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n° 13583Fiche technique15316 caractères15316
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Temps de lecture estimé : 9 mn
01/12/09
Résumé:  Clarisse, mon éternelle muse, m'a inspiré de courts récits fantasmatiques. En voici trois : Sodomie, Double Pénétration et Saphisme.
Critères:  fh ff fhh ffh entreseins fellation cunnilingu 69 pénétratio double sandwich fdanus fsodo
Auteur : The sexy squirrel      Envoi mini-message
Petits fantasmes avec Clarisse

SODOMIE


Clarisse me présentait désormais son meilleur profil. Non qu’elle ne fût très mignonne de visage, ni ses seins tout à fait ravissants, mais son postérieur était incontestablement la partie la plus sensuelle de son anatomie. Son cul était à la fois rebondi et ferme, il se détachait des reins dans un galbe dont seules les Africaines ont usuellement l’apanage. Il n’était ainsi pas rare que les hommes qui se retournent sur son passage en restent béats d’admiration. Je la prenais en levrette depuis cinq minutes et l’avais forcée à fléchir sa position à quatre pattes. Cambrée sur le matelas, elle tendait cette croupe divine vers moi. Elle me l’offrait littéralement. Et je n’avais qu’une idée en tête, celle de la posséder…


J’ai écarté les deux hémisphères fessiers pour mieux visualiser l’objet de mes convoitises. L’œillet, tout plissé, ne cilla pas d’un millimètre. « Cette coquine est serrée du fion », pensai-je, « ça va être un régal de la culbuter ». Je déposai un filet de bave tout en haut de la raie, le ru s’écoula le long de la vallée et se déversa dans la dépression anale. Du bout de l’index, par de petits mouvements circulaires, j’ai palpé l’oignon pour bien l’enduire de salive. Je n’eus pas à insister pour y introduire la première phalange. La voie était étroite, mais praticable. Je poussai mon avantage plus en avant, enfonçant avec autorité mon doigt entier dans le fondement. Si Clarisse avait eu le moindre doute sur mes intentions, elle ne pouvait plus les ignorer. Mieux, elle les approuva par un miaulement de plaisir. L’effet fut immédiat : mon érection, que je croyais déjà maximale, parut se renforcer davantage. J’étais dans l’incapacité de prolonger les préliminaires plus longtemps.


À l’aide de mes pouces, j’ai écarquillé légèrement la rosette qui s’était immédiatement obstruée quand j’avais retiré mon doigt fouineur. Un minuscule judas se créa, s’ouvrant sur l’obscurité. Je crachai dessus par deux fois, le maculant d’une vaseline naturelle écumante. Docile, Clarisse ne regimbait pas. D’un geste cérémonieux, j’ai placé mon sexe encore luisant de sécrétions vaginales au seuil de l’orifice. Je ne pus m’empêcher de profiter du moment en retardant l’échéance de quelques secondes, comme pour graver dans ma mémoire l’image de ma queue pointée sur ce cul magnifique. Un geignement d’impatience m’extirpa de ma torpeur. Je plongeai en avant…


Mon gland franchit sans difficulté la frontière que le sphincter avait laissée ouverte, preuve supplémentaire du consentement total de Clarisse. Elle feula de satisfaction. Mon élan me permit d’insérer d’un coup entre ses fesses environ la moitié de ma queue dont la progression fut stoppée par l’étroitesse du boyau. Sans m’affoler, j’entamai un fonçage méticuleux du puits de ses reins : je reculai d’un demi-centimètre à l’aller pour mieux perforer d’un centimètre plus profond au retour. Elle marquait ce tempo par de petits cris aigus. Je voulus la soulager en allant caresser en parallèle son clitoris, mais un constat s’imposa dès que j’effleurai sa chatte : elle était trempée, elle prenait son pied ! Je l’avais maintenant embrochée jusqu’à la garde, je sentais cette base enchâssée dans l’anus alors que ma hampe était comprimée par les parois rectales. C’était un pur délice, je rugissais de plaisir.


J’ai débuté les va-et-vient, en augmentant progressivement l’amplitude et la vitesse. Mes ahanements de bûcheron s’accordaient avec les gémissements lascifs de Clarisse, nos excitations s’alimentaient mutuellement. Je l’ai laissée ensuite venir s’empaler d’elle-même par d’habiles ondulations de sa croupe ; je contemplais mon pénis qui coulissait sans entraves à travers son œillet dilaté. Puis j’ai repris les rênes du coït en mains, la saisissant par les hanches et me relevant à moitié pour la pilonner puissamment. Mon bas-ventre venait percuter ses fesses charnues, elle s’agrippait au drap pour encaisser ces secousses tout en lâchant des « Oui ! » d’approbation et d’exhortation. Son ultime acquiescement se prolongea outre mesure dans la naissance d’un orgasme foudroyant. Je l’accompagnai quasi simultanément dans la jouissance…


Quand j’ai recouvré pleinement mes esprits, j’étais allongé sur le dos de Clarisse, la queue toujours plantée dans son cul d’où dégoulinait mon foutre. Elle haletait, je cherchais moi aussi à reprendre mon souffle, nous étions tous les deux en sueur. Je murmurai à son oreille :



