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n° 13574Fiche technique35091 caractères35091
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Temps de lecture estimé : 26 mn
26/11/09
Résumé:  Il fallait bien immortaliser notre premier trio.
Critères:  fhh nympho hotel fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fdanus fsodo init -lettres -totalsexe -couplea3
Auteur : Rocco si refroidi  (J'aime la langue française, surtout celle de ma femme.)            Envoi mini-message
Lettre à une nymphomane et à son mari dévoué

Cette lettre n’est pas une fiction. Je l’ai envoyée à un couple d’inconnus – ou presque – car je ne connais d’eux que le corps de la femme et pas franchement celui de son mari, puisque je ne suis pas bisexuel.


Notre rencontre a été due au hasard : par jeu, j’avais répondu à leur annonce sur Internet sans espérer une réponse. Cette annonce m’avait fasciné car je n’avais pas la moindre idée de ce qui motive un couple pour réaliser ce genre de fantasme, ce mélange d’offrande et de soumission à un parfait inconnu – qui plus est pour elle, sous le regard attentif de celui à qui elle avait juré la fidélité absolue :


Couple 29 ans aimerait rencontrer homme 35-55 ans pour moments très coquins. Madame sera présentée par son mari. Madame est très gourmande et veut s’offrir entièrement. Conditions à définir. Laissez photo et coordonnées pour réponse.



Je n’avais pas joint de photo à mon mail mais j’avais choisi d’écrire en étant plus courtois que racoleur, tout en laissant planer une odeur de souffre sur ce que pourrait être notre relation purement sexuelle. Ma réponse a été rapidement suivie d’un coup de téléphone de la femme pour me dire que non seulement ma proposition l’intéressait mais en plus, elle l’excitait !


Par défi, je lui ai demandé de discuter seulement avec son mari pour organiser notre rencontre. Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre que cette proposition lui plaisait énormément ! J’ai rarement senti autant d’excitation fébrile dans la voix d’une femme. Elle devait mouiller comme une folle à l’idée que son mari et un inconnu allaient s’associer pour profiter encore mieux de son corps !


Toujours au téléphone, j’ai eu une longue conversation avec le mari pour préparer notre rendez-vous dans un hôtel. Nous avons surtout parlé de nos motivations et assez peu de nos envies, sauf celle de procurer du plaisir à sa femme ! Pour eux comme pour moi, c’était la première fois que nous allions réaliser un trio.


En fait, ce couple était beaucoup plus équilibré que le laissait supposer leur démarche. Et le monsieur voulait simplement permettre à son épouse, à la sexualité débordante, de réaliser son fantasme de gourmande de deux hommes en même temps. Dans le fond Tina – ma propre compagne – m’a permis pratiquement la même chose en me laissant aller seul au rendez-vous que me donnait ce couple, pour un plan cul riche de situations nouvelles et de sensations intenses.


Après notre rencontre, j’ai témoigné ma reconnaissance à ce couple en lui écrivant cette lettre torride. Bien sûr, je n’ai évoqué que des vérités puisque je m’adressais aux personnes qui savaient tout de cette rencontre. Mais en mettant des mots forts sur nos actes, je voulais leur laisser un souvenir idéal de notre trio. Surtout pour elle, pour qui se donner à un inconnu sur ordre de son mari était un fantasme de soumission particulièrement excitant.


Si je publie ma lettre, c’est simplement pour tordre le cou aux idées reçues prétendant que forcément dans un trio, le mari est un cocu niais, la femme le fait à contrecœur ou l’amant est un profiteur. La réalité est heureusement plus belle que ces clichés sordides.


En tout cas, je crois l’esprit de ma lettre conforme aux fantasmes de ce couple sympathique et très libre dans son contact physique, mais si torride que j’en ai perdu partiellement mes moyens pendant nos ébats. Je n’ai changé que les prénoms pour préserver notre anonymat.



oooOOOOooo



Bonjour, Amandine et Didier. C’est Rocco.


Je voulais vous remercier pour la gentillesse et surtout pour la franchise de votre accueil, lorsque nous nous sommes rencontrés lundi dernier à l’hôtel.


Qu’il était agréable de pouvoir tout se dire, tout se demander sans détours, sans tabous et parfois même en riant de nos maladresses ! L’ambiance était torride mais nos esprits étaient libres ! J’avais peur d’être trop intrus dans votre couple mais votre décontraction m’a rapidement mis à l’aise. Tous les deux, vous avez fait le maximum pour m’accepter dans vos jeux intimes.


Pardonnez-moi d’avoir un peu gâché la fête en pleurant bêtement à la fin. J’étais certainement trop fatigué et quand c’est comme ça, je deviens excessivement émotif. Ce n’est pas étonnant si j’étais fatigué : non seulement j’avais skié plus que de raison la veille, mais j’étais tellement inquiet de ne pas réussir notre rencontre que j’avais dormi moins de deux heures la nuit précédente !

