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n° 13622Fiche technique22560 caractères22560
Temps de lecture estimé : 13 mn
28/12/09
Résumé:  Dix minutes chez moi et déjà, je la prends. Et ce n'est pas un viol croyez-moi, mais une étonnante complicité.
Critères:  fh hagé inconnu campagne fsoumise voir exhib miroir massage humour québec
Auteur : J. Vincent  (J'adore écrire et me raconter.)      
La dame à la robe rouge

La dame à la robe rouge


Pour les circonstances, je l’appellerai Fernande et vous comprendrez pourquoi sans doute.


Quarante-cinq ans, plutôt jolie avec ses cheveux d’un faux roux tout bouclés et lui retombant sur les épaules. J’habitais depuis peu un petit village de la Côte-Nord du fleuve Saint-Laurent, dans la province de Québec, et j’attendais que le grand incendie de forêt de 91 soit terminé pour retourner dans mon ancienne demeure afin de déménager femme et enfants. Je venais d’avoir cinquante ans à l’époque et je travaillais pour une firme de livraison express. J’aimais bien ce nouveau travail, mais mes finances ne m’avaient pas permis d’acquérir une maison sur un grand terrain comme je l’aurais voulu, si bien que j’en trouvais une juste le long de la route 138 qui longe toute la Côte-Nord. Par contre, le long de la route régionale 138, il y avait un très haut niveau d’achalandage de transports lourds et personnels, ce qui faisait que la vie et le mouvement ne manquaient pas.


Un de mes oncles, âgé de plus de soixante ans, m’avait demandé de le prendre en pension pour l’été, mais il n’était que rarement à la maison. Invariablement il se rendait en ville et, de là, il montait en forêt pour y passer de longues semaines chez un couple d’amis à lui.


Souvent, quand le samedi arrivait, je m’installais avec un café dans le solarium avant et je regardais les autos et camions passer quand ce n’étaient pas des gens qui circulaient à pied ou à vélo. Parmi ces gens, il y avait une dame qui semblait demeurer non loin de chez moi et qui pouvait passer une dizaine de fois par jour. Invariablement, elle jetait un regard vers mon solarium et quand elle me voyait, elle paraissait un moment perplexe puis me saluait non sans arborer un sourire timide.


Dès le début, je crus que je lui avais tombé dans l’œil et au fond, je la trouvais agréable et bien de sa personne, mais je n’envisageais pas d’aventures avec elle, sans trop savoir pourquoi, sans doute sa façon de s’habiller hors mode, ou je ne sais plus vraiment.


Au cours d’un certain samedi, alors que je me trouvais dans la cuisine, je la vis passer sur le trottoir. À mon étonnement, je m’aperçus qu’elle avait revêtu une robe d’un rouge éclatant qui était faite de tissu diaphane et gonflant bizarrement, si bien que j’en conclus qu’elle aurait dû porter un jupon rouge en dessous. Cela faisait joli, bien sûr, mais d’une mode plutôt d’hier. Aussi, je m’empressai de me rendre à mon solarium et regardai dans sa direction alors qu’elle s’apprêtait à passer devant ma maison.


Je la trouvais presque séduisante, mais habillée à la mode des années 60. Alors que je croyais pouvoir la regarder passer tout simplement, elle se tourna la tête vers ma direction et m’aperçut soudain dans mon solarium. Dans un premier temps, elle parut gênée un peu puis, lorsqu’elle regarda à nouveau dans ma direction, elle me sourit et je levais la main en guise de salutation. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir s’arrêter net et regarder de chaque côté du chemin pour s’assurer qu’elle pouvait traverser la route sans risquer de se faire réduire en bouillie pour les chats.


Elle releva la tête pour me regarder à nouveau et prit un air décidé puis traversa la route pour venir cogner à ma porte. Je lui ouvris et elle me demanda d’une voix un peu timide :



Je l’interrompis en lui disant simplement :



Sans attendre sa réponse, je filai à la cuisine, non sans lui avoir indiqué un fauteuil où s’asseoir. Elle enleva ses souliers et se dirigea vers le fauteuil sans dire un mot.


