n° 13635 | Fiche technique | 11362 caractères | 11362Temps de lecture estimé : 7 mn | 03/01/10 |
Résumé: Venu faire des travaux, je suis dérouté de mes sages intentions... | ||||
Critères: fh fbi extracon fépilée ffontaine cunnilingu | ||||
Auteur : Ericain Envoi mini-message |
J’ai promis à ma femme d’aider une de ses collègues à refaire les papiers-peints et les peintures du nouvel appartement qu’elle vient d’acheter. Nous avons décidé que, pour commencer, nous referions le séjour puis les autres pièces au fur et à mesure de mes disponibilités et de ses finances.
Elle vit seule, n’a jamais été mariée. Je la connais en fait assez peu. Nous sommes allés une fois ou deux au théâtre ensemble et nous nous sommes rencontrés dans le cadre des festivités organisées par l’entreprise. À l’époque, elle semblait accompagnée. Je n’avais pas posé trop de questions.
J’ai la cinquantaine et je vis parfaitement heureux avec la même femme depuis 30 ans. Frédérique a un milieu de quarantaine et donc les années d’expérience qui rendent les femmes plus sûres d’elles. Elle est petite, brune, les cheveux coupés au carré, les yeux noisettes et n’est pas désagréable à regarder même si ce n’est pas vraiment mon genre de femme.
Je suis à pied d’œuvre depuis deux jours et j’ai proposé à Frédérique d’arriver un peu plus tôt ce matin-là, pour être certain d’avoir achevé les travaux de ponçage le soir même et d’en finir avec la poussière.
Après de longues minutes d’attente, Frédérique m’accueille encore endormie, s’excuse vaguement, bredouille qu’elle avait oublié et pas vu l’heure. Elle est en nuisette transparente sur laquelle elle a enfilé à la hâte un peignoir sensé cacher un peu le caractère diaphane de la nuisette. Mais je me garde de faire un quelconque commentaire. Elle s’éclipse rapidement pour aller se préparer pendant que je prépare mes affaires.
J’entends avec étonnement des voix féminines venant de la chambre. Je la croyais seule pourtant. Une jeune fille d’une vingtaine d’années passe dans le couloir, me gratifie d’un timide bonjour, saisit son manteau et ses affaires et disparait rapidement sans faire de bruit en s’excusant. Frédérique réapparait avec le peignoir mis en place, ceinture attachée et me dit confuse :
Je la regarde sans trop savoir quoi lui répondre. Pourquoi s’excuse-t-elle ? C’est sa vie après tout. Cela ne me regarde pas.
Je suis plutôt satisfait que le sujet ne s’éternise pas tellement je m’y sentais mal à l’aise. Frédérique s’éclipse à la cuisine et je continue de préparer mon matériel. Elle revient avec les expresso sur un plateau et m’invite à la suivre dans la pièce du fond où nous avons réinstallé un coin salon de fortune pendant les travaux. Je m’assois dans le canapé, elle prend le pouf en face de moi.
Je suis surpris par le fait qu’elle ré-aborde le sujet que je croyais clos et surtout sous cet angle.
Je ne sais plus trop comment poursuivre la conversation sur un terrain aussi glissant. Je n’ose pas non plus changer de sujet tant celui-ci a l’air de lui tenir à cœur. Je préfère la laisser continuer. Un long silence s’ensuit qu’elle rompt tout à coup :
Je suis très embarrassé par cette proposition. Elle est une très proche collègue de ma femme et je n’étais pas venu ici pour une aventure sexuelle. Embarras que j’exprime par une réplique des plus subtiles :
Je reste silencieux en le regardant dans les yeux. Elle sourit.
Elle vient se mettre silencieusement à genou à côté de moi dans le canapé.
Je tire sur la ceinture pour la dénouer et fait glisser le peignoir. Sa nuisette transparente laisse pointer ses tétons durcis par l’excitation de notre conversation.
Je glisse la main sous le voile pour les caresser. Nous ne parlons plus mais nos regards échangent plus de sentiments que nous ne le ferions avec des mots. Je défais d’une main, un à un, les boutons de la nuisette et descends délicatement ma main vers le minuscule tissu qui lui masque le sexe. D’une main je lui caresse le dos et de l’autre j’écarte doucement l’élastique et glisse mes doigts pour découvrir un sexe totalement lisse et humide de désir. J’ai rarement eu cette sensation d’avoir la main inondée dès les premiers instants. Je sens sous ce string un sexe gonflé d’envie et des lèvres plus développées que celles que j’ai l’habitude de voir. Je la caresse doucement en commençant à lui déplier les lèvres pour mieux sentir sa moiteur.
J’approche mon visage du sien. Elle me tend sa bouche et nous nous embrassons langoureusement.
Je lui retire sa culotte et l’allonge dans le canapé. J’approche doucement ma langue de son clitoris et la titille doucement. Je descends la pointe de ma langue le long de ses lèvres et je sens le nectar de son désir couler dans ma bouche. C’est une vraie petite fontaine. Ses lèvres sont effectivement hyper développées. Je n’avais jamais rien vu de pareil. Je peux jouer avec. Je les prends entre mes lèvres et les aspire puis les rejette. Elle gémit.
Je m’applique à la manger à pleine bouche comme si je suçais une grosse mangue bien juteuse. Elle m’offre sa chatte grande ouverte en écartant les jambes plus fort encore et en se cambrant les reins. Je lui caresse les seins de la main droite et approche la main gauche pour lui titiller le clitoris du pouce. Je prends ensuite ses lèvres entre le pouce et l’index pour les malaxer. Je replie mon index pour le frotter de bas en haut. Elle se cambre et j’introduis le doigt ainsi replié. J’enfonce un peu plus fort.
Alors sans hésiter, j’enfonce toute la main. Elle crie. Cette caresse buccale est comme l’adagio d’Albinoni. Doucement au début, l’intensité monte crescendo jusqu’à l’explosion. Je la sens prête à jouir. Je retire la main pour lui caresser toute la chatte avec la paume de la main. Elle gémit. Je descends pour lui lécher l’anus du bout de la langue et je vois des jets de jouissance sortir de sa chatte. Jamais, je n’imaginais un tel spectacle.
Je remonte pour venir m’allonger près d’elle. Elle me tend sa bouche encore.
Je suis aux anges. Faire jouir une femme, c’est déjà un très grand plaisir, mais l’entendre dire qu’elle vient de vivre un moment inoubliable dépasse toutes les satisfactions. Je reste silencieux à ses côtés pendant qu’elle profite et se remet de ses émotions.
Elle me rejoint quelques minutes plus tard à la cuisine et vient se coller contre moi.
Elle revient avec un short moulant et un tee-shirt qui lui colle à la peau. Je la devine nue sous ces vêtements.
Le short en lycra est si moulant que le tissu épouse le contour des lèvres encore gonflées. J’approche la main et la caresse à travers le tissu. Nos visages sont si proches qu’elle ne peut résister à l’envie de se laisser aller contre ma bouche. J’approche la main de son short. Elle se laisse caresser en fermant les yeux et me susurre à l’oreille :
Je ne sais pas ce qui me prend de répondre du tac au tac :
La suite est une autre histoire.