Je bandais encore fort après mon éjaculation, et sa phrase endigua net tout fléchissement de ma rigidité. J’ai alors pris chacun de ses poignets entre mes paumes, la plaquant à plat ventre, et j’ai donné un nouveau coup de reins viril. Elle a glapi de surprise mais n’a nullement protesté ou demandé de m’arrêter…



oooOOOooo



DOUBLE PÉNÉTRATION


Clarisse avait-elle prémédité son coup ? Connaissant son côté peu farouche, j’en mettrais ma main à couper : elle avait tout organisé pour accomplir son fantasme d’être prise par deux hommes. Je sortais avec elle depuis deux mois et nous forniquions régulièrement chez moi ou plutôt, pour être précis, dans l’appartement que je partageais avec Nicolas, mon colocataire. Du fait de l’étroitesse des murs et de l’expressivité de ma partenaire pendant l’amour, il avait la primeur de nos ébats et il m’en faisait souvent ironiquement part au petit déjeuner du lendemain matin en constatant mes cernes. Ce fameux soir, nous avions entamé une partie de jambes en l’air mais la porte de ma chambre était (malencontreusement ?) restée à moitié ouverte.


Nous étions en train d’opérer en 69, moi en dessous, côté tête de lit, elle au-dessus, face à l’entrée. Tout concentré à titiller son clitoris et masqué par son voluptueux fessier, je n’ai pas vu arriver l’intrus. Tout juste ai-je remarqué que les caresses buccales sur ma verge alternaient désormais avec son doux branlage, mais ce n’était pas pour me déplaire. C’est quand j’ai entendu un râle masculin que j’ai réalisé avec surprise que notre duo était devenu trio ; un rapide coup d’œil m’a permis de confirmer que Nicolas s’était joint à nous. Il m’a raconté plus tard qu’il n’avait pu s’empêcher de venir nous mater et que Clarisse l’avait intercepté du regard alors qu’elle me pompait le dard. Elle avait continué son manège tout en le fixant droit dans les yeux comme pour le défier. Puis, d’un simple geste du doigt, elle l’avait invité à se présenter au guichet fellation. Il ne s’était pas fait prier.


J’ai acquiescé tacitement à sa présence en reprenant le cunnilingus sur une chatte que mon consentement semblait avoir stimulée. D’ailleurs, peu de temps après, Clarisse voulut passer aux choses sérieuses en rompant la position pour se présenter en levrette devant Nicolas et je me suis redressé afin qu’elle vienne aussi me sucer. Je pus alors lire sur la figure de mon camarade son enchantement face au spectacle de la croupe parfaite qui lui était livrée sur un plateau. Il la pénétra sans coup férir jusqu’au tréfonds tellement elle était trempée de désir. Ses allers-retours imprimèrent ensuite la cadence de la pipe goulue qui m’était prodiguée parallèlement. Nous étions aux anges…


J’ai tâtonné dans le tiroir de la table de chevet pour attraper un tube de vaseline que je lançai à Nicolas. Un nouveau sourire égaya son visage et il pointa en l’air un pouce complice vers moi. Il s’en servit pour déposer une noix de pommade sur la rondelle de Clarisse et l’y planta avec autorité. Elle régurgita mon pénis pour gémir mais je la ramenai à ses obligations en la guidant à la main par la chevelure. Ce furent donc ses couinements étouffés qui accompagnèrent ce soigneux doigtage anal qui se conclut par cette déclaration :



Je glissai aussitôt entre les jambes féminines pour placer mon sexe comme un pal sous la chatte désormais vacante. Clarisse s’y embrocha le plus naturellement du monde. Nicolas l’inclina pour dégager l’accès à ce petit trou qu’il avait si bien préparé. Il la sodomisa lentement, sans forcer, et dans le même esprit je le laissais la limer quelque temps avant de me mettre en action. Dès que nos deux queues agirent de concert, elle ne se contint plus : le niveau sonore de ses cris s’amplifia, son corps était agité de spasmes. Son excitation échauffa la nôtre, j’allais et venais de plus en plus vite en elle tandis que mon équipier la martelait vigoureusement. À ce rythme et à cette intensité, il était inévitable que nous explosions en vol ; nous avons éjaculé tous les deux presque en même temps. Pour sa part, elle a joui de manière tonitruante en nous sentant nous déverser avec force dans ses orifices béants.


