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n° 13628Fiche technique11931 caractères11931
Temps de lecture estimé : 9 mn
30/12/09
Résumé:  À l'aide d'une caméra miniaturisée, je découvre ma femme Sonia sous un nouveau jour. L'épouse sage et dévouée me trompe et se révèle être dominée par ses sens.
Critères:  fh extracon fsoumise humilié(e) photofilm pénétratio fdanus fsodo coprolalie -totalsexe -extraconj -bourge -dominatio
Auteur : Cokinou            Envoi mini-message

Série : Le petit bar

Chapitre 01 / 03
Le petit bar 1/3

C’était la première fois que j’entrais dans ce petit bar à cinq minutes de chez moi pour y prendre un café. Deux hommes discutaient à côté de moi. Le plus jeune, assez grand, d’une quarantaine d’années, brun, le visage marqué et les yeux clairs racontait à son collègue plus âgé, d’une cinquantaine d’années, plus trapu, légèrement dégarni et bedonnant, une aventure extraordinaire. Il parlait suffisamment fort pour que j’entende ses propos sans le vouloir. Ses yeux pétillaient. Il paraissait tellement enthousiaste que ma curiosité me poussa à tendre l’oreille. C’est bien ce dont je me doutais, il parlait de sa dernière conquête, une petite bourgeoise qu’il avait rencontrée depuis un mois et qu’il avait, selon ses termes « complètement rendu folle ».


Il racontait à son interlocuteur que, comme toujours, ces bourgeoises, sous leurs airs de grandes dames, se révélaient toujours être folles de sexe et adoraient les hommes virils et légèrement brutaux. Lui-même était électricien et c’était à l’occasion d’un banal dépannage qu’il avait remarqué que sa cliente était particulièrement jolie et qu’elle semblait se sentir bien seule. Son mari était du genre travailleur, probablement responsable d’une grosse société, et consacrait tout son temps à son boulot et à gagner de l’argent sans vraiment se soucier de sa femme qu’il laissait seule dans cette grande maison.


Il devait faire une petite installation électrique il y a quelque mois, un chantier de deux jours. Sur la facture il avait rajouté à la main son numéro de portable et avait lancé une allusion sur son entière disponibilité « pour toute urgence » avec un large sourire. Après deux semaines elle avait rappelé, officiellement pour une prise qui s’était descellée…


Tous les mardis à 14 heures c’était un rituel. Il décrivait sa conquête, petite, brune, des petits seins fermes et surtout « affamée, insatiable, délurée ».


Encore des conversations de bistrot, encore un vantard qui tente d’épater son copain, pensai-je. Je finis mon café et je repris mon chemin.



Deux jours plus tard, je rentrais chez moi, vers 21 heures, après une journée éprouvante. Mon épouse m’avait préparé un petit repas comme d’habitude, elle avait dîné, les enfants étaient couchés et elle regardait une série télévisée. Sonia était d’une douceur incroyable. C’était une femme remarquable. Une mère modèle. Nous étions mariés depuis quinze ans. Elle avait arrêté ses études trop tôt et c’était son grand regret. J’étais un des premiers hommes de sa vie. C’était une fille sage. Son père très sévère lui avait donné une éducation très stricte. Après quelques années, nos relations sexuelles s’étaient espacées. Les soucis, les enfants, le quotidien, l’émoussement. Une tendresse s’était substituée à notre brève passion. Mais à quarante ans elle était toujours belle, fine et distinguée.


C’est en allumant une lampe dans le salon que soudain la maison fut plongée dans le noir. Probablement un court-circuit avait tout fait disjoncté. Après avoir débranché la lampe je remis le disjoncteur.



Le soir en m’endormant à ses cotés, je repensais à ses propos. La buanderie, je n’y vais jamais, je ne savais pas que Sonia avait fait des travaux. Du coup, impossible de fermer l’œil. Sonia dormait. Je descendis à la buanderie. Effectivement les prises et les interrupteurs étaient neufs. L’image de l’électricien du petit bar me revint à l’esprit. Un affreux doute envahit tout mon être. Plus possible de dormir. Une brune « affamée, insatiable, délurée », ce n’est pas possible. Ce ne pouvait pas être Sonia ! Non impossible ! Impossible !


Et plus je me répétais impossible plus je doutais. Après une nuit blanche, le réveil sonna et réveilla Sonia. Elle se leva comme à son habitude pour réveiller les enfants. Je ne la regardais plus comme la veille. Elle me semblait différente. C’est une vue de mon esprit ! Rien n’a changé dans la nuit ! Voyons, tu es fou !


Et pourtant l’affreux doute me rongeait. Cela me poussa à acheter une caméra miniature, incorporée dans un petit cadre que je posai sur la cheminée, face au canapé du salon. Un prodige de technologie, détecteur de mouvements et son intégré sur une carte micro SD.


Il fallait que je sache ! Tout était en place, j’avais tout testé, ça fonctionnait à merveille. Il ne restait plus qu’à attendre le mardi suivant. Le week-end et le lundi furent interminables. J’observais Sonia qui me demanda à de nombreuses reprises ce que j’avais :



Le mardi soir après que Sonia se fut couchée, je récupérai la carte et je visualisai la vidéo sur mon ordinateur. Rien, l’image d’un canapé vide ! Je respirai ! Tout ceci n’était que le fruit de mon imagination.


