n° 13571 | Fiche technique | 15100 caractères | 15100Temps de lecture estimé : 9 mn | 23/11/09 |
Résumé: Rencontre entre JL et D après avoir fait connaissance sur internet. | ||||
Critères: fh extracon jardin voiture telnet fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus fsodo -extraconj -voiture | ||||
Auteur : h.moody75 Envoi mini-message |
J’entretiens depuis plusieurs mois une correspondance érotique sur le net avec une certaine I. Une rencontre ente nous est impossible car la distance est trop grande. Au cours d’une conversation, elle me glisse qu’elle a une amie qui vit près de chez moi. Elle me passe son adresse email. Tout commence ici …
Appelons cette femme D. Elle est belle, somptueuse même. Elle a 40 ans et mesure 1m75 pour 70kg, elle a une poitrine à faire damner un saint : 100E. J’aime ses formes, elle est superbe.
J’envoie un petit mail très respectueux à cet femme. Elle me répond. Je l’apprécie. Au fil des messages échangés, on se découvre, on apprend à se connaître, on s’attache l’un à l’autre. Nos conversations se font plus intimes, confidentes, excitantes, érotiques, voire même sexuelles. Nous nous sommes échangés des photos très coquines. Nous avons même fait l’amour au téléphone à plusieurs reprises. Désormais, une seule chose nous hante : la rencontre … Je vais vous la décrire.
Compte tenu de nos situations familiales, en concubinage pour moi et mariée pour elle, la marge de manœuvre était faible. Nous avons donc opté pour une première rencontre courte près d’une gare (plus simple pour s’y rendre). Nous nous étions mis d’accord sur un rendez-vous en toute "amitié", pour boire un café et se voir physiquement en vrai pour la première fois.
Sur le chemin pour me rendre sur le lieu de rendez vous, je suis tendu. En effet, je n’ai jamais eu de rendez-vous extra-conjugaux, même si cette rencontre ne s’annonce pas sexuelle à l’avance. Je me pose mille et une questions à en avoir mal au crâne. Pour finalement me dire : "de toute façon tu es dans le train qui te mène à elle et elle t’attend, donc plus possible de faire demi-tour". Après tout, je n’ai rien à perdre et tout à gagner. Alors je fonce.
J’arrive à destination. Je sors de la gare. Je l’aperçois. Le choc : elle est encore plus belle qu’en photo. Je m’approche. Elle m’attend près de sa voiture. Je lui souris. Elle m’a reconnu et me renvoie mon sourire. Elle est resplendissante. Je ne sais pas encore comment lui dire bonjour : dois-je lui faire la bise traditionnelle ou bien un smack ? Nos conversations étaient si intimes que je pencherais pour le smack, mais le trac me fait perdre toute contenance. Plus le temps de réfléchir, je suis en face d’elle.
Je m’approche et je l’embrasse conventionnellement, tout en appuyant bien la quatrième bise très près de ses lèvres.
Elle tourne sur elle-même. Sa robe volant autour d’elle, ma vision de rêve est enfin sous mes yeux.
Elle rougit.
Je m’approche et je lui prends la main en lui demandant :
Le contact de nos mains m’électrise. Un frisson me parcourt le dos. Je sens une bouffée de chaleur me rosir les joues. Je ressens les mêmes sensations que lorsque je découvrais une fille pour la première fois étant plus jeune.
Nous marchons vers un petit parc.
Je lui souris et je la fixe des yeux. Elle fait de même. Le temps s’arrête pour nous. Je m’approche d’elle et dépose un baiser sur ses lèvres, délicatement. Je m’écarte.
Maintenant, c’est elle qui s’approche. On s’embrasse du bout des lèvres pour commencer. Nos bouches s’ouvrent. Nos langues sortent et se découvrent. Elles partent dans un ballet à faire rougir Béjart.
Je commence à être passablement excité. Mon pantalon doit commencer à se déformer. Ma main a lâché sa main pour se positionner sur sa hanche. Mon autre main lui caresse le cou délicatement. Je ne sais plus où je suis. Je perds la notion de la réalité. Je vis l’instant présent à fond. Nous nous embrassons et plus rien ne compte pour moi.