C’est promis, la prochaine fois je me reposerai correctement avant nos retrouvailles. Comme ça, j’aurai plus de vigueur pour Amandine. Je crois qu’elle est restée sur sa faim… Non ? Ah, bon. Mais oui, je plaisante ! N’est-ce pas, Amandine ?


Cette nuit-là, j’étais également surexcité à l’idée de faire l’amour à Amandine en la partageant avec toi, Didier. Surtout que tu m’avais fait une description très appétissante de ta femme ! Tant pour la beauté de tes seins, Amandine, que pour tout ce qui rend ton corps si attirant aux yeux de ton mari.


Il m’avait aussi dévoilé ton appétit pour le sexe et quelques petits secrets qu’il faut connaître pour te donner du plaisir. Il a été indiscret mais c’était pour une bonne cause : la tienne ! Oh ! Rassure-toi Amandine ! Il n’a rien dit de vulgaire. Et malgré la déformation de sa voix à cause du téléphone, j’ai senti que cela lui plaisait de me faire partager son goût de te faire l’amour. Il est généreux ton Didier et vous formez un beau couple. C’est sûrement à cause de cela que j’étais préoccupé par l’idée de partager avec vous le plaisir que vous alliez m’offrir. Je me demandais si je saurais être à la hauteur de vos attentes.


Si je dis : vos attentes, c’est bien sûr en premier à Amandine que je pense. Mais c’est aussi à toi, Didier et à ta volonté que j’éprouve du plaisir avec ta femme, pour qu’elle-même soit submergée de plaisir.


Je voulais que notre rencontre se passe d’égal à égal, sans en tirer plus de profit que toi, Didier, pour te donner raison de m’avoir fait confiance. Tout comme il t’a fait confiance en te jetant dans mes bras, Amandine. Mais quand même ! Didier t’a vendue à moi, comme une esclave de mon plaisir ! Crois-tu, Amandine, que ce soit encore une façon déguisée de Didier pour te plaire ? Oui. Il a fait cela pour toi, pour réaliser ton fantasme de soumission.


C’est vrai que tu semblais surexcitée à l’idée que j’allais faire tout ce que je voulais de toi, quand tu regardais avec des yeux exorbités les billets que je donnais à Didier pour acheter ton corps.


Amandine, j’ai fini par comprendre que tu ne voulais pas réellement que ton mari t’impose d’être baisée par un inconnu. En fait, tu mourrais d’envie qu’il muselle à ta place tes tabous en te donnant le droit d’être complètement prise par deux hommes en même temps, pour que tu puisses accepter sans rougir d’être gavée deux fois plus fort du plaisir dont tu raffoles tant.


Didier, tes indiscrétions coquines m’ont beaucoup aidé. Amandine, le jeu vraiment torride de la découverte de ton corps et de tous tes plaisirs a été fascinant pour moi. Si tu savais comme j’aime m’occuper de tes beaux seins et mordiller tes tétons ! Toi aussi, tu aimes ça ? Mais oui ! Je le sais bien puisque chaque fois que je le faisais, tu gémissais qu’il fallait que je continue à les mordre.


Amandine, je n’ai pas eu besoin de me forcer pour régaler ma langue de ton minou. Comme l’avait conseillé Didier ! C’était très bien que tu aies pris soin de l’épiler pour qu’il soit totalement impudique et agréable à lécher. Est-ce que c’est Didier qui t’avait conseillé de te préparer aussi bien pour offrir ton sexe à un inconnu ?


C’est étonnant : d’ordinaire, je ne suis pas très amateur de sexe aux lèvres charnues. Mais les tiennes sont douces et ta liqueur de femme a un goût très agréable ! Tu réagissais de façon si affolante, Amandine, quand je suçais tes lèvres généreuses ! J’aurais volontiers passé les deux longues heures que ton mari et moi avons consommées à te faire l’amour, rien qu’à user ma bouche et ma langue pour cajoler ton sexe. Pour mon plus grand plaisir ! Et aussi pour le tien, j’espère.


Merci, Amandine, de m’avoir permis de me rassasier de ton sexe aussi joli qu’excitant. J’ai du mal à dire si ce qui m’a le plus excité c’était d’y glisser ma langue, ma queue ou bien mes doigts. Chacune de ces façons de profiter de ta chatte m’a énormément plu, excité, chaviré, explosé ! Est-ce que cela se voyait ?


Notre tentative ratée de double pénétration restera un moment de doux délire ingénu… Mais nous réessayerons un jour ! Il faut être persévérant dans le plaisir.


