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21/12/09
Résumé:  Au cours d'une réception huppée et ennuyeuse, un homme remarque une belle femme. Il la dévisage au point de la troubler et l'obliger à fuir la soirée...
Critères:  fh inconnu grossexe fête fsoumise voir odeurs pénétratio -occasion
Auteur : David Blonfali            Envoi mini-message
Un homme et une femme

L’homme la vit le premier. Elle irradiait tellement. Ses yeux à lui s’accrochèrent rapidement à sa silhouette, si fine, si discrète et pourtant si éclatante et évidente.


Autour de la femme, des dizaines de personnes. Le grand salon réunissait des mondaines et des mondains devisant, démontrant, acclamant, embrassant. Des smokings foncés et rigides s’accrochaient à des robes pelucheuses, indignes d’exubérance. Des dames mûres portaient le menton très haut et paradaient à qui mieux mieux. Des petits hommes suivaient, gênés, se raccrochant à leur verre, trop grand.


De gros canapés, d’épais tapis et d’inévitables lustres éclatants venaient compléter ce triste tableau. Rien ne manquait, ni l’armada de serveurs, ni le gros escalier central en pierre rose, ni bien sûr le riche propriétaire couvant la scène d’un œil fier et las.


La femme était debout au beau milieu, silencieuse.

Elle s’ennuyait simplement.

Sans doute la fille de quelque riche convive, elle était de loin la plus jeune et se sentait à juste titre décalée.


Quand l’homme la vit, elle semblait flotter tel un mirage au milieu d’êtres rassis et gris. Il fut saisi en observant l’élégance de cette nuque, fine et très pâle. Les cheveux dorés tirés vers le haut la dégageaient totalement. Au sommet de sa tête trônait un chignon. Son corps souple était moulé dans une robe pastel dont le dépouillement contrastait avec l’environnement surchargé.

Ses bras graciles et laiteux se mouvaient avec lenteur et grâce. Une de ses mains venait avec entêtement ranger derrière l’oreille une mèche de cheveux qui glissait tout aussi obstinément vers son visage.

L’homme eut encore le temps de suivre avidement des yeux les contours de la robe. Elle épousait sa taille fine et mobile puis s’écartait pour modeler ses hanches et ses fesses. Le tissu fin trahissait le contour des deux rondeurs, rebondies.


L’homme déglutit difficilement alors que le hasard d’un passage faisait faire un demi-tour à la femme. Elle vira vivement tout en cherchant à s’excuser auprès de celui qui l’avait bousculée. S’appuyant sur un menton fin et élégant, ce visage déployait une grâce étonnante. Le satin de cette peau très claire s’harmonisait avec l’éclat de ses yeux et le grenat de ses lèvres.

L’homme sentit sa respiration se précipiter et, lorsqu’il quitta ce visage pour descendre vers son corps, une puissante vague d’envie le fit trembler. L’ombre dessinant nettement le relief de ses seins acheva de faire monter en lui un désir violent.


La femme ne pensait pas à grand-chose. Rompue aux réceptions, elle savait placer son cerveau en une sorte de léthargie. Ses yeux de biche glissaient mollement sur les visages connus et inconnus. Un de ses balayages visuels embrassa l’homme. Elle ne réagit pas tout de suite.


La bizarrerie, l’anomalie qu’il constituait fut enregistrée par ses prunelles mais mit du temps à forger son passage jusqu’à la conscience. Son esprit endormi finit tout de même par s’ébranler et, s’immobilisant d’abord, elle parcourut à reculons son champ d’observation. Que pouvait bien faire ici cet homme habillé en jean ?


Rapidement elle réalisa que cet homme, dont l’habillement discordait avec le lieu, la fixait. Il se tenait debout et immobile à une quinzaine de mètres d’elle, et il lui faisait face.

Gênée elle se détourna. Mais son esprit était troublé. Qui était-il ? Que lui voulait-il ? Pourquoi la regardait-il ? Ses pommettes rosirent lorsqu’elle réalisa bientôt ce que ce regard de braise signifiait sans doute.


