroits, on ne pouvait pas marcher tous de front. L’homme était passé devant, près de ma femme, et je me retrouvais près de la femme inconnue, derrière eux. Je pouvais sentir l’odeur de transpiration de cette femme brune, provoquée par leur jogging, une odeur plus forte que celle de ma femme, mais très enivrante. Je pouvais aussi voir le sexe de l’homme, dur et dressé, bougeant au rythme de ses pas, juste à côté de la main de ma femme qui se tenait à côté de lui…
C’est à ce moment que j’ai vu le regard interrogateur de ma femme qui se retournait et qui semblait me demander « je peux ? ». Je fis signe que « oui » par un petit geste de la tête. Elle s’est alors approchée du corps de l’homme et, tout en continuant à marcher près de lui, à sa droite, elle a enlacé les hanches et les fesses de cet homme avec sa main gauche, et elle à posé sa main droite sur son sexe, en caressant son gland. La femme inconnue près de moi a regardé ce qui se passait devant nous et elle m’a juste demandé :
Je ne sais même pas si j’ai eu le temps de lui faire comprendre que « oui », elle a aussitôt pris mon sexe à pleine main, entreprenant une douce mais ferme masturbation de mon membre.
En arrivant à la clairière, se retrouvant à côté de nos vêtements, nos femmes ont pris les devants. Elles ont étalé mon tee-shirt par terre et, à genou, elles ont entrepris de nous sucer. Quel beau spectacle : leurs hommes se tenaient debout devant elle, étant sucés par une femme autre que la leur. Quant à nos belles, tout en nous suçant divinement bien, comme elles étaient à côté l’une de l’autre, elles ont commencé à se toucher entre elles. J’ai pu voir les mains de ma femme s’aventurer sur les fesses de l’inconnue, puis sur son sexe, mais aussi aller voir si le petit trou de la belle pouvait être une voie d’entrée. Et c’était le cas ! L’inconnue se trémoussait au rythme des entrées des doigts de ma femme dans son anus, et je ressentais indirectement le même rythme sur mon sexe, sa bouche et ses lèvres m’enserrant plus fort à chaque fois qu’elle était pénétrée par cette voie. C’était si bon, et si nouveau pour nous !
N’y tenant plus, je suis allé chercher des préservatifs dans mes affaires, et j’ai proposé que l’on s’approche d’un ensemble de barres de bois qui sert au parcourt sportif qui agrémente les balades dans cette forêt. Nous avons demandé à nos femmes de se pencher en avant, nous offrant leurs postérieurs, tout en leur demandant de s’embrasser goulûment. Une fois enfilés nos préservatifs, j’ai eu un sentiment étrange de voir ma femme se faire pénétrer par un sexe énorme qui n’était pas le mien… et aussi par l’étroitesse du vagin de cette inconnue qui me rendait cette pénétration hors couple excitante, comme je ne pouvais pas l’imaginer.
Après quelques minutes où il me fut assez difficile de ne pas jouir tout de suite tellement c’était bon, l’inconnue me demanda de jouir dans l’autre trou. J’allais enfin pouvoir essayer ce que nous n’avions jamais fait avec ma femme. En entendant cela, ma femme nous a observés alors qu’elle commençait à jouir des allers et venues du membre épais de l’homme qui la labourait de plus en plus fort. Une fois lubrifiée par ma salive, j’ai pu pénétrer le petit trou de l’inconnue qui, à ma grande surprise, était presque plus ouvert et accueillant que son vagin. Je n’ai pas pu me retenir beaucoup plus longtemps, et c’est à peu près en même temps que nous avons joui tous les quatre.
Une fois remise de ses émotions, ma femme s’est retournée et elle a retiré le préservatif de l’homme, puis a terminé de sucer et lécher son sexe, encore tout gluant de ses secrétions. Une fois terminée son œuvre, elle est venu m’embrasser, avec ce mélange d’odeurs qui était encore présent dans mon esprit et dans le sien et qui alimente nos fantasmes quand on repense à cette aventure quand nous faisons l’amour dans notre petit chez nous.
On espère pouvoir revivre des aventures aussi formidables que celle de ce beau jour chaud et ensoleillé dans la forêt de Bouconne, près de Toulouse !
Pascal et Cath.