Lorsque je revins au salon avec les deux cafés, elle s’était allumé une cigarette, si bien que je retournai chercher un cendrier pour nous accommoder tous les deux, car je fumais moi-aussi.


Avant de prendre place sur le divan juste à côté de son fauteuil, elle accepta de prendre un café en ajoutant tout simplement :



Je n’osais lui répondre que mon oncle était en quelque sorte allergique à la gent féminine, sans être homo pour autant. Il était du genre : le rôle de la femme, c’est de rester à la maison et de torcher les petits. Aussi, je la plaignis si jamais il lui arrivait de vouloir partager sa vie avec lui.


Du coin de l’œil, je remarquai que sa robe s’était relevée sensiblement et je lui trouvai des cuisses ravissantes. J’étais habillé d’une simple chemise et d’un short d’exercice assez court. Je commençai à avoir une érection incontrôlable. Une jolie poitrine, en plus, et une voix douce à souhait. J’eus presque honte de moi quand je regardai sa bouche et me surpris à penser que ma queue irait à merveille dans sa petite bouche. Il semblait que le tissu de cette robe était très glissant et, assise ainsi, au moindre mouvement, sa robe remontait avec tant d’impudeur que c’en était comique. Alors que debout sa robe ne laissait apparaître que les genoux, voilà qu’elle lui allait à mi-cuisse maintenant.


Sans doute qu’elle me vit regarder ses cuisses à demi-dénudées, car elle tira doucement sur le bas de sa robe afin de la rabaisser. Je lui souris devant son geste pourtant tout à fait naturel, ce qui sembla la mettre plus à son aise. Lorsque je pris place sur le divan pour prendre mon café, elle se tourna légèrement vers moi de façon à se trouver plus face à face avec moi et, inévitablement, sa robe se releva pour me révéler encore la moitié de ses cuisses.


Malicieusement, je lui fis un sourire affable et alors qu’elle fronçait les sourcils en se demandant ce que signifiait ce sourire, je laissais baisser mon regard effrontément sur ses cuisses et surtout sur l’entrebâillement de ses jambes en lui disant :



Un peu gênée, cette fois-ci, et appréciant sans doute ce compliment, elle prit un peu plus de temps à rabaisser sa robe en me disant :



J’éclatai de rire et lui dis :



Elle éclata de rire et, en se déplaçant juste un peu, sa robe remonta encore jusqu’un peu plus de la moitié de ses cuisses. Voulant jouer le jeu, elle s’adossa confortablement et sa robe remonta légèrement pour mon plus grand ravissement. Elle me dit alors :



Je lui déclarai alors :



Et c’est alors qu’elle me demanda :



Je lui répondis sans hésitation :



Un peu surpris de la facilité dont cette dame disposait pour se sentir si à l’aise avec un pur étranger, je me levai et vins me placer à genoux devant elle. Elle écarta les jambes légèrement pour que je puisse me rapprocher et je saisis le bas de sa robe avec l’intention de la remonter de deux pouces environ, sans plus. Lorsque je regardai vers son visage, je constatai qu’elle souriait et trouvait amusant mon comportement pour le moins juvénile. En fait, je voulais simplement embarquer dans le jeu sans plus. Je voulais l’amuser, mais jamais je n’aurais cru que ce simple geste pût nous conduire dans un dédale d’aventures quasi incroyables.


Ce que je n’avais pas remarqué, c’est que ses jambes étaient un peu plus courtes que celles de ma femme. Elle était d’ailleurs moins grande. Aussi, avais-je à peine remonté sa robe de deux pouces que sa petite culotte m’apparut.