L’homme ayant croisé ce regard si féminin sentait maintenant son cœur battre la chamade. Son sexe emprisonné dans son pantalon réclamait maintenant plus d’espace. Il devait mobiliser toute sa raison pour retenir ses jambes de courir vers elle immédiatement. La gêne qu’il avait pu tout d’abord ressentir parmi tous ces vieux riches et maniérés avait maintenant disparu. La beauté de cette femme, le magnétisme torride qui se dégageait de ses formes redoutables, tout cela empiétait sur sa faculté de penser. Il sentait confusément des bouffées hormonales monter régulièrement à l’assaut.


Bientôt la femme ramenait la tête vers lui. L’homme était toujours là. La femme se dit qu’il la regardait parce qu’il la trouvait belle. Son émoi à elle grandit tant il parcourait avec envie son corps des yeux. Il s’était approché de quelques mètres et elle distinguait nettement lorsqu’il la dévisageait ou quand il s’attardait plus bas, s’accrochait à sa poitrine ou encore à ses hanches. Un mot s’imposa mentalement à elle : « mateur… il me mate… »


L’homme lui plaisait en cet instant. Très brun, épais, puissant. Il avait retroussé sa chemise en toile grossière dévoilant des avant-bras musclés et velus. Le nez aquilin, une bouche épaisse, un regard profond et obscur. Il était campé sur ses jambes ouvertes, ses mains accrochées à l’intérieur de ses cuisses.


La femme eut très chaud tout à coup et une fois encore se détourna vivement. Une rombière s’inquiéta :



La mèche ne tombait plus sur son visage, elle était collée sur sa tempe, trempée. La femme sentait ses aisselles moites, un courant glacé courut sur sa nuque. Une sourde chaleur émanait de son ventre. Un serveur passa un peu vite près d’elle et l’air remué porta à son nez ses propres effluves de femme.


Elle se retourna à nouveau vers l’homme mais il n’était plus là. Elle regarda de tous côtés. Son agitation et son feu aux joues attirèrent encore l’attention. Elle aurait voulu disparaître. Jetant sa dernière énergie elle parvint à s’excuser poliment avant de s’enfuir précipitamment vers l’escalier. Arrivée en haut elle prit un couloir puis poussa la porte d’une chambre. Refermant à peine la porte elle repoussa vivement ses chaussures, retira nerveusement sa robe, puis son soutien-gorge. En enlevant sa culotte, des odeurs acres l’assaillirent.


Elle traversa en courant la chambre et atteignit une porte au fond. Quelques secondes plus tard, une douche chaude l’enlaçait. Elle tenta de se savonner maladroitement mais le contact de ses mains sur son corps la tétanisait. L’image de cet homme, son jean, ses mains, son regard, occupait tout l’espace de ses pensées. Elle réalisa qu’elle le désirait.


Elle coupa l’eau, se sécha sommairement, et enfila un peignoir blanc. Elle quitta la salle de bains et s’assit sur le lit ne sachant que faire.


La femme resta prostrée ainsi quelques minutes, les cuisses serrées l’une contre l’autre.


Puis son regard courut sur le tapis épais, rencontra sa culotte entortillée sur elle-même, puis son soutien-gorge, puis sa ro… Elle tressaillit. L’homme était là, dans sa chambre, adossé à la porte il était resté immobile dans une zone d’ombre. Ses deux gros poings serrés sur le tissu pastel, il avait porté sa robe à son nez et inspirait profondément.


Elle n’eut aucune peur, ne cria pas. Écartant les bras et baissant les épaules elle laissa glisser son peignoir puis s’allongea sur le lit, les pieds pendant dans le vide. Elle attendit qu’il s’approche en regardant le plafond. Elle entendit un froissement, il avait dû lâcher la robe au sol. Puis des pas.


Lui écartant sèchement les cuisses l’homme posa sa main épaisse sur sa gorge. La femme le regarda avec de grands yeux effrayés. Ses deux mains fines agrippèrent l’avant-bras musclé qui maintenait son buste cloué au lit. Elle ne pouvait regarder plus bas mais comprit qu’il défaisait son ceinturon et baissait son pantalon. Une force bestiale émanait de l’homme qui la surplombait. Cette animalité transpirante l’excita. Elle sentit son ventre chauffer, son vagin palpiter.


