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n° 13671Fiche technique21970 caractères21970
Temps de lecture estimé : 13 mn
23/01/10
Résumé:  Manon inaugure aujourd’hui le plus sophistiqué des cadeaux que je lui avais offerts pour Noël.
Critères:  fh jeunes couple cadeau forêt ascenseur boitenuit danser bus jouet -lieuxpubl
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message
Les joujoux du Père Noël

Manon inaugurait aujourd’hui le plus sophistiqué des cadeaux que je lui avais offerts pour Noël, cadeau que je savais que Manon apprécierait puisqu’il s’agissait d’un coffret de sex toys. Manon était toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et moi je prenais toujours autant de plaisir à ce qu’elle soit comblée.


Ce soir donc Manon avait glissé dans sa vulve un petit œuf tout lisse qu’elle avait auparavant réchauffé dans ses mains. Elle venait de faire sa toilette car nous allions sortir mais l’idée de cette introduction eut pour conséquence qu’elle n’eut pas à utiliser le lubrifiant préconisé, l’objet entra, comme aspiré entre ses lèvres chaudes. Ce petit œuf était prolongé d’une partie courbée vers l’extérieur, aplatie à son bout, qui vint se coller sur le capuchon du clitoris dès que l’œuf eut trouvé sa place. À chaque contraction de Manon, l’œuf était attiré vers l’intérieur et écrasait davantage le clitoris. Cette seule présence émoustilla Manon. Ce crochet devenait totalement invisible, caché entre les lèvres et dissimulé par les poils. Une fine culotte noire vint recouvrir cette douce cachette et nous partîmes rejoindre nos amis.



§§§§§


La relation entre Manon et moi était toujours aussi forte. Nous éprouvions le besoin de nous toucher, de nous caresser n’importe où mais Manon ne savait pas contenir les cris qui accompagnaient toujours sa jouissance. Nous en avions parlé souvent, il fallait en quelque sorte entraîner Manon à se contrôler. Elle faisait des efforts mais nous avions souvent failli être surpris car une plainte lui avait échappé.


Dans le bus, toujours bondé, j’essayais de m’asseoir sur un strapontin, Manon me tournant le dos, une jambe glissée entre les siennes. Et là, dans la foule qui nous entourait, ma main montait entre ses cuisses qui n’avaient bien entendu pas mis de culotte sous sa jupe. Et un doigt enfoncé entre ses lèvres impatientes de l’accueillir, un autre roulant sur son clitoris, Manon sentait monter le plaisir, feignant de lire le livre qu’elle tenait de sa main gauche, la droite serrée autour de la poignée qui lui permettait de ne pas tomber. Sa tête souvent penchait en avant tandis que ses jambes se raidissaient et là, quelquefois, un grognement de plaisir lui échappait. Mais ma main avait rejoint mes genoux tandis que, très sagement, je regardais distraitement dans la rue. Lorsque nous descendions je tendais mes doigts à Manon qui les suçait toujours avec plaisir. Je la félicitais de ce presque silence, persuadé qu’elle parviendrait bientôt à totalement se maîtriser.


Un jour, rentrant de la fac, deux copains étaient montés avec nous dans le bus où j’avais retrouvé ma place favorite. Tandis que nous bavardions j’attirai Manon à moi, tirant sur ses genoux. Une de ses mains touchant dans son dos mon visage tenta en vain de me dissuader lorsque mes doigts touchèrent l’intérieur de ses cuisses. Elle avait aujourd’hui une jupe ample jusqu’aux genoux qui dissimulerait parfaitement ma main droite. Manon voulut serrer les jambes mais mon genou l’en empêcha. Je fis glisser mes doigts entre ses cuisses, allant toucher ses poils, essayant de la pénétrer. Ne pouvant atteindre son sexe, mes doigts s’attardèrent sur sa rosette. Ses cuisses insensiblement s’écartèrent, me permettant d’aller glisser entre ses lèvres déjà humides. Manon parlait, parlait, sans doute pour feindre de n’être pas sensible à mes attouchements, mais surtout pour que personne ne puisse rien lire sur son visage. Je participais bien sûr à la conversation tout en caressant le clitoris de Manon qui, toujours en parlant, tourna son visage vers moi pour pouvoir révulser ses yeux comme à l’approche de la jouissance. Mais je ne lus aucun reproche ni interdiction dans ce regard, me sentant ainsi autorisé à accentuer mes caresses. Manon feignit de perdre l’équilibre pour, basculant vers moi, dissimuler le gémissement qui lui échappa lorsque le plaisir la submergea. Mais personne ne remarqua rien, les joues de Manon s’étant pourtant légèrement empourprées. Elle me regarda un instant comme pour s’assurer que je faisais bien ce qu’elle pensait, que mon doigt se trouvait bien dans ma bouche.


