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n° 13580Fiche technique20970 caractères20970
Temps de lecture estimé : 12 mn
30/11/09
Résumé:  Le court récit d'une soirée en discothèque, qui dégénère.
Critères:  fh jeunes couple boitenuit danser voiture toilettes jalousie voir exhib noculotte lingerie hmast fellation -couple -boitenuit
Auteur : Mademoiselle      Envoi mini-message
Il t'en restait au coin de la bouche

Aujourd’hui, ils avaient prévu d’aller en boîte de nuit. Elle adorait danser. Ce qu’il préférait personnellement dans leurs virées en discothèque, c’était quand elle bougeait contre lui. Vraiment contre lui…


Cela faisait une heure qu’elle se préparait dans la salle de bain et il avait interdiction d’entrer.



Elle était parfaite… pour une soirée de galipettes en amoureux à la maison !



Et elle sortit de l’appartement en courant. Il la suivit avec sa résignation, sa jalousie et, il faut bien le dire, son érection déjà prononcée ! Il était vrai que ses habits dévoilaient plus qu’ils ne cachaient. Elle portait un corset avec une jupe à volants courte, très courte. Elle avait ajouté au tableau des bas résille et des bottes à talon haut. La panoplie parfaite de l’allumeuse. Mais hors de question que les autres hommes aillent regarder sa chérie !


Elle l’attendait devant la voiture.



Il démarra la voiture. Elle s’amusait de le voir ainsi jaloux. Elle avait en effet choisi sa tenue aguicheuse, à la limite de la décence. Mais c’était lui qui allait en profiter. Pourtant, à quoi bon lui dévoiler le programme des réjouissances dès maintenant ? Elle préférait le voir fulminer devant ses jambes dévêtues. D’ailleurs, il ne faisait pas que fulminer…



Il se gara au bord de la petite route de campagne sur laquelle ils roulaient. Elle caressa doucement cette petite bosse qui était apparue. Elle adorait deviner sous ses doigts, à travers le tissu, le sexe de son chéri. Elle fit doucement descendre la fermeture de la braguette… Et en deux temps, trois mouvements, il se retrouva à moitié nu. Assez en tout cas, pour laisser son membre aux bons soins de mademoiselle !



Elle fit courir sa langue sur le pénis qui lui était offert. Elle le "torturait" comme ils se le disaient parfois. Et apparemment, il appréciait. Il aima encore plus quand elle le prit dans sa bouche. Cependant, elle se retira vite. Puis, elle entoura de nouveau le sexe de ses lèvres. Et encore une fois, elle le laissa. Elle prenait un malin plaisir à voir sa frustration à chaque fois qu’elle abandonnait son début de fellation. Elle sentait qu’il en aurait bientôt assez. La "torture", comme toutes les bonnes choses, se pratique avec modération. Alors, elle resserra ses lèvres autour de la verge et commença ce mouvement de va-et-vient qui le ravissait. Elle était en outre dans une position assez excitante. Elle avait un genou sur son siège et le pied de son autre jambe posé par terre. Il en résultait que ses cuisses étaient légèrement écartées. Et comme elle se penchait pour pouvoir le sucer, sa toute petite jupette ne cachait plus rien de ce qu’il était le seul autorisé à regarder. Il glissa une main sous son string et caressa doucement sa chatte trempée de désir. Elle gémit et redoubla ses efforts. Il ne voyait d’elle que sa tête qui bougeait de plus en plus vite et ses fesses qui ondulaient au rythme des caresses qu’il prodiguait à son clitoris.



Puis, décidant que l’heure n’était pas aux palabres, elle accentua ses mouvements. Le pénis bandé entrait entièrement dans sa bouche avant de venir buter au fond de sa gorge. L’érotisme de la situation amplifiait l’effet que provoquaient les lèvres de sa belle. Sentant la jouissance approcher trop tôt, il décida de la calmer à sa manière. Ses doigts se firent plus insistants sur le sexe gonflé de désir de la suceuse… qui se mit à gémir de plus belle. Ce qui ne n’aida pas Monsieur à tempérer ses ardeurs !



