n° 13581 | Fiche technique | 106094 caractères | 106094Temps de lecture estimé : 67 mn | 30/11/09 |
Résumé: Une journée que notre voisin n'est pas près d'oublier... | ||||
Critères: fh hplusag jeunes voisins vacances voir exhib nudisme noculotte photofilm massage fellation pénétratio confession -totalsexe -hplusag | ||||
Auteur : Julia |
Nous sommes arrivés dans notre maison de vacances début juillet comme les autres années. Ça fait dix-huit ans moi que j’y viens, et mes parents vingt. Maison de vacances. NOTRE maison. Ma copine, Agnès, vient avec nous depuis quelques années également.
Toute la rue est habitée par pratiquement les mêmes personnes depuis la création de ce quartier, et tout le monde se connaît ou presque. Nos voisins sont les mêmes, et on se retrouve presque à chaque fois. Cette année, Tonton, notre voisin de gauche, est arrivé avant nous et il nous accueille avec l’apéritif comme de coutume. On l’appelle Tonton, surtout moi, car il a 61 ans cette année et a toujours été pour moi comme un tonton. Il m’a vue grandir, et tous les ans il me dit que je suis plus grande que la fois dernière, et maintenant il rajoute "plus belle…". Il est retraité depuis trois ou quatre ans, je sais plus, sa femme aussi. Elle est super gentille et quand j’étais petite elle me gâtait toujours de glaces, de gâteaux ou autres, et même me gardait parfois quand mes parents allaient en courses et aussi le soir s’ils étaient invités chez des amis, et que ces soirées n’étaient pas trop pour les enfants. J’ai compris maintenant de quoi il s’agissait… Je connais leurs amis et la villa superbe qu’ils ont sur le bord des canaux. J’y ai fait trois séances de photo dans leur piscine depuis. Il est vrai que le cadre est magnifique.
Tonton et sa femme profitent de leur maison plus longtemps et plus souvent que nous. On l’appelle le « chef de rue » ! Il sait tout. La gazette ! Il doit mesurer 1 m 85 environ, cheveux gris et longs (catogan), un peu de ventre mais pas trop, il a la peau toute dorée, et ce que je trouve assez sympa quel que soit le physique des gens, c’est qu’il est tout lisse de partout. Pas un poil sur le corps, ou du moins très peu, à part une petite touffe de poils sur le torse, poils gris comme ses cheveux, et sa peau lisse et un petit peu craquelante lui donne un air assez marrant. Un gros bonbon caramel !
Depuis quelques années, il me regarde avec une petite lueur supplémentaire quand on arrive, et de plus, mais il n’a pas trop osé demander, il est intrigué de voir que je viens avec Agnès et qu’on a l’air bien plus proches que de simples copines. Ça l’intrigue, ça, le Tonton, et même que ça doit lui donner un petit frisson de nous voir main dans la main ou de se faire des bisous sur la terrasse. À voir sa façon de nous regarder, il ne sait pas si c’est juste un comportement de copines ou si nous sommes vraiment « ensemble ». Est-ce un jeu ? Nous sommes toujours très joueuses justement, alors une attitude plutôt rigolote ou… ?
Donc, cette année, à peine les valises défaites, nous sommes à l’apéro chez eux (dix mètres à faire pour passer d’une maison à l’autre), et porto et tapas oblige ! Rythme espagnol et estival de rigueur dès l’arrivée. Conversations classiques pour résumer l’année de chacun. Agnès et moi on participe, mais en se moquant gentiment d’eux. Encore un jeu.
Il a du mal à nous quitter des yeux cette année ! Oui, je sais… Les jupettes de 30 cm et les petits hauts au-dessus du nombril, ça attire l’œil d’un Tonton. Et s’il savait que dessous… Il n’y en a pas justement… Les années passées déjà, il aimait bien nous regarder partir avec nos petites tenues un peu sexy, et surtout pendant nos séances de bronzage dans le jardin, quand il osait à peine regarder par-dessus la haie. Haie qu’il coupe soigneusement pour qu’elle soit assez haute pour nous protéger et assez basse pour pouvoir observer un petit peu par-dessus… C’est malin un Tonton ! Parfois il avait droit à maman, Agnès et moi, comme si on ne le savait pas. Maman disait que le pire serait qu’il perde un œil. Sinon on s’en moque un peu, n’est-ce pas les filles ? Et tout le monde se bidonnait en l’imaginant ramassant son œil sur la pelouse.
Et il devait envier la place de Papounet, nu lui aussi, qui bronzait avec ses trois « gonzesses » nues dans le jardin. On ne s’est jamais vraiment cachés. Ça fait partie de notre façon de vivre ici, et il est le seul des voisins à pouvoir nous apercevoir, l’autre côté étant totalement fermé par un abri, sous lequel papa avait installé une douche de jardin, et le mur de la maison voisine. Ça nous permettait de nous rafraîchir en permanence pendant nos moments de bronzette. De jouer à nous arroser parfois, et même de nous laver, surtout toutes les deux, ce qui avait le don de déboussoler un peu le père. Il faut avouer qu’on en jouait un maximum, en nous lavant réciproquement avec des gestes tendres, voire un peu coquins. On était pliées de rire à le voir se retourner sur son transat, ou partir en bougonnant parce qu’il se sentait gêné de nous voir ainsi. Gêné et quelque peu ému…
Tonton n’a jamais osé venir avec nous dans notre jardin. Mais sûrement il prenait un vrai plaisir à regarder tout ça pendant que madame faisait sa sieste ou était en courses. Son petit plaisir. Il sait que nous allons le plus souvent sur les plages naturistes du secteur. Il y en a deux de chaque côté de la plage traditionnelle, ainsi qu’une crique assez sympa à quelques kilomètres de là. Il a osé venir une fois avec nous sur une de ces plages, mais il avait un peu de mal… trop de filles qu’il disait en riant ! Pov’ Tonton ! Il était resté scotché sur sa serviette, assez mal à l’aise, et cachait son sexe quand on le tirait pour aller à l’eau, ou qu’on lui demandait de jouer avec nous sur la plage. Ça nous amusait bien. Il regardait partout en même temps pour ne rien louper de tous ces corps offerts aux regards et sans pudeur et aussi pour s’assurer que personne ne le regardait, lui. L’attitude classique de tout invité novice sur ce genre de plage. Ou du voyeur…
Donc, apéro, regards inquisiteurs sous nos jupettes, ce que maman a noté et ce qui a failli la faire partir dans un grand fou rire, aidée par le porto, certes ! Papa aussi a remarqué et il me fait un petit signe pour me dire : « Oh, les filles ! Vous allez nous l’affoler le papy ! ».
Lui s’affolait plus trop, habitué qu’il est de nous voir, soit en très petite tenue, soit nues pour déjeuner ou autres moments de la journée, et tout simplement sur les plages. Et aussi pendant le voyage en voiture où nos tenues sont réduites au minimum. Très souvent ce sont des jupettes sans beaucoup de tissus au-dessous, du moins rien d’étouffant, ou comme cette année : rien… À l’aise ! Et le rétroviseur du Papounet il n’est pas trop réglé pour les voitures…
Et la discussion est partie sur le Musée Dali de Figueras. Et moi, Dali, je ne peux pas ! Mais alors pas du tout ! Et le musée avec une attente de deux heures minimum sous le soleil ! Non merci. Agnès essaie un peu de me convaincre mais pas trop, elle me connaît, elle n’insiste pas mais elle a envie d’y aller cette année. Ils programment ça pour le surlendemain (mardi), et donc moi je prévois de rester à la maison, seule jusqu’à au moins seize ou dix-sept heures parce qu’ils vont aussi faire les boutiques en ville. Ce qui me laisse le temps de m’occuper de moi, de préparer des trucs à manger (peut-être), de glandouiller (certainement), voire bronzette ou plage en vélo si j’ai le courage d’y aller seule… Mais rester une journée seule ici ne me dérange nullement. Détente ! Un livre un thé et ça va très bien.
Ah tiens ! Tonton en a ras le bol de Dali aussi ! Il a vu le musée deux fois, il en a marre et sa femme ira avec mes parents et Agnès. Lui a de quoi bricoler, il bricole tout le temps. Il préparera le barbecue du soir !
Son œil brille encore plus on dirait… Peut-être aussi parce qu’on lui passe sous le nez avec nos semblants de jupe pour aller chercher des tapas dans la cuisine, et qu’il aimerait être à demain pour voir si nous sommes toujours comme l’année dernière, comme dans ses souvenirs, quand nous nous sommes parlé la veille du départ, lui derrière son grillage, nous sur le transat, habillées d’huile et de lunettes de soleil, un livre posé là où l’on ne lui autorisait pas à poser les yeux. Enfin, pas pendant la conversation. Histoire de le ménager un peu. J’ai dans l’idée que dès demain il va être aux premières loges, et que pour lui nous sommes le « petit plus » de ses vacances, le pourquoi sa maison de vacances a un gros avantage par rapport aux autres. On en joue, il est content, alors rien de grave.
Mardi 9 heures
Petit déjeuner sur la terrasse avec tout le monde. Ça s’agite un peu. Ils veulent prendre la file d’attente au plus tôt. À côté, Tonton bricole déjà. Sa femme est prête et attend. Papa se marre ! Elle attend sur la terrasse, comme Bernadette, avec son sac sur les genoux… Agnès et maman se préparent, moi je traîne avec mon bol, dans ma tenue de petit déjeuner. Un string, et ma brassière légère qui a du mal à cacher le dessous de mes seins, surtout au moindre courant d’air, ce que papa regarde en souriant et qu’Agnès scrute comme si c’était nouveau… Il est certain que ce string et cette brassière ne doivent pas peser bien lourd. Un de ces mini-strings de bain, qui ne cache que ce qu’il peut, le pauvre… 2 cm de large je crois, et un cordon qui lui se cache entre les fesses et se fait oublier à peine enfilé. La brassière, elle, blanche également, assez ample, avec de fines bretelles, est assez longue pour descendre au-dessous des seins et les cacher, mais à condition de rester droite, les bras le long du corps et sans bouger. De plus elle est dans un tissu si peu épais qu’il est plutôt transparent. De ce que je lis dans les regards, le spectacle est ravissant.
