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n° 13567Fiche technique21175 caractères21175
Temps de lecture estimé : 13 mn
15/11/09
Résumé:  Mon mari s'absente. Son père m'aide et pas seulement pour le jardinage.
Critères:  fh hplusag alliance fellation 69 pénétratio
Auteur : Valé  (Blonde yeux verts, sensuelle... depuis cette histoire)
Beau...papa

Je m’appelle Valérie, j’ai trente-huit ans, je mesure un mètre soixante-dix, blonde, yeux verts, et je suis mariée avec Pierre qui a le même âge que moi. Nous sommes mariés depuis dix ans maintenant et nous avons un enfant, un garçon, que nous avons appelé Maxime, qui est né deux années après notre union. Il a donc huit ans.


De ces dix années de vie commune, jusqu’à présent, je ne retiens que du bonheur. Bonheur d’aimer, de se sentir aimée par son mari, son enfant et toute sa famille. Bonheur d’habiter une maison que l’on a désirée, avec un joli jardin, d’avoir une situation financière qui ne donne aucun souci et que nous devons en grande partie à mon mari Pierre qui a une très belle situation. Bien sûr, moi aussi je travaille et je suis fière de rapporter chaque mois ma (non négligeable) quote-part au budget familial car je suis cadre (catégorie A) dans une administration économique et financière.


Mais Pierre est directeur adjoint d’un grand groupe pharmaceutique. Alors côté salaire, c’est à peu près quatre fois le mien. C’est ainsi. Nous sommes à l’aise financièrement parlant et, je l’ai déjà écrit c’est aussi le bonheur sur d’autres plans. Sur d’autres oui, mais pas tous. Car Pierre est un travailleur infatigable, toujours en voyage autour de la planète, et, bien des jours, pour ne pas dire bien des nuits, je me suis sentie seule.


De plus Pierre n’est pas très actif sexuellement parlant. Nos ébats se limitent souvent à quelques baisers, une pénétration suivie très rapidement d’une éjaculation. Rarement il m’a demandé de lui prodiguer une fellation, jamais de lui caresser le sexe en guise de préliminaires. J’adorerai prendre son sexe en main et doucement le branler, puis le sucer et le sentir éclater dans ma bouche, le nettoyer avec ma langue, lui redonner vie et lui demander ensuite de me prendre, et, pourquoi pas, me sodomiser délicatement, pénétration que je n’ai jamais pratiquée. Il m’arrive donc certaines nuits de glisser mes mains sur mon ventre, sur mes petits seins en forme de poire et finir par me caresser jusqu’à me faire jouir en rêvant à tout cela.


Tromper mon mari ? Je n’y ai jamais songé, et, même si souvent mes collègues de bureau n’hésitent pas à me dire qu’ils me trouvent jolie, ils ne m’ont jamais fait d’avances. Je suis, il est vrai, assez timide et rien dans mon attitude ou mes propos ne les a encouragés. Pourtant mes collègues féminines m’ont souvent vanté les prouesses de quelques collègues masculins : endurance, longueur, grosseur, propos grossiers durant l’acte. Enfin, tout ce qui fait que mes nuits sont parfois habitées d’images excitantes. Ce serait donc chez moi le bonheur parfait, nonobstant ce manque de relations sexuelles et récemment (il y a six mois) le décès (auquel personne ne s’attendait) de ma belle-mère ce qui nous a tous très profondément attristés.


Il y a un mois environ, Pierre m’a informée qu’il devait s’absenter à partir du lendemain pour une période de huit jours, un déplacement à Singapour. J’ai un petit peu râlé car je savais que nous devions nous occuper de notre jardin, tondre la pelouse, couper les roses fanées etc., ce qui nous aurait bien occupés tous les deux. Mon mari m’a répondu en me proposant une aide à laquelle je n’avais pas pensé.