Ces expériences nous poussèrent à essayer d’autres stimulations qui permettaient à Manon d’apprendre la jouissance silencieuse, mais ça n’était pas gagné d’avance. C’est ainsi que je me décidai à offrir à Manon ce beau coffret pour Noël. Elle n’en fut pas vraiment surprise car, au détour d’une de nos conversations, je lui en avais glissé un mot.



§§§§§


Le coffret contenait également, et ceci attira rapidement l’attention de Manon, un petit objet à glisser dans son intimité et à relier à son baladeur. Et cet objet allait vibrer au rythme de la musique que Manon écoutait beaucoup, dans tous les genres, ce qui lui permettrait de goûter à diverses sensations.


Et, comme le père Noël fait toujours bien les choses, il avait apporté, chez ses parents, le dernier né des MP3 que Manon essaya sur le champ. Prévoyante comme toujours, elle avait dans son sac la partie intime à brancher sur le baladeur. Elle n’eut pas besoin de me prévenir ; j’ai tout compris quand je l’ai vue prendre son sac et se diriger vers les toilettes. Et surtout quand je la vis ressortir, rayonnante :



Mais elle avait réponse à tout :



Un peu plus tard je constatais que Manon n’avait plus ses oreillettes.



Et, dès que nous fûmes dehors :



Et au bout de quelques pas :



§§§§§


Hier donc la journée fut très dure pour Manon. J’avais proposé que, comme nous le faisions régulièrement, nous allions courir le matin au bois.



Nous voilà donc sur le palier.



Je la rassurai en lui montrant une culotte que j’avais glissée dans ma poche pour le cas où effectivement, les sécrétions qui ne manqueraient pas de se produire et le choc de chaque foulée tendraient à faire s’échapper ces objets qui l’habitaient.


Je descendis les escaliers en courant alors que Manon se cramponnait à la rampe. Avant de sortir dans la rue je vérifiai du bout du doigt que les boules n’avaient pas bougé.



Arrivés au bois nous commençâmes à courir mais Manon, pourtant sportive accomplie, avait adopté une foulée inhabituelle.



Au bout de quelques minutes elle s’arrêta, s’accrochant à mon bras.



Et au bout de quelques pas :



Un baiser sur les lèvres l’encouragea à poursuivre.



De nombreux joggeurs nous croisaient, d’autres nous dépassaient aussi devions-nous faire en sorte que nul ne remarque l’état de Manon. En toutes petites foulées, courageusement elle avançait, cramponnée à moi comme à une bouée, ses yeux cherchant un encouragement.



Et cette jouissance se renouvela de nombreuses fois tandis que nous nous enfoncions dans le bois. Elle se contrôlait de mieux en mieux, ses soupirs devenant quasiment inaudibles. Je ne me rendais compte de ses explosions qu’au fait qu’elle me serre un instant le bras tout en continuant à courir. Nous étions maintenant seuls dans la forêt car nous avions quitté les sentiers balisés.



Au bout de quelques mètres Manon s’immobilisa, sa main souleva l’avant de sa jupe, glissa dans sa culotte et trouva le clitoris qu’elle s’empressa de faire rouler. Je la saisis par la taille au moment où un cri d’animal blessé sortait de sa gorge. Je la sentis vaciller sur ses jambes et la serrai dans mes bras, étouffant sa plainte d’un baiser.


Lorsqu’elle se calma elle dit : « Enlève-moi ça », écartant les jambes, posant un pied sur une branche, tirant sur l’entre-jambes de sa culotte. À genoux, je glissai un doigt dans ce sexe détrempé et attirai la première boule, suivie de la deuxième qui sortit avec un bruit de succion. L’objet glissé dans une pochette, Manon posa ses deux mains sur un arbre penché, après avoir relevé sa jupe sur ses hanches, prestement baissé sa culotte et cambré ses reins.



Et je la pénétrai, comme aspiré. Quelques secondes suffirent pour que je ne puisse me retenir, me lâchant au plus profond de Manon qui explosa une nouvelle fois, son cri se perdant au cœur de la forêt. Cette journée fut très dure mais elle fut surtout très bonne, amenant Manon vers de nouveaux horizons de plaisir.


§§§§§


Donc ce soir 31 décembre Manon, enfermant dans son intimité un objet de plaisir et moi, ravi de savoir pouvoir contrôler à distance son excitation, sortons. Nous allons rejoindre des amis pour une longue nuit de fête. Manon est magnifique avec une courte jupe droite sur des bas autofixants, talons hauts et chemisier de satin flou.