Elle se colle à moi, je descends ma main sur ses fesses et je commence à les caresser. Elle se frotte à moi. Je décolle mes lèvres des siennes, et lui dis :
Nous avançons main dans la main. Je m’assieds sur le banc. Elle s’assied de côté sur mes genoux. Je passe une main dans son dos, et mon autre main sur son cou. J’approche ma bouche de son cou et le couvre de délicats baisers. Elle gémit. Elle aime ce traitement délicat et cette attention que je lui porte. Je remonte mes lèvres et je m’approche de son oreille, j’embrasse son lobe tout en lui susurrant ces mots :
Elle me répond par un gémissement.
Je lui lèche le bout de l’oreille, j’aspire un peu. Je lui dis doucement combien elle est désirable et sexy. Mon sexe est depuis longtemps au garde-à-vous. Une bosse déforme largement mon pantalon. Elle s’en aperçoit et pose sa main dessus. Je réponds par un gémissement "hummm oui". Je l’embrasse délicatement dans le cou. Ma main descend le long de son cou pour arriver sur sa poitrine. Je la sens ferme et tendue. Je caresse ses seins à travers son chemisier. Je les masse, j’en fais le tour. Ma bouche s’est approché de sa bouche et l’on s’embrasse passionnément désormais. Je titille ses tétons à travers le tissu. J’ôte délicatement un bouton à son chemisier, puis deux. J’écarte doucement cette paroi de tissu. Je peux maintenant découvrir son soutien-gorge si beau. Je le touche, le caresse. Je passe deux doigts entre le bonnet et la peau de son sein. C’est si doux… Je la caresse, mes doigts arrivent sur son téton que je sens durcir sous mes caresses. Elle soupire. Je lui pince délicatement le téton. Je fais la même chose à l’autre sein.
Pendant ce temps, elle n’a pas perdu son temps. Elle a continué à me caresser. Je ne me souviens pas avoir été aussi dur, tant l’excitation est grande. Elle a ouvert la fermeture éclair de mon pantalon et a glissé sa main sur mon boxer devenu plus que moulant. Elle me caresse en s’attardant sur mon gland. Elle glisse trois doigts entre le tissu de mon boxer et mon sexe. Elle le découvre du bout des doigts. Elle le caresse, le masturbe, elle titille mon frein … Je ne peux que lui répondre en gémissant.
Je la suis en laissant ma main sur ses fesses. Nous arrivons à sa voiture. Nous ne parlons plus, la tension sexuelle est telle qu’il n’est pas nécessaire d’ajouter un mot. Elle démarre et se gare rapidement à l’entrée de la forêt. Sa voiture est un petit utilitaire très propre qui nous offre une place énorme. Nous rabattons les sièges arrière en dix secondes et nous voilà avec un vrai petit lit à disposition.
Elle monte, je la suis. Elle s’allonge, je m’approche d’elle et je l’embrasse doucement. J’ouvre les derniers boutons de son chemisier et le lui retire. Son soutien-gorge est tendu tant ses seins sont excités. Je le lui retire doucement.
Je descends ma bouche et j’embrasse son cou, tout en lui caressant la poitrine. Maintenant mes deux mains s’occupent de ses seins. Ils sont superbes. Je les masse. Je les frotte, je passe mes doigts sur ses tétons. Je fais rouler les tétons entre mon pouce et l’index. Ils sont tout durs. Je descends mes lèvres et je couvre sa poitrine de baisers. Je les embrasse à en perdre la raison.
De son côté, D. prend un plaisir fou. Elle prend l’initiative de passer ses mains sous mon pull, elle aime ce qu’elle y découvre : une peau douce et légèrement parfumée. Elle a très envie de mon corps. Elle m’enlève mon pull et commence à me lécher partout, mes tétons se sont durcis au contact de ses lèvres douces. Je gémis de plaisir, elle ouvre donc délicatement la fermeture éclair de mon pantalon et y découvre une bosse. Son désir monte en elle comme un volcan en éruption, elle me caresse au travers de mon boxer, car elle adore faire durer le plaisir et elle voit sur mon visage que j’aime ça. Elle me retire mon pantalon et m’administre une fellation à me faire hurler, je bande très fort. Elle aime me sentir dur au fond de son palais, jouer de sa langue sur mon frein, bien creuser ses joues pour accentuer le bruit de succion. Je l’excite énormément.