Elle portait une magnifique petite culotte presque du même rouge que sa robe. Pour mon plus rand plaisir, elle était toute faite en dentelles ou presque, si bien que je pus distinguer au travers du tissu les poils de sa chatte. Je relevais mon visage vers elle et lui dis :



Elle éclata de rire et lorsqu’elle voulut rabaisser sa robe, je me fis suppliant en lui disant :



Elle reprit son rire pour ajouter sur un ton amusé :



Je l’interrompis rapidement pour lui dire en protestant :



Elle éclata de rire encore, mais cette fois-ci, alors que je relevai sa robe pour voir presque toute sa culotte, elle me dit sur un ton rempli de reproches :



J’éclatais de rire à mon tour pour lui dire effrontément :



Pendant que je lui expliquai cela, je n’avais pas cessé de regarder son entrejambe et la bosse que me laissait voir sa petite culotte était plus que fascinante. Je lui dis alors en me reculant légèrement :



Effrontément, je relevais le pan de ma chemise et lui montrais mon pénis qui effectivement présentait un caractère plutôt fonceur, à tout le moins, au travers du tissu de mon short. Elle rougit encore plus et d’une voix émue, elle me dit :



Je lui proposai alors :



Avant qu’elle ne puisse répondre, j’allongeais une main pour me saisir du rebord de sa culotte en lui demandant :



Et à mon grand étonnement, en rougissant davantage, elle le fit, tout en écartant les jambes voluptueusement. Sans hésiter, je dégageais son sexe complètement et fut agréablement surpris de constater qu’elle avait des lèvres vaginales plus grandes que la moyenne. J’approchais mon pénis de son vagin en lui disant :



Elle se renversa la tête contre le dossier et je vis ses mains s’agripper aux bras du fauteuil. Elle ferma les yeux tout en agrandissant sa bouche et comme promis, j’enfonçai mon pénis avec beaucoup de délicatesse entre ses lèvres pulpeuses. À partir de ce moment-là, mon gland de pénis bien huilé de sa mouille, j’entrepris de la masturber avec beaucoup de vigueur de haut en bas. Je laissais mon gland de pénis s’enfoncer un peu dans son vagin à chaque fois que je parvenais au bas de ma frénétique course et je remontais en pressant fortement contre tout son sexe pour atteindre son clitoris que je me faisais un devoir de broyer à la fois doucement et fermement.


Une minute à ce rythme et je la sentis ramollir, tant elle appréciait cette masturbation en règle. Je constatais qu’elle laissait ses fesses glisser davantage sur le rebord du fauteuil et elle écarta davantage les cuisses afin que je puisse la masturber plus amplement. Je me contraignis à retenir mon envie de décharger et soudain, elle se redressa et vint se coller la tête sur mon épaule en râlant.


J’avais réussi. Elle jouissait, la dame en rouge. Dès lors, je me concentrais sur son clitoris et le massacrais littéralement en le frottant avec mon gland de pénis. Courbée ainsi sur mon épaule, elle m’empêchait de descendre jusqu’à l’entrée de son vagin et je lui frottais le clitoris de plus belle en faisant des cercles tout autour pour l’écraser à toutes les deux ou trois secondes.


Elle gémit deux bonnes minutes de temps avant de se laisser retomber contre le dossier du fauteuil. Elle me déclara :



À ce moment-là, je lui massais le clitoris de gauche à droite, doucement, expressément pour faire durer son orgasme et en tenant mon pénis fermement, je le guidai jusqu’entre ses lèvres vaginales en lui disant :



Elle réalisa que mon gland de pénis se tenait maintenant à l’entrée de son sexe et lorsqu’elle vit que je libérai mon pénis pour faire glisser mes mains vers le bas de son dos, elle comprit mon intention et ferma les yeux. En agrippant ses fesses, je la fis avancer encore juste un peu et mon pénis s’enfonça enfin de toute sa longueur dans son sexe en ébullition.