Une tenue qui me permet de croire que je suis un peu couverte pour respecter les règles de vie sur la terrasse de devant. Celle où l’on mange, où l’on vit. Pour comprendre : de la rue, on ne voit de la maison que le petit coin des vélos attachés, la courte allée où l’on gare la voiture, la grande fenêtre de mon studio (ancien garage aménagé depuis trois ans) avec le grand volet de bois, et une haie très épaisse qui protège de la vue cette terrasse et la grande porte du séjour de la maison. En fait, on ne voit rien. À la limite, nous y vivons totalement à l’abri des regards, mais « visibles » uniquement quand nous entrons et sortons du studio. Donc la règle est de faire en sorte d’être moins nu sur cette terrasse aux heures ou les gens passent dans la rue. Mais dans tous les cas il y passe si peu de monde qu’il est très rare de croiser un regard… On essaie juste de faire un peu attention. Et puis ces minimums ajoutent un côté « sexy » non négligeable.
Je suis dans le coltard, on n’a pas dormi de trop en fait, et puis en vacances je suis lente le matin… Bisous à tout le monde, et re bisous encore, et encore un ! On se revoit, vous savez ! Vous ne partez pas au bout du monde !
Et dire qu’ils vont manger des sandwichs debout en faisant la queue pour le musée ! Pour Dali en plus !
Ah ! Ils sont partis… Calme… Encore un thé, Julia ? Allez ! Un thé ! Tiens, un Tonton au portail !
Il s’assoit à table. Il scrute ma tenue de plus près (de chez lui il ne voyait peut-être pas les détails). En tout cas, ça a l’air de lui plaire. Il chausse ses lunettes de soleil pour regarder plus discrètement. Tu parles ! Je devine ses yeux qui dessinent les contours de mon petit haut, puis du reste de ma tenue, et dans le même temps de tout ce qu’il peut voir de moi. À la fois un peu gêné et en même temps ravi de me détailler, quasi nue à 50 cm de lui. Sa journée commence bien : il va prendre un thé avec une jeune fille dénudée…
Je vais chercher une tasse. Wouah ! Mes deux seins lui passent sous le nez quand je lève les bras pour attraper le plateau ! Et une paire de fesses que ses yeux suivent comme dans Tex Avery ! C’est vrai qu’on ne fait pas trop attention entre nous, mais là avec lui je devrais peut-être me couvrir un peu. Et puis zut ! Il nous mate bien dans le jardin, alors… Et puis on se connaît quand même un peu.
Je sens son regard dans mon dos quand je rentre dans la maison. Il me touche presque, son regard… Je le sens comme une caresse dans mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes… Ça se sent, un regard. Le sentiment d’être examinée, mais examinée avec douceur, avec plaisir, avec une certaine gourmandise et ce n’est pas si désagréable. Bonne journée qui commence pour Tonton !
Je reviens avec sa tasse et on boit un thé. Il a la voix un peu enrouée, le Tonton… Il remet ses lunettes de soleil comme si je ne voyais pas ses yeux qui guettent tous mes gestes pour ne pas louper un sein qui peut passer sous cette brassière effectivement très courte. Elle fait partie de ces fringues que je ne jette pas. Comme mes deux jupettes en jeans, une jupe de tennis, mon shorty rouge et blanc. Mes deuxièmes peaux comme dit Papounet. Il les aime bien mes deuxièmes peaux…
Ah ! Les yeux de Tonton font l’inventaire… mes seins, mon ventre, mes cuisses, mon piercing et mon tatou, et la région du tatou, évidemment !
Pour voir… il a vu ! Tellement vu qu’il pourrait même les décrire en détail.
Et je lui montre bien mon ventre. Comme ça il peut regarder sans ses lunettes et il en profite. Il est tout chose mon Tonton à me détailler comme ça. Mon tatou est juste au-dessus à droite du haut de mon string. Et mon string dessine très bien le contour de mes lèvres, et il est assez court pour n’être qu’a 2 cm du début de ma petite fente. Et dans cette position mon minou lance presque un appel… en tout cas il attire bien son regard. Oh, Julia !
Je me mets debout. Là il voit mes seins par-dessous. Le thé passe mal.
Il se met debout à côté de moi. Je lui arrive au menton. Il en profite pour détailler l’arrière. Il a chaud, le Tonton. Mes fesses cambrées avec ce petit bout de tissu coincé entre les deux, ça lui fait chaud au cœur. Il se rassoit mais il a plus de thé. Il semble ravi. Ce n’est pas pour me déplaire en fait que de me sentir détaillée de la sorte. Même que j’en suis ravie aussi. La sensation de charmer, de séduire, de faire envie, en s’offrant simplement au regard de ce Monsieur qui me trouve désirable.
Un petit clin d’œil là-dessus ! Il est émoustillé, le Tonton ! Comment on rend un Tonton heureux avec un thé à neuf heures du matin…
Il ne dirait pas non le Tonton qui ne sait plus trop où il a posé ses lunettes ! Je suis debout et il scrute mes jambes, remonte au string et finit sous la brassière pour voir le demi sein qui prend le soleil. S’il pouvait, il soufflerait bien dessus pour le dévoiler complètement.
Bon ! Me prépare ! Douchette, crème pour le soleil, coiffée… Ah oui ! Je mets quoi ? Il fait déjà chaud. Tongs. C’est bien, les tongs, mais ça n’habille pas. En même temps, on ne va qu’au port. Brassière ? Non, il va conduire à gauche sinon ! On ne va pas loin mais bon. Allez, mon petit haut court sans manches, blanc, fermé devant avec un lacet, ce qui selon le serrage laisse plus ou moins apparaître la poitrine qu’il est censé protéger. Et là c’est très peu serré. Juste pour apercevoir entre les lacets la moitié de chacun des seins. Sexy. Enfin raisonnable sur un lieu de vacances. Et, voyons… bah oui, ma deuxième peau en jeans (jupette de 25 cm) ça va cacher mes fesses sinon son cœur ne va pas tenir jusqu’au port. Cette jupe est assez vieille en fait, délavée, usée, effilochée aussi. Papa dit que j’ai grandi dedans et qu’elle n’a pas suivi. Je vais mettre un string au moins, parce que si je laisse mon minou respirer comme je fais souvent et qu’il voit ça, c’est lui qui va arrêter de respirer.
Dommage, j’aime bien sinon être nue sous mes jupes, surtout en vacances. Je verrais ça avec Agnès, elle aime beaucoup aussi me savoir comme ça. Je n’en porte presque jamais en vacances, à la maison également. Sinon dans Bleau aussi, mais un peu moins souvent. Mais dès qu’on est comme ici, c’est liberté, pratiquement toujours. Super sensation, avec, j’avoue, un peu d’excitation aussi. Se sentir très à l’aise. Une manière d’être nue partout mais sans choquer. Et par moments une sensation de s’offrir un peu, de se sentir disponible, excitante, même si personne ne le voit. Sauf si on le souhaite… Agnès s’y est mise également, et maman le fait des fois pour faire plaisir à papa… Le Papounet se promène avec trois minous qui respirent.
Et pour peu qu’il s’en aperçoive il est tout ému aussi… Comme au bowling l’année dernière où aucune des trois filles n’était couverte. Il s’est retourné après un beau strike et… il est resté un moment scotché à nous regarder toutes les trois assises pour l’applaudir et chacune en jupe très courte. Vue furtive et plongeante sur nos petits minous lisses et contents de prendre l’air. Ce fut son dernier strike de la soirée, on se demande encore pourquoi… Au bruit le soir venant de sa chambre, maman a mis du temps à calmer ses nerfs…
Mais il va voir mon piercing et mon tatou. Elle est courte cette jupe et elle descend aussi très bas sur les hanches. Ça donne une démarche assez sexy, surtout si on prend soin de bien dérouler les pas pour onduler au mieux. Papa appelle ça le « balancement ensorceleur »…
Content le Tonton qu’il va être…
Oups ! Il chancelle un peu !
Content, le Tonton ? Le mot est faible ! Je ne sais pas comment il a pu faire dix kilomètres avec juste un œil sur la route ? Il croit que je ne vois pas ! Il n’a pas lâché mes cuisses du trajet ! Faut dire qu’en voiture elle m’arrive à peine sous les fesses ma jupe, et mon string blanc et la toute petite dentelle autour, il a vu que ça l Il a bien vu une fille ou deux sur le trajet qui étaient plutôt sexy dans des petits shorts très moulants, mais décidément rien ne vaut mes cuisses ce matin ! À chaque feu je sens son regard remonter le long de mes jambes, mes fesses, mon ventre, les lacets du petit haut. Je suis assise un peu de travers, face à lui pour papoter, il est à la meilleure place. Il en profite au mieux. Ça me plaît bien…
Arrivés au port (nous partîmes 500… non, juste tous les deux) il a aussi vu mes seins par l’ouverture du petit haut que j’ai encore un peu détendu, et il a mis un petit moment à descendre. Émotif…
Après sur le port ! Fier qu’il est ! Son panier à droite ! SA Julia à gauche !
Oui, oui ! La petite sexy elle est avec moi ! Regardez bien, messieurs ! La belle petite elle est avec moi ! Jolie, non ?
Il n’a jamais aimé le port comme ça le Tonton ! On ne le regarde pas avec sa Bernadette ! Là non plus, remarque ! Mais la petite ! Wouah ! Il est veinard, le vieux !
On est passés de poissonniers en poissonniers. Il me met la main sur les hanches pour me montrer des poissons ou pour me demander si j’aime ou pas. Le contact de sa main sur ma peau ajoute sûrement à l’émotion. Quand il est derrière, je sens quasiment ses yeux passer de mes reins à mon entrejambe, le plus haut possible. Mais comment fait-elle pour porter des jupes aussi courtes ? Ça le rend joyeux, mon Tonton.
En fait, ma tenue déclenche pas mal de regards dans ce milieu de marins et de restaurateurs. Très masculin. Et j’admets que ce n’est pas désagréable de se sentir « admirée » de la sorte. Petit frisson dans les reins même. J’admets aussi que ce matin je n’ai pas hésité sur la tenue. Tenue de vacances certes, mais très sexy. J’aime bien. Je suis assez fière de l’effet que je provoque. Peu de monde que l’on croise qui ne se retourne ou qui ne me regarde avec insistance. Et je joue un peu plus de la démarche « du balancier », je fais un peu ma star. Je pose un peu innocemment quand on s’arrête devant un étal de poisson. En clair : je fais ma belle ! On s’amuse comme on peut…
Ah, si j’avais su, je serais venue nue sous ma jupe. Ça m’aurait encore plus excitée. Bah oui, je sais ! Coquine ! Je peux le retirer aussi, c’est rapide… Non, allez, fais pas ça, Julia. Ça va aller comme ça.