Il l’embrassa tendrement. Puis il ôta doucement son corset. Et découvrit une guêpière.



Il défit sa jupe et enleva lentement son string. Puis il fit basculer son siège et l’allongea. Il se glissa ensuite face à elle, entre ses cuisses. Il embrassa son intimité avec douceur. Il y promena sa langue, s’amusant des soubresauts qu’il provoquait. Elle caressait ses cheveux, geste d’amour qui lui permettait également de maintenir la tête de son amant près de son sexe. Il se focalisait à présent sur son clitoris, pour le plus grand plaisir de sa douce. Il alternait avec talent les suçotements et les léchouilles, laissant parfois quelques secondes de répit… pour ensuite mieux la faire gémir. Le son de sa jouissance emplissait tout l’habitacle et lui plaisait autrement plus que l’habituel bruit de la radio. Leurs ébats avaient provoqué une dense buée sur les vitres qui les protégeait des regards indiscrets. Une oreille attentive aurait cependant sans doute pu deviner ce qu’il se passait dans cette voiture…


Elle, en tout cas, perdait de plus en plus conscience de ce qui l’entourait. Elle était toute à sa jouissance, haletante, se moquant éperdument du fait d’être découverte ainsi, outrageusement offerte à son chéri. Lui ne pensait plus qu’à une chose : l’entendre et la voir jouir. Sa langue fouillait frénétiquement les recoins de sa chatte. Puis, elle se raidit et plaqua la tête de son homme entre ses cuisses. Elle ne retint pas son orgasme comme elle en avait l’habitude. Il était littéralement fasciné. Elle mit quelques secondes à se remettre, gardant les cuisses serrées, les contractant parfois, derniers restes de plaisir… Puis elle ouvrit les yeux.



Il redémarra à contrecœur, après s’être rhabillé. Elle jubilait de le voir ainsi frustré. Si seulement il savait ce qu’elle préparait… Le reste du voyage se fit sans un bruit. Il boudait. Elle s’amusait. Il se souvint soudain de la tenue vestimentaire de sa chérie.



Ils arrivèrent enfin sur le parking de la discothèque. Dans la voiture, le silence était pesant.



À l’entrée, le vigile la regarda longuement, sans se gêner.



Avant que l’amoureux jaloux ait pu protester, elle avait déjà dévoilé le haut de ses cuisses, ceintes par la dentelle des bas, retenus par les jarretelles.



Il fulminait. Elle se comportait comme la pire des pétasses.



Ce petit jeu de chaudasse commençait à l’agacer sérieusement. Il l’accompagna néanmoins au bar. Alors qu’il commanda un modeste jus d’oranges, il l’entendit demander un verre de malibu.



Elle but son verre rapidement. Ses joues rosirent. Lui seul pouvait s’en rendre compte. Il savait parfaitement ce que cela signifiait : l’alcool lui montait à la tête. Et, quand elle était dans cet état, elle se découvrait une certaine propension à l’exhibition. Très agréable en privé. Assez gênante en public.



Et sur un morceau de simili-zouk, elle commença à mettre son plan à exécution. L’arrière-train collé au bassin de son partenaire, elle se déhanchait en rythme. En prenant un soin particulier à appuyer ses mouvements. L’érection ne tarda pas à se faire sentir. Elle devinait le pénis contre son cul, enfermé dans sa prison de tissu. Elle n’avait qu’une envie : l’aider à s’en évader ! Mais la soirée ne faisait que débuter. Elle se « contentait », pour le moment, de le branler avec ses fesses, sous le regard des hommes seuls.