De mon côté, je ne reste pas inactif, j’ai abandonné sa poitrine pour m’occuper de son sexe. Je commence par le caresser à travers sa robe qui devient vite humide, elle n’a jamais été aussi humide. Je remonte sa robe et caresse fortement le clito à travers son tanga. Je sais qu’elle aime se faire caresser à travers un tissu. D’ailleurs ce tissu est complètement humide. Je l’écarte et commence par souffler sur son sexe en ébullition. Elle est surprise par cette attention et gémis "waouhhh ! C’est terriblement surprenant". J’approche ma bouche de son clitoris déjà tout gonflé de plaisir, j’y dépose les lèvres. Nouveau gémissement. La scène est terriblement érotique : allongés à l’arrière d’un utilitaire en 69, de la buée sur les carreaux, nos deux corps en sueur, nus.
Je m’affaire à sucer son bouton de plaisir. Je l’embrasse, le suce, le lèche. Je le pince entre deux doigts et j’en suce le bout qui dépasse. Elle mouille de plus en plus. Elle a cessé de me sucer pour se concentrer sur son plaisir. Je vois ses lèvres s’écarter de plus en plus, elles sont luisantes de cyprine. Je décide d’aller explorer ce trou humide de mes doigts agiles. Au vu de la chaleur émanant de ce puits d’amour, je plonge directement deux doigts au plus profond d’elle. C’en est trop pour elle. Elle hurle et jouit sur mes doigts, un long filet de mouille s’échappe de son minou imberbe. J’en profite pour lâcher son clitoris et écarter ses lèvres de mes mains. Je plonge la tête à la source de cette fontaine exceptionnelle. Je suce son jus, je le bois. Le contact de ma bouche sur son sexe la fait encore exploser. Elle gémit de plus belle et moi, je me régale encore plus.
Elle se redresse un peu sur ses coudes et me dit :
Elle se met à genoux pour que je la prenne en levrette, elle adore cette position et moi aussi. Je me place derrière elle et je rentre tout seul. Elle répond à ma pénétration par un "hummmm" très prometteur. Je commence à faire des mouvements lents, mais tout en profondeur. Je me retire de temps en temps pour mieux rentrer en elle. Mes couilles claquent sur ses cuisses à chaque voyage. Son œillet tout fermé me fait de l’œil. Je décide de l’explorer. Je récupère un peu de son jus entre nos sexes et je commence à le répandre sur son anus. Au contact de mes doigts humides, je vois son trou s’écarter comme pour m’aspirer. Je suis étonné d’une telle facilité. Je décide de tester son élargissement en rentrant un doigt. il glisse tout seul à l’intérieur. Je me dit que vu la largeur de ce trou, elle ne doit pas sentir mon doigt tout seul. J’en ajoute un second et je commence à faire des va-et-vient. Elle répond à cette sodomie par un "oui, vas-y, encule-moi". Je me retire de son sexe tout chaud pour atterrir dans un autre trou tout aussi chaud. Mon gland est littéralement absorbé par son anus. Je rentre en elle aisément. Je commence des allers et retours. Au son qu’elle produit, elle semble beaucoup apprécier la sodomie. J’accélère les mouvements en la prenant bien par la taille.
Elle se caresse le clitoris en même temps et repart dans une nouvelle jouissance. Au fil de sa jouissance son anus se resserre et se desserre, exerçant sur mon sexe une pression intenable. Je lui en fais part :
Elle se retourne très rapidement et place sa tête sous mon sexe.
Je me penche pour mettre mon sexe dans sa bouche. Elle me resuce en me masturbant rapidement. Je ne tiens plus et je lâche tout. Elle n’en perd pas une seule goutte. Elle avale tout et me regarde, le regard brillant. Je me penche vers elle et je l’embrasse goulûment.
On se blottit l’un contre l’autre et on s’embrasse passionnément.
La tension sexuelle retombe doucement. On se câline, s’embrasse. Puis l’heure de la séparation arrive. On se promet de se revoir rapidement. Elle me ramène à la gare. Nos vies privées respectives reprennent le dessus, même si ces quelques heures de plénitude nous ont ravis et comblés de bonheur.