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n° 13651Fiche technique21445 caractères21445
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Temps de lecture estimé : 16 mn
11/01/10
Résumé:  Après une rupture amoureuse, Léa reprend le dessus.
Critères:  ff hh fhh fbi couleurs asie fépilée rasage fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio double sandwich hsodo -initiatiq -groupes
Auteur : Artemis      Envoi mini-message
Histoire de Léa

Histoire de Léa


Cette histoire, que je m’apprête à vous relater, c’est mon histoire. Je m’appelle Léa, j’ai vingt-six ans, un mètre soixante-cinq pour cinquante-six kg. Je suis blonde comme les blés avec des yeux bleus et un nez légèrement en trompette. Je vis avec Seb, vingt-six ans aussi, un beau bébé d’un mètre quatre-vingt. Nous sommes ensemble depuis deux ans et nous commençons à faire des projets d’avenir comme on peut en faire à cet âge. Nous avons tous les deux un boulot, lui est kiné et moi informaticienne.


Bref nous avions tout ce qu’il faut pour être heureux et bien démarrer dans la vie jusqu’au jour où tout bascula.


Ce jour là, j’avais oublié mon portable dans notre appartement et, entre midi et deux, je décidai de passer le récupérer. Je travaillais à cinq minutes à pied donc pas de problème. Seb lui, en principe, ne rentrait jamais à cette heure de la journée.


En rentrant dans l’appartement, mon attention fut attirée par un bruit qui venait de la chambre. Immédiatement je me dis que ce salaud de Seb devait se taper une nana, et me cocufier sur notre propre lit !


Je me rapprochai donc de la scène à pas de loup et jetai un œil par l’entrebâillement de la porte et là, ce que je vis me tétanisa : Seb était en 69 avec Patrick, un garçon qu’il m’avait déjà présenté comme une relation de travail.


Ils s’avalaient la queue en alternant avec des caresses manuelles, ils se léchaient les couilles et je vis même Seb descendre jusqu’au petit trou de Patrick et tenter de lui enfoncer la langue. Il y déposa beaucoup de salive puis en même temps qu’il reprit sa queue en bouche, il lui enfonça son majeur dans le cul. Il commença alors des va-et-vient rapides et, aux cris que poussait Patrick, je compris que ça lui faisait un effet bœuf.


La situation ne dura pas longtemps, ils partirent tous les deux à l’unisson et je vis Seb déglutir plusieurs fois pour ne rien laisser perdre de ce que Patrick lui envoyait dans la bouche. De son côté, lui aussi pompait tout ce qu’il pouvait de la queue de Seb.


Sans bruit je fondis en larmes. Ce que Patrick suçait c’était à moi, il avalait mon sperme, quel enfoiré ! J’eus des envies de meurtre mais je ne parvenais pas à bouger ni à quitter la scène des yeux.


Ils se redressèrent et se mirent face à face pour se rouler une pelle magistrale. C’est à cet instant-là que je sus que mon Seb était perdu pour la gent féminine.


Mon calvaire n’était pas fini. Seb s’agenouilla devant Patrick et le reprit en bouche jusqu’à redonner à sa queue une taille et une raideur plus qu’honorables.


Patrick lui dit alors :



Il se retourna et dit :



Je vis Patrick prendre le tube de lubrifiant que nous avions dans le tiroir de la table de nuit (preuve, s’il en était besoin, qu’ils n’en étaient pas à leur coup d’essai).


Il commença à lui enduire la rondelle de lubrifiant puis lentement il lui introduisit son majeur puis son index et il fit quelques allers-retours rapides. Enfin, jugeant sans doute que la préparation était suffisante, il se positionna derrière lui et je vis son gland qui s’écrasait contre la rosette de mon chéri. Rapidement, les fronces s’effacèrent et le sphincter cédant, le gland entra dans le cul de Seb. Patrick fit une pose de quelques secondes puis d’un coup sec, il s’enfonça jusqu’à la garde dans le boyau de Seb ; ce dernier poussa un hurlement puis il lui cria :



J’assistais alors à un déchaînement, Patrick pilonnait le fion de Seb à une vitesse folle. Aux hurlements qu’il poussait je compris qu’il prenait un pied d’enfer.


