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n° 13592Fiche technique10810 caractères10810
Temps de lecture estimé : 7 mn
06/12/09
Résumé:  Comment un massage sensuel peut faire du bien après le travail.
Critères:  fh cérébral hmast massage pénétratio
Auteur : Capp      
Feu aux joues... et au reste

Voici le récit qui s’est passé il y a quelques jours et qui m’a suffisamment émoustillé pour que je me lance pour une première fois à envoyer mon texte à REVEBEBE.



Tout d’abord, je me présente : je suis Sébastien, 30 ans, cadre en province. Physiquement, je suis assez svelte et j’essaye de m’entretenir avec le sport. Je suis blond, 1m80 et 75 kg. Je suis marié depuis 3 ans à mon adorable femme (nous l’appellerons Amélie, belle femme d’1m70, cheveux châtains aux reflets magnifiques. Elle possède des formes sensuelles et ses seins de taille moyenne ainsi que ses fesses qui ne laissent pas insensibles certains hommes… Suis-je resté objectif ? Je le souhaite). Nous sommes un couple amoureux, épanouis dans notre vie et dans notre vie sexuelle que nous essayons d’entretenir le plus possible.


Stressé par une charge de travail plus importante, j’ai eu envie de me relaxer et m’évader de mon quotidien professionnel. Une amie m’a donc parlé d’un salon de massage accueillant et très stylé. Le personnel y est agréable, très pro et les tarifs ne sont pas prohibitifs.


Je prends donc rendez-vous pour un soir après le boulot. Une voix charmante me demande si j’ai mes habitudes et si je désire être massé par une personne entre autres.

J’attends donc avec impatience ce jour avec une certaine impatience et une certaine excitation, car même si je n’ai pas de projet lubrique, je prévois que ce type de massage se fait en toute sensualité. J’ai donc une impatience de gamin en pensant à cette séance.


Le jour J arrive et c’est un peu en avance que je m’échappe du travail-direction mon massage ! Une fois sur place, je pousse la porte de l’institut avec une légère boule au ventre et le cœur battant. Une lumière feutrée, mais présente donne une atmosphère sereine à ce lieu, une musique « zen » finit de donner une touche détendue à ce lieu. Personne pour le moment, j’entends juste des rires derrière la première porte, elle s’entrouvre et je vois de dos une première jeune femme qui discute avec deux autres, visiblement elle doit se changer, car j’aperçois son haut qui descend doucement dans son dos. Houlala la tension monte d’un cran puisque j’ai juste eu le temps d’entrevoir le début du galbe de son sein ! On souffle un coup, je suis venu me détendre, pas me tendre. Je suis suspendu à mon temps de pause, lorsqu’elle me voit et s’approche de moi. C’est elle qui va me masser ! On se concentre, on ne regarde pas ses seins sans rien sous le top, zut c’est déjà fait… Vite, faut y aller, je sens déjà mon entrejambe durcir. C’est pas un bon début pour profiter de ce massage…


Une fois arrivés dans la pièce, elle me demande de me déshabiller et de m’allonger sur la table de massage. Partie, je commence mon effeuillage consciencieux (toujours pour calmer mes ardeurs). Boxer, pas boxer ? Allez ! Sans, ce sera quand même plus confortable.

Je m’installe donc sur le ventre, mon sexe à moitié durci, et je suis d’ailleurs très content de me mettre sur le ventre. L’imaginer me scrutant quand elle rentrera ne fait rien pour me calmer… Elle frappe à la porte et rentre. Je l’aperçois nus pieds dans un joli bas très fluide, mais terriblement sexy (je ne manque pas le galbe de ses jolies fesses) et bien sûr son top noir qui laisse deviner son nombril : quelle perspective ! Rien de provocant, mais terriblement sexy.


Elle installe la serviette sur mes fesses et c’est tout frissonnant que je cale ma tête en attendant la suite. Ma tension n’est pas descendue, mais je suis déjà gagné par le calme de cette charmante jeune fille. Elle m’étale une délicieuse huile tiède sur mes mollets et commence cette douce sensation de petites mains si douces sur mes muscles, je suis détendu en l’espace de quelques minutes et je suis tout à ce qu’elle me prodigue.

Pendant de longues minutes, toute tension parasite s’évacue et je suis détendu, mon sexe est délicieusement entre deux états et je m’abandonne à ces bienfaits.



Je me retourne, très pro elle détourne le regard même si je vois ses yeux furtivement détailler les quelques parcelles qu’elle ne connaît pas… Je m’installe donc sur le dos et me concentre sur le pourquoi de ma venue.

Soudain elle me relève une jambe et la serviette remonte comme par magie (enchantement ?), là, ma belle masseuse ne peut rien manquer de mon anatomie… elle n’a pas dû rater grand-chose… Petits rires, nerveux pour moi, d’amusement pour elle. Malheureusement, je ne peux empêcher mon sexe de durcir, jusqu’au point de se voir à travers la serviette. On souffle un coup, re petit rire de mademoiselle, et on se calme. C’est sans compter sur l’amusement de ma masseuse qui au moment de remonter jusqu’à l’aine effleure doucement mes testicules.

On souffle… ça devient du classique.