Merci de m’avoir offert ma première sodo, Amandine. Je n’avais jamais osé le faire avant, par peur de manquer de respect à ma partenaire. Amandine, tu as su me mettre à l’aise. Non seulement tu m’as offert ton cul sans tabou, mais tu m’as offert un plaisir d’une intensité extraordinaire, en montrant que tu adorais cela. C’est sûrement parce que je voyais que cela t’envoyait en l’air que j’ai pu y trouver une telle jouissance.


Le plaisir féminin est vraiment imprévisible : comment deviner qu’enculer une femme aussi fort puisse réellement lui donner autant de plaisir ? Amandine, sentir ton cul se contracter et masser ma queue pendant que tu criais ton plaisir d’être embrochée comme cela… encouragée par ton mari qui t’embrassait comme un fou en exigeant, pour t’exciter encore plus fort, que tu avoues que tu étais une salope !


Amandine, tu lui as obéi presque en transe. Tu avais la chair de poule et tu répétais de plus en plus fort, à t’en soûler d’excitation, cette affirmation de ta perversité :



Tu criais pour te persuader que ton plaisir ne venait ni de ton cul ni de ma bite, Amandine, mais qu’il venait de ces claques insolentes que tu retournais à tes préjugés, en prononçant toi-même ce « salope » qui te traînait dans la boue ! Tu te choquais toi-même de ton envie immorale d’être l’esclave de ton plaisir sexuel démesuré, pire que bestial ! Tu voulais être un trou à bite, Amandine !


C’est pour cela que tu voulais te sentir embrochée jusqu’au fond du ventre. C’est ce que j’ai fait sans te ménager, en remuant mon dard dans ton cul pour te malmener aussi fort que tu le souhaitais. Ta voix était autant hachée par les effets de mes coups de boutoirs répétés dans ton cul que par ta surexcitation. Tu te rends compte ? Quel flash ! Je n’avais encore jamais vu une femme prendre autant de plaisir, rien qu’en se soûlant de pensées et de paroles humiliantes.


Amandine, je m’en veux de ne pas t’avoir fait pleinement jouir pendant cette sodomie. Tout ça par maladresse, parce que tes cris m’excitaient trop ! Et comme ton mari t’encourageait dans ton plaisir, je voulais te prendre encore mieux pour vous satisfaire tous les deux. Mais je suis maladroitement sorti de toi au moment crucial, juste à l’instant où je sentais, dans les tremblements de tout ton corps, que tu partais très fort et que ta belle jouissance allait te combler plaisir ! Qu’est-ce que j’étais déçu d’avoir gâché cela. J’espère que tu ne m’en veux pas trop ?


Si tu me donnes une autre chance, Amandine, je te promets que je ne faillirai pas à ma tâche. Je compte sur toi, Didier, pour persuader Amandine d’accepter que je l’encule de nouveau. Je veux racheter ma faute !


J’ai vraiment beaucoup aimé t’embrocher par le cul pendant que tu étais à quatre pattes, Amandine. Mais tu sais, bien remplir ta chatte c’est fantastique aussi ! Qu’est-ce que c’est bon de sentir ma queue bien moulée dans ton sexe chaud. J’aime bien ces deux façons d’honorer ton ventre de ma présence masculine. Et toi ? À voir comment tu réagis aussi sous les assauts fougueux de ton mari, du moment qu’on te prend bien, les deux te plaisent fort.


De toute évidence, même si tu proposes en premier d’être prise en levrette, c’est quand même en missionnaire que tu jouis le plus facilement. Ni moi, ni ton mari n’avons eu de mal à te faire jouir intensément dans cette position ! Mais c’était peut-être dû à ton état d’excitation exceptionnel, car même ton Didier semblait surpris de te faire exploser si fort et aussi vite ! Et nous nous lancions des regards étonnés et des sourires complices chaque fois que tu explosais longuement, Amandine, que ce soit quand c’était moi ou quand c’était Didier qui te faisait jouir.


C’est dommage que nous n’ayons pas réussi à te prendre à deux en même temps comme tu le souhaitais, Amandine. J’aurais beaucoup aimé sentir que ton mari te sodomisait pendant que je prenais du plaisir dans ton vagin. Nous t’aurions fait crier deux fois plus fort ? Didier t’aurait sûrement bâillonnée pour que les femmes de ménage passant devant notre chambre n’entendent pas tes hurlements d’orgasme…


Didier était gêné que tu exprimes aussi fort et aussi souvent toute l’intensité de ton plaisir sexuel. Surtout pendant que je te baisais et qu’il nous regardait faire, en attendant son tour. J’ai bien essayé de le persuader de t’accorder ce droit bien légitime, mais sa modestie naturelle souffrait de tes râles trop reconnaissables à l’extérieur de notre chambre. Même s’ils étaient étouffés par des murs épais.