Ses jolies dents très blanches mordirent sa lèvre inférieure. Son regard mutin, ses pommettes roses et cette bouche infiniment sensuelle hurlant maintenant son désir ardent rendirent l’homme fou d’envie.

Ses fesses se contractèrent et il dut se faire violence pour ne pas la brusquer davantage. Une envie primaire, impérieuse et immédiate de posséder ce corps si attirant et si noble l’envahit. Mais il voulait profiter de chaque instant, de chaque étape dans la longue progression jusqu’à sa jouissance.


L’homme avait maintenant son jean aux genoux, son caleçon l’y rejoignit. Sa main glissa derrière la nuque de la femme. La main se resserra d’un coup, tremblante d’énergie. Il tira violemment à lui, redressant la femme. Il faisait ainsi rentrer son sexe obscène et gonflé dans son champ de vision. Il maintint son visage à un demi-mètre de son pénis. Elle vit une verge épaisse, veineuse, velue se dresser devant elle. Elle hoqueta de surprise devant cette apparition monstrueuse. Il tenait son sexe à pleine main tout en ayant glissé les deux derniers doigts sous ses bourses. Il soulevait ainsi sa grosse paire de couilles et brandissait son braquemart sur le côté pour qu’elle puisse bien en apprécier la longueur.


Pas un mot n’avait été échangé. Il respirait très fort, la bouche entrouverte. Sa respiration à elle était saccadée et très rapide, de temps à autre un filet de voix haut perché s’échappait, malgré elle.

Elle ne put décrocher son regard de ce sexe, de ce gland très rouge presque marron à moitié recouvert par le prépuce, de ces gros testicules roulant sur ses doigts épais, de cette tige enfin, tremblante, tressautante. Elle ne pensait pas à la pénétration prochaine, elle était intensément dans le présent, et regardait, buvait cette scène qui alimenterait longtemps après son érotisme.


L’homme sentait se transformer sa folle envie d’adorer en quelque chose de plus violent. Cette gorge claire, laiteuse. Ces lèvres carmin, ces yeux débordant de douceur, ces paupières, lentes, aux cils soyeux et hautains. Le tout perché sur ce corps d’ivoire, très lisse, très souple. Même ainsi relevée, le ventre ne faisait aucun pli. Lorsqu’il l’avait relevée les seins avaient légèrement roulé puis leur masse s’était concentrée en une ébauche de goutte d’eau, ils oscillaient très lentement d’un côté à l’autre. Il lâcha ses parties génitales pour lancer sa main attraper, pétrir un sein. Son sein rentrait presque en totalité dans sa grosse main. Ignorant le téton, il éprouvait le poids de cette rondeur, le soulevant légèrement puis l’écrasant comme s’il avait voulu le lui rentrer dans l’abdomen. Les cris de douleur de la femme lui firent reprendre conscience. Il ne fallait pas qu’il lui fasse de mal. Cette paire de seins était sienne pour un instant.


Elle se demanda ce qu’il fallait faire car la situation durait. Elle n’avait pas d’initiative, pas plus qu’elle n’était soumise. Elle attendait avec détermination et envie. Allait-il lui mettre son sexe contre la bouche ? Pourrait-elle avaler cette verge ? L’odeur ne serait-elle pas trop forte ? Essaierait-il de lui faire gober ses grosses boules qui n’en finissaient pas de rouler l’une sur l’autre ?


Tremblant de plus en plus fort, l’homme déplaça sa main derrière la nuque, elle refit le tour de la gorge pour finir à plat sur le haut du torse. Il appuya de toutes ses forces. Elle fut projetée violemment contre le lit. Dans l’élan, ses seins remontèrent presque à toucher son menton, puis oscillèrent majestueusement quelques secondes en des mouvements amples. Ils finirent par s’immobiliser en de somptueux renflements, surplombant nettement les côtes qu’on voyait plus bas et débordant légèrement de chaque côté.