Et un petit tour pour voir les bateaux. Le quai est en contrebas de cinq marches. Je suis en haut et lui il descend. En fait, en descendant sur le quai c’est plutôt mon string sous ma jupe qu’il regarde. Les bateaux attendront. Il profite du fait que je lui tourne le dos, et il n’a pas fait attention que je le regarde par-dessus mon épaule. Cela ne me gêne pas trop en fait. Même que j’aime bien. Ça lui fait plaisir. Moi aussi en même temps. Je pouvais m’habiller autrement. Mais, pour être honnête, j’aime bien qu’on me regarde comme ça avec une vraie gourmandise. Il est content. C’est un jeu. Je suis bien. Je suis détaillée, désirée, et j’aime ça… Ça fait de mal à personne. Que du bien. Même des petits frissons quand je sens ses yeux me regarder comme d’autres vont dévorer un Dali… Non ! Pas Dali !
Non, il me regarde plutôt comme un gâteau dans la vitrine du pâtissier, un gâteau qu’on mange des yeux d’abord et qu’on a envie de toucher, mais pas tout de suite… Déjà le dévorer des yeux. Et il dévore, le Tonton ! Je le sens me manger… Agréable en fait de sentir un regard comme ça. Tiens ! Ben si j’avais quitté mon string, il se régalerait encore plus…
Wouah ! Il n’est pas gros non plus son string à la petite ! On voit ses fesses ! Et même son… non, on ne voit pas. Mais on devine ! La vache ! Elle est avec moi, la petite ! Oh ! On dirait presque qu’elle n’a pas de culotte ! Ses fesses ont mangé la ficelle du string ! Elle a un cul !
Pliée de rire la Julia ! Je le regarde du haut des marches. Je suis de dos presque. Ses yeux sont sous ma jupe et n’en sortent plus. Ils cherchent désespérément ce bout de ficelle coincé quelque part… Oups ! Il rougit ! Comme je rigole ça passe mieux, mais tout chagriné qu’il est le Tonton. Ah ben si je n’avais pas mis un string il serait déjà mort !
Là il rigole et tant qu’à faire il en profite pour finir l’exploration. Elle est où, cette ficelle ?
On s’est baladés un moment sur le port, à voir les bateaux des pêcheurs. Lui de plus en plus fier de « sa pêche », et moi toute aussi fière d’être le point de mire de tous ces marins qui tout en lavant leurs bateaux me regardent passer avec un petit sourire. Ils profitent de cette période estivale pour s’amuser des visites de toutes ces touristes souriantes, avenantes, qui viennent faire le marché aux poissons dans des tenues toutes plus estivales les unes que les autres. Mais aujourd’hui j’ai dû gagner le concours de la tenue la plus sexy. Et cela me ravit tout autant qu’eux. Certains me lancent des bonjours avec, pour les plus osés, un petit clin d’œil de connivence. D’autres nous arrêtent pour nous montrer leur poisson ou parler avec Tonton du métier, du temps ou autre, mais tous en profitent pour me détailler, voire me draguer ouvertement, en jouant pour la plupart, ou plus sérieusement pour quelques-uns. Il joue le protecteur dans ces cas-là. Je lui appartiens aujourd’hui ! On papote gentiment avec tout le monde. Il n’y a pas d’agressivité. Le jeu de la séduction de mon côté, aidé par ma tenue sexy, et de la drague du côté des marins, encouragés par mon sourire.
Nous sommes restés un bon moment sur les quais et je reconnais que jouer ma belle, ma star, ma petite coquine aussi, même si ce n’est pas très méchant, me procure une certaine satisfaction. Et même me déclenche un vrai petit plaisir. Je le sens. Cette petite chaleur au fond de mon intimité, et qui remonte dans les reins. Je remarque également que mes seins pointent un peu. Pas de froid, c’est bien une certaine satisfaction qui me produit cet effet. Bref ! Un bien-être fort sympathique. Je ne suis pas la seule à avoir noté cette petite marque de plaisir. Les touristes que l’on croise et les marins eux aussi, à voir avec quelle insistance leurs yeux sont rivés à ma poitrine. Je sens de plus en plus le plaisir m’envahir…
Retour du port. Dans la voiture, il finit l’examen de la petite.
Il se marre ! Il est embêté et content en même temps. Une petite connivence entre lui et cette fille presque nue à ses côtés, dans sa voiture… Tout ça au soleil ! Et sans sa femme pour le gronder des yeux comme quand il regarde trop longuement une jolie demoiselle qui passe…
Là je pense qu’il y va de son érection matinale ! Il a osé être un peu direct avec la gamine ! Du coup, il regarde le décolleté ! Il les a vus ce matin ces jolis seins tout ronds, mais bon il en veut encore. Et la petite érection de ma poitrine ajoute encore un peu à son plaisir à lui. C’est un peu sa journée, après tout. Alors cette Julia elle n’est pas trop timide et elle n’est pas choquée qu’un vieux regarde ses fesses sous sa jupe. Elle est…
De retour à la maison, on range les gambas et les poissons pour ce soir. Il n’est pas très tard et j’hésite à prendre un vélo pour la plage ou en profiter pour faire transat-livre-bronzage ! Ça se fait en même temps, oui. Décidé ! Pas envie de pédaler donc ce sera transat ! Quoique le jardin il est plein soleil et ça cogne dur. On va commencer par les ongles sur la terrasse devant.
Un coup de fil à Agnès. Elle est en plein soleil, avec deux heures minimum de queue devant elle !
Je lui raconte vite fait le thé et la virée au port avec Tonton ! Elle est pliée.
Ah, il ressort de la douche, il fait très chaud, c’est sûr. En short maillot ! Cuisses maigrichonnes, petits mollets, un peu de ventre mais normal. Il a dû s’entretenir pas mal, il fait assez musclé. Belle carrure en fait. Un peu mou mais ça va. Et cette peau lisse caramel ce n’est pas moche en fait. Allons, Julia ! … Et après tout il m’a maté toute une matinée…
Oui ok, je vois. Il a envie de continuer à me détailler encore. Il se dit qu’il me tient pour la journée, que je suis un peu à lui, que je suis à portée de ses yeux pour un moment encore. Alors, s’il peut manger avec moi, ça lui sera plus agréable que tout seul dans son coin. Après tout. Cela ne me dérange pas plus que ça. Même que ça m’amuse.
Il doit avoir encore mes seins et mes fesses dans les yeux ! Plaisir… je crois que le mot est faible. J’avoue que ça me fait plaisir aussi. Quelque part je maîtrise. Je joue. Je me montre assez pour lui faire du bien, pas trop encore pour qu’il soit excité… encore que j’en sais trop rien. Et j’en tire aussi une vraie satisfaction. Pas ennuyeuse cette journée, tout compte fait. Un brin d’excitation au point de sentir une petite poussée dans mon string et une petite goutte de plaisir…
Se changer déjà ! Terrasse à l’avant : donc pas nue. Ma brassière de ce matin ? Il va aimer. String ou rien ? Si ! Terrasse de devant, je mets un string. Et il est avec moi ! N’exagère pas, Julia ! Un minimum, même très minimum mais un peu. Brassière ok. Ah si ! Je vois ! Mon mini string de bain ! Derrière ça fait juste une petite ficelle attachée avec une petite boucle dorée au-dessus des fesses… La ficelle, pour la voir… faut que mes fesses la lâchent, et devant pas un triangle mais un rectangle de 2 cm de large qui cache… pas grand-chose. Ma « flèche » quand j’en laisse une et l’entrée de mon petit jardin. Si je ne fais pas gaffe, souvent le rectangle est absorbé pas mes petites lèvres et il ne reste du string que la ficelle sur les hanches.
Ne mets pas ça, Julia ! Il va tomber ! C’est trop… C’est vrai. C’est trop ! Mais j’en ai très envie en fait. Même que j’ai envie simplement. Il va être là. Moi quasi nue devant lui. Même que c’est plus sexy que nue. Je suis contente. Ce n’est pas méchant ! Je joue avec lui mais il en tire sûrement un vrai plaisir. Comme un môme avec un beau jouet. Je suis SON musée Dali, quoi ! Donc il joue aussi. Et il est gentil. Et j’aime bien ces situations où je peux jouer, où j’en tire aussi un vrai plaisir et en fait où j’en donne aussi. Et puis ? Il va sûrement bander très fort et c’est pour moi ! J’aime bien ! Au fait, il est comment son sexe ? Beau ? Tout petit ? Ou gros serpent ? Flétri ? Caramel aussi comme sa peau ? Il doit être lisse aussi, on dirait ! Ça j’en raffole !
Julia ! Oui bon, ok… Donc ce n’est pas méchant et ça lui fera un bon souvenir. Il y a pas de mal à prendre du plaisir, et cette forme de plaisir-tentation c’est assez sympa.
Ça ne fait pas cinq minutes que je suis sur la terrasse presque nue que la tête de Tonton au-dessus du grillage demande :
Et Tonton d’arriver avec sa salade… Et là ! S’il a sauvé sa salade, c’est qu’il a su se rattraper au coin de la table… Il faut dire qu’en passant à côté de moi il a découvert mon string et ce qu’il essaie de cacher, et du coup il a loupé la porte d’entrée.
T’as fais fort, Julia… Tu vas tuer le Tonton d’Espagne rien qu’en te faisant les ongles.
Il met sa salade au frigo et ressort. Il s’arrête devant moi. Meilleure place puisque j’ai une jambe repliée sur la chaise pour me faire les ongles. Il a une vue à la fois sur mes seins que la brassière se moque totalement de cacher et sur mon minou, et ma position de pédicure appliquée fait en sorte qu’il avale une bonne partie de mon mini string… Vite le 15 ! Non, 112 en Espagne !
Je suis sûre qu’il n’a même pas vu que c’est en rouge ! Je tire sur mon string pour recouvrir ma lèvre gourmande. J’ai même senti mon petit bouton qui en avait profité pour s’évader et prendre un peu le soleil.
Ça, c’est mon string qu’il me montre du menton. Il est joli certes, mais il veut dire par là qu’il n’est pas très couvrant ! Et ce qu’il trouve joli, c’est ce qu’il a cru voir : un minou mangeur de tissus lui aussi et qui en plus semblait en saliver. En fait il n’a pas cru. Il a bien aperçu. Pas trop longtemps certes, mais aperçu.