Je la ramonais longuement ainsi. Soudain, alors que je sentais mon orgasme approcher, je la sentis se raidir à nouveau et gémir à fendre l’âme. Elle jouit encore. Je lui demandais alors :



Elle comprit bien le sens de ma question et ne répondit pas, que pour relever son bassin davantage comme pour m’offrir l’entier de son sexe. En ce faisant, elle recommença à jouir et j’éclatai au plus profond du creux de ses reins d’une série de généreuses rasades de jus de crosse. Elle ouvrit davantage sa bouche comme si elle cherchait de l’air. Elle vivait un orgasme magistral et moi de même. Heureusement, elle ne vit pas mon sourire et n’en aurait d’ailleurs pas compris nécessairement le sens, parce que je regardais sa bouche et étais en train de me dire : « Si jamais vous revenez ici madame, c’est dans votre bouche que je plongerai mon pénis ».


Lorsque je ressortis enfin mon pénis de sa chair brûlante, elle s’exclama en plaquant une main contre son sexe :



Je lui donnais une débarbouillette et lui suggérais de se rendre à la salle de bain afin de faire une petite toilette bien naturelle de son sexe. Elle s’empressa de se rendre à la chambre de bain et pendant qu’elle se lavait l’entrejambe, appuyé contre son dos, encore bien bandé, tant elle m’excitait, je lui glissai les mains sur les seins et commençai à lui caresser. Je la vis sourire dans le miroir de la vanité et j’osai lui demander :



Elle éclata de rire et me dit simplement :



En guise de réponse, je commençai à déboutonner sa robe au dos et elle me laissa faire. Je dégrafai bientôt son soutien-gorge (rouge) et libérai ses seins. Dans le miroir, en faisant glisser mes mains sous ses aisselles pour atteindre ses seins, je constatai qu’elle appréciait voir approcher mes mains de ses seins et ses yeux ne quittaient pas le miroir. Elle sembla même avoir des soubresauts dans sa respiration. Aussi, je lui caressai longuement les seins.


Quelques minutes plus tard, alors que je constatais qu’elle respirait plus rapidement, je lui soufflai à l’oreille :



Et en effet, elle avait des seins très volumineux, mais répondant bien à mes caresses. Ses mamelons semblaient pointer triomphalement sous l’emprise du plaisir et du désir. Je lui murmurais à l’oreille :



Sans un mot, elle me suivit dans la chambre à coucher attenante au salon et nous avons fait l’amour sans restriction et passionnément. Heureusement, j’avais apporté des petites débarbouillettes, si bien qu’il lui fut plus facile de nettoyer nos épanchements de jus de plaisirs respectifs par après.


Quelques minutes plus tard, elle m’annonça qu’elle devait partir pour faire le dîner de son fiston et je la raccompagnais à la porte non sans lui avoir écrasé la bouche copieusement, d’un baiser passionné.


Au moment où elle descendait les marches, je lui demandai :



Elle se retourna et me dit candidement :



Sur ce, elle retraversa la route d’un pas mal assuré, car elle semblait presqu’épuisée d’avoir tant joui, sans doute.


Ce que je n’osai jamais lui dire par après (parce que nous avons renouvelés nos actions charnelles jusqu’à ce que mon épouse vienne me retrouver, l’incendie de forêt étant terminé), c’est que le lit qui nous servait à accomplir nos ébats plus que vicieux, c’était le lit de mon oncle, celui-là même pourquoi elle s’était présentée chez-moi la première fois.


Étrange, quand même, les circonstances qui nous conduisent parfois sur les sentiers du plaisir des sens. Songez qu’il ne s’était pas passé plus de dix minutes depuis son entrée dans ma maison jusqu’au moment où je commençais à masturber ma parfaite étrangère toute habillée de rouge, avec mon pénis.


Ce texte reflète la plus simple des vérités et j’ai fait en sorte de vous le relater dans son intégralité parce que c’est bel et bien ainsi que cela s’est passé. Je ne regrette rien et si vous songez à me reprocher d’avoir ainsi trompé ma femme, sachez que nous étions un couple très à la mode à cette époque et si nous ne sommes plus ensemble aujourd’hui, nos incartades réciproques et parfois, complices, ne sont nullement en cause.



vincent.leconteur@gmail.com