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n° 13673Fiche technique10824 caractères10824
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/01/10
Résumé:  Louise, à la demande de son mari, sort avec dans l'idée de trouver un mec. Elle le trouve, mais rencontre surtout ses fantasmes...
Critères:  fh nympho fépilée caférestau toilettes fsoumise fdomine pénétratio -lieuxpubl
Auteur : FoliesdeLouise  (Louise)      
Une nouvelle folie de Louise

C’est en complicité avec mon mari que je publie ce texte : désireux de me savoir avec d’autres, pour mieux me retrouver ensuite, il aime par-dessus tout le récit que je lui en fais, après, sur le papier comme sur l’oreiller.



***



Il est déjà huit heures quand je rentre chez moi, habillée comme pour passer un examen devant une vingtaine de messieurs — jupe noire, T-shirt moulant encolure danseuse noir, ballerines noires aux pieds. J’ai bu un peu en sortant. L’impression de m’en être bien tirée se change bientôt en euphorie. Je danse de joie à la pensée d’avoir réussi cette épreuve devant toi, de m’y être sentie presque à l’aise. Je décide de sortir pour parfaire cette journée. Je ne me change pas, en me disant que le côté un peu strict de ma tenue peut être un appât aussi. En relevant ma jupe, un pied posé sur le lavabo, je rase de près ma chatte presque lisse, en m’aidant du reflet dans le miroir.


Je me balade un moment dans les rues les plus fréquentées, en lorgnant les gens attablés et ceux qui sont restés au comptoir. Je finis par entrer à l’E* R* Café, et m’installe à un tabouret du bar. Je commande un Vermouth blanc et des cigarettes. Je reste au comptoir.


Il y a beaucoup de monde : le couple assis à côté de moi se lève pour rejoindre une table située au fond de la salle, il reste un mec au regard triste qui semble seul. Je me rends compte que j’intrigue un peu, dans ce repaire de jeunes trentenaires grégaires, seule au bar et drapée dans une étole noire. Le type seul croise mon regard : il est châtain, les cheveux un peu rejetés en arrière, et promène un regard blasé sur les personnes présentes, tout en discutant avec les serveurs. Je souris vaguement, il détourne les yeux. Je continue de siroter mon verre et m’amuse à croiser et décroiser les jambes, du haut de mon tabouret.

Je le vois s’adresser au serveur et faire un geste en ma direction : on m’apporte un verre de sa part. Je le remercie du regard. Nous sommes toujours à quelques deux ou trois mètres l’un de l’autre. Il me fait apporter un autre verre au moment exact où je vide la dernière goutte du deuxième. Nouveau jeu de regard.


Au bout de quelques minutes encore, je me dis que je dois agir si je ne veux pas que ce manège dure jusqu’à l’ébriété. Sans bien réfléchir à ce que je fais, je me lève et passant devant le type, lui demande s’il veut bien me montrer où se trouvent les toilettes. Surpris, il acquiesce : nous montons jusque sur un palier au bout duquel il m’indique une porte. Il me regarde, intrigué et amusé, et avant qu’il ne se tourne pour redescendre l’escalier, je l’embrasse à pleine bouche, en me plaquant exagérément contre lui. Il réagit sans équivoque à mon baiser. Je sens qu’il bande à travers son jean. Ses mains se glissent dans mon dos, caressent mes fesses. Je me cambre. Il me repousse légèrement, continue de m’embrasser en attrapant mes seins. J’ai l’impression qu’il jauge de l’attrait de mes formes. Tout d’un coup, il se recule et, en souriant, redescend l’escalier en direction du bar.


Lorsque je rejoins ma place, il s’est installé à côté de moi. Il ne parle toujours pas. Je fume une nouvelle cigarette sans prêter attention à sa présence. Il me fixe et ouvre enfin la bouche pour me demander s’il m’arrive souvent d’embrasser des mecs que je ne connais pas. Je ne lui adresse qu’un laconique « ça m’arrive », qui semble toutefois l’encourager à continuer de parler. Il semble tâter le terrain, m’annonce qu’il est marié et père de deux enfants. Il me parle de son travail d’agent immobilier, de tout l’argent qu’il gagne, tout en s’excusant sans arrêt de parler d’argent. Après un fastidieux exposé sur le marché immobilier dans la région, quand je lui demande s’il vit à *** lui-même, il refuse de me répondre, me répétant qu’il est marié, qu’il ne va pas me donner son adresse. Je ris et lui demande s’il trouve que j’ai l’air d’une fille qui cherche un copain. Il se détend un peu.


Deux types arrivent qui semblent être de ses amis. Il leur tourne délibérément le dos et ne parle qu’avec moi. Me raconte pourquoi il s’est marié — sa copine de lycée était tombée enceinte. Puis il m’explique qu’il sort précisément ce soir parce que son associé sur une affaire importante vient de le lâcher à la dernière minute. Son discours est assez décousu. Il parle de sa vie, me pose quelques questions sur la mienne, puis s’enhardit petit à petit.


Il me demande si j’ai dîné : je mens en disant oui, pas très intéressée par l’idée de passer ne serait-ce qu’une heure en tête-à-tête avec ce type au restaurant, quand je sais que tu m’attends, impatient, dans ton lit. Il me propose de m’emmener en boîte, je décline l’invitation. Il devient nerveux, s’obstine à m’embrasser et, légèrement alcoolisé, il me demande si je l’aime, sans que je ne sache bien s’il plaisante ou non. Je me dérobe, tout en riant un peu bêtement à ses tentatives. Il finit presque par m’arracher un rendez-vous pour le lendemain, m’annonçant avec emphase qu’il me fera l’amour toute l’après-midi.