(Traduction : je suis super content de te mater comme ça ! Et pour moi tout seul !)
Il repart en se marrant et sûrement avec une érection inversement proportionnelle au tissu que je porte. Il se demande ce qu’il n’a pas encore vu de moi, en fait…
Julia ! Tu pousses ! Mais non… Je dis reparti, mais en réalité il n’est pas si loin, il bidouille sous son abri voiture et de là, entre deux arbustes, il peut regarder au choix : soit mes seins, nus maintenant, la brassière me gênait pour me faire les ongles, donc je l’ai posée sur la chaise, soit il essaie de voir si mon minou a mangé entièrement mon semblant de string !
Décidément, ça me plaît bien, ce jeu. Depuis ce matin j’ai un spectateur assidu et je suis la seule actrice.
Après mes ongles, je vais ranger mes affaires et reviens sur la terrasse avec un verre, et en face, de l’autre côté : Tonton, la tête au-dessus des arbustes, qui devait craindre que je ne sois qu’un mirage et que je n’allais pas réapparaître…
Moi, debout, seins nus, string arrogant, main sur la hanche et de le regarder, d’un regard « fière d’elle » (je sais ! j’assume). Très pose glamour. Sexy « sans faire exprès », comme les photos soi-disant volées de starlettes. Il a la bouche ouverte ! Je suis la star de la terrasse ! Regard et position de gagnante !
Il a dû dire oui mais je n’ai pas compris. Il a du mal à parler. Il est fixé sur mon sein droit, ou le gauche, ou les deux. J’ai remis ma brassière ! Non, mais bon faut pas exagérer ! Quoique maintenant… On a bu un verre. La température doit être déjà de plus de 30° à cette heure-ci. Ses yeux doivent fatiguer à force de me scruter derrière ses lunettes. Je regarde son short. Oui, je suis sûre, maintenant il a une belle érection. Certaine !
Bravo, Julia ! Roooooo… pas grave ! Il est content.
On est repartis. Surtout lui. Moi je suis chez moi. Lui ne sait plus trop où il est. Mes parents peuvent être tranquilles, il a toujours un œil sur moi. On ne pourrait pas me kidnapper !
Et au pire il aurait su me décrire !
Le reste de la matinée, il ne s’éloigne jamais trop de la terrasse, tout en restant de son côté. Son bricolage ne doit pas avancer. Et moi je bidouille un peu, un peu de ménage, un peu de vaisselle. Un moment dans ma chambre à trier des affaires, et quelques instants à passer une main sur mes seins et une main entre mes cuisses, en pressant mon minou, juste deux doigts en long, avec tendresse, d’un geste lent et court, comme pour un petit câlin matinal. Pas une masturbation en règle, mais une petite caresse intime assez habituelle, et sûrement provoquée par mon jeu de ce matin avec Tonton. Un petit plaisir furtif, classique, surtout chez moi, quoique de ce que je sais de mes copines, je ne suis pas la seule à me faire ce genre de petit plaisir. Ce petit plaisir qui fait juste monter une petite bouffée de chaleur, et qu’on laisse de côté parce qu’on sait qu’on va y revenir plus tard. Pour approfondir, ou même terminer…
Tu parles ! L’air marin il a bon dos ! Je crois plutôt que ce sont les vues plongeantes sur Julia qui l’ont creusé. Je remets ma brassière pour qu’il mange en paix. On s’installe sur la terrasse. Pour être à l’ombre il se met au bout de la table, comme ça il peut manger en regardant soit mes seins soit mes cuisses, enfin tout sauf son assiette. Jour de fête. On parle de tout, du plaisir à être ici comme tous les ans. Des visites qu’on va refaire encore. Du temps qui a l’air de vouloir être clément pour le reste de l’été. On parle aussi d’Agnès. Il ne sait pas quoi dire en parlant d’elle, alors il dit « ta copine » mais ça le chagrine un peu. Il aimerait être sûr. Je lui expliquerai plus tard. Amusée que je suis à le voir comprendre et en même temps ne pas être certain.
Chaque fois que je me lève, je sens son regard sur mes fesses et au retour sur mon string ou ma brassière. Une fois en cuisine, je me repasse une main sur mon minou. Humide que je suis…
Julia ! Tu aimes ? Bah oui, en fait j’aime… Depuis ce matin je suis la princesse, et je fais plaisir à un Monsieur tout en en prenant aussi en fait. Alors, comment ne pas aimer ?
Fin de repas.
Je vais chercher le café et, sans réfléchir, par habitude et par envie, je quitte ma brassière. Il fait chaud déjà. Il en renverse un peu sa tasse. Occasion pour que je passe l’éponge et qu’il se trouve à 20 cm de mon sein gauche. J’aurais pu rester des heures il n’aurait pas bougé.
Conne moi aussi. Pourquoi je dis oui ? Et puis zut ! Il aura une photo de moi en string sur la terrasse ! Avec ça ! Oui, très petit string, c’est vrai ! Et on ne m’a jamais répété autant de fois en cinq minutes que j’étais jolie ! Ça flatte un peu, j’avoue…
Et Tonton de retour avec son appareil numérique dernier cri. Je prends ma chaise, me décale de la table, au soleil, assise un peu en arrière, sourire radieux comme quand je pose, seins en avant, jambes à peine écartées mais il doit bien voir le petit bout de tissu qui fait de son mieux pour camoufler un minou humide. Et clic ! Le Tonton m’immortalise. Moins sûrement que dans sa tête. Il se lèche les lèvres.
Je prends son appareil. Je le pose sur la table. Règle le retardateur. M’approche de lui. Il met sa main sur mes épaules et moi je me serre un peu contre lui. Il n’ose pas trop. Et puis… il ose passer sa main derrière, et la poser sur ma hanche. Je suis dans ses bras presque. Son rêve depuis ce matin. Je fais de même. Je sens un tremblement sur son ventre et aussi par sa main posée sur moi. Il doit bander très fort ! On regarde l’appareil sur la table avec un sourire de touristes japonais devant la tour Eiffel. Clic ! Tonton et Julia sur une photo !
Sous entendu : pour pas que ma femme la voie.
Si si ! Je pense imaginer ! Il doit avoir chaud ! Julia nue dans ses bras ! Dali, à côté de ça… ! Merde ! Le vieux con de 61 ans avec cette jeunette de 18 ans nue dans ses bras ! Il ne pourra pas raconter à ses copains mais il aimerait bien ! Il le fera peut être.
Et hop ! un bisou sur la joue et avec une main sur l’épaule. Nue l’épaule… et du coup il s’est un peu électrocuté ! Eh bé Julia ! Tu déconnes ! Il va être excité après ça ! Un vrai gamin du coup ! Tout fou ! Et alors ? Il est content ! C’est le principal.
Je m’installe sur mon transat à l’arrière de la maison, là où personne ne peut nous voir. Terrasse couverte, avec un store en toile que je descends au maximum à cette heure, protégée avec deux arbustes d’un côté, de l’autre la haie de Tonton. Quatre transats et autant de dessus de transat à même le sol pour les bronzettes au soleil et les siestes câlines avec Agnès. Quand ce n’est pas déjà occupé par les parents pour des siestes tout aussi coquines… de ce que l’on peut entendre de notre chambre et à voir le père revenir essoufflé et se jeter dans le frigo pour vider tout ce qu’il peut trouver. Je les ai entendus plus d’une fois commenter leurs exploits en écoutant de ma fenêtre. Avec Agnès, même que ça nous faisait envie.
C’est arrivé d’être tous les quatre ici et que les petits câlins furtifs (ou appuyés) des uns ou des autres provoquent une envie à tous, et d’attendre qu’un des couples parte dans sa chambre pour une sieste agitée. Ceux qui tiennent le plus longtemps ont gagné le droit de rester sur le lit de la terrasse. Plus facile pour nous avec Agnès de tenir. Papa ne peut pas cacher son envie de la même façon. Un homme est plus vite repéré dans ces moments-là. Il est parti plus d’une fois avec un mal fou à cacher une belle érection, et en faisant des signes désespérés à maman qui, elle, faisait mine de ne pas comprendre. Rigolade collective assurée !
Toute enduite de crème, un livre, le scrabble pour après, me voilà prête pour une après-midi tranquille. Le string posé sur un transat pour le remettre s’il arrive. Quoique maintenant ce n’est plus très utile. Il m’a vue tout aussi nue et même plus « sexy » avec ce tout petit truc qui se glisse avec plaisir entre mes lèvres et qui dessine encore plus mes fesses avec la ficelle. J’essaie de lire, mais pas trop concentrée. Je pense aux moments que j’ai fait endurer à mon pauvre Tonton. Coquine !
Mais bon je suis assez contente, et je ne pensais pas qu’exciter un monsieur de son âge me fasse autant plaisir. Je sais bien que l’âge n’a rien à voir, mais je suis certaine qu’avec un jeune homme de mon âge ou à peine plus je me serais déjà fait « agresser », gentiment certes, mais je n’aurais pas joué aussi longtemps et provoqué une envie aussi forte. Il y a là un certain respect, rassurant, une retenue, qui découlent d’une certaine tendresse et qui laisse imaginer une autre façon de faire, plus douce, plus patiente et pourtant sûrement plus brûlante.
Sur ces pensées, je glisse un peu ma main pour sentir justement ce petit plaisir. Je me caresse doucement en revoyant ses yeux courir sur mes fesses, au port. Et à table quand j’avais mon sein à portée de bouche. Petit plaisir furtif, cette caresse, mais avec en tête l’image de Tonton m’embrassant le sein et glissant ses doigts dans mon string pour sentir ma chaleur. Je me pénètre avec deux doigts pour sentir cette petite humidité et je me goûte avec délice.