Nous nous sommes endormis entremêlés, encore poisseux de sueur, de sperme et de mouille. Nous avions comme une gueule de bois au réveil et étions presque mal à l’aise mais, d’une bonne blague lubrique, je décrispai l’atmosphère et nous pûmes parler ouvertement des sensations autant inédites qu’agréables de la veille. Nous avons du reste réédité ce petit jeu à trois avec un plaisir analogue quelques fois avant que Nicolas ne déniche sa dulcinée et qu’il emménage avec elle. Il semble lui voir juré fidélité, ce qui a coupé court à nos fantaisies sexuelles. Mais qui sait ? Si jamais Clarisse a soudain envie d’une soirée échangisme entre nos deux couples, je suis persuadé qu’elle trouvera le moyen d’arriver à ses fins…



oooOOOooo



SAPHISME


« Je suis foncièrement hétérosexuelle, » avait pour habitude de déclarer Clarisse, et elle argumentait avec son franc-parler habituel : « J’apprécie la complémentarité des sexes et rien ne me fait plus prendre mon pied que d’être prise comme il faut par une bonne bite. » Elle m’avait avoué quelques expériences lesbiennes dans ses jeunes années car, disait-elle toujours, « Il ne faut pas mourir idiot ». Elle avait apprécié la sensualité de ces rapports, mais elle n’en était pas sortie comblée : « Je préfère la chair fraîche aux jouets en plastique ». Aussi fus-je très étonné de la découvrir, à mon retour des toilettes, avec sa copine Sophie en train de se rouler des pelles jusqu’aux amygdales sur mon canapé…


Je me suis installé confortablement dans le fauteuil en face d’elles comme si de rien n’était ; d’ailleurs elles continuaient à se galocher sans être gênées par ma présence. Clarisse dirigeait clairement les débats et elle retira autoritairement le chemisier puis le soutien-gorge de sa partenaire pour se consacrer à ses seins. Et quels seins ! Certes, les yeux verts d’eau de Sophie étaient charmants, mais tout regard masculin était ensuite inexorablement attiré comme par un aimant vers sa magnifique poitrine, plantureuse et ferme à la fois. Elle était à cet instant l’objet de caresses et de léchages qui la rendaient encore plus désirable avec ses tétons pointés vers les lèvres qui les suçotaient.


Puis la langue de Clarisse descendit sur le nombril de son amie pendant que ses mains déboutonnaient le jean. Elle le dégagea et en profita pour se débarrasser de la culotte dans le même mouvement. La minette dorée qui attestait l’authenticité de la blondeur de sa propriétaire était désormais à sa merci. Elle y plongea avec délectation, fourrageant les nymphes, agaçant le bouton, dégustant la cyprine. Sophie la félicitait de ses initiatives par des gémissements continuels et par de petits cris stridents quand elle touchait un point sensible. Son orgasme clitoridien fut soudain : elle s’arc-bouta quelques secondes en plaquant le visage de celle qui la tourmentait contre son entrejambe, et s’écroula dans le sofa comme une marionnette désarticulée. Devant ce spectacle, je n’avais pas pu résister au besoin impérieux de libérer ma queue en érection du carcan de mon boxer. Elles le remarquèrent et parurent s’accorder muettement sur la suite des événements…


Telles des louves affamées, elles se sont glissées à quatre pattes vers moi et se sont mises à me lécher suavement la verge chacune de leur côté. J’avais l’impression d’être un cheik au milieu de son harem, avec à ses pieds deux superbes roumias vouées à son plaisir. Je les flattais en leur câlinant la tête pendant qu’elles me taillaient une double pipe royale. Elles ne rataient pas non plus l’occasion de se bécoter au détour d’un croisement de langues sur ma hampe. À un moment, Sophie se recula et entreprit de déshabiller Clarisse en lui enlevant juste sa jupe et son string. Leur entente télépathique se poursuivait.

Clarisse se releva et m’enjamba en me tournant le dos. Mon pénis verni de salive se dressait comme un pieu sur lequel elle s’embrocha avec délectation. Je l’ai saisie par les hanches pour la faire coulisser à un rythme soutenu dans un bruit de clapotis et de râles significatifs de son excitation. Je la clouai d’un coup au plus profond de son vagin, laissant le champ libre à Sophie afin que sa bouche entre en action sur la chatte comblée. Je la bourrai davantage par de petits coups de reins, mes mains remontèrent en passant sous le pull et empoignèrent les seins de mon amante qui se trémoussait sur mes cuisses car son bourgeon était soumis à rude épreuve. Je l’ai sentie s’abandonner totalement, pour être foudroyée par la jouissance par tant de sollicitations. Elle se lova contre mon torse, ce qui extirpa brusquement mon pénis toujours bandé de sa matrice. Encore une fois, aucun mot ne fut nécessaire…


Sophie cala aussitôt mon sexe dans son sillon mammaire, bien au chaud entre ses deux miches généreuses. Elle m’administra une branlette espagnole de haute volée, étreignant et mouvant mon membre en son giron tout en ne négligeant pas de donner au passage quelques coups de langue opportuns sur mon gland. C’était visiblement une spécialiste de ce type de masturbation et je bramais de bonheur. J’ai giclé comme un geyser, maculant de mon sperme la poitrine qui me servait de fourreau ainsi que le pubis de Clarisse qui n’avait pas perdu une miette de l’opération. Elle était peut-être foncièrement hétérosexuelle, mais j’étais ravi qu’elle ait accepté de devenir bisexuelle l’espace d’un temps, et j’étais surtout sûr qu’elle était cent pour cent libertine…