Alors il en vint à son sexe à elle qu’il attrapa là encore à pleine main. Il plaqua sa paume puis laissa ses doigts se refermer sur sa toison trempée. Une de ses grandes lèvres se retrouva coincée entre deux doigts. Il secoua l’ensemble. Il put restreindre l’amplitude de ses gestes et cette vibration fit pousser à la femme un autre cri aigu mais plus long.


L’homme était toujours debout, dressé et bouillant. Vibrant à chaque instant davantage de désir et d’énergie il saisit violemment un petit pied. Il le monta d’un coup jusqu’à sa bouche et l’y enfonça tant qu’il put. Ses lèvres dures arrivèrent presque au cou-de-pied. Sa langue surexcitée courait sans arrêt sous le dessous du pied. Il salivait abondamment et des gouttes de bave coulèrent rapidement le long de sa jambe. Les yeux hagards et la bouche folle il regardait ce cheminement contournant le mollet élancé, passant le genou rond et souple, glissant sur le renflement de la cuisse.


Bientôt ivre d’envie il saisit avec fièvre le second pied et tenta de l’engloutir également. Ses mains puissantes écrasaient les petits pieds pour qu’ils rentrent dans sa bouche. Une nouvelle plainte douloureuse fut émise et le rappela à la raison. Rouvrant les yeux il s’aperçut que les jambes ainsi levées, elle offrait son sexe à quelques centimètres de son pénis bandé. Il plia ses cuisses nerveusement et précipitamment envoya le gros boudin raide et proéminent vers cet antre luisant. Mais ses gestes désordonnés plaçaient sa verge chaque fois loin de l’ouverture convoitée. Soudain par chance le gland se coinça entre les grosses lèvres mais alors qu’il entamait le coup de reins, il se retira. Il avait décidé subitement qu’il ne voulait pas la prendre ainsi, pas comme ça.


La femme, avide, attendait et fut heureuse lorsqu’elle crut qu’il allait la pénétrer et fut heureuse lorsqu’elle le vit s’arrêter. Il fallait qu’il rentre pour la première fois du mieux possible. Elle voulait recevoir son gros membre en elle au moment où il apprécierait au mieux ce qu’elle lui offrirait, à savoir son con chaud, étroit et humide.


Il lâcha les délicats petits pieds qui retombèrent au sol. Il reprit durement sa verge gonflée et en tapa avec force les cuisses blanches de la femme. Sentant cette dureté et cette énergie, elle sortit la langue entière, comme possédée. Elle montra les dents, elle voulait, elle écumait.


Il colla son bassin au sien, son sexe posé sur son ventre, regardant jusqu’où il la fendrait bientôt. Elle sentait ce long serpent sur son ventre et ses deux gros testicules posés sur son sexe. L’homme attrapa la main de la femme avec laquelle elle se caressait le sein, et brutalement la plaqua contre sa bite, l’obligeant à l’enserrer. Elle s’électrisa, premier contact de la main avec ce sexe. Sentir sa grosseur, sa moiteur, sa peau si douce et si mobile, et au-dedans cette raideur, ce bâton rugueux et vivant. L’homme regarda. Il vit les doigts fins et si féminins, le petit poignet porteur d’une chaînette argentée, les veines bleutées, les ongles soignés et brillant d’un vernis incolore parfait. Il regarda encore toute cette grâce à elle entourer son vit à lui, brun, vulgaire.


Il enleva aussitôt cette main de jeune femme, ayant soudain peur de la perdre, de voir son élégance perdue dans la souillure de sa bite puis de la voir elle-même disparaître à sa suite, emportée par quelque magie ne tolérant pas cette cohabitation contre nature. Il leva sa main à sa bouche et, comme pour la nettoyer, la lécha de la pointe de la langue, se violentant à nouveau pour ne pas l’engloutir ou la lécher du plat de sa grosse langue épaisse. Se reprenant encore il la baisa de mille façons, cherchant l’interstice entre les doigts, guettant son odeur de main de femme mais ne trouvant que ses effluves à lui.


Il s’efforça d’ouvrir les doigts pour libérer et laisser glisser sa main à elle, main qui retomba sans bruit sur ses cheveux blonds étalés sur le lit. Ils restèrent quelques instants immobiles. Lui, les bras toujours en l’air, son sexe se cabrant régulièrement de façon incontrôlée puis se reposant sagement sur son ventre blanc et parfaitement uni. Elle, complètement abandonnée, les bras de chaque côté, les cuisses ouvertes. On n’entendait que le tapotement humide du sexe ruant sans cesse.