Sa jalousie s’était calmée. Il n’appréciait toujours pas le fait que sa chère et tendre soit si peu vêtue, mais il comprenait peu à peu qu’il allait pouvoir en profiter par la suite. Pourtant, quant à ce qu’elle avait bien pu lui préparer, il n’en savait rien.


Elle se retourna vers lui et l’embrassa. Il sentit ses lèvres, douces, tendres, chaudes. Elle se blottit contre lui. Elle dégageait un parfum enivrant, d’autant plus qu’il percevait les moindres détails de son corps. Ses seins, son ventre, ses cuisses… Il n’avait bu aucune goutte d’alcool, mais la tête lui tournait. Il aurait voulu la prendre, là, tout de suite.



Et il la vit disparaître vers les toilettes. Il regarda autour de lui. Le thème de la soirée avait amené un public assez particulier. Les filles étaient très peu vêtues. Sa douce, si elle se faisait remarquer, ne détonnait pourtant pas. Elle incarnait en quelque sorte l’exemple à suivre dans ce genre de soirée : « Mesdemoiselles, soyez aguicheuses, sexy, impudiques. »


Les serveuses donnaient également la voie à suivre. La plupart était en sous-vêtements. L’une d’entre-elles avait même mystérieusement perdu son soutien-gorge. Elle exhibait fièrement une paire de seins siliconés. Ses collègues n’hésitaient pas à ajouter encore plus de sensualité à la scène. Elles lui caressaient les tétons, se frottaient contre elle, s’embrassaient langoureusement en se tripotant…


Il aimait plus que tout sa petite amie, mais ce spectacle ne le laissait clairement pas indifférent. Ce qui le sortit de sa contemplation, c’est un bout de tissu qui se balançait devant son nez… Le string de sa belle !



En effet, bon nombre d’hommes avaient vu le léger sous-vêtement et se doutaient bien que la demoiselle qui portait une jupe si courte dévoilerait bien des merveilles si elle se penchait trop.



Avant qu’il ait eu le temps de répondre (par l’affirmative !), elle s’assit à cheval sur ses genoux. Il sentit alors l’humidité de sa chatte à travers le tissu de son pantalon.



Elle la glissa sous sa jupe. Il se faufila jusqu’à son intimité, trempée. Elle gémit doucement et ondula contre les doigts de son homme. Puis elle se releva rapidement, laissant apparaître, pendant quelques fractions de seconde, son sexe. Il crut exploser de jalousie et de désir. Il la voulait maintenant, pour lui seul. Les regards des autres hommes se faisaient trop insistants, elle était à lui !


Elle partit prestement vers la piste de danse. Il la suivit de très près, lançant des regards meurtriers aux mateurs indiscrets. Elle jubilait de le mettre dans un tel état : mi-désir, mi-jalousie. Malgré tous les efforts de son amant, elle était clairement le centre de l’attention des hommes. Pour éviter les mains baladeuses, elle se blottit contre son chéri, qui s’empressa de l’entourer de ses bras.



Et elle l’embrassa avec toute la tendresse dont elle pouvait être capable. Elle laissa ses mains parcourir le corps de son homme. Ses cheveux, son dos, ses fesses… Elle se faisait prendre à son propre jeu. Son but était de le rendre fou, mais elle sentait bien que la situation lui échappait. Elle aurait tant voulu lui appartenir, maintenant, peu importait les gens autour, elle ne voulait que lui, et tout de suite.


Il faut dire que l’ambiance générale s’était sensiblement réchauffée. Sur les podiums de la boîte de nuit, une strip-teaseuse était apparue. Elle était totalement nue et avait choisi un homme dans la foule. Elle avait commencé par le déshabiller également. Maintenant, tout le monde pouvait admirer leurs deux corps. Elle avait une poitrine généreuse mais ferme. Quant à lui, il était musclé et avait un membre d’une taille plus qu’honnête. À eux deux, ils formaient le parfait couple de film porno. Elle s’agenouilla et commença à caresser la bite qui se trouvait à quelques centimètres de son visage. Puis, sans autre sommation, elle enfourna la queue dans sa bouche et commença à sucer l’heureux inconnu. Elle engloutissait le sexe jusqu’à la base, sa bouche semblait remplie du sexe de l’homme. Elle suçait un étranger, et ce, devant tout le monde.