Après un temps que je serais bien incapable de déterminer Patrick retourna Seb, dos sur le lit, jambes repliées, et à nouveau l’embrocha à fond en reprenant son rythme endiablé.


Seb aussi avait retrouvé une érection d’enfer et, au bout de quelques minutes, ils poussèrent ensemble ces cris caractéristiques de l’orgasme. Je vis du sperme s’écouler plus qu’il ne giclait du pénis de Seb mais la quantité m’impressionna.

Patrick se retira du cul de Seb et je vis sa rondelle complètement dilatée laisser échapper le jus de Patrick mélangé à ses sécrétions.

Il se pencha alors sur le ventre de Seb et, consciencieusement, il lécha toute la semence qu’il pût avant d’aller l’embrasser tendrement.


Lentement, sans bruit, je m’éclipsai de l’appartement et je retournai au boulot. Là, toujours en larmes, je me précipitai dans le bureau de mon patron qui heureusement est aussi un super ami. En voyant ma tête il s’écria :



Je me jetai dans ses bras et lui inondai sa chemise de larmes.



Ça dura bien cinq minutes avant que je ne puisse lui expliquer ce que je venais de découvrir : mon mec me trompait avec un autre mec.


Nous avons discuté ensemble un long moment et il finit par me proposer une solution qui me parut salutaire à moi aussi. De Lille, il me proposait d’aller gérer l’agence de Montpellier pour laquelle il cherchait quelqu’un. Il me donnait quinze jours de congés avant de prendre mon poste là-bas et il me superviserait à partir de Lille.


Je réfléchis dix secondes avant de donner mon accord et c’est ainsi qu’une semaine plus tard, j’emménageai dans mon nouvel appartement de Montpellier mais, cette fois, toute seule.


Avec Seb la rupture fut sans appel et je compris qu’il éprouvait un soulagement à faire son « coming out ».



Après ça, suivi une longue période de déprime, je n’avais plus goût à rien. Je me laissais aller, je grossissais, je ressemblais au Yéti, je ne voyais personne. Cette situation dura trois mois, puis un matin, sans que je ne puisse expliquer pourquoi, en me regardant dans la glace, je me fis peur et je décidai de réagir.


Le jour même, je m’inscrivis au club de fitness à côté de mon boulot et je souscrivis un abonnement pour six mois (épilations et UV) dans un institut de beauté, lui aussi voisin.


Quelques semaines plus tard, j’avais retrouvé mon poids et je rentrais à nouveau dans mes fringues. J’avais en plus un teint hâlé qui se mariait très bien avec mes cheveux blonds.


Un vendredi soir, en sortant du boulot, je me rendis donc dans mon institut de beauté pour une séance d’UV. En rentrant, je vis que l’institut proposait maintenant l’épilation totale du maillot. Je me renseignai donc auprès de Rachel, la patronne et mon esthéticienne préférée. Elle me proposa, si je voulais, de me prendre en dernier après ma séance d’UV.


Après le bronzage et la douche, je m’installai donc, à poil, sur le fauteuil d’esthétique. Rachel m’étala sa cire chaude sur la foufoune, le périnée et même autour de mon petit trou. Je commençais à ressentir une douce chaleur m’envahir le bas-ventre et je sentis que je commençai à mouiller malgré moi, ce qui me fit rougir et me sentir un peu gênée. Apparemment Rachel ne s’en offusqua pas. Je pensai qu’elle devait être habituée à ce genre de réaction.

De toute façon, au moment où elle me retira les bandes de cire d’un coup sec, mon début d’excitation stoppa net, je poussai un hurlement et j’eus envie de la trucider.



Après m’avoir torturée pendant au moins dix minutes, elle me lava la foufoune puis me sécha. Elle prit ensuite un petit pot de crème sur une étagère et commença à me l’étaler sur les grandes lèvres puis sur le périnée et enfin autour de l’anus.


Là, je ressentis une étrange chaleur et je me mis à couler comme une fontaine. De plus, comme j’ai une particularité physique inhabituelle, je ne pus rien cacher. En effet j’ai un clitoris hors norme et, en érection, il doit bien être comme la moitié de mon petit doigt. Dès que je suis excitée, il ressort entre mes grandes lèvres et il se voit donc comme le nez au milieu de la figure.