Didier, j’ai compris que tu es bien trop poli pour prendre le risque de déranger des personnes que tu ne connais pas. À cause de cela, tu voulais réfréner les ardeurs d’Amandine. Tu voulais qu’elle crie moins fort pour que nos voisins puissent vaquer à leurs occupations sans bander en t’entendant jouir, Amandine…


J’ai bien cru que ton mari allait te fâcher pour que tu lui obéisses et que tu arrêtes de gémir si fort, pendant qu’il léchait ton entrejambes en écartant presque trop fort tes cuisses pour mieux enfoncer sa langue dans ton sexe si sensible.


Heureusement, Didier, tu as fini par rendre à Amandine son droit de s’exprimer librement lorsque j’ai dit que c’était sûrement habituel d’entendre ce genre de cris dans un hôtel et tu as fini par la laisser jouir librement du travail de ta langue sur son clitoris. Didier, Il n’y a que quand je plongeais ma queue dans la bouche de ta femme que j’arrivais à étouffer ses cris sans réprimer ses envies.


Si nous avions réussi la double, il y a une chose pour laquelle je me pose une question : dans cette position, je sais que chaque homme sent très bien la queue de l’autre quand il remue dans ton ventre, Amandine. Mais est-ce que ce contact aurait plu aux deux hétéros que nous sommes, Didier et moi ? Mystère…


J’y ai pensé quand je t’ai doigtée après nos essais de double pénétration, Amandine. Surtout quand j’ai plongé en même temps un doigt dans ton petit trou et deux doigts dans ta fente, pour bien stimuler tes deux fourreaux à plaisir. Je me disais que pour toi, enfoncer mes doigts dans tes deux orifices serait mieux que pas du tout de pénétration double !


J’ai senti que cela te plaisait beaucoup quand mes doigts se touchaient pratiquement dans ton ventre. Ils n’étaient séparés que par la mince paroi de ton vagin et ils fouillaient tout ton ventre en remuant bien tes entrailles. Didier souriait de satisfaction en voyant mes deux mains travailler à ton double plaisir. Ce plaisir devait très bien se voir sur ton visage, Amandine.


Là où j’étais, je ne pouvais pas voir ta figure, Amandine. Je ne voyais que tes fesses et mes mains qui te besognaient en cadence. Mais en regardant la figure de ton mari, qui te contemplait, j’ai imaginé que tu devais avoir un visage d’ange au paradis. C’est certain, puisque à cet instant, je lui ai demandé si cela te plaisait et il m’a répondu « Oui ! » avec un large sourire et des yeux pétillant de joie. Lui aussi était heureux que ton plaisir de femme s’épanouisse aussi fort.


Donc pour toi, Amandine, être prise simultanément par nos deux queues serait une très bonne chose. Il faudra à tout prix réessayer !


C’était aussi la première fois que j’enfonçais vraiment ma langue dans l’anus d’une femme. Je l’ai fait parce que j’ai senti que tu en avais envie, Amandine. Était-ce suffisamment hard pour toi ? Je crois que oui, car quand j’ai glissé ma langue entre tes fesses, tu les as contractées et tu as poussé un long gémissement tremblotant suivi d’un « Oh ! OUI ! » sans équivoque. Ça m’a beaucoup excité et ça m’a donné envie d’enfoncer ma langue plus fort et plus longtemps pour que tu en profites bien mieux.


Pourtant, le mot anulingus me soulève le cœur. Mais rétrospectivement, je n’ai pas eu l’impression de faire quelque chose de sale. J’ai seulement été étonné d’avoir subitement envie de poser ma langue sur ton anus. Était-ce simplement parce j’étais très près de tes fesses pour te doigter et que cette auréole d’un rose propre, joliment fripée et légèrement ouverte a attiré ma bouche ?


J’ai été immédiatement étonné que ça n’ait pas un goût rebutant. En fait, cela n’avait aucun goût. Peut-être parce que j’étais très excité ? Alors pourquoi n’aurais-je pas fait ce cadeau si excitant pour toi, si cela n’était pas rebutant ? J’ai donc simplement enfoncé ma langue pour voir ta réaction et je n’ai pas été déçu de mon initiative !


Que dire de tes qualités de suceuse, Amandine ? Je vais devoir aller le confesser à l’église :



Amandine ? Tu sais ce que cela représente une fellation, pour un homme ? C’est un cadeau de sa partenaire. C’est un cadeau, puisqu’elle ne le fait que pour lui, pour son plaisir ! Et je jure que du plaisir, tu m’en as donné une montagne chaque fois que tu m’as sucé.


Didier a-t-il déjà raconté ce qu’il ressent quand tu fais cela ? Jusqu’où, dans son ventre, remonte tout le plaisir que lui donnent ta bouche, tes lèvres et ta langue ? Jusqu’où se propage, dans ses reins, toute la chaleur de tes doigts branlant sa verge ? Ou bien encore les effets excitants de la compression de ses couilles, blotties dans les paumes de tes mains chaudes ? En tout cas, j’ai ressenti tout cela très fort.


