n° 13636 | Fiche technique | 8663 caractères | 8663Temps de lecture estimé : 6 mn | 03/01/10 |
Résumé: Ou comment deux amies se découvrent plus intimement alors qu'elles cherchaient juste à se consoler d'une histoire d'amour. | ||||
Critères: ff frousses massage intermast cunnilingu 69 init -initff | ||||
Auteur : Swallowlys Envoi mini-message |
Nous sommes au mois de décembre, la température extérieure n’excède pas les deux degrés. Assise près de la fenêtre de la cuisine, je guette Daphnée qui ne devrait pas tarder à arriver.
Daphnée est une très bonne amie à moi, nous nous connaissons depuis quelques mois seulement mais notre amitié a tout de suite été fusionnelle. Physiquement nous nous ressemblons : 1,70 m pour 58 kg, un bon 85B et un petit ventre moelleux sur lequel les garçons aiment poser leur tête. Notre seule différence réside en son opulente chevelure rousse et mon carré brun mi-long.
Daphnée sort depuis quelques mois avec un ami à nous : Damien, un grand blond aux yeux bleus, type rugbyman. Depuis que je le connais, bien que je sois amoureuse d’un autre, je fantasme à mort sur lui ! Est-ce son sourire, ses mains puissantes, cette façon qu’il a de me regarder ? Combien de nuits brûlantes ai-je passées dans ses bras, me réveillant avec un désir douloureux dans le bas-ventre ? Alors je me laissais glisser doucement sous la couette, je me hissais au-dessus d’Anthony (mon copain depuis quatre ans) et je commençais à lécher doucement son sexe endormi. Son pénis ne tardait jamais à se réveiller et à grandir dans ma bouche au fur et à mesure que je le caressais avec ma langue. Souvent c’est encore ensommeillé que mon copain me retournait sur le ventre pour venir se poster entre mes cuisses. Mouillée comme je l’étais après mon rêve avec Damien et la fellation juste accomplie, il n’avait aucun mal à se fondre en moi, heurtant le fond de ma caverne. En quelques coups de reins il arrivait à me faire décoller vers l’orgasme salvateur et ne tardait pas à éjaculer en moi.
Bien que je rêve que Damien me fasse jouir, je suis heureuse que ce soit Daphnée qui en profite !
Anthony est parti pour le week-end chez un ami, ce qui n’est pas plus mal car nous avons besoin d’un moment, seules entre filles.
Je vois Daphnée descendre de sa voiture, prendre sa valise dans son coffre et se diriger vers mon immeuble, il me semble qu’elle pleure. Quelques instants plus tard c’est une rouquine en larmes qui se jette dans mes bras.
Je sais qu’avec elle poser des questions est inutile, j’attendrai qu’elle soit prête pour en parler. Je la serre donc dans mes bras et nous nous effondrons sur le canapé. Blotties l’une contre l’autre, nous ne disons rien. Au bout d’un moment je me rends compte que Daphnée s’est endormie. Je me dégage doucement de son emprise et, en souriant, je pars préparer notre dîner.
Alors que j’ajoute une dernière pincée de poivre à mon poulet au curry, je sens deux mains qui m’entourent la taille et un souffle chaud qui me balaye la nuque.
Naturellement, je me retourne vers elle, je sens ses seins contre ma poitrine. Je lui effleure les épaules et l’embrasse sur la joue.
Elle opine de la tête et me resserre dans ses bras.
Nous mangeons tranquillement en écoutant le dernier album de Robbie Williams.
Au moment de se coucher, Daphnée sort de la salle de bain en culotte. Une simple petite culotte noire en coton. Elle me demande si ça me dérange qu’elle dorme avec moi plutôt que sur le clic-clac. Bien sûr cela ne me dérange pas, ce n’est pas la première amie avec laquelle je dors. Pour me remercier elle se propose de me faire un massage. Ni une ni deux, j’ôte ma nuisette et me retrouve en shorty allongée sur le ventre. Nous éteignons la lumière, seule une bougie reste allumée. Daphnée s’installe sur mes fesses et, prenant un peu d’huile dans ses mains, commence à me masser délicatement les épaules. Peu à peu je sens mes muscles dorsaux qui se relâchent. Elle descend avec lenteur vers le bas de mon dos, alternant appuis et caresses. Puis ses mains remontent le long de mes flancs et s’arrêtent sur le bord de mes seins. Je sens ses doigts qui se faufilent sous moi jusqu’à rencontrer les mamelons. Elle commence à les caresser ; ses mouvements circulaires commencent à m’échauffer. Peu importe que ce soit une fille, que ce soit Daphnée qui me caresse ainsi, mon cerveau a annihilé toute information, se préoccupant juste du plaisir indicible que je ressens.