Et là dessus, elle me remit une couche de crème sur mon bouton d’amour qui s’exhibait devant ses yeux. Je ne pus retenir un râle et elle en rajouta une couche en m’enduisant l’intérieur de la foufoune avec sa crème magique.


Je n’arrivais plus à retenir mes cris et, quand elle se pencha sur moi pour prendre en bouche mon petit popol, j’ai cru que j’allais défaillir. Elle me suça et me lécha avec avidité jusqu’à ce que je craque et parte dans un orgasme fulgurant.


Je ne savais plus trop où me mettre et c’est elle qui détendit l’atmosphère en venant me faire un petit bisou sur la bouche.



C’est donc, attablées devant une pizza et une bouteille de rosé que nous avons commencé à parler de ce qui venait de nous arriver car je me doutais bien que Rachel ne réservait pas ce traitement à toutes ses clientes. Au fond de moi, je ne me sentais pas lesbienne. Même si ce qui venait de m’arriver ébranlait quelque peu mes convictions, je ne savais trop comment présenter la chose à Rachel.


C’est encore une fois elle qui sut débloquer la situation. Elle m’expliqua qu’elle était bi mais exclusivement sexuellement et qu’il était hors de question pour elle d’avoir des rapports, autres qu’amicaux et sexuels, avec une autre fille.


Là, je me sentis soulagée et en phase avec elle et ce fut le départ d’une longue amitié qui dure encore aujourd’hui.


Après le resto je lui ai proposé un dernier verre chez moi et, bien sûr, elle a accepté avec enthousiasme se doutant bien que j’avais une petite idée derrière la tête.


En arrivant à la maison, nous avons ouvert une bouteille de champagne et nous nous sommes installées sur le canapé. Il faisait doux dans la maison et nous avions toutes les deux la tête qui commençait à tourner. C’est tout naturellement que je me suis inclinée vers elle et que nos lèvres se sont soudées, puis nos langues se sont emmêlées, puis nos mains se sont faites baladeuses, puis nos fringues ont volé, puis nous nous sommes collées l’une à l’autre.


Rachel était très menue, des petits seins magnifiques avec de très gros tétons, un petit cul bien bombé et, bien sûr, pas l’ombre d’un poil. Elle était d’origine asiatique et donc aussi brune que moi j’étais blonde, un contraste saisissant.


Tout naturellement nous nous sommes retrouvées en 69, elle dessus, moi dessous ; c’était la première fois que je goûtais les sécrétions d’une femme mais très rapidement je trouvai les gestes qu’il fallait et je dardai ma langue sur son bouton d’amour pendant qu’elle aspirait le mien. Elle m’introduisit un doigt dans la chatte et commença des va-et-vient de plus en plus rapides, j’étais aux anges et je ne pus pas retenir longtemps les cris accompagnant mon premier orgasme.


Nous avons inversé les rôles, je me suis occupée d’elle exclusivement, puis elle de moi, et chaque fois nous prenions un pied délirant.


Après une bonne heure de ce traitement, nous nous sommes dirigées dans la chambre et endormies dans les bras l’une de l’autre.



Rachel fut ma première rencontre post-déprime mais, même si nous nous voyons de temps en temps, je ne suis pas totalement comblée par cette relation, sentiment que Rachel partage d’ailleurs avec moi.


Et puis, un jour, ce fut la rencontre. C’était la fête de la musique, il faisait chaud et en sortant du boulot vers dix-sept heures. Je m’installai à la terrasse d’un bistrot sur la place de la comédie. Les préparatifs de la fête battaient leur plein et tout le monde s’activait un peu partout.


Je venais de terminer mon demi et je m’apprêtai à partir quand un garçon que je ne remarquai même pas me demanda en montrant la chaise libre à ma table :



Moi, pensant qu’il voulait prendre la chaise libre :



Et là, surprise ! Il s’assit à ma table et me demanda si je prenais la même chose. Je me tournai alors vers lui pour expliquer le quiproquo et, d’un coup, je dois dire que j’ai flashé. Il était grand, dans les un mètre quatre-vingt-cinq , noir comme le charbon, les cheveux blonds, et les yeux verts.


Je fis celle qui n’a pas l’air intéressé :



Il se présenta alors. Il s’appelait Nicolas, il avait vingt-sept ans et finissait ses études de médecine, ici, à Montpellier. Il était originaire de Guadeloupe et devait avoir des ancêtres bretons d’où la couleur des ses yeux et de ses cheveux.