Je caressais ta tête pour te remercier pendant que tu me suçais avec autant d’intensité, avec autant d’excitation. Quand je voyais les lèvres au maquillage rouge vif de ta petite bouche engloutir ma queue entre tes joues merveilleusement creusées par ton aspiration et par ton désir de me faire jouir… Pfffuuuuu ! Je n’en revenais pas non plus, que ta langue glissant sur mes couilles puisse donner si fort l’envie que tu n’arrêtes pas ! J’avais l’impression que je jouissais à chacun de tes coups de langue. C’était fa-bu-leux !

Si j’osais, si Didier le permettait, je t’appellerais volontiers : Amandine, reine des salopes et des suceuses.


J’espère que tu sais ce que c’est, une salope : c’est une femme qui adore baiser sans retenue, pour son plaisir et pour le plus grand plaisir de ses partenaires. Pour moi, ce n’est pas une insulte ! C’est le plus beau compliment que l’on puisse faire à une femme qui aime faire l’amour.


Tu aurais pu me sucer une heure durant sans que mon plaisir immense ne diminue. Je sentais bien que tu y mettais toute ta générosité. Merci, Amandine !


Et puis j’ai aussi beaucoup aimé te donner ma queue à sucer pendant que ton Didier s’occupait bien de toi : soit en te prenant en missionnaire, soit en léchant passionnément ta chatte. Qu’est-ce qu’il t’a fait jouir, ton mari ! Tu me suçais tellement fort que je crois que ça te donnait du cœur à l’ouvrage de sentir ton homme en bas pendant que j’étais en haut.


C’était super bon pour toi aussi. Non ? Bien sûr que si, Amandine ! J’en ai été persuadé quand j’ai pris place juste au-dessus de ta bouche et que j’ai vu que les mouvements de ta tête accompagnaient ceux de mes hanches. Tu n’as pas hésité à amplifier mes coups de bite dans ta bouche, comme si tu souhaitais que je baise ta bouche aussi bien que ton mari baisait ton vagin. Si bien qu’après, pour te remercier de sucer aussi goulûment ma bite, je n’ai pas pu résister au plaisir grisant de masser le pourtour moelleux de ton sexe pendant que Didier le léchait.


J’ai malaxé ton bel abricot, du bout des doigts de mes deux mains qui frôlaient les joues ton mari, pour que tu sentes bien que tes deux hommes s’occupaient de ton sexe uniquement pour ton plaisir. J’ai aussi caressé l’intérieur de tes cuisses pour augmenter le plaisir que Didier te donnait en lapant ton clitoris. Mais ça, c’était un peu égoïste de ma part car instantanément, tu m’as sucé plus fort.


Soit dit en passant, ça se voit que Didier te connaît parfaitement : il te baise merveilleusement bien, ton homme ! C’est excitant de regarder un couple qui fait bien l’amour. Surtout quand on trempe sa queue dans la bouche de la femme qui est déjà bien prise par son mari…


Je dois vous avouer une chose, à toi et à Didier : pendant une des fois où il t’a prise en missionnaire, j’ai profité que tu ne prêtais attention qu’au plaisir qu’il te donnait pour peloter outrageusement tes seins. Tu fermais les yeux, Amandine, et tu devais croire que c’était ton homme qui avait le don de s’occuper de tes seins comme tu l’aimes, en même temps qu’il pistonnait dans ton sexe avec fougue. J’espère que cela ne t’a pas empêchée de profiter du travail de Didier dans ton ventre. Je pense que ça allait, puisque tu as encore joui très fort à ce moment là.


J’ai été égoïste à la fin, Amandine, en te laissant t’épuiser à sucer ma bite à fond encore une fois. Mais qu’est-ce que c’était gentil et surexcitant, Amandine, de me demander avec insistance de jouir pour toi ! J’avais envie d’y arriver pour récompenser tes efforts, mais je n’ai pas réussi. Pourtant, tes efforts auraient dû me faire exploser dix fois dans ta bouche, tellement tu pompais fort ma queue. Mais ce n’est pas grave, je ferai mieux la prochaine fois. Et puis, tu m’avais déjà donné tellement de plaisir autrement, Amandine ! Ça ne m’a pas manqué.


Je vous dirai même, à tous les deux, que c’était très bien comme cela ! Car hier soir je me suis masturbé en repensant à toi, à la belle Amandine, à sa bouche aspirant mon gland et à ce qu’elle me demandait à ce moment-là. Eh bien j’ai joui. Mais mon plaisir a été bien moins fort que ce que j’ai ressenti quand j’étais en toi, Amandine. Quand je sentais que tu aimais que je te prenne profondément, que tu claquais mes fesses et que Didier nous encourageait tous les deux, pour que je te fasse l’amour avec beaucoup de vigueur.