Je commence à m’ennuyer et à penser à le planter là quand arrivent à nouveau des collègues à lui, dont l’un, assez massif et vulgaire, sort une liasse de billets pour régler les premières consommations prises au fond du bar. Je vois bien que ce type me mate et j’en rajoute, jouant les filles alanguies et un peu naïves, autant pour l’exciter lui que pour décider mon pauvre ami à tenter quelque chose.


Ce petit manège qui me fait découvrir mes cuisses et pointer les seins me vaut un patin de la part du langoureux agent immobilier si indécis, donné au milieu d’un groupe de cinq ou six mecs qui ne semblent pas indifférents. La situation m’excite, et c’est la chatte toute trempée que je rejoins l’escalier conduisant à l’étage, tout en faisant signe au mec de me suivre.


J’attends une longue minute devant les lavabos. Je rage contre ce type trop timide ou trop con pour me suivre quand il ouvre la porte et me colle contre le mur. Il m’embrasse à nouveau, tout en glissant sa cuisse entre mes jambes, contre ma chatte, ce qui retrousse exagérément ma jupe. Il pousse la porte des toilettes et s’y engouffre avec moi. Avec une brutalité inattendue, il remonte mon T-shirt et baisse mon soutien-gorge, me malaxe les seins et les suce avec précipitation. Il relève ma jupe et glisse enfin sa main sur, puis sous ma culotte. À part un empressement plus grand, le contact de ma chatte rasée ne lui cause pas d’effet particulier. Il me lèche un peu. Il me retire mon T-shirt et ma culotte, et relève ma jupe. Je me mets alors à défaire sa ceinture, tout en caressant sa bite à travers le tissu de l’autre main. Il m’aide, baisse seulement son pantalon et son caleçon. Je lui sors une capote de mon sac. Il me pousse pour me forcer à me retourner, enfile sur son sexe dur le morceau de plastique, m’applique une main sur la nuque pour me basculer en avant et dirigeant sa bite contre mon con de l’autre main, il me pénètre assez rudement, jusqu’au fond, d’une seule poussée. Mais je suis très excitée et sa queue n’est pas très grosse.


Je n’aurais jamais cru que se faire baiser par un type dont je ne me souvenais pas même le prénom, debout et à moitié habillée, devant la cuvette des toilettes, pouvait être aussi bon. Le bruit des gens attendant leur tour de l’autre côté de la porte m’excite, comme le fait qu’ils entendent sans doute mes halètements.


L’idée de passer pour une salope auprès des gens qui m’ont vue en bas et n’ont pu ignorer la raison de notre fuite me plaît. La vue de la mosaïque immonde qui couvre le mur sur lequel je m’appuie pour ne pas m’écrouler sous les coups de boutoir que m’inflige ce mec me ravit. Me faire prendre dans cette posture m’a toujours plu mais là le plaisir est plus pervers et délicat. J’aurais envie qu’il me traite de tous les noms, qu’il me bourre encore plus sauvagement, qu’il se laisse aller à des instincts de bête.


Après quelques minutes, il se met à me pilonner très vite : j’ai envie de hurler, le fait qu’il me traite presque plus que comme un trou à remplir jusqu’au fond pour y déverser son foutre me rend folle. Je crois qu’il va jouir, mais il se calme, s’assoit sur la cuvette refermée et m’attire sur ses genoux, avant de m’empaler de force sur son pieu dressé.


Je le baise un moment dans cette position puis il me fait me pencher en arrière, le haut du dos contre la porte. Il me baise un peu comme ça, me fait me relever, me pivote dos à lui, et me fait m’asseoir à nouveau sur sa bite. Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans cette position, me relevant pour mieux à nouveau faire entrer sa bite de plus en plus bandée dans ma chatte. Je crois que j’ai joui aussi de me voir si pute, dans ce décor minable, dans cette position sans ambiguïté, m’écartant les fesses pour mieux recevoir sa bite, la sentir plus profond.


Il me fait ensuite me relever pour me prendre debout mais de face, ma jambe gauche relevée et posée sur le sommet des toilettes. Le fait de me faire sauter dans cette position m’excite moins, mais l’impatience témoignée par les gens qui attendent de l’autre côté de la cloison provoque une superposition d’images qui entraîne dans mon esprit une frénésie assez incontrôlable, une envie de bites insatiable.


Je pense à la queue bandée du gros type en bas, celui avec les liasses de billets, je voudrais qu’il vienne me la mettre aussi, qu’il me saute comme une petite pute que les mecs se font à la chaîne dans les chiottes de boîte. Qu’il me la mette dans la bouche. Qu’il me tienne par les cheveux en bourrant ma petite chatte de salope offerte. Ces images me trottent dans la tête quand le type avec moi jouit en grognant. Nous nous rhabillons, je ne remets pas ma culotte qui a été engloutie au fond de mon sac.


Quand nous descendons, les autres sont partis. Le type avec moi m’exaspère en insistant pour que l’on se voie le lendemain. Finalement il me raccompagne et me laisse son numéro de téléphone. Quand je descends de sa voiture à quelques rues de chez toi, il me force à l’embrasser, me fait jurer que je l’appellerai et glisse une dernière fois ses doigts dans ma chatte encore mouillée.