Je me présentai également à lui et rapidement je lui proposai d’adopter le tutoiement qui est quand même plus cool.



J’acceptai son plan sans montrer mon enthousiasme et je lui dis que je le retrouverai vers dix heures devant son estrade.


Je me précipitai chez moi pour me préparer et là ce fut l’angoisse : comment fallait-il m’habiller ?


J’ai bien dû passer une heure à mettre et enlever plusieurs tenues et, pour finir, je me suis dit qu’il fallait faire simple pour pouvoir être à l’aise si on devait danser.


J’optai donc pour un string, une jupe short, un teeshirt, pas de sous-tif, mes seins défiant encore la pesanteur, et des ballerines.


À neuf heures pétantes, j’étais mélangée à la foule qui commençait à s’accumuler devant l’estrade et pendant une heure, j’écoutais les rythmes endiablés de la musique des îles.


Je ne quittai pas Nico des yeux et je commençai à me faire des plans dans la tête.


À dix heures, quand le groupe céda la place, Nico qui m’avait repérée dans la foule, se dirigea vers moi ; il était accompagné d’un copain qui, lui aussi, était antillais.



Nous nous fîmes la bise et tous les trois, nous nous sommes dirigés vers un resto sympa qui servait des paellas et de la sangria.


Une heure après, et quatre ou cinq sangrias plus tard, nous étions dans les rues et nous passions d’un groupe à l’autre en dansant tous les trois, ensemble.


À un moment, pendant un slow, Nico me pris dans ses bras et commença à m’embrasser et, sans l’ombre d’une hésitation, je répondis à son baiser.


Un peu plus tard, lors d’un autre slow, c’est Laurent qui m’invita à danser et il se colla à moi, ce qui me permit de me rendre compte qu’il bandait comme un cerf. Je me sentis un peu gênée mais je ne refusai pas le contact.


À la fin du slow, Nico nous rejoignit et, tous les trois, nous décidâmes d’aller chez lui, pour un dernier verre. Il habitait à côté.


Nico nous ouvrit une bouteille de champagne et nous nous sommes installés tous les trois dans le canapé.


Nous discutions un peu de tout et au bout d’un moment, un peu à court de banalités, c’est tout naturellement que Nico se pencha sur moi et colla sa bouche à la mienne. Nos langues se mêlèrent et je sentis une douce chaleur envahir le bas de mon ventre.



À cet instant, je n’en reviens pas encore de mon audace, mais je demandai à Nico s’il était d’accord pour qu’il reste et se mêle à nous. Nico hésita une seconde puis :



Je me tournai donc vers Laurent et commençai à l’embrasser. Nico ne voulant pas être en reste, commença à glisser ses mains sous mon tee-shirt et à me malaxer les seins. Mes tétons s’érigèrent suite à ce traitement ; il les pinça doucement.


Ensuite, il se mit à descendre doucement les mains le long de mon corps et, au passage, il accrocha ma jupe-short et mon string qui volèrent sur le fauteuil d’à-côté. Il me retourna vers lui et ses mains remontèrent vers le haut en entraînant mon tee-shirt, qui alla rejoindre le reste de mes vêtements. Je me retrouvais donc à poil entre deux garçons qui avaient bien l’intention de profiter de moi.


Pendant que Laurent dispersai à la hâte ses fringues dans l’appartement, Nicolas me coucha sur le dos et commença à me sucer le bout des seins. Mes tétons étaient tellement durs que ça en était presque douloureux. Il descendit ensuite lentement vers le bas tout en continuant à me lécher. Il arriva enfin à ma foufoune et, comme tous mes amants avant lui, il fut fasciné par mon bouton d’amour en pleine érection pointé entre mes lèvres. Il se rua dessus et l’emboucha sans hésiter. J’étais devenue une fontaine et il léchait avec avidité tout ce qui coulait de ma chatte.


Laurent au comble de l’excitation devant ce qu’il voyait se rapprocha de nous et me présenta sa bite érigée devant la bouche. Elle était d’une taille normale et, ma foi, fort appétissante (rien à voir avec les caricatures des films porno) ; je l’avalai donc, sans hésiter une seconde.


Pendant que je pompais son copain, Nico en profita pour se déshabiller en toute hâte et il vint ensuite présenter sa queue à côté de celle de Laurent.