En plus, Didier, tu as été trop attentionné pour moi : tu as demandé à Amandine si elle voulait bien nettoyer ma queue une fois que j’aurais joui en elle… J’étais stupéfait quand Amandine a répondu « oui » à ta demande de gentleman pervers !


Didier, je suis sûr que tu as exigé cela parce que tu aimes qu’Amandine le fasse avec toi. Et tu voulais que je ressente ce que tu partages avec elle, quand vous pratiquez ce jeu de domination qui vous affole.


Tu voulais vraiment qu’elle me fasse éjaculer, pour qu’ensuite je joue au macho qui oblige la fille qui le pompe à avaler tout son jus ? Tu voulais qu’Amandine pète les plombs, en s’obligeant à laper mon membre couvert de sperme ? Tout ça pour décupler le plaisir qui liquéfie son entrejambes, quand Amandine se sent ravalée au rang de bête de sexe aux ordres de son mari ?


Mais maintenant, j’ai honte : je viens de me rendre compte que tu n’as pas joui non plus, Didier. Je t’ai volé ton plaisir ? Ou alors, ton plaisir était de voir que ton Amandine en avait beaucoup ce jour-là ? Dans ce cas, je serais rassuré. Quand même… Amandine a joui de nombreuses fois et vraiment très fort au moins quatre fois grâce à notre collaboration. C’est peu ou c’est beaucoup, Amandine ?


Autre chose : Cette idée était généreuse, mais je ne souhaitais pas qu’Amandine nettoie ma queue couverte de sperme avec sa langue. Je ne la connais pas assez ! C’est TA femme, Didier ! Et j’ai compris qu’elle éprouve du plaisir à le faire avec toi. Alors s’il y en a un à qui elle devait offrir ce plaisir, c’était bien plus à toi qu’à moi.


En plus, je ne suis pas sûr qu’Amandine fût aussi avide de ma semence que ce que tu croyais. Et je ne sais pas si tes encouragements pour qu’elle avale tout l’excitaient vraiment. Enfin. Tu la connais mieux que moi, Didier. Mais si cela te procure vraiment du plaisir, Amandine, si tu aimes réellement boire du sperme frais, je te laisserai faire volontiers une autre fois. Et quand je dis « volontiers »… Wahouuu ! Mais à une condition, Amandine : il faudra t’abreuver tout autant aux deux sources qui s’offriront à toi : ton Didier et moi. Comme si nous étions deux sources de champagne blanc, pour porter un toast à la réussite de notre soirée de baise !


C’est tout de même un fantasme fort pour un homme, que sa partenaire garde la preuve de sa jouissance en avalant son sperme. Surtout si c’est elle qui l’oblige à éjaculer.


Je crois que c’est ce qui fait rêver les hommes qui souhaitent être attachés, pour ne pas pouvoir empêcher leur compagnes de voler tout leur foutre en les suçant jusqu’à plus soif. En quelque sorte, ils souhaitent qu’elles les vampirisent en aspirant fort leur pénis pour assécher leurs couilles, pour qu’elles seules profitent de leur jouissance d’homme.


C’est un peu excessif, mais c’est un beau fantasme de soumission et de générosité masculine. Mais est-ce aussi un fantasme de femme ? Mystère… Peut-être qu’une pure salope aime cela ? Peut-être toi, Amandine ? As-tu déjà fait cela avec Didier ?


Maintenant qu’un peu de complicité nous unit, je peux vous faire quelques confidences :


Amandine, tu as un mari formidable. Et comme je vous le disais, il fait tout pour te rendre heureuse et pour te combler de plaisir. Même s’il doit donner à un inconnu ce à quoi il tient le plus au monde, ce qu’il a de plus précieux : toi, Amandine !


J’ai eu raison de t’acheter à ton mari, Amandine. Tu le mérites, car tu es très précieuse : tu es une vraie femme ! En plus, tu as un de ces minous à la vulve d’un rose nacré si excitant, si désirable ! Mais tu sais que je pense vraiment cela : tu as entendu que je disais ce compliment à ton mari, en lui montrant ton sexe que j’ouvrais avec deux doigts au moment où je te broutais par derrière. C’était juste avant de te prendre une dernière fois en levrette et Didier nous regardait faire en se masturbant, assis à côté de nous sur le lit. D’ailleurs je plaisantais avec lui, en disant que seuls tes partenaires pouvaient profiter de cette face cachée de ta beauté, car la nature a placé le sexe des femmes à un endroit qu’elles voient difficilement.