Pourtant le week-end suivant je remarquai que Sonia semblait impatiente, regardant les heures passer. Le lundi soir Sonia me paraissait différente, dans l’après-midi elle était allée voir son esthéticienne et chez le coiffeur. Mardi matin en quittant la maison je perçus une drôle de lueur au fond de ses yeux.


Le soir en rentrant je brûlais d’impatience et d’inquiétude. Sonia paraissait fatiguée. Elle alla se coucher plus tôt. Je me mis à visionner la vidéo. Elle apparut sur l’image, préparant quelques apéritifs vers 13 h 45 et posant des bouteilles d’alcool sur la table basse. Elle portait sa courte robe noire moulante et décolletée, et des escarpins. Elle était bien maquillée, coiffée et paraissait survoltée. J’entendis la sonnerie. Elle sortit du champ de la caméra. Elle revint accompagnée d’un homme. C’était l’électricien !



J’étais abasourdi ! Ma femme venait de se faire traiter de salope sans broncher et même en souriant. L’électricien l’avait enlacée en posant ses mains sur ses fesses au travers de sa robe moulante. Il malaxait maintenant fermement les fesses de ma femme en relevant progressivement sa robe. Cela fit apparaître la dentelle de ses bas.



Elle ne répondit pas mais la main de l’homme s’était insinuée entre ses fesses. Il ramena sa main devant le visage de Sonia en ajoutant :



Il poussa ma femme en avant, la plaçant à genoux sur le canapé le torse sur le dossier, son cul face à la caméra. Il releva sa robe, dégageant la vue d’un string noir. Sonia était à quatre pattes en bas et talons aiguilles en train de se faire malaxer les fesses par cet homme !



Il s’était placé à hauteur de son cul et insérait doucement un doigt dans sa chatte. J’étais tétanisé et totalement excité ! Mon sexe s’était durci. Comment était-ce possible ? Sonia ! À la fois choqué de voir ma femme, ma douce femme en train de se faire doigter en levrette par un inconnu et excité comme à la vision d’un film porno. Une sensation étrange de colère et d’excitation. Mes yeux étaient rivés sur l’écran de mon ordinateur. L’électricien s’était mis torse nu. Il était assez musclé. Il claqua à nouveau la fesse de Sonia.



Il activait maintenant deux doigts dans sa chatte trempée. Elle ondulait sous ses caresses. Il faisait durer son plaisir. Pendant au moins dix minutes il alterna un puis deux doigts. Puis lui léchait le sexe puis la caressait à nouveau.



Il la retourna, dégrafa son jean et sortit son sexe rapidement. Sonia l’avala avidement. Elle paraissait totalement hystérique. Elle suçait goulûment ce sexe turgescent et lui malaxant les couilles.



Comment était-ce possible ? Sonia ma douce femme, la mère de mes enfants, se faisait traiter comme la dernière des putes, se faisait insulter et dominer par un électricien ! Et elle aimait ça ! Et plus il l’insultait plus elle était excitée.



Sonia lui obéit immédiatement et se replaça en levrette sur le canapé. Il lui écartait les fesses. Il enfonça alors un doigt dans son anus.



Pendant encore dix minutes il lui lécha l’anus, lui enfonçant alternativement un puis deux doigts dans le cul et dans la chatte. Il faisait durer. Il tenait sa proie. Elle haletait, tremblait, se tortillait sous ses caresses.



Il enfonça son sexe doucement, très lentement, dans la chatte de ma femme. Le corps de Sonia s’était raidi. Elle cessa de respirer puis poussa un gémissement interminable. Il allait et venait doucement entre ses reins ; elle suivait la cadence. Il accéléra, elle hurla. Sa jouissance était totale, elle s’effondra sur le côté. Il se retira un instant.



J’étais assommé ! Sonia, ma femme, traitée de sale pute ! Tous ces mots crus, toutes ces grossièretés jetées à la face de ma femme. Et elle en redemandait !


Elle se replaça obéissante et soumise en levrette. Il cracha sur son cul puis enfonça sa queue doucement dans son anus. Sonia se figea un instant puis à nouveau ondula.



Il la labourait brutalement. Elle jouissait à répétition ; elle hurlait en se tortillant. Il se cambra et grogna en jouissant au fond de son anus. Ils s’affaissèrent soudés. Il se retira. Et prit une serviette en papier posée sur la table basse pour s’essuyer. Sonia resta immobile, savourant son orgasme. Rapidement, il se redressa et se rhabilla. Elle rabattit sa robe qu’il n’avait même pas pris la peine de retirer. Elle se recoiffa maladroitement.



Elle ne répondit pas. Elle semblait honteuse.



Calé au fond de mon fauteuil je ne savais plus quoi penser : la rage mais surtout l’excitation. Je visionnais et re-visionnais la vidéo tout en me masturbant. Ma femme est une salope !



À suivre…