Elle ne dit rien, moi non plus, cela briserait l’instant. L’une de ses mains quitte mon sein droit pour venir se poser sur mes fesses. Je commence à brûler intérieurement, je me demande jusqu’où elle va aller et si je l’arrêterai.
Délicatement sa main frôle les bords de mon shorty, elle passe la paume de sa main sur mes fesses. Au début elle ne fait que frôler ma peau puis elle se pose plus franchement. Elle moule mon cul rebondi et je l’entends soupirer. Alors que j’essaie de me retourner pour voir ce qu’elle a, je sens deux doigts qui s’enfoncent dans ma chatte. Ces nouveaux visiteurs explorent les parois renflées de mon vagin, titillant de temps en temps l’ouverture de ma grotte. Daphnée retire ses doigts et m’aide à me mettre sur le dos. Je la distingue à la lueur de la bougie, elle me sourit. Je ne peux m’empêcher de lui rendre son sourire après le plaisir qu’elle m’a donné. Toujours à cheval sur mon bassin, elle se penche lentement vers moi et ses lèvres viennent se poser sur les miennes.
Ses belles lèvres, cette bouche offerte au-dessus de la mienne me font envie, je ne peux m’empêcher d’y goûter. Je me colle donc avec ferveur contre ces lèvres tentatrices et commence à les caresser de ma langue pendant que mes deux mains viennent se poser sur ses fesses. La coquine introduit subrepticement sa langue dans ma bouche et la retire aussi vite. Je sens son sourire se dessiner. Sa langue revient me taquiner et cette fois-ci me caresse à l’intérieur. Je sens mes joues devenir chaudes, mes tétons durcissent contre ses seins nus. Elle colle un peu plus sa poitrine excitée contre moi et je lui attrape alors les fesses un peu plus fort, malaxant cette chair tendre et soyeuse. Apparemment elle aime ce traitement car elle frotte son pubis contre le mien et sa langue redouble d’activité.
Mes mains me démangent, et je n’ai plus qu’une envie : que cette fille me fasse jouir avec ses doigts, avec sa langue et que cette coquine explose dans ma bouche. Je la fais donc rouler sur le côté et me mets tête-bêche par rapport à elle. Elle ne tarde pas à comprendre et c’est presque simultanément que nos doigts s’introduisent l’une chez l’autre.
Cependant ces caresses ne suffisent plus, je lui enlève sa culotte et commence à titiller son clitoris. Celui-ci est gonflé et tendu. Je l’aspire doucement et ma langue tourne autour de lui, l’enveloppant. Pendant ce temps ses doigts fouillent toujours ma chatte et, trempés, viennent s’occuper de mon bourgeon d’amour. Je laisse son clitoris aux bons soins de mes doigts pendant que ma langue se faufile jusqu’à l’entrée de sa chatte.
Elle mouille comme une fontaine, je commence par donner des petits coups de langue. Peu à peu ma bouche s’emplit de son humidité. Cette odeur, ce goût me plaisent. Je l’entends gémir, son bassin se soulève comme pour se faire dévorer plus profondément. De deux doigts et de ma langue, je la pénètre. Elle se resserre autour d’eux. Ses muscles internes se contractent de plus en plus. J’accélère le mouvement en laissant toujours mes doigts en place, ma langue faisant le va-et-vient entre son clitoris et sa fente humide. C’est alors que ses doigts s’arrêtent de manœuvrer et, dans une dernière contraction, je l’entends pousser un petit cri, et sa tête retombe sur l’oreiller.
Calmement je me réinstalle près d’elle dans le lit et me blottis, mon visage dans ses cheveux.
Exténuée je ne tarde pas à la rejoindre dans les bras de Morphée.