Humm… Julia ! Arrête ! Bah quoi ? Petite envie ? Oui. Petite… Je suis là, nue, offerte au soleil, offerte aux regards de Tonton depuis ce matin. Des pensées coquines dans la tête, des petits frissons dans les reins. Je pense aussi à tous ces regards sur le port. Regards emplis d’envie de me toucher, voire de me prendre. Tous ces marins, tous ces touristes à qui j’ai procuré un certain plaisir et qui ne savent pas que moi aussi j’en ai pris, et que j’aurais peut-être apprécié d’en prendre plus, sans retenue. Fantasme de la fille désireuse d’être prise devant le regard des autres. Je me vois nue sur un de ces bateaux, dans les bras d’un pêcheur, qui me prend devant d’autres pêcheurs…
Caresses plus appuyées cette fois. Et le minou de plus en plus humide. Agréable…
D’où j’entends sa voix, il doit être proche… Il a vu ? Possible ! Aïe ! Non pas aïe ! Ça me plaît de savoir qu’il a peut-être vu. J’aimerais bien qu’il ait vu. J’espère qu’il a vu.
J’entends qu’il est déjà là. J’attrape mon string. Je commence à le mettre et puis je me dis que non. Un si petit string alors que je suis quasi nue… quel intérêt ? Si, quand même. Vite et ma brassière aussi ? On verra après. Et il est là… Il est debout à côté de mon transat. Il me regarde de partout. Il est assez mal en fait. Et en même temps je vois un regard pétillant ! Il passe un très bon moment. Tiens, il a changé son short pour un slip de bain. Pas si moche que ça. Tout doré ! Carrure assez imposante et style baroudeur avec sa queue de cheval ! Il en impose un peu comme ça !
Il se marre et du coup moi aussi !
Oui il sait, il est venu une fois.
Et là, me voilà à descendre ma ficelle sur les pieds devant les yeux plutôt écarquillés de Tonton. Me voilà nue. Il me regarde de haut en bas avec un peu d’émotion dans le regard. Pourtant, je pense être moins sexy comme ça qu’avec ma tenue à table tout à l’heure. Mais la situation n’est pas classique, surtout pour lui. Cette situation, malgré le fait d’être habituée à me promener nue sur la plage, me provoque une sensation très agréable. Le jeu que je joue depuis ce matin m’excite un peu, en fait. Je suis seule avec lui. Comme avec un partenaire amoureux que je provoque et séduis de tout mon corps.
Il est resté complètement paralysé, le pauvre. Il aurait voulu avoir des yeux supplémentaires pour tout regarder en même temps.
Ben, Julia ! Te voilà nue avec un Tonton de 61 ans, certes pas trop inconnu, mais pas intime tout de même. Tu déconnes, Julia ! Il va exploser, ton Tonton ! Rooo, pas grave, il passe un bon moment et moi aussi après tout. Tiens, je suis encore humide !
Retour au jardin. Eh bé ! Wouah ! Mon Tonton en train de quitter son slip de bain…
Fébrile quand il jette son maillot sur un transat et qu’il s’installe presque en face de moi. Je sers à boire et à mon tour d’observer. Bah, à vrai dire il est pas mal dans cette tenue. Mieux qu’avec son bermuda qui fait mollets de coq. Du ventre un peu mais pas tant, fesses un peu tombantes mais pas trop, et son sexe, sûrement une petite érection très légère, ce qui fait qu’il a un bel outil, moins doré que le reste, mais il fait du nu aussi chez lui en Charente, quand même un peu. Il semble assez long, pas trop, mais pas petit en tout cas. Je vois une veine qui court en spirale tout autour. Je l’imagine assez épais dans les moments où il est tendu. Grosses boules, mais pas trop flétries. Je ne sais pas pourquoi je pensais ça d’ailleurs. Peut-être souvenirs de plage. Et surtout un très beau gland complètement décalotté… Plus large que son sexe. Rond, rouge, une petite tache brune juste au milieu. Très beau. S’il bande il doit être même assez gros ce gland…
Et gagné ! Pas un poil autour ! Ou si peu. Et ça, moi… Humm Julia ! À quoi tu penses ? Ah ben oui ! J’y pense ! Il me ferait presque envie comme ça, mon Tonton ! Ça doit être ça, parce que je sens un peu d’humidité descendre sur ma cuisse… J’ai des fois fantasmé sur la plage (avec Agnès aussi) sur des mecs qui passaient avec des corps d’athlète et de beaux outils entre les jambes, mais jamais vraiment sur un papy de cet âge. Et là, me voilà à le regarder avec une certaine excitation… Pas mal du tout en fait ! Pas Apollon mais un côté sexy dû à cette peau caramélisée et son style « baroudeur ». Et son côté intimidé qui le rend fragile. Ça ajoute un plus.
Là il a commencé à se détendre un peu mais il ne me quittait pas des yeux sous ses lunettes. Il est allongé sur son transat, torse relevé, comme moi. Son sexe posé sur ses cuisses, au soleil, pas complètement détendu. Moi dans la même position, tête à l’ombre, et le corps au soleil. Mon sexe un peu humide luit avec le soleil.
Oh, le Tonton il rougit…
Et là le sexe de Tonton il commence à relever la tête sans même qu’il s’en aperçoive.
On a discuté un moment comme ça. Il ne posait pas trop les questions directement, mais je finissais pour lui et on ne parlait que de ça. Mes tenues sexy, le fait d’être à l’aise nue, ma copine, ma vie quoi ! Le fait aussi de faire des photos, ce qu’il comprenait comme une raison pour être à l’aise avec mon corps, à moins que ce ne soit le contraire… Il dit aussi que lui aurait aimé être comme ça, mais qu’à son époque les gens étaient coincés et que c’était moins… moins libre que ma façon de vivre, quoi !
On est restés un moment, il était bien. Les yeux ailleurs (pour une fois), il était sur son transat. Bien ! Si bien que son sexe avait pris un peu ses aises… Je regardais ses boules qui se rétractaient, ça bougeait (j’ai déjà vu ça quand les garçons sont excités… ça travaille !). Il ne bandait pas mais on sentait que ça pouvait venir…
Je l’ai sorti de ses songes (érotiques ?)
Et je le regarde de haut en bas, ce qu’il a l’air d’apprécier, vu le petit coup de reins de son sexe pour relever la tête d’un centimètre.
Je m’enduis de crème sur tout le corps, en massant mes cuisses, mes seins (il aime !), un peu plus discrètement sur mon minou… Il suit des yeux mes mains qui parcourent mon corps de partout, avec un regard gourmand et étonné en même temps. Pour lui le spectacle continue. En réalité, ses yeux me caressent plus qu’ils ne regardent. Je les sens courir sur moi.
Oups ! Il a failli mourir ! Julia, tu pousses encore ! Roooo mais non…
Je me retourne sur mon transat et lui tends la crème. Bien embêté qu’il est… Comment faire ? Où se mettre ? J’ai compris. Je me pousse un peu et lui fais signe de s’asseoir sur le bord. Il vient à côté. À la hauteur de mes jambes. Je le regarde par-dessus mon épaule. Je le vois tout ennuyé, et resserrant les cuisses pour cacher son sexe qui a quelques idées vagabondes. Je suis toute allongée, lascive. Il commence à verser de la crème en haut de mes épaules. Je sens sa cuisse sur la mienne. Des petites idées en tête, la Julia… Il étale tout ça assez timidement. Ses mains fermes sur ma nuque et mes épaules.
Il masse. Il masse le dos. Il descend sur le côté, à toucher mes seins, mais à peine, sa main repart vite, comme si c’était brûlant. Je le regarde. Ses yeux sont écarquillés et fixent mes fesses, mes cuisses. Il serre les siennes. Sûrement pour retenir un peu son sexe qui a envie de regarder aussi ! Je suis bien comme ça. On prend soin de moi. En douceur. Comme si c’était Agnès, sauf qu’elle n’hésiterait pas à explorer beaucoup plus, elle… Ce qui énerve le Papounet quand il est sur le transat d’à côté.
Je montre d’un doigt le sommet de ma fesse gauche ! Julia ! Tu vas …
Il a hésité. Un peu, et il commence à masser avec la crème, les reins d’abord, et doucement il gagne sur les fesses. Une main qui va de mes reins au haut de mes cuisses en passant par la fesse entière. Agréable sensation que ces massages… Et là ! Je vois la tête de son sexe dépasser d’entre ses cuisses ! Beau ! Pas une érection très forte mais suffisamment pour que je puisse voir qu’il a un gland assez gros et qui peut devenir bien plus beau encore. Je ne sais plus trop ce que je fais. Ce que je pense. Ce que je veux. Si, en fait je sais ! Il est à moi ! Entièrement à moi ! Et j’en suis émue, contente et même un peu excitée. Pas qu’un peu.
Il masse toujours et je commence à écarter mes jambes et à cambrer discrètement mes fesses. Je le fais en me disant qu’il ne faut pas. Et en même temps c’est une envie irrésistible. Aussi irrésistible que l’envie d’être sexy ce matin au port, que l’envie de séduire avec ma tenue, mon allure. Que l’envie de plaire et de jouer avec tous ces gens qui m’ont désirée furtivement en me croisant.
Il ne peut plus ne pas me voir dans mon intimité. Il a mes fesses et mon sexe sous ses yeux. Ouverte un peu ! Je sais très bien que dans cette position, ce n’est plus le sexe d’une fille nue qui se fait dorer au soleil. C’est beaucoup plus que ça. C’est un petit abricot tout rose, tout lisse, légèrement ouvert, légèrement humide, et très provocateur. Je sais également qu’en provoquant comme ça, je vais avoir envie de plus, et plus encore. Que je suis en train de le désirer autant que je me fais désirer. Que tout simplement j’ai envie. Envie de plaisir. D’une ambiance intime et coquine. D’un moment… De lui, quoi !
Cette fois il a pris de l’ampleur, son sexe ! Il est bien droit ! Beau ! Pas encore au maximum mais très attirant, très…
Je le regarde et regarde son sexe bien dressé maintenant et avec un petit sourire qui lui fait encore plus d’effet. Il a l’œil humide. Plaisir, bonheur, avec un peu de honte.
Et en même temps je pose ma main sur sa cuisse, pas très loin de son sexe.