C’est vrai que, depuis le décès de sa femme, mon beau-père, qui s’appelle Henri, est assez déprimé. L’idée était donc excellente. Nous avons le soir même téléphoné à Henri qui a été très content et a accepté. Il est arrivé chez nous juste à temps pour embrasser Pierre avant son départ pour Singapour et tout de suite il s’est proposé pour accompagner Maxime à l’école. En attendant son retour et sachant que nous allions travailler au jardin, je me suis habillée avec de vieux vêtements : petit short en jeans, tee-shirt ample et, comme je le fais souvent lorsque je suis seule à la maison, je n’ai pas mis de soutien-gorge, ce qui à pour effet de laisser pointer mes petits seins en forme de poire. Oui mais là je n’ai pas pensé que je n’étais pas seule. Et quand bien même, y aurai-je pensé ? Henri est mon beau-père et il ne nous viendrait pas à l’idée de…


Et voilà, Henri est de retour.



Je me suis senti rougir comme une pivoine. J’ai tourné la tête et j’ai dit à Henri qu’il connaissait le chemin de sa chambre et que je l’attendais pour commencer le jardinage. Henri est parti se changer. Je me sentais toute troublée, je pensais à ce compliment à peine voilé : " désirable ". Et je me suis mise à me remémorer quelques instants que nous avions passés ensemble lors de réunions familiales Henri, mon mari, ma belle-mère. C’est vrai qu’il s’était toujours montré prévenant et correct. Et puis, je me suis souvenue d’une journée passée au bord de la rivière non loin de chez nous. C’était l’été et nous avions tous décidé de prendre un bain. Je revoyais Henri : grand, très peu enveloppé, à peine dégarni pour son âge de cinquante-neuf ans, muscles bien dessinés et, ce qui m’avait frappé à l’époque et que j’avais oublié,: un slip de bain très bien rempli. À ce souvenir, j’ai ressenti un vif picotement dans le bas ventre et mes petits seins ont dardé, ce qui eut pour effet de les faire ressortir plus intensément encore à travers mon tee-shirt ample et fin.


Henri est revenu juste à ce moment, changé, en short, et, bien sûr, ses yeux se sont immédiatement posés sur ma poitrine. J’étais rouge et en même temps je dois le confesser, j’éprouvais un grand plaisir à être ainsi dénudée du regard. Ma poitrine ne pointait que plus fort et mon entrejambe commençait à s’humidifier. J’ai préféré lancer le travail immédiatement.



Cela faisait une bonne demi-heure que nous travaillions tous deux en silence, lorsque soudain Henri poussa un cri de douleur.



Dans la salle de bain je pris une solution désinfectante et, me baissant devant Henri, j’imbibai un coton et le passai sur les blessures situées sur la jambe, sur la cuisse jusque très haut car Henri dut soulever le tissu de son short. C’était un short doublé slip en maille et la vision des bourses d’Henri au travers des mailles du slip provoqua le même émoi que lorsque je l’attendais pendant qu’il se changeait. Ma culotte s’humidifia, mes seins dardèrent et Henry debout devant moi qui voyait presque entièrement mes petits seins durs (car mon tee-shirt était ample) se mit à bander. D’un bond je me levai en déclarant :



Je suis assez timide, je le répète, je me tins muette et retournai au jardin. Le reste de la journée se déroula normalement. Henri termina la taille des rosiers, bêcha le potager, tailla quelques branches d’arbres et, vers dix-sept heures, il partit chercher Maxime à l’école. J’en profitai pour me doucher et revêtir un autre tee-shirt tout aussi léger et échancré et une jupette souple. Une petite culotte blanche et toujours pas de soutien-gorge. Cette journée m’avait-elle émoustillée ?


Vers vingt heures Maxime ayant fini son repas, je l’accompagnai jusqu’à sa chambre pour le coucher. Maxime déclara qu’il voulait que papy vienne aussi. Une fois maxime couché, nous allions quitter la chambre lorsque mon fils demanda que l’on éteigne la lumière et que l’on reste encore cinq minutes près de lui dans le noir. C’est ce que nous fîmes assis tous les deux sur le lit, moi près de Maxime et Henri derrière moi. Maxime, craignant que son grand-père ne soit sorti demanda s’il était présent dans la pièce, et Henri se rapprochant de son petit-fils se positionna à mes cotés et dit qu’il était bien là.