Je suis sûr que si les hommes sont fiers de leur sexe, c’est justement parce qu’ils peuvent l’admirer sans avoir besoin de placer un miroir entre leurs jambes. Une femme est obligée de surmonter sa pudeur pour faire cette gymnastique afin satisfaire son ego. Alors qu’en baissant simplement les yeux, un homme peut en profiter tout le temps.


Mais toi aussi, Amandine, il a suffit que tu baisses les yeux pour savoir que tu plaisais autant à ton mari qu’à moi, quand nous avons quitté nos vêtements au début de notre rencontre. J’ai même été surpris que tes mains vérifient aussi vite la fermeté des preuves de ton sex-appeal. Cela faisait à peine dix minutes que je vous connaissais, toi et ton mari, que déjà tu avais empoigné ma queue et celle de Didier. Tu n’étais même pas encore toute nue, Amandine ! Tu es vraiment une gourmande.


C’est vrai que nous n’étions pas en reste : ton mari se tenait dans ton dos, il embrassait ta nuque en frôlant ton oreille (je sais maintenant que tu adores cela) et il avait déjà mis sa main dans ton string. Moi je pelotais tes seins en t’embrassant goulûment et tu respirais déjà très fort. Quand il a retiré sa main de ton string, j’y ai glissé la mienne. Tu fondais déjà d’excitation.


Je crois que c’est parce que ton excitation était extrême que tu nous as offert, à Didier et à moi, un vrai feu d’artifice de baise. C’est tellement vrai qu’à la fin de nos ébats, tu étais exténuée. Tu n’en pouvais plus de tirer des feux de Bengale de plaisir et ton corps était réellement brûlant ! Il a fallu que je passe un gant de toilette frais sur ta nuque et sur tout ton dos, pour que tu parviennes à reprendre tes esprits et que tu redeviennes sage.


J’ai été surpris de sentir que tu repartais pour un tour, alors que je léchais lentement ton tendre minou pendant que tu reprenais ton souffle. Je tentais pourtant de faire descendre doucement la pression de ton excitation en léchant délicatement ton sexe, simplement pour qu’il soit enfin respecté et non plus écrasé, dilaté, perforé, défoncé par nos queues ! Comme il l’avait subi pendant si longtemps. Mais tes hanches ont commencé à rouler. Et plus je diminuais ma pression, plus les caresses de ma langue se faisaient légères sur ton clitoris et plus des « Oui ! » affolés montaient de ta bouche ! Mais c’est peut-être aussi parce qu’au même moment ton mari cajolait tes seins ? Toujours est-il qu’une fois de plus, tu as bien joui. Moi qui croyais te détendre, je t’ai encore plus épuisée, pauvre Amandine.


Il a fallu que je t’allonge sur le ventre, que je caresse et que je masse lentement tout ton dos, tes fesses pommelées et tes jambes fines, jusqu’à envelopper affectueusement tes chevilles dans mes mains, sous le regard bienveillant de Didier, pour que tu redeviennes toi-même : la petite Amandine toute sage, avec ses cheveux impeccablement rassemblés en queue de cheval et ses petites lunettes posées au bout de son nez de souris, à qui on donnerait le gruyère et le bon dieu sans confession. Tu étais encore nue, étendue sur le lit, mais tu étais redevenue celle qui semblait rosir de timidité quand elle est entrée dans la chambre et qui a baissé les yeux quand je lui ai dit :



Coquine, va ! Amandine, tu mériterais une fessée à cul nu pour être aussi gourmande !


Si j’avais le temps, je parlerais aussi de tes yeux pétillants, de ta petite bouche carmin, de tes baisers affolants et de ta voix suave. Mais je n’en finirais pas ! Et puis j’aurais peur de te faire rougir. Et seul Didier, seul ton mari a le droit de te faire rougir en te complimentant.


Amandine, tu disais en arrivant à notre rendez-vous que tu n’étais pas un canon. Mais sincèrement, tu es un beau brin de femme sexy. Heureusement que tu aimes Didier et que tu es fidèle à ce mari généreux. Sinon, il aurait du souci à se faire !


Et toi, Didier, tu es un vrai homme : sincère et droit. C’est rigolo, cela transparaît même dans ta carrure : tu en imposes comme une armoire bien stable. Mais je suis certain que tu es un nounours, un doudou pour ton Amandine.


Didier, tu m’as guidé pour que je profite pleinement d’Amandine sans la moindre jalousie. Seul comptait le plaisir de ta compagne. Même si j’en ai abondamment profité, et presque abusé à la fin. Je n’ai pas ménagé mon plaisir d’en donner à Amandine. Et guidé par tes coups d’œil et les manifestations d’excitation d’Amandine, c’était facile et vraiment très hot !