Il s’arrête. Complètement abasourdi. Je l’ai sonné en étant un peu crue. Il reprend son massage fessier, et je continue d’écarter mes jambes pour que mon sexe soit complètement visible. En même temps je caresse sa cuisse, doucement, et je monte jusqu’à toucher son bel engin. Il sursaute ! Figé un moment ! Je sens au bout de mes doigts qu’il durcit encore. Et il reprend son massage en descendant cette fois et passe la crème entre mes cuisses, et il frôle timidement mon minou. Moi je caresse d’un doigt tout le long de son sexe, en tournant autour de son gland qui est devenu imposant… J’ai une grosse envie. Depuis ce matin je joue un peu ma coquine avec lui, pas volontairement au début, et maintenant c’est moi qui suis excitée par ce monsieur d’âge mûr qui me caresse, et je n’ai qu’une idée, c’est qu’il continue à me donner du plaisir. Julia ! Tu exagères ! Mais non ! J’ai envie ! Lui aussi ! On ne dérange personne ! C’est la première fois depuis qu’il est marié qu’il tient une jeunesse dans ses bras ! Où est le mal ? L’âge ? Et alors ? C’est un homme, je suis une fille, j’aime bien, la situation est excitante, pourquoi se priver ! Lui n’aura sûrement plus trop l’occasion ! Et moi j’en ai très envie ! Alors laissons aller !
En disant ça je caresse son engin de plus en plus dur. Et puis je le prends dans ma main. Tout chaud déjà. Une main tendre pour le saisir et le geste de la masturbation mais très lentement.
Il arrête de parler et commence à explorer mon entrejambe avec des gestes de môme, partout, dans tout les sens, il masse, il fouille, et il bande ! Mais il bande ! Il ne parle plus. Il souffle ! Il gémit. Sauf pour dire de temps en temps : Oh Julia !
Il me caresse un moment comme ça, moi sur le ventre et lui à côté. Je monte mes fesses et ma petite chatte ouverte, à sa rencontre. Je m’offre à lui encore plus, chaude, humide. Il caresse de partout. Il masse avec la crème de mes cuisses aux épaules, et ensuite il descend entre mes fesses pour masser mon sexe, et se glisser dedans, le fouiller en douceur, et à nouveau en bas. Il écarte ses jambes et je le tiens fermement dans une main. Il est droit et dur. Plus chaud. Je le masse plus que je ne le branle. Je fais gonfler son gland du mieux que je peux. Beau. Gonflé ! Rouge. Il me fait très envie comme ça ! Je mouille déjà beaucoup. Il me fait un bien fou. Il voit mon jus couler sur ses mains et ça l’excite encore plus. Je me retourne pour qu’il me caresse encore mieux et je tiens son sexe dans une main et le branle doucement… Il est beau son sexe ! Tout doré comme sa peau ! Et loin d’être ratatiné ! Je n’aurais pas cru !
Je m’offre totalement à son regard et à sa main qui me fouille maintenant. Il entre en moi et ressort facilement tellement je suis déjà humide et prête.
Il enlève ma main de son sexe en me faisant comprendre qu’il ne peut pas tenir. J’ai compris. Trop excité. Trop déboussolé. Je m’approche de lui pour lui parler en mettant ma main sur son épaule.
Il parle plus ! Il répond avec juste des sons ! Déboussolé qu’il est !
Je masse un peu ses boules, caresse son beau sexe (beau, oui !)…
Pas de réponse. Je me lève, le prends par la main pour le lever aussi. Un zombie ! Me penche et prends ce sexe dans la bouche avec douceur. Il frémit. Il tremble même. Je le prends juste un peu en bouche quelques instants mais je sens qu’il est au-dessus des anges. Il n’est pas heureux ! C’est au-dessus de ça ! Bon qu’il est ce sexe dans ma bouche. Gros gland assez dur et sa tige assez épaisse, très agréable. Je n’ai plus d’idées à la con sur les messieurs de cet âge, du coup. Tout aussi bon à manger en tout cas. Il est debout. Le sexe bien droit. Il se laisse faire en me regardant l’avaler tout entier. C’est un fantôme. Je le lâche, l’allonge sur mon transat, il se laisse faire comme s’il ne pouvait plus réagir. Je me mets au-dessus de lui, assise sur ses cuisses, et je le branle un peu, doucement, d’une main pendant que je me fais du bien à moi aussi de l’autre, mon sexe ouvert, humide, coulant, tout chaud. Il me regarde. Il fixe mon minou ouvert, que je masturbe avec énergie en insistant sur mon bouton, et aussi en glissant deux ou trois doigts dedans avant de les lécher et aussi de les mettre sur ses lèvres. Il me goûte. N’en croit pas ses yeux. Il est dans un rêve. Je sens un peu le plaisir monter chez moi, mais je me dis qu’après tout, même si je ne jouis pas là, j’aurai d’autres occasions alors que Tonton… pas trop sûr… Si ! Sûrement, en y repensant et en matant notre photo sur son ordi, en douce il se branlera très souvent. Mais là maintenant, j’ai envie de lui faire plaisir et en même temps de toute façon, j’en prends. Je n’ai pas trop envie de jouir. Juste de prendre du plaisir et surtout de lui en donner. Passer une après-midi comme ça. À la limite de la jouissance pour moi. Ce sont des moments peut-être encore plus intenses. Et je suis hyper excitée de la situation.
Je suis très humide maintenant. Je monte sur son ventre, au-dessus de son sexe. Je prends ses mains et les pose sur mes seins. Je descends trouver son engin avec mon minou, et je le prends doucement. Il entre en moi comme ça au fur et à mesure que je descends sur lui. Il tremble, Tonton. Il me caresse mais il regarde surtout son sexe disparaître dans ma petite chatte. Il est…
Il est entièrement en moi maintenant. Absorbé, au chaud, je le sens bien son gland épais, surtout au fond de moi et il a des petits sursauts. Je bouge un peu, il me remplit bien, en fait. Je regarde son sexe ressortir en me remontant et maintenant qu’il est très très dur je vois qu’il est très sympa. Pas ce que j’ai vu de plus gros mais bien au-dessus de la moyenne, et je suis comblée en le remettant au fond de moi. Il m’envahit. Il me ravit. La chaleur qui part de mon sexe et remonte par le dos jusqu’au cerveau me donne une sensation de bien-être formidable. Je reste assise comme ça. Je bouge juste mon bassin pour le sentir me fouiller de partout. Il me regarde avec un plaisir indescriptible. Je pense que je ne vais pas le faire durer trop. C’est moi qui maîtrise mon plaisir et le sien. Il faut qu’on en profite ensuite. J’ai plein d’envies, en fait.
Je bouge encore plus, je le serre bien avec mon sexe. Il est prisonnier et il tressaute déjà. Je me penche sur lui, pour poser mes mains sur son torse et mettre les siennes sur mes fesses. Il me caresse de plus en plus. J’aime. Je fais des mouvements plus rapides. Il me fait comprendre qu’il n’en peut plus. Je me pose un peu le temps de l’observer et de le sentir en moi et puis j’accélère. Il est gonflé en moi. Très gonflé. Comblé qu’il est mon minou à moi ! Il gémit un peu. Compris. Je le serre très fort. Me redresse un peu. Juste un aller-retour et il se cambre ! Je sens son jus chaud en moi ! Très fort ! Deux jets au fond… Il retombe. Je bouge. Encore un jet. Et un gros soupir. Je n’ai pas joui. Normal et sans importance. Lui oui ! Trop fort ! Je jouis dans ma tête, en réalité. Heureuse de maîtriser et heureuse de rendre heureux. J’ai donné un plaisir immense à un Monsieur. Et ce n’est pas fini, je pense.
On reste comme ça. Il me regarde. Un sourire comme jamais. Je le sens se dégonfler. Je reste dessus. Je le regarde avec mon plus gentil sourire. Je murmure. Complice.
Là-dessus je l’embrasse sur le torse avec douceur et je le câline un peu tout en laissant son sexe ressortir de moi. Tout chaud et humide. Je prends une serviette et je le nettoie. Après, je le prends dans ma bouche pour le laver. Il est beau son sexe. Il reprend ses esprits.
Et après un gros bisou sur son sexe et une caresse sur son torse je me lève et vais chercher à boire. Il me regarde partir avec une larme à l’oeil. Heureux, Tonton ! Jamais il n’aurait imaginé… J’en profite pour me rafraîchir et me laver un peu. Je me regarde dans la glace et comme une petite garce je me fais un clin d’œil. Je ris toute seule en me disant que je suis vraiment coquine. Mais bon. Du plaisir partagé comme ça, quoi de plus simple et quoi de mal ?
De retour avec un nouveau plateau. Il a repris sa place. Il me regarde avec un air à la fois heureux et triste.
Il sourit et tend la main pour me caresser la cuisse. Je suis debout devant lui.
Je m’avance devant lui. Approche mon ventre de sa main. Je caresse sa tête. Il a les yeux brillants et il sourit. Il me dévore des yeux. Mon sexe à hauteur de son visage. J’écarte un peu les jambes pour qu’il puisse se perdre dedans. Il me caresse de partout. Je prends deux verres et m’assois sur ses genoux à califourchon. Je suis près de lui et mon sexe est bien ouvert dans cette position. Il ne parle plus. Il me touche les seins, le ventre, mon minou qui lui est offert. Moi je bois et d’une main tripote son engin qui revit un peu. Ses boules qui tombent sur le transat entre ses jambes. C’est gros des boules de cet âge-là. Je regarde son corps, je le caresse. Ma proie en fait. Du haut de mes 18 ans c’est moi qui maîtrise la situation. Étrange et plaisant. On continue de parler un moment ainsi.
J’ai énormément envie de profiter de notre après-midi. Je pose mon verre. Lui donne le sien. Je relève le transat dans son dos. Il s’installe. Je descends entre ses jambes et je le caresse de mes seins, de mes mains, son ventre, son sexe. Je le reprends en bouche très doucement. Il gémit de bonheur. Son sexe est gros mais il ne bande pas vraiment, c’est bien trop tôt encore. Je le mange, le lèche, je joue avec ses boules et de ma langue je le garde bien au chaud en le regardant. Il admire cette Julia qui a son sexe dans sa bouche et qui lui sourit. Impensable ce matin encore. Je mouille beaucoup là. Rendre un Tonton aussi heureux c’est autre chose que de faire l’amour. J’ai vu des partenaires ravis d’avoir fait l’amour avec moi, mais là ! C’est autre chose. Ce fut bref, mais gravé dans sa tête pour toujours, je pense.