Mais, ce faisant, il passa sa main droite autour de ma taille et serra sa main sur ma hanche. Cette pression m’électrisa tout le corps et Henri le sentit bien, car il serra de nouveau ce qui m’arracha un petit soupir. Si Henri continuait ses démarches, où tout cela me mènerait moi, l’épouse modèle et fidèle qui avait refusé les avances d’autres hommes nettement plus jeunes que mon beau-père. J’étais bien décidée à ne pas franchir un nouveau palier.


Maxime finit enfin par s’endormir et Henri et moi sortîmes de la chambre. Henri me tenait toujours par la taille. J’avais chaud et j’étais certainement rouge écarlate. Nous nous sommes installés à table pour déguster un petit apéritif vin blanc. Ensuite nous avons soupé. Nous allions terminer notre repas car j’avais déposé la coupe à fruits sur la table, lorsque Henri se leva, prit un CD dans la discothèque et l’inséra dans le lecteur. C’était un disque de musique slow très doux. Il régla le volume très bas (certainement pour ne pas réveiller Maxime), se dirigea vers moi me prit ma main et me dit :



Je ne fus qu’à moitié surprise, après tous les sous-entendus et les caresses sur la hanche dans la chambre de Maxime. Je savais qu’Henri « tenterait sa chance ». Néanmoins j’ai accepté. Avec le recul et après mûre réflexion j’ai acquis la conviction que finalement je souhaitais « quelque chose ». Cette ambiance érotique de toute la journée m’avait émoustillée et, maintenant, même si je voulais qu’Henri n’en devine rien, j’étais vulnérable.


Henri m’a donc enlacée et nous avons commencé à danser un slow langoureux. Durant la danse en passant devant l’interrupteur électrique, Henri a complètement éteint la lumière. Seul le tableau de bord de la chaîne HI-FI dispersait quelques lueurs. Cette ambiance encore plus érotique stimula Henri qui me serra plus fort et je sentis son émotion au niveau de son pantalon de jogging. Vraisemblablement, il ne portait pas de slip et, vraiment, quelque chose de dur appuyait sur mon ventre. Il avait envie de moi et me le faisait très nettement sentir. Très lentement ses mains sont remontées de ma taille jusqu’à mes épaules, puis sa main droite a caressé ma nuque, il a appuyé sur ma tête pour que je le regarde et très lentement ses lèvres se sont posées sur les miennes. Il m’a donné un long baiser et je lui ai dit.



Pour toute réponse il m’a soulevée dans ses bras et m’a emportée dans ma chambre, m’a déposée sur mon lit conjugal et s’est couché à mes côtés, il a caressé ma joue et tandis que je marmonnais encore :



Henri m’embrassa de nouveau et passa sa main droite sous mon tee-shirt à la recherche de mes seins qu’il caressa, pinça le téton et m’arracha un râle de plaisir.



Et pour accompagner ces paroles, Henri prit ma main et la posa sur la bosse qui déformait son jogging. Encore une fois je lâchais un soupir, mais je fis semblant de vouloir retirer ma main qu’Henri tenait fermement positionnée sur son sexe qui vraiment me paraissait plus gros que celui de Pierre. Et machinalement, en respirant très fort je me mis à presser délicatement ce bâton au travers du jogging.



Mais Henri prit ma main, la serra fermement et l’introduit dans son jogging.



Ma main était maintenant sur sa queue. J’ouvris mes doigts et saisis cette colonne chaude, vibrante et, vaincue, doucement je commençai un lent mouvement masturbatoire.



Alors doucement, pendant qu’Henri baissait son jogging sur ses cuisses, tout en continuant une délicate masturbation, ma bouche glissa sur son torse, sur son pubis. Avec ma main je dirigeai sa queue vers moi et du bout des lèvres je déposai quelques baisers sur le gland. Henri émettait des râles de plaisir.



Henri posa sa main sur ma tête, caressa mes cheveux, et prononça la demande fatale à laquelle je m’attendais, mais que je ne voulais pas satisfaire.