Je me précipitai sur cette nouvelle aubaine et la pris en bouche avec enthousiasme. Je me mis donc à alterner la masturbation de l’une avec le pompage de l’autre puis, à un moment, je les mis face à face, collées l’une à l’autre, et je réussis à les avaler simultanément.


Les garçons étaient au comble de l’excitation et au gonflement de leur gland, je compris qu’ils allaient bientôt exploser si je ne calmais pas le jeu. Je les séparai donc et me mis à quatre pattes devant Nico pour qu’il me prenne en levrette pendant que je continuais à sucer Laurent.


À chaque mouvement de Nico, mon corps propulsé en avant faisait que j’avalais Laurent jusqu’à la garde. La tension atteignit son comble et arriva ce qui devait arriver : je sentis mon vagin se resserrer tel un étau sur la queue de Nico qui avait atteint le paroxysme de sa taille. Il explosa alors dans mon ventre au moment où Laurent, lui aussi, m’envoyait dans la bouche tout ce qu’il avait. Bâillonnée comme je l’étais, je ne pus pas crier mais je pense qu’il a dû sentir mes dents lui mordre la queue au moment de mon orgasme. Comme sa bite était au fond de mon gosier, je ne pus qu’avaler sans en perdre une goutte. Au demeurant, je trouvai le goût plutôt agréable.


Après ce premier round, nous avons décidé de faire une pose champagne et nous nous sommes installés dans le canapé. Nous étions nus sans aucune pudeur et je pouvais voir les sexes des garçons qui ne tardèrent pas à commencer à se réveiller. J’en pris un dans chaque mains et leur redonnai vite fière allure.



Une fois dans la chambre, je positionnai Laurent sur le dos et je m’empalai sur lui jusqu’à sentir ses couilles toucher mon sexe.



Il commença par me lécher abondamment la rondelle et puis je sentis qu’il m’appliquait un liquide froid et doucement il m’introduisit un, puis deux doigts dans le trou de balle.

Je ressentis une douce chaleur m’envahir tout le bas ventre et ce fut le moment qu’il choisit pour commencer à m’enculer.


Il positionna son sexe sur mon petit trou et commença à exercer une poussée régulière. Mon sphincter résista quelques secondes puis je le sentis céder et son gland entra dans mon boyau. Il fit une courte pause pour me laisser le temps de m’habituer à cette intrusion puis lentement, il s’enfonça en moi jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher mes fesses.


Pendant tout ce temps, Laurent n’avait pas bougé. Il commença alors à se retirer doucement puis, d’un coup sec, il s’enfonça de nouveau en moi jusqu’à la garde. J’en eus le souffle coupé et je poussai un cri qui dut s’entendre dans tout l’immeuble !


Ils commencèrent alors à se déchaîner en moi ; au début, ils alternaient les mouvements, l’un me pénétrant pendant que l’autre se retirait, puis la pénétration devint simultanée.


J’avais l’impression de vivre un orgasme continu ; je criai à tout rompre et au moment où je sentis leurs sexes exploser en moi, je crois bien que je perdis brièvement connaissance.


Nico se retira alors lentement, en me laissant une sensation de vide puis je me tournai sur le côté et me jetai dans ses bras pour l’embrasser.


Ce fut le moment que Laurent choisit pour s’éclipser discrètement et aller dormir sur le canapé.


Je m’endormis alors dans les bras de Nico en quelques minutes.


À mon réveil, je le vis encore endormi, allongé sur le dos, son sexe au repos semblait me fixer de son regard cyclopéen. Je m’en approchai doucement et commençai à le lécher doucement puis lentement je le pris en bouche et je le sentis doucement gonfler. J’attendis qu’il soit pleinement en érection avant de commencer de lents mouvements de pompage.


Au bruit qu’il faisait je compris que Nicolas s’était réveillé et qu’il appréciait son nouveau réveille-matin. Je le suçai un moment puis je m’allongeai sur le dos pour qu’il puisse me prendre dans un classique missionnaire. Ses mouvements furent lents et c’est avec douceur que nous partîmes à l’unisson.


C’est ainsi que commença ma relation avec Nicolas qui dure encore aujourd’hui et qui est régulièrement animée par des aventures que certains pourraient qualifier de libertines.