C’est dommage ! Si Didier et moi ne t’avions pas aussi rapidement usée, Amandine, j’aurais aimé passer encore un long moment à laisser se battre nos plaisirs en duel et en trio…


Amandine ? Est-ce qu’avec deux hommes, c’est deux fois plus fatigant pour toi que d’habitude ? As-tu rendu tes armes sous nos coups de bites rudes ? N’as-tu pas su t’abriter de nos pluies de caresses sans perdre ton souffle ? Tu étais exténuée lorsque nous nous sommes quittés. Faudra-t-il, Didier et moi, nous montrer moins gourmands de toi la prochaine fois que nous ferons l’amour ensemble ?


Amandine, j’ai remarqué qu’un peu de domination ne te déplaît pas. Tu aimes être à l’écoute et aux ordres du plaisir de tes partenaires. Alors je te donne un ordre : chéris ton mari affectueusement. En lui faisant l’amour tous les jours, par exemple. Il le mérite bien ! Mais je crois que tu le fais déjà.


Didier, tu as une femme formidable ! Elle exprime ses envies avec une telle spontanéité que c’est un régal de chercher à les satisfaire. Comment pouvais-je résister au plaisir de me rapprocher de sa bouche, alors qu’Amandine était à genoux devant nous, lorsqu’elle a saisi nos queues pour nous sucer l’un après l’autre, presque en même temps et avec la même envie dévorante ?


Et que dire de sa façon torride de se donner en levrette, en me suppliant d’agripper son cul à pleines mains et en me donnant sa chatte à fourrer avec fougue pendant qu’elle t’embrassait ? À moins qu’elle te suçait ? Je ne sais plus très bien.


Didier, c’était bien qu’à certains moments tu m’encourages à mieux faire l’amour à Amandine et avec plus de tonus. Cela me rassurait doublement : je n’avais plus peur de gâcher tes envies de ta femme et je me disais que si tu le demandais, c’est que tu savais que cela plairait beaucoup à Amandine.


Notre association de malfaiteurs (ou de bienfaiteurs ?) pour piller son plaisir de femme, pour voler sa jouissance de sublime salope… Quel pied j’ai pris ! J’ai bien vu que ce plaisir était égal pour tous les trois.


Amandine, Didier, Rocco : une pour tous, tous pour elle !


Quelle belle devise pour des complices de baise et pour ce plan cul torride !


Amandine, oserais-je encore susurrer au creux de ton oreille mon envie de fouiller ton sexe mouillé et d’en écarter les lèvres du bout de ma langue pour cajoler ton clitoris, ta perle de femme, celle qui fait briller si fort ton plaisir ?


Didier, avant qu’on se quitte, tu as dis que j’étais courtois. Mais je ne saurais pas être un salopard ! Ni même un macho. J’aurais trop honte ! Sauf pour jouer ce rôle, dans un jeu bien chaud ? Pourquoi pas ! Mais mon éducation fait que j’attache beaucoup d’importance au respect des gens que je côtoie.


Amandine a dit que nous avons tout fait ensemble. Mais il reste des tas de choses excitantes à faire ! Nous l’avons fait dans un lit, mais il y a beaucoup d’autres possibilités à ce jeu. Même sur une table ou debout sous la douche, ou… Et puis, vous faites l’amour ensemble depuis près de quinze ans en y prenant chaque fois un plaisir nouveau ! Donc : il reste de quoi faire… Nous pourrons développer d’autres fantasmes ensemble, si vous le voulez bien ?


Le mot de la fin : c’était agréable !


Ce mot a l’air trop simple pour dire ce qu’ont été ces plus de deux heures passées sans autre but que nous donner mutuellement un plaisir maximum sans relâche. Mais justement, nos plaisirs m’ont semblé d’une puissance tellement simple et curieusement, tellement saine et dénuée de mauvaise pensée, que le plus évident est de dire que ces instants ont été très agréables. En rentrant chez moi, j’avais l’impression que l’air que je respirais était plus pur, plus frais…


Je rêverai longtemps de nos étreintes sans tabous… Jusqu’aux prochaines ? Vous aussi ? Je l’espère de tout cœur. Et même si vous rêvez de réaliser des scènes encore plus chaudes, tant que cela sera dans le respect mutuel, je suis prêt à y participer.


Portez-vous bien, et aimez-vous. Faites l’amour… le plus souvent possible !


Amicalement. Rocco


PS : j’espère que je n’ai pas été trop cru dans cette lettre. Mais je n’ai fait que vous dire ce que j’ai ressenti l’autre jour. Et c’est très important que vous le sachiez. Voilà, c’est fait.


A+ Je vous embrasse tous les deux.


Ah ! J’allais oublier : je ne serai pas joignable durant toute la semaine prochaine. Je la consacre à Tina, ma petite brune que j’adore et qui m’aime si fort, et à des amis avec qui nous allons à la neige.