Mais pour prononcer ces paroles et notamment le « non », j’avais ouvert la bouche. Henri en profita. Il appuya sur ma tête avec sa main et conjointement, d’un mouvement de rein, il projeta sa queue entre mes lèvres. J’étais totalement vaincue. J’essayais bien une tentative de recul, mais la main puissante d’Henri m’en empêchait. Il ne me restait plus rien d’autre à faire que ce qu’attendait Henri. J’entamais une fellation car, je dois l’avouer, j’avais très envie de le sucer, j’avais envie de sexe et de tout ce que je n’avais jusqu’à présent jamais réalisé. J’enfonçai sa queue le plus profondément possible dans ma gorge, ma langue s’entoura autour de cette brûlante colonne de chair, je pressai ses testicules délicatement. Henri gémit et se laissa totalement aller.



Je me relevai, ôtai seulement ma culotte car Henri voulait que je sois habillée à l’exception de ma culotte. Lui par contre se déshabilla totalement. Je m’allongeai sur le lit. Il plaça sa tête entre mes cuisse et entreprit un cunnilingus. Ensuite, il me demanda de venir me positionner en position de soixante-neuf et pendant un long moment ce ne fut que bruit de succion. Moi qui tentais d’avaler au plus profond cette tige bien plus grosse que celle de Pierre, et Henri qui me léchait divinement ne cessant de me répéter qu’il n’avait jamais sucé de chatte aussi délicieuse. Il faut dire que j’ai un sexe naturellement peu prolixe en poils. Donc je ne me taille jamais le maillot. Je n’entretiens jamais ma toison. Elle est naturelle et cela excitait énormément Henri. Je le sentais à la grosseur démesurée de sa queue.



Ce que je fis. Henri se positionna derrière moi. Il souleva ma jupette sur mes reins, me gratifia au passage d’un compliment sur mes fesses.



Henri devenait de plus en plus grossier et… cela me plaisait. Je sentis son gland frotter sur mes lèvres, s’introduire doucement puis, d’une poussée unique et puissante la queue entière de mon beau-père prit possession de ma grotte intime, généreusement graissée par mon excitation et la salive du cunnilingus.


Doucement Henri entama un mouvement de va-et-vient, ses mains posées sur mes fesses qu’il tentait d’écarter au maximum. Ce faisant il devait avoir une vue plus qu’excitante sur mon anus, car de temps en temps je sentais un doigt fureteur se promener sur mon trou du derrière. Soudainement Henri s’agrippa à mes hanches et accentua la vigueur de sa pénétration.



Et moi qui maintenant était complètement possédée par Henri je trouvai naturel de répondre.



Henri qui ne s’attendait pas à ce que je rentre si rapidement dans son jeu, ne se possédait plus. Fermement agrippé à mes hanches ses coups de boutoir me labouraient littéralement la chatte. De temps en temps ses mains glissaient jusqu’à mes seins qu’il triturait, puis sa main descendait jusqu’à mon ventre, atteignait ma chatte et c’était alors en plus de sa queue, un doigt qui me pénétrait et qu’il me mettait ensuite dans la bouche en disant.



Excité comme nous étions tous les deux il était impossible de tenir plus longtemps. Henri s’enfonça dans ma chatte au plus profond dans un mouvement si puissant qu’il me projeta vers l’avant. Mais il était si bien accroché à mes hanches qu’il resta collé à moi.



Et à grandes giclées que je ressentis, Henri m’inonda la chatte. Après un long moment il se retira et me demanda de lui nettoyer la queue avec ma bouche. Je n’avais jamais fait cela. Mais lorsque je me suis penchée pour le prendre entre mes lèvres je n’avais aucune appréhension. Sa bite avait légèrement dégonflé et ramolli. Mais après quelques mouvements de succion elle avait repris vigueur. Le goût me plut beaucoup, mais je dois dire que ce qui m’excita le plus, c’est qu’Henri me traite de pute, de salope suceuse. Une chose m’inquiétait cependant, la sodomie, qu’il me promettait en des termes très grossiers.