Notre couple regardait la scène avec attention. Mademoiselle avait de plus en plus de mal à contenir son excitation et elle n’était pas seule. Autour d’elle, les autres clients de la boîte commençaient eux aussi à avoir de délicieuses envies de lubricité. Les femmes se découvraient, l’une laissait apparaître un sein, l’autre relevait sa jupe bien au-dessus que ce que la pudeur exige. Les hommes contemplaient cette débauche de corps avec plaisir. L’atmosphère était bestiale. Personne ne cherchait plus à cacher sa soif de jouissance.


Notre demoiselle ne tenait plus. Elle ne pensait plus qu’au sexe de son amant. Elle voulait se sentir dominée, esclave de son plaisir et de ses envies. Et plus que tout, elle voulait elle aussi participer à ce déchaînement sexuel.


Elle lui prit la main, et en le regardant droit dans les yeux, la glissa sous sa jupe. Les doigts de son homme vinrent immédiatement taquiner ses lèvres intimes. L’idée de se faire caresser au milieu de tout ce monde était délicieuse. Il précisa ses attouchements sur son clitoris et elle ne put réprimer un gémissement. Elle se fichait bien qu’on l’entendît. Plus rien n’importait plus à ce moment que son plaisir, celui qu’elle avait longuement entretenu pendant toute cette soirée.



Elle l’entraîna alors vers les toilettes. Sans faire attention aux regards amusés qu’on pouvait leur lancer, ils entrèrent dans la première cabine qu’ils trouvèrent. Le peu de vêtement qu’elle portait encore tomba rapidement à terre. Il l’attira violemment à lui et l’embrassa, tout en laissant courir ses mains sur ses fesses, ses seins, sur sa fente inondée de plaisir. Puis il la retourna et la força à se pencher, les mains en appui contre la porte de la cabine. Il sortit son sexe de son pantalon, droit et dur comme jamais. Enfin, il se trouvait en position de force. La situation s’était retournée. Elle était nue, offerte à lui, n’attendant que sa bite. L’esprit revanchard, il ne lui accorda pas tout de suite ce qu’elle espérait. Au contraire, il s’amusait à frôler ses lèvres, son clitoris, avec le gland de son pénis. Elle gémissait comme la pire des chiennes, elle avait perdu tout contrôle d’elle-même.



Il consentit alors à la satisfaire (et à se faire plaisir par la même occasion !). Il enfonça son sexe au plus profond de sa belle. De gémissements, elle passa alors aux halètements. À chaque coup de boutoir, elle poussait un cri de plaisir. Il était impossible pour quiconque se trouvait dans les parages d’ignorer les activités des occupants de cette cabine. Ses seins sautillaient au rythme de la bite qui la pénétrait. Sa jouissance résonnait dans toute la salle, alors qu’elle ne sentait plus que ce pieu qui l’emplissait.


Soudain, il se retira, la remit face à lui et la força à s’agenouiller. Il prit son sexe en main et commença à le branler. À cette vue la demoiselle ouvrit la bouche, prête à accueillir l’offrande. Ce qui ne tarda pas. À grandes giclées, il lui maquilla sa jolie frimousse. Et sans un mot, il rangea sa bite, essuya son visage et la releva.



N’étant pas en position de protester, vue la soirée qu’elle lui avait fait passer, elle s’exécuta, non sans amertume. Sortis des toilettes, tous les regards étaient tournés vers eux. Une jeune femme s’approcha d’elle et l’embrassa langoureusement, ne se gênant pas pour lui caresser les seins, les fesses…