Les mondanités du rez-de-chaussée n’envoyaient que quelques brouhahas assourdis, comme issus d’un autre monde.


L’homme était totalement immobile, emprisonné entre un désir fou et violent et une retenue douloureuse. Son combat intérieur se traduisait par les tressaillements de ses muscles, par son regard noir, oscillant entre l’effroi et une agressivité mauvaise. Sa bouche se tordait, les muscles de ses mâchoires ne se relâchaient que quelques instants avant de reprendre aussitôt leur tétanie.


La femme quant à elle ne contraignait rien de son désir et bientôt celui-ci anima son corps, comme une marionnette mue par un esprit malin. Elle sentait ses fesses trempées par sa mouille, les draps la collaient et rentraient dans sa raie. Sensation savoureuse, apportant une once de contact que l’homme lui refusait toujours. Son bassin fut pris de roulements d’abord imperceptibles puis plus amples mais d’une très grande douceur. Ses beaux seins furent à leur tour balancés par quelques mouvements très dignes, roulant d’un côté à l’autre avec lenteur.


L’homme se rendit compte qu’il ne pouvait retarder davantage la pénétration au risque de briser cette ascension. Son combat intérieur atteignit une nouvelle intensité. Il devait maintenant en plus s’astreindre à contraindre sa retenue. Mais c’était comme ouvrir la gueule d’un pitbull. Il fallait limiter ce tantrisme délirant pour ne pas faire naître de frustration. Il sentait son corps écrasé entre ce feu et sa crispation de bois, la crise de nerfs n’était pas loin, il la sentait. Seule sa verge pourrait l’en délivrer.


Comme un éclair ses mains se glissèrent sous son bassin, un de ses ongles la griffant au sang. Ses grosses mains attrapèrent ses fesses, les pressèrent avec force, les écrasèrent. Elle ouvrit plus grand la bouche et inspira plus vite, silencieusement. Il écartait fort les deux globes soyeux et mous puis les pressait l’un contre l’autre.


Il baissa la tête et fixa avec sidération son membre. Il le fit doucement reculer. Il vit d’abord ses couilles retomber doucement dans le vide, puis le gland continuant sa course se retrouva dans le buisson châtain. Encore un peu et il glissait dans le sentier qui se formait maintenant, il se souleva très légèrement en passant sur le clitoris mais poursuivit sa route, il était maintenant posé à la commissure des lèvres. Il sentit la mouillure appeler son sexe. Il banda ses biceps, remontant le cul de la femme de vingt centimètres. Son prépuce n’était toujours pas rabattu, seule la moitié de son gland était couvert. Il aimait voir son sexe ainsi vêtu, il aimait regarder le bourrelet que faisait son prépuce à la base du gland.


Il posa la tête de son bâton au cœur des grosses lèvres. Toujours fixant sa tige il la fit avancer pour faire rentrer son gland gonflé dans le vagin accueillant. Sentant une légère résistance lors de l’intromission, il dut pousser plus qu’il n’aurait cru. L’homme et la femme sentirent ensemble ce nœud la forcer. Les petites lèvres l’enserraient et le prépuce fut totalement ramené en arrière. Il n’entendait rien, ne voyait rien d’autre que son sexe pénétrer cette femme.


Elle, pourtant, poussa un cri plus fort que les précédents. Il était gros, le passage de son gland l’écartait, l’ouvrait. L’image de ce sexe brutal lui revint à l’esprit, elle pensa à sa délicate intimité maintenant ouverte par la tête de ce sexe.