Pendant que je continue de le manger il me parle. Des pauses quand je touche un point sensible. Il connaît le bonheur. J’ai trop envie qu’il s’occupe de moi. Je me relève. Ma main prend le relais de ma bouche. Il finit son verre. Il ne bande pas vraiment. Je remonte au-dessus de lui et m’assois sur son sexe. Je me frotte dessus jusqu’à ce que ma chatte soit ouverte et absorbe son engin sur la longueur, je prends ses mains pour les poser sur mes seins. Et je me caresse pendant ce temps. Je veux sa bouche. Je remonte encore. Avec la position du transat, une fois debout, mon minou arrive à hauteur de sa tête. J’avance et me pose, trempée, sur sa bouche. Mon bouton sur son nez. Et mes lèvres comme un baiser sur sa bouche. Sa langue me cherche. Elle pénètre tout de suite en moi. Je mouille déjà et je coule sur lui. Je sens qu’il avale mon jus. J’ondule doucement et ma chatte se frotte sur lui sans qu’il bouge. Je pose et pousse mon bouton sur sa langue. Il me boit. Il me mordille. Il me lèche à grands coups de langue. Il me mange aussi à son tour. Il le fait de façon gourmande. Vorace. C’est énorme !
Et je continue de me frotter sur lui et je coule de plus en plus, je gémis, c’est extra. Une petite pause pour le regarder. Et écarter encore plus les lèvres avant de les plaquer à nouveau sur sa bouche ouverte. Je fais ça souvent avec Agnès, ou elle avec moi. Notre grand plaisir à toutes les deux. Sa langue me fouille avec force. Sa bouche est presque un sexe, tellement il est gourmand et mange tout ce qu’il peut. On ne voit plus trop où est sa bouche et où est mon sexe. Je dirige en fait mon minou sur lui et je peux insister là où j’en ai envie. Je dirige mon plaisir. J’utilise sa langue, ses lèvres, pour faire monter ma jouissance. Cela dure très longtemps comme ça, je bouge mon bassin d’avant en arrière. J’ai très chaud. Je coule. Je sens mon jus sur mes cuisses. Je me frotte comme sur un sexe mais c’est sur une bouche, une langue, et c’est aussi bien. Souvent même mieux. Envie de jouir. Je crie un peu. Un grand frisson dans les reins et je me cambre sur lui. Je l’étouffe. Il tient sa queue presque redressée dans une main. De l’autre il masse soit mes seins, soit mes fesses, ou alors l’utilise pour m’écarter au mieux et entrer sa bouche le plus loin en moi. Cette fois je lui appartiens.
Je jouis ! Fort. Comme j’avais envie. Trempée. Il me déguste. Je vois le port, un marin…
Je veux qu’il me caresse encore. Me lève. Je vais m’allonger sur les matelas de transat au sol. Ils sont là pour ça aussi. Je l’entraîne avec moi. M’allonge et lui aussi à mon côté. Il me regarde. Non, il m’admire.
Il me touche de partout. Il s’est détendu maintenant. Il est moins figé. Il a envie de moi. Il se serre à moi. Sa queue sur le haut de ma cuisse, il se frotte et je mets ma main pour recevoir son gland quand il pousse. Il me caresse. Seins, ventre, sexe, cuisses, et encore. Je sais plus… Il doit avoir plusieurs mains. Je suis son jouet et il en profite. Jamais autant de caresses avec une seule personne. Ils sont au moins trois ! Il s’attarde entre mes cuisses et me force à les ouvrir au mieux. Je suis à lui cette fois. Il me caresse, ou mieux, il me branle. Sa main à plat et il me frotte très fort puis en douceur. Il se penche pour manger un sein puis l’autre. Et ça dure. Ça dure ! Et il prend l’initiative. Il me relève. Et tout en me caressant debout il me plaque sur lui et m’enlace de tout son corps. Je sens sa queue durcie qui se coince entre mes jambes. Il m’embrasse le cou, les épaules. Et il m’assoit sur le transat, me repousse en arrière et tire mes jambes pour amener mon sexe au bord. Je suis allongée écartée, ouverte, à lui.
Il s’approche et me prend d’un coup comme ça. Je le sens en moi, pas au plus dur qu’il puisse être, mais assez pour me remplir et me fouiller comme il va-et-vient. Il est excité, Tonton. Il me caresse les seins pendant que sa queue me prend sauvagement. Il n’a plus de problème dans sa tête. Il me donne des coups de reins qui font reculer le transat. Et chaque coup me fait un bien fou. Dans cette position, mon bouton est ressorti et je me touche. Sa main me rejoint et il me prend de plus en plus fort et me branle aussi en même temps. Je gémis sous ses coups de queue. Il me regarde. Content. Il me « baise ». Il revit et il me « baise » à sa façon. Son sexe est énorme maintenant et chaque fois qu’il rentre il me comble de plus en plus. Il va loin et je suis remplie. Comblée. Je sens mon jus couler par jets sur mes cuisses. Un grand frisson qui part de la nuque, jusqu’aux reins et j’ai l’impression de le transmettre sur sa queue qui me transperce maintenant. Il ne me prend plus, c’est plus que ça, il est déchaîné. Il monte et descend, ce qui me fait réagir encore plus. Une fois il passe en me frottant le bouton très fort et la fois suivante il me remonte, et ma chatte est béante et en même temps prise de tout côté. Je m’écarte cette fois avec les mains pour qu’il puisse aller très loin. Je vois des bateaux, des marins, Tonton, encore des marins…
Encore un frisson. Cette fois je me cambre et je reste le bassin en l’air. Il en profite pour me prendre deux ou trois fois et je crie ! Il me prend une dernière fois et reste au fond de moi ! Je gémis et mon bassin monte et redescend. Je suis en sueur. Trempée. J’ai joui encore ! Et très fort ! Plus vite que je pensais mais fort. Il m’a prise avec tant de force que je ressens encore ses coups quand il se retire doucement. Il est dur. Raide. Il n’a pas joui, lui. Trop tôt. Il est ravi. Il m’a pénétré à sa façon. Baiser comme il aime et la petite coquine a tremblé sous ses coups de queue. Elle a joui ! Il est heureux. Depuis ce matin c’est la première fois qu’il maîtrise.
Il remet un peu de son sexe en moi, il me regarde et me caresse partout. Je serre son gland avec ma chatte. Il me sourit.
Je me relève doucement. Je le tiens par le sexe.
Il se remet à sa place. Je vais remplir à nouveau les verres. Je passe par la salle de bains et m’asperge visage et minou pour me rafraîchir. J’emmène une serviette mouillée et fraîche avec moi. Il est à demi allongé et me regarde avec un sourire indescriptible. Je pose mon plateau. Je prends son sexe à demi bandant et le nettoie et le rafraîchit avec la serviette. Ça le fait sursauter. Je reprends ma position. Assise à califourchon sur ses cuisses face à lui. Nos sexes face à face également. Lui en demi érection. Et moi ouverte, rouge et luisante. Il admire avec un regard d’enfant gâté. J’ai fait plus qu’un heureux et j’en suis fière et surtout contente. Tout en restant comme ça on boit. On discute. Il caresse doucement mon minou toujours offert. J’en profite pour attraper le portable.
Un clin d’œil à Tonton et une caresse sur sa queue !
Il rit !
Je plaisante.
Je reste assise sur lui un long moment. On parle de tout comme si on était là naturellement. Sa main en permanence entre mes seins et mon sexe. Il fouille gentiment. Moi je joue avec son bel engin. Beau, ce sexe ! Bien, ce Tonton ! J’en reveux du Monsieur trop âgé ! Trop ! Tu parles !
Et puis on en revient à reparler de sa vie sexuelle et de la mienne. Comment je suis libre, libertine aussi, experte à ses yeux. Surtout vu mon jeune âge. Je lui avoue mes jeux avec Agnès dès l’âge de quatorze ans, mes copains, et ensuite nos copains, nos trios avec elle et eux. Nos soirées depuis quelque temps avec nos amis. Il est ébahi. Moi ! La gamine avec toutes ces expériences, et lui l’ancien avec sa triste vie ! Trois filles dont sa femme. Pas d’aventures. Et un « sexe » très classique ! Alors ! Moi et mes soirées à plusieurs, ma façon de montrer mon corps sans pudeur, et avec plaisir. Ma façon de guider ses gestes et mon goût incroyable à prendre un sexe en bouche. Il avait vu ça que dans les films qu’il regardait seul. Et maintenant le net (assez doué pour surfer le Tonton). Mais lui c’est la première fois qu’une fille le « suçait ». Et une gamine en plus ! Et avec un plaisir et une manière…
Bah oui, Tonton ! J’aime bien le faire ! Et il paraît que je le fais très bien ! J’ai appris ! Et on le fait avec Agnès des fois, tu sais ! Je lui ai montré et elle aime bien aussi. (Rires)
Je lui fais signe de se taire. J’incline son transat mais pas complètement. Je l’allonge à son tour. Je descends ses jambes de chaque côté. Je m’installe le mieux que je peux pour être entre ses jambes. Juste au-dessus de sa queue pas encore trop vigoureuse. À genoux devant lui. Ses jambes de chaque côté du transat. Position idéale pour nous deux. Un face à face avec son sexe.
Il ne répond pas. Il comprend que j’ai décidé. Il se détend. Presque. Je passe ma main sur ce sexe que je ne pensais pas être à ma portée ce matin, et je n’avais pas prévu d’en être là. Ses boules sont tendres, douces, et bougent mollement dans ma main… Je me mets au-dessus de lui. J’embrasse et lui caresse les cuisses, le torse, le ventre, et de mes seins aussi. Et son engin qui se dresse encore un peu. Je passe ma main dessus. Il réagit. Il se dresse. Il retombe.