Elle sait, et moi également, qu’elle va être l’objet de nombreuses sollicitations car nos amis de ce soir nous savent amis mais pas amants. Mais Manon ne cèdera à personne ce soir, même si elle flirtera un peu, avec mon consentement. Cet œuf télécommandé me permettra de rappeler à Manon qu’elle ne doit pas se laisser aller. C’est elle qui m’a proposé d’essayer ce soir cet objet qui lui torturera le ventre :



Lorsque nous entrons dans le restaurant nos amis s’approchent pour nous embrasser et, à cet instant, j’appuie sur le bouton, jetant un coup d’œil à Manon qui a un léger sursaut mais qui continue à parler comme si de rien n’était. Et l’œuf vibre durant toutes les embrassades mais comme tout le monde bouge, les frissons de Manon passent inaperçus. Lorsqu’ils s’assoient, les vibrations cessent.



Et, très régulièrement, j’appuie quelques secondes sur le bouton sans que Manon, parfaitement concentrée et sans cesser de parler et de rire avec nos amis, ne tressaille. Le repas se déroule sans encombre, Manon avait réussi à s’asseoir en face de moi pour me faire le signe que nous avions convenu lorsqu’elle souhaiterait que l’œuf produise son effet. Mais je m’étais tout de même réservé le droit de l’activer à ma seule initiative, et je ne m’en privais pas, surtout lorsque le voisin de table de Manon semblait un peu trop l’intéresser.


Les premières danses commencèrent et j’augmentai alors les vibrations de l’objet, permettant à Manon d’atteindre une première jouissance, au milieu de ses amis, sans que nul ne se doute de rien. Lorsque son voisin de table l’invita pour une série de slows, j’appuyai sur le bouton. Manon me lança alors des regards affolés mais je fis celui qui ne remarquait rien. Manon allait donc jouir dans les bras d’un garçon qui l’ignorerait et qui croirait que si elle s’agrippe à lui, c’est pour répondre à ses avances. Je remarquais ses yeux révulsés, sa tête sur l’épaule du garçon. J’attendis quelques secondes et fis cesser le tourment de Manon qui retrouva le sourire et quelque distance avec son cavalier.



À son retour, elle glissa sa main dans ma poche :



Ma main alla vérifier et trouva une petite boule de tissu humide qu’elle serra entre ses doigts. Les yeux souriants de Manon croisèrent les miens alors que cette main présentait à mon nez cet objet gorgé de cette odeur qui me rendait fou. Elle savait que j’accomplirais ce geste, que je ne pouvais me passer de son odeur.


D’un clin d’œil elle me demanda d’actionner l’objet qui l’habitait aussi intimement. Et elle rejoignit la piste de danse et se laissa emporter dans une sorte de transe que nos amis pensaient provoquée par la musique mais qu’elle et moi savions provenir de la télécommande logée dans ma poche avec sa culotte dévastée. Je décidai d’attendre qu’elle m’envoie un signe pour stopper les vibrations qui la transportaient. Je ne la quittais pas des yeux, craignant qu’elle ait du mal à supporter cette stimulation aussi longtemps, mais aucun signe de lassitude ne vint. Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne s’approche de moi et me souffle :



Elle se pendit à mon cou, jambes flageolantes.



Nous rentrions à pied, enlacés et nous bavardions comme deux amoureux, sachant qu’ils vont s’aimer, ne se pressent pas de rentrer.



Et Manon me regarde, attendant ma question, que je ne lui pose pas car elle a trop envie de continuer.



Je lui fis un gros baiser sur la joue car je savais que ça lui avait fait du bien de me dire tout ça même si je savais tout avant qu’elle ne me le dise.



Manon me parlait de ça avec le plus grand naturel. Il lui semblait normal de m’expliquer que, lui présentant ses fesses, JB allait baisser sa culotte.



J’avais beau me dire que Manon avait le droit de prendre du plaisir à se faire baiser, je ne pouvais m’empêcher de la voir, à genoux, sexe ouvert, offerte à ce rustre de JB qui allait la pénétrer sans autre formalité. Je savais qu’elle ne souffrait pas de cette introduction aussi rapide car, sachant ce qui l’attendait, elle était prête depuis longtemps. Et je l’entendais crier sans retenue, ravie de ce pilonnage sauvage, sachant que l’ego de JB était flatté proportionnellement à la hauteur de ses cris qui le rendaient plus performant encore.


Manon me parlait de ça comme elle m’avait dit, il y a quelque temps, avoir constaté que la résistance de JB avait très sérieusement augmenté. Elle m’avait expliqué qu’il lui avait dit que, lorsqu’il savait qu’elle allait arriver, il se masturbait afin de durer davantage avec elle. Elle trouvait normal de me raconter ceci, comme elle me parlait de la pluie et du beau temps. Il faut dire que, du fait de la violence de la jouissance de Manon, il fallait un sérieux entraînement pour ne pas exploser rapidement. Personnellement, Manon usant et abusant de moi, je n’avais nul besoin d’avoir recours à de telles pratiques. Et, dès que nous fûmes dans notre appartement :