Il retira son gland vivement, il vit enfin son gland entier, rouge, violet. Un fil de mouille le rattachait toujours à ce vagin. Il fit s’élever encore davantage cette chatte pour voir ces lèvres, cette fente de près. Il porta son ventre tout près de son visage. Il renifla avec gourmandise ses vapeurs intimes, cette odeur poivrée. Elle avait presque la tête en bas et se demanda s’il allait la lécher. Il rabaissa son bassin, repositionna son sexe entre les grosses lèvres et replanta son gland en elle d’un coup. Elle cria à nouveau, elle sentait l’orgasme pointer. Il lâcha alors une partie de sa fureur en faisant rentrer et sortir son gland aussi vite qu’il put. Jamais il n’alla plus loin que le gland, ressortant chaque fois complètement son sexe avant de renfoncer le bout de sa verge. Ses couilles ballottaient dans tous les sens. Il ne regardait toujours que son gland qui apparaissait, disparaissait, comme s’il voulait n’être que ce gland.


L’homme finit par réaliser qu’elle avait poussé un cri, long, suraigu, très fort.


Il retira alors son gland, reposa en tremblant son gros sexe sur son ventre et lentement, comme à regret quitta son face à face avec son pénis et leva le nez vers elle. Elle avait saisi son petit poing entre ses dents et le mordait, la nuque renversée en arrière. Il vit un petit filet de sang couler le long de sa main. Elle retira sa main et ouvrit la bouche toute grande, elle cherchait de l’air. Sa cage thoracique s’élevait et s’abaissait avec amplitude. Il la trouva magnifique, il regarda ses seins qui montaient et descendaient. Il vit cette bouche ouverte, si belle, ces lèvres rouges, ces pommettes rosées.


Son envie de pénétrer, de posséder, son envie bestiale le reprit violemment. Il envoya deux de ses gros doigts plonger dans cette bouche sans défense. Il toucha l’intérieur de sa joue, courut le long de ses dents. Ressortit. Il attendit encore qu’elle respire moins fort, et qu’elle ouvre les yeux. En apercevant son regard, elle eut peur pour la première fois.


Il allait la prendre maintenant, ses yeux lui disaient qu’il allait la pénétrer sans retenue. Elle allait se faire baiser sans ménagement par cette tige épaisse. Il allait enfin s’introduire en elle et la fourrager de toute sa puissance.

Elle sentit deux mains fortes et rugueuses s’accrocher de chaque côté de son bassin. Il la fit reculer un peu, rudement. Il baissa le nez et retrouva sa verge. Rapidement il ramena son gland, le fit pénétrer, s’arrêta.


Il démarra alors la poussée. Lente. Puissante. La progression était irrésistible. Il poussa. Il poussa. Son membre disparaissait, il le sentait écarter les parois vaginales. Il sentait cette chatte trempée et visqueuse mais sentait également une grande pression. Il l’écartelait enfin, la pourfendait, plongeait en elle. Elle avait agrippé ses mains à lui et sous l’émotion les écrasait de toutes ses forces. L’intromission lui sembla durer éternellement, l’avancée de ce gros gland paraissait ne jamais devoir s’arrêter. Durant la très lente progression et encore plusieurs secondes après, elle ne respira pas.


Il s’arrêta enfin, ne laissant que quelques centimètres de son pénis visible. Il lança son regard vers elle, et attendit sans bouger qu’elle le regarde. Ce qu’elle fit. Alors d’un coup il acheva sa poussée, rentrant le reste de son gros dard, plaquant son bassin contre le sien. Ses couilles vinrent s’écraser contre son cul. L’homme ne pensait plus, il était en elle, il la possédait, il lui avait fiché sa viandasse vulgaire et obscène dans son petit trou raffiné et subtil. La femme était assaillie par mille pensées tournoyant sans qu’elle puisse en arrêter aucune, heureuse de l’avoir accueilli, de le savoir en elle.


Le mâle commença alors de longs va-et-vient, cognant à chaque fois fort son ventre contre le sien pour envoyer au loin son pénis. Elle essaya de ne pas lâcher son regard mais se sentit rapidement défaillir et laissa sa tête retomber en arrière. Il la pistonna brutalement de longues minutes sans s’interrompre ni accélérer. À chaque mouvement il se retirait aux trois quarts, laissant ressortir un imposant morceau de chair brillant et le relançait au fond de son vagin avec énergie jusqu’à la cogner de son pubis.


L’homme sentait des gouttes de sueur couler dans son dos et entre ses fesses, lorsqu’il vit ses mains à lui trembler, il sut que la bête en lui revenait à la charge, en voulait plus. Il enleva sa bite d’un coup de rein rageur.