Le reste du massage est délicieux et la tension sexuelle descendue d’un cran jusqu’au moment où elle s’occupe de mon ventre et se penche au-dessus de moi, qui trouve le moyen d’ouvrir les yeux à ce moment-là. Et voilà la plus belle vue de la journée : j’ai une vue de son ventre, de son nombril et son top qui n’en peut plus de bailler jusqu’à la lisière de sa poitrine ! Un grain de beauté sur le galbe de son sein ne peut m’échapper et me revoilà luttant contre mon érection. Je suis tétanisé par cette magnifique vue et en même temps ravi ! Je ne cache plus mon érection (si tant est que je le faisais avant) et profite du massage du visage qui apaise un peu mes tensions.


Cette séance se termine et ma masseuse, tout en laissant une main sur ma hanche, m’annonce que le massage est fini… Quel dommage ! Et ouf ! Elle me laisse pour me détendre avec un dernier « Prenez votre temps ».


Me voilà sur le dos, enduit d’huile qui a bien pénétré ma peau, détendu certes, mais en proie à une tension sexuelle comme jamais ! (ça fait belle lurette que le sensuel a laissé la place au sexuel !)

Je suis brûlant de tension sexuelle. Si mon sexe pouvait parler, il hurlerait ! Paradoxalement, je suis envahi par une douce torpeur bienfaisante. Inconsciemment mes mains huileuses descendent le long de mon ventre et effleurent le gland de mon sexe. Contact électrique : ça y est, je commence de lents et sensuels va-et-vient, je n’en peux plus, je revois ma masseuse m’effleurer le sexe et cette fois-ci le prendre en main doucement puis fermement…


Je rouvre les yeux et une petite voix intérieure me dit qu’il est temps de se lever. Avant de me rhabiller, j’essuie lentement l’huile sur mon corps et ne peux m’empêcher de me caresser lentement le sexe et le ventre. Allez on se rhabille !


Je sors de la salle, un peu à l’ouest, ébloui et je vais vers ma masseuse. Elle me demande si j’ai pris bien mon temps avec un petit sourire mutin et tendre, j’hallucine du calme que dégage cette fille, incroyable ! Je règle, nous discutons et elle me donne son prénom « pour la prochaine fois ». Je suis scotché au carrelage et ne peux partir, mais la boule que j’ai dans le bas-ventre me donne envie de vite déguerpir. Lorsque je sors, le froid me surprend, j’ai le feu aux joues… et au reste, je cours vers ma voiture.


Une fois dans la voiture la plénitude du massage s’estompe et la tension sexuelle domine, je suis un sexe ! Il fait nuit, heureusement ! Je caresse mon sexe à travers mon pantalon, mais vite je démarre. Les quelques kilomètres qui me séparent de la casa sont de trop, je n’en peux plus. Fébrilement tout en roulant je sors mon sexe encore huileux et commence des va-et-vient, c’est la torture. Au feu rouge je me fous de la voiture à côté et de la femme qui pourrait voir que je me branle comme un adolescent !


Arrivé, enfin… je souffle un coup. Quand je fais rentrer la clef dans la porte, c’est quasiment dans l’urgence ! Ouf chez soi ! Ma petite femme arrive, « comment c’était alors le massage ? » Par où commencer ? Je commence par le début « c’était très pro tu sais » puis doucement je commence par lui caresser son joli fessier pendant que je parle, j’ai envie de lui arracher son pantalon et de la prendre là ! Et pourquoi pas ? C’est par derrière que ma main descend dans son pantalon, dans sa culotte et je referme ma main sur la raie de son cul et la lisière de son petit trésor. C’est too much, je lui happe sa bouche, la retourne doucement et la plaque contre la table, elle ne doit rien comprendre et ne doit pas se douter des raisons de mon désir débordant.


Je bande comme jamais, je suis dur et ma femme le sent bien contre ses fesses. Elle a mis ses mains en arrière et m’enlace jusqu’à essayer de défaire la ceinture de mon pantalon (il semble que mon désir a été communicatif et je la sens excitée dans mon étreinte). Voilà, la ceinture est défaite et mon pantalon tombe lentement par terre, je finis de me déshabiller fébrilement et me retrouve nu en quelques secondes. Je m’occupe rapidement de son pull et voilà ma belle femme en soutien-gorge avec le pantalon négligemment descendu à mi-cuisse. C’est une vue incroyablement stimulante et profondément indécente. Les cheveux défaits elle me regarde avec gourmandise et baisse d’une main sa culotte tout en me fixant dans les yeux. Mon sexe n’en peut plus d’être sensible et je sens déjà une goutte de plaisir à son entrée. Je m’approche et d’un coup je pénètre tendrement sa chatte, humide… très humide, mais un peu resserrée par la position et le pantalon qui l’empêche de se mettre complètement à l’aise.


Nous sommes soudés, je la pénètre, j’ai les lèvres scotchées à son cou et ma main droite est plaquée sur sa chatte et ses lèvres. L’amplitude de nos mouvements se fait de plus en plus rapide, nous hurlons de plaisir et tous les bruits possibles de la baise sont là. Ma peau contre la sienne, mes couilles qui claquent contre son sexe, les petites claques que je donne sur son sexe ou les bruits de ma bite trempée, les mots désordonnés et crus : tous ces bruits nous amènent tous les deux à jouir profondément, c’est divin ! Nous tombons sur la table, hurlant encore de notre jouissance.



Nous reprenons nos esprits et c’est péniblement que nous allons dans la chambre pour nous reposer. C’est le pantalon défait et les seins nus qu’elle me demande : « Tu comptes aller souvent te faire masser ? »