Il ne bouge pas… Je m’installe nez à nez avec ce sexe qui me réclame. Mes mains sur son ventre, son torse et ses fesses. Je l’embrasse doucement. Je pose mes lèvres sur ces boules qui remontent doucement et je l’embrasse tout du long… petits bisous doux et humides… et je le lèche encore. Je joue de ma langue sur le bout qui se redresse… et je recommence à le lécher comme un fruit… mes mains restent à caresser son ventre. Je prends doucement ce gland dans ma bouche, je l’enferme, joue dessus de ma langue… dans le petit trou aussi… sa queue… elle reprend du volume… je descends en serrant mes lèvres et je l’engloutis, toujours doucement. Elle semble me remercier. Je l’enroule… la mâche un peu… la serre… la relâche… et la libère doucement tout en aspirant comme pour la faire grandir encore… elle retombe sur son ventre. Je la lèche de nouveau… la mordille… elle trouve ma bouche toute seule… s’y glisse. Je joue avec ma langue et mon piercing… elle sursaute… et je l’enfouis à nouveau toujours en douceur très lentement en pressant bien… pendant que mes mains caressent son torse, ses fesses… elle vit dans ma bouche… des petites gouttes salées par moments… et je la remâche à nouveau… fort… puis la relâche encore… et à nouveau la lèche sur toute la longueur… jouer avec la langue pour la faire un peu bouger… elle se dresse… elle veut retourner au chaud… un gros baiser de bas en haut pour la reprendre encore… et la faire entrer très loin très doucement très serrée.. elle me fait comprendre qu’elle est bien là… et je recommence de cette façon encore et encore… l’engloutir, la manger… la câliner de la langue, la presser et la relâcher en aspirant fort… et chaque fois qu’elle retombe elle me regarde pour pas que je la laisse… jamais je n’ai besoin de ma main pour qu’elle retourne sur ma langue… et encore… et encore… et plus je la mange et plus elle vit et plus elle réclame… maintenant elle vibre, elle tressaute quand je la relâche…
Tu voudrais arrêter ? Tu ne sais plus trop ? Les boules une par une dans ma bouche… un gros baiser sur la longueur et de nouveau elle se cambre pour venir se mettre là où il fait bon. Cette fois en la prenant je sens qu’elle bouge… Ses fesses se contractent sous mes mains… aurait-il envie d’arrêter le supplice ? Elle vibre de plus en plus… elle me demande ma langue de partout. Je la relâche une dernière fois je crois… elle réclame fort cette fois… un baiser encore… et elle retrouve son nid rapidement… elle me prend la bouche maintenant. Elle rentre, ressort nerveusement comme dans mon sexe. Il est trempé mon sexe… je sens que ça coule sur mes cuisses.
Maintenant elle s’agite… je la reprends bien en douceur… la serre… presse de ma langue le canal qui prend du volume. Je monte… redescends… ma boule sur le frein… c’est trop… elle se dresse encore… elle veut en finir… elle me supplie. Je presse encore plus, je tourne un peu autour… les sursauts là… un signal un peu plus fort… elle veut… il se fige entièrement… il n’y a plus qu’elle qui vibre… qui vit… je lâche la pression de ma langue… un très long jet chaud au fond de ma bouche. Je le sens passer par le canal… et un autre. Elle a des sursauts… encore un petit… je la relâche un peu. Du jus partout dans ma bouche… j’en avale… encore un jet très chaud… moins fort… elle se calme. Je la relâche très doucement. Je la laisse un peu tranquille. Je monte sur lui pour l’embrasser avec son jus. Nos langues… son jus… je l’avale… et je retourne pour l’embrasser et la reprendre encore en bouche. Tendrement… je l’aspire… la titille… l’absorbe… elle se détend… et je la garde au chaud… juste ma langue autour pour la calmer… la nettoyer… petit sursaut… petites gouttes encore… comme un "merci". Je la relâche… elle retombe… épuisée mais propre… et brillante. Je remonte me blottir… mes cuisses sont trempées… un bateau s’éloigne.
Il est ailleurs, Tonton ! Son rêve ! Il est tout chose.
Je reste blottie sur lui. Il est épuisé. Moi aussi même si je reprends plus vite mes esprits. On est bien, en fait. Belle journée, en effet. Je suis ravie de lui avoir fait plaisir. Sentiment indéfinissable. Je n’y pensais pas au début et c’est venu par jeu. En fait il ne pleure pas mais c’est limite. Je l’embrasse. Tendrement.
On se marre. Il est super, mon Tonton. Je le verrai plus de la même façon.
Je reprends une dernière fois son sexe chaud dans ma bouche et lui passe sa main sur mon minou encore tout trempé. Il a du mal à se lever.
Il est reparti avec son slip à la main et a failli ne pas le remettre pour passer le portail ! Dans les nuages il est ! Moi je range et je file me doucher. Certes avec quelques caresses pour calmer le petit feu encore bien présent. Agnès s’occupera de moi ce soir.
Après ma douche je vais le retrouver. Il s’occupe du poisson mais il a la tête ailleurs. Avec moi, je pense…
J’ai remis ma brassière. Et une jupette encore plus courte, rose, plissée. Gagnée lors de ma dernière séance photo. Ici d’ailleurs. Jupe de plage, qui va avec un maillot de bain rose, mais qu’on peut porter facilement en vacances. Il se recule pour m’admirer. Il est plus à l’aise que ce matin. Je tourne pour lui montrer ma tenue. Il est très content. Et il s’approche de moi, passe sa main sur mes seins, moi je caresse son sexe par-dessus son bermuda. Il descend sur mes cuisses et remonte sur mes fesses. Il cherche. Eh non ! Il n’y a rien. Il cherche bien. Pas de ficelle. Et devant ? Non. Rien !
Il caresse mon sexe encore un peu et on continue de faire des papillotes, des brochettes de gambas etc. et il me regarde dans sa cuisine aller et venir avec cette jupe qui vole et dévoile mes fesses quand je tourne. Il passe une journée INOUBLIABLE !
Ils sont rentrés. On était juste en train de commencer un scrabble. La cinquième partie qu’on a dit. Bon ok, un petit mensonge… Sur la terrasse, papa me regarde et scrute ma tenue avec un petit sourire. Content lui aussi de me voir comme ça ! Il m’aurait bien emmenée voir Dali dans cette tenue ! Agnès m’embrasse et de mon regard elle comprend que je me suis amusée. Elle ne sait pas comment, mais elle sait…
On avait préparé pour ce soir mais il est très tôt en fait et on a le temps de se détendre. Ils sont passés les uns après les autres à la douche. On finit notre partie, et dès que je peux je le laisse admirer mon minou tout lisse, tout propre, et encore chaud et humide, où il a passé un moment de la journée. Il le connaît bien maintenant, mais se lasse pas de regarder quand, assise, j’écarte un peu les jambes pendant qu’il n’y a personne. Quand on a terminé, Agnès sort de la douche et commence à se changer dans notre studio. Elle est sur le lit. Nue. Je m’installe à côté et tout en caressant son corps je commence à lui raconter ma journée. Elle se marre et en même temps elle est assez ébahie !
Je me lève. Pas besoin de montrer. Elle regarde mes cuisses et cette jupette ultra courte.
Elle se marre. Fait un petit signe comme si elle n’aurait pas osé. Tu parles ! Notre liberté supplémentaire en vacances !
Quelle question ! Il lâche son balai ! Prend les clés de sa voiture. Bise rapidement sa femme qui se demande pourquoi il part si vite.
On s’est installées dans sa voiture. Moi devant. Agnès derrière moi. Il nous scrute avant de démarrer. Moi, il sait. Mais envie de vérifier à nouveau. Coup d’œil sur mon entrejambe que j’ouvre très grand sur le siège. Minou ouvert ! On ne me voit pas d’ici. Agnès a une jupette un peu plus longue mais à peine. Un petit haut court et moulant qui dessine ses seins et on voit très nettement ses tétons pointer. Il se tourne et la scrute aussi. Plus trop timide. Là, il découvre que ma belle est tout aussi peu couverte que moi, et tout aussi lisse, et tout aussi rose. Il laisse un moment ses yeux branchés sur le sexe offert d’Agnès. Soufflé qu’il est le Tonton ! Il me regarde et comme je me marre un peu il comprend que ma belle a suivi mes consignes. Elle a décidé de jouer aussi avec lui. Il va sortir en ville avec deux gamines en tenue hyper sexy et deux minous sublimes et accessibles ! Je ne vérifie pas, mais il doit bander comme tout à l’heure.
On va ainsi au pain et chercher des crèmes et produits. Il est resté derrière nous. Les yeux fixés sur nos fesses et en attente qu’un geste ou un coup de vent en dévoile plus que ça ! Il n’aurait jamais pu rêver d’une journée aussi… Lui avec les reines de la ville ! Tout le monde les regarde mais elles sont avec lui. Et elle, là ! Elle était dans ses bras il y a deux heures ! Oui ! Elle ! On le prend chacune par un bras, ce qui du coup lui fait ressentir mon sein gauche et le sein droit d’Agnès. Il est sur un nuage. Je revois des bateaux et des regards encore. La petite chaleur intime ne me quitte pas. On a fait quelques vitrines ainsi, avec un zombie entre nous.
On rentre en roulant très doucement. Au bout de la rue, avant d’arriver, il a osé poser sa main entre mes jambes en regardant dans le même temps Agnès, non pas dans les yeux, mais en haut de ses cuisses à elle. Et elle, elle ouvre en grand ses jambes, ce qui écarte au mieux son sexe, avec un sourire pour lui faire comprendre qu’elle joue aussi maintenant.
On a dû toucher deux fois le trottoir sur les vingt derniers mètres. Une fois stationné, il regarde à nouveau Agnès, passe encore sa main entre mes jambes, et moi je pose la main sur son short pour prendre son sexe bien dur à travers le tissu. Il bande encore plus que cette après-midi ! Il nous regarde descendre de sa voiture. On rentre chez nous et lui chez lui.
Le soir, apéro suivi du poisson au feu de Tonton. Soirée spéciale pour lui. On fait un peu nos belles en jouant de notre effet sur lui. On « virevolte » comme dit papa, comme des papillons. Décidées à faire nos fofolles. Il nous regarde avec un sourire béat. Même que sa femme lui donne des coups de coude quand il est plongé dans mon décolleté et qu’il répond à côté des questions qu’on lui pose. Ailleurs qu’il est. Je sais où, moi ! Il mate les deux filles qui sont en face de lui à table. Si possible, elles ouvrent leurs jambes, selon la présence ou pas du reste de la troupe. Il a croisé Agnès en débarrassant dans la cuisine. Elle s’est collée sur son sexe en se penchant pour ranger dans le frigo. Elle a senti son engin dur se caler entre ses fesses. Ils sont ressortis et il a oublié de poser ce avec quoi il était parti.
Il retourne avec un clin d’œil poser ses assiettes sales. Quelle journée ! Quelle journée !
Nous sommes allées faire un tour en ville toutes les deux, et quand on est rentrées il était sur sa terrasse avec sa femme. Mes parents étaient partis aussi se balader. On est allé leur faire un petit bisou. Il nous a sorti un clin d’œil à chacune et un regard qui disait : vous êtes extra, les filles ! Je vous…
On est rentrées, on s’est douchées, et vite au lit pour les détails de ma journée en faisant l’amour à ma belle. Contente aussi, la Julia ! Pas sur un nuage, mais sur un bateau…
À demain…