Posa d’un bond ses deux pieds sur le lit, la saisissant par les aisselles il la fit reculer pour placer son vagin au milieu du lit. Il saisit ses jambes à mi-cuisse et les rabattit vivement vers elle. Ses genoux à elle encadraient maintenant ses seins, son sexe béant était plus offert que jamais. Il posa ses paluches sur ses fesses, et poussa encore vers ses frêles épaules.

Elle avait maintenant les genoux presque à ses oreilles.


Elle vit son minou, son mignon petit minou à elle, trempé, ouvert et dressé seul au-dessus d’elle ; elle, écrasée dans ce lit. Elle savait qu’il allait y planter son vit. Cette verge longue et épaisse qui tressautait allait tenter de la clouer littéralement au lit. Elle vit le gland qu’elle n’avait pas encore aperçu découvert. Il lui sembla énorme, la tige s’épaississait encore à la base. Ses mains délicates se coincèrent derrière ses propres genoux, et elle tira encore pour faire monter davantage sa chatte pour ce gland.


Il la couvrit, appuyé sur ses bras tendus posés loin derrière elle. Son sexe ne faisait pas le bon angle pour l’intromission. Après deux essais infructueux, elle vit au-dessus d’elle ces muscles se tendre. Son visage à lui était contracté, sa bouche déformée par un rictus très laid, perdant son contrôle un long filet de bave lui échappa et tomba sur elle. Il recula légèrement le bassin, se rabaissa, coinça le bout de son sexe contre ses fesses, elle sentait le large gland glisser le long de sa raie, puis sur son anus puis trouver ses lèvres et s’y coincer.


Sans attendre il s’y engouffra jusqu’à la moitié. Elle poussa un cri rauque. Elle pouvait sentir ce sexe d’homme, et voir en même temps cette grosse bite écarteler son petit minou. Il se ficha jusqu’à la garde brutalement. La tige disparut rapidement et elle aperçut encore le scrotum s’écraser sur ses fesses.


Alors il se déchaîna, libérant totalement la bête. La bourrant sauvagement, l’écrasant à chaque coup de tout son poids et de toute sa force faisant crier le lit qui s’affaissait à chaque fois. Il bavait de plus en plus et émettait à son tour à chaque expiration des bruits sourds de plus en plus forts.


Elle avait mal aux jambes, la circulation se faisait mal. Profitant d’un recul de cet étalon emballé, elle les dégagea pour les envoyer crocheter son dos. Ses mains firent de même et elle se colla à lui comme un singe à sa branche. Elle voulait sentir ce sexe au plus profond.

Mais du même coup, lui se sentait limité dans ses mouvements. La bête lui commandait de donner de grands coups, de profiter de sa longueur pour s’extraire et prendre l’élan pour rentrer au plus vite, au plus loin, au plus fort.


De rage il accéléra ses mouvements jusqu’à atteindre une vitesse folle.


Elle était secouée de toutes parts mais tenait bon. Elle sentit alors un orgasme venir de très loin, très fort. Avant même que la vague de jouissance ne soit tout à fait en place, le plaisir devint énorme, irrépressible. Elle ouvrit la bouche pour lâcher un immense hurlement. L’homme releva la tête tout en poursuivant la folle oscillation de son bassin et avisant la tête du lit d’un regard aveugle, il sentit son esprit se vider et son sexe s’enflammer pour entrer en vibration. Il poussa d’effrayants « han ! Han ! » rapidement remplacés par des sons gutturaux primitifs.


Lorsque l’orgasme saisit la femme tout à fait, son cri s’étrangla. Au même instant un mugissement prenait naissance dans la gorge de l’homme. Il s’immobilisa, planta son pénis le plus loin qu’il put puis sentit les déversements de sperme inonder le vagin. Il accompagna chaque jet de grondements sauvages.


La femme manquait d’air, elle respirait très vite, sa gorge raclant à chaque inspiration. Il lui fallut de longues minutes avant de pouvoir rouvrir les yeux.


Elle réalisa alors que l’homme était parti.