n° 13658 | Fiche technique | 7110 caractères | 7110 1194 Temps de lecture estimé : 5 mn |
14/01/10 |
Résumé: De la jalousie au candaulisme. | ||||
Critères: fhh voir massage -extraconj -voyeur | ||||
Auteur : Relax Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : De la jalousie au candaulisme Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Bien plus jeune, je ne supportais pas que l’on regarde ma compagne. Était-ce la peur de la perdre ou d’affronter un plus beau ou plus doué que moi, je n’en sais trop rien. C’était l’époque des mini-jupes et la moindre position assise dévoilait rapidement ses dessous, c’était aussi l’époque des pantys, il y avait donc demi-mal.
Au fur et à mesure des années, mon comportement a changé, trouvant agréable que les autres la regardent, me flattant ainsi de la « belle » femme qui était mienne. Les jupes et les robes s’étaient allongées, mais le tissu plus fin, proie facile au coup de vent improvisant ainsi des « Maryline » de passage. Le soulèvement dévoilait, selon, petites culottes moulantes ou ensemble bas-porte-jarretelles, must des musts à l’époque.
Mon épouse s’était mise au goût du jour et chaque révélation de ses dessous finissait par m’exciter plus que de voir ceux des autres. La complicité naissante, nous nous sommes mis à partager des instants « sympathiques » et elle me dit plus d’une fois :
Très rapidement nous passâmes au cran au-dessus, tant dans les salons d’essayage que dans des situations pleines d’imprévus. Ah ! Les salons d’essayage où le rideau mal fermé permettait aux passants de se délecter de l’instant de cet essai de cette petite robe d’été.
Ah ! Ce jeune étudiant, employé dans un magasin de chaussures et qui manifestement ne refusait guère d’être « aux pieds » de madame pour lui essayer ces espadrilles à lacets, l’obligeant, le « pauvre » à voir cette petite culotte à poix bleus qui cachait tout juste ce qu’elle devait cacher.
Néanmoins, je « m’inquiétais » un peu de mon état : cette situation était-ce normal ? Étais-je en train de devenir un pervers ? Était-ce normal d’avoir une érection aussi forte dans ces situations ? Allais-je consulter un psy ?
Les forums de l’internet me permirent de trouver, disons un « conseiller » qui d’email en email me réconfortait, jusqu’au point de le rencontrer. Homme d’un certain âge, disons la soixantaine ne la faisant pas, il m’expliqua le mécanisme du candaulisme, suite logique du voyeur extrême que j’étais.
Il me proposa de lui soumettre une invitation, rencontre lors de laquelle il proposerait de masser mon épouse. Je le voyais venir et fus assez cru pour le taxer de profiteur. Il s’en étonna et me dit :
Intrigué, j’acceptai et le jour du rendez-vous je me demandais bien ce qu’il allait se passer. Très distingué et affable, le « personnage »… appelons-le « IL », sut, après quelques verres, faire la proposition à mon épouse. À ma grande surprise, elle n’hésita pas une seule seconde et demanda dans quelle tenue elle devait se mettre ? Curieux, mais bon ! « IL » lui dit :
Après une douche rapide elle revint enveloppée dans son peignoir et indiqua qu’elle était prête. Il me dit :
Son calcul de laisser la porte légèrement entrouverte, du réglage de l’éclairage tamisé et de la position qu’il occuperait pour œuvrer, créait effectivement un poste d’observation discret. Était-elle nue en dessous ? Non, pire, elle avait gardé un joli string noir qui ressortait bien avec son bronzage encore bien présent. Elle se mit sur le dos en prenant son temps, lui laissant au passage, le temps d’admirer sa poitrine.
Il mit de l’huile sur ses mains et commença un massage on ne peut plus conventionnel du dos et des épaules, puis la fit se retourner. Il apposa un masque de relaxation sur ses yeux et entama le massage de ses seins. Ceux-ci gonflaient au fur et à mesure du passage des mains enduites d’huile… je commençais à avoir une érection ! Changement de position, re-sur le dos, une vieille serviette de plage protégeait le dessus de lit.
Il attaqua les jambes, remontant de plus en plus vers le haut de ses cuisses légèrement écartées, mais suffisamment pour laisser passer la main. Plus ça allait, plus sa main remontait et frôlait maintenant l’entrecuisse. Plus ça allait, plus je bandais !
Je ne dirais pas qu’il était malicieux, je dirais qu’il était expérimenté car, quand il lui murmura quelque chose que je ne pus entendre mais que je compris dans les secondes suivantes, Il lui avait demandé de quitter son string de peur que l’huile le tache. Je vis donc ma douce et tendre enlever très doucement et sans gêne particulière, ce petit morceau de tissu qui était le dernier rempart de ses intimités les plus secrètes. Elle prit tellement son temps que je pus voir ce qu’il vit. Elle le fit sans vulgarité mais avec le charme de l’expérience. Plus ça allait, plus je bandais !
L’ambiance était favorable à la suite… Il fit couler un peu d’huile dans son dos. Celle-ci parcourut tel un petit ru les formes rocheuses de sa croupe généreuse pour trouver la destination d’une raie des fesses transformée en un instant en une cascade qui allait devenir plaisir.
Il rattrapa le flot d’un doigt habile. Habile et devenu indiscret… très indiscret. La belle ne disait rien, elle se contentait de se cambrer comme pour mieux suivre le mouvement.
C’était donc ça, le candaulisme, voir l’autre avoir du plaisir avec un autre… Plus ça allait, plus je bandais. Je finis par en mouiller mon slip. La séance se termina comme « IL » l’avait promis, sans chercher à être satisfait lui-même, ravi d’avoir fait sa démonstration de complicité. Il s’est régalé, c’est sûr, son pantalon à un endroit bien précis le démontrait… Il est sûrement un pratiquant du plaisir solitaire.
La fin de soirée fût bien sûr très mouvementée et nous nous rappelons souvent de cette première expérience. Depuis nous sommes passés au stade supérieur, mais là ce sont d’autres histoires, à disposition de ceux qui se sont posé ou qui se posent les mêmes questions que moi au